La France est engagée
dans le totalitarisme européen et les Français ne semblent pas s'en
apercevoir. C'est le syndrome de la grenouille dans la casserole dont
Saucisson-Pinard vous rappelle le principe : vous mettez une
grenouille dans une casserole d'eau froide que vous placez sur une
plaque de cuisson. La température monte doucement et la grenouille
ne réagit pas car le réchauffement est progressif. Au fur et à
mesure que la température de l'eau monte, la grenouille s'adapte.
Elle oublie le stade de confort qui était le sien dans la minute qui
précédait, et accepte docilement son nouvel environnement. Elle
finira ébouillantée. Si vous aviez plongé la même grenouille
directement dans l'eau bouillante, elle aurait eu le réflexe de
survie de sauter hors de la casserole. Il en va de même avec le
Français plongé dans cette Union Européenne. Il ne s'aperçoit pas
qu'il va finir dans une UErss totalitaire.
C'est aussi l'effet
cliquet. Comme une roue crantée qui tourne, étape après étape,
sans possibilité de retour en arrière après chaque passage du
cliquet.
Premier cliquet en avril
1951, avec la signature du Traité créant la CECA : Commission
Européenne Charbon Acier. Ce traité est proposé par Robert
Schuman. Schuman, né au Luxembourg, fit ses études en Allemagne.
S'il demanda à être réformé pour échapper à l'armée allemande
avant 1918, il fut quand même officier dans l'armée allemande
pendant la guerre. Officier planqué dans un bureau de Moselle, mais
officier allemand quand même. Quand en 1918, l'horizon pour les
pro-allemands de l'Alsace-Lorraine s'obscurcit vraiment, il retourne
sa veste rapidement et se déclare Français de cœur... Celui qui
est officiellement considéré comme le père fondateur de l'Europe,
était donc un opportuniste apatride. Un signe pas si anodin.
Deuxième cliquet en 1957
avec la création de la Communauté Economique Européenne (CEE) qui
n'avait à l'époque pour seul but que de favoriser les relations
commerciales entre les six pays européens les plus avancés
économiquement.
Les pays non
contributeurs net se sont alors rapidement multipliés au détriment
des pays initiaux, représentant autant de nouveaux cliquets,
apportant, outre leurs déficits de contributions, des salaires
moyens inférieurs à ceux pratiqués dans les pays initiaux, et donc
une concurrence directe. Les délocalisations industrielles
commencèrent.
En 1992, nouveau cliquet
avec le Traité de Maastricht, qui transforme cette CEE en Union
Européenne. La seule fois où le peuple est consulté sur un sujet
majeur ayant trait à cette Union Européenne, c'est sur la
Constitution. En France, la réponse fut un « non » à
55% pour l'application de cette Constitution. Ce refus n'était
évidemment pas acceptable pour les euro-mondialistes, et le Traité
de Lisbonne est alors une façon radicale de faire comprendre que
désormais on se passerait de l'avis des peuples, et la voie vers le
fédéralisme est grande ouverte. Car les enjeux n'étaient alors
plus uniquement économiques mais touchaient tous les secteurs de
fonctionnement des états, et cette transformation se fait avec
toujours plus d'autoritarisme : justice, immigration (notamment
avec l'interprétation très « république des juges » de
la CEDH), fiscalité, politique étrangère, Santé, éducation,
censure de l'information.
En 1995, le cliquet
Espace Schengen bannit les frontières intérieures. S'appliquant
même à certains pays ne faisant pas partie de l'UE, cet espace
Schengen symbolise la dépossession définitive des pays membres de
leurs frontières et donc de leur souveraineté.
Depuis, la marche vers le
totalitarisme ne fait que s'accélérer. Avec une Commission
omnipotente, le Parlement n'ayant quasiment plus qu'un rôle
vaguement consultatif et devenant un comptoir d'enregistrement de ses
décisions, Ursula La Hyène s'accapare de missions qui ne sont pas
les siennes.
Combien de fois avons-nous entendu nos politiques avouer
à demi-mot « non, ceci ou cela nous ne pouvons pas le faire
parce que c'est en opposition avec les règlements de l'UE ! ».
On se demande même
pourquoi nous élisons des députés nationaux, qui nous reviennent
bien cher, tant leur latitude d'action est de plus en plus limitée.
Malheureusement, cette
privation de souveraineté s'accompagne de privations de liberté.
Liberté de circulation :
l'épisode Covid avec ses confinements et ses obligations de
s'auto-écrire des permissions limitées de sortir de chez soi, doit
être compris comme un test ou une évaluation de la capacité
d'asservissement de la population. Nul doute que le résultat de ce
test n'est pas tombé dans l'oubli de nos dictateurs en herbe, et que
ces mesures s'appliqueront quand le besoin de serrer le licou des
« gueux » se fera sentir.
Quand la liberté de
circulation est entravée, ce n'est jamais à l'égard des
clandestins du Maghreb ou d'Afrique sub-saharienne, mais ce sont pour
des cibles qualifiées de mal-pensantes. Le PDG de Telegram, Pavel
Durov, qui affirme vouloir témoigner des ingérences européennes,
en l'occurence de celles du camé de l'Elysée dans les élections
présidentielles roumaines, est (provisoirement?) empêché de
quitter le pays pour se rendre aux Etats-Unis où ses affaires
l'appellent.
Mieux : Une
journaliste indépendante allemande, Alina Lipp, couvrait le conflit
russo-ukrainien, depuis le Donbass. Elle avait dénoncé les crimes
de guerre perpétrés par le bataillon ukrainien nazi Azov dans cette
région. Une procédure pénale a été lancée à son encontre en
2023. Ses comptes bancaires et ceux de son père ont été fermés
par le gouvernement allemand pour assécher ses revenus. Aujourd'hui,
elle et un de ses confrères, Thomas Röper, pour les mêmes raisons,
ne peuvent plus rentrer en Union Européenne, ni même y transiter.
Le cas de ces élections
en Roumanie est un cas d'école du totalitarisme exercé par cette
UErss : le candidat mal-pensant Georgescu est trop bien placé
au premier tour. Il est perçu comme une menace contre l'européisme
ambiant. Ce premier tour est donc annulé au prétexte d'une
ingérence russe, via TikToK. Car voyez-vous, selon les « élites »
européistes, les gueux Roumains sont assez stupides pour voter comme
leur disent de le faire des messages sur un réseau social. Il est
prouvé un peu plus tard que cette ingérence était en fait une
manœuvre du parti européiste pour tenter de diviser les voix
souverainistes. Qu'importe, la candidature de Georgescu se présente
pour la relance du processus électoral. Macreux envoie son
ambassadeur rendre une petite visite au Conseil Constitutionnel
roumain, qui s'empresse alors d'interdire cette candidature. Voilà
comment ça se passe dans un pays appartenant à cette Union
Européenne dont les « valeurs démocratiques » sont sans
cesse mise en avant...
Mais ce n'est pas tout.
Le candidat souverainiste qui prend le relais de Georgescu dans la
relance de cette élection présidentielle, arrive, à nouveau,
largement en tête du premier tour. Ça devient insupportable pour le
gouvernement de l'ombre de l'UE. Mais miracle, le représentant
bien-pensant européiste rattrape au second tour l'énorme retard
qu'il avait au premier tour et remporte l'élection ! Ce
rattrapage hallucinant défie littéralement les probabilités
statistiques.
Thierry Breton, évadé
fiscal sénégalais et fidèle petit soldat européiste, lâche le
morceau en affirmant que si l'AFD en Allemagne connaît un trop grand
succès lors des élections en Allemagne, il faudra que l'UE
intervienne comme elle l'a fait en Roumanie ! Elle n'aura pas à
le faire, parce que l'association de la CDU et du SPD, association de
la carpe et du lapin européistes, empêche l'AFD de parvenir au
Pouvoir. Mais l'aveu est clair : désormais, l'UE est prête à
tout pour intervenir dans les élections nationales, éventuellement
en manipulant les résultats si ces derniers sont menaçants pour son
régime dictatorial .
La liberté de
circulation est donc en phase de disparition, comme l'est la liberté
d'expression.
En France, pour la toute
première fois de l'Histoire, deux chaînes de télévision sont
interdites, leur ligne éditoriale n'étant pas conforme à la doxa
européiste officielle.
La liberté de dépenser
son argent sera la prochaine à disparaître. La présidente de la
BCE, Lagarde, veut se débarrasser de Visa, Mastercard, Paypal et
Alipay, afin d'introduire une surveillance européenne des
infrastructures financières.
Darmanin vient de
remettre sur le tapis l'idée de suppression de l'argent liquide, au
motif foireux de lutte contre le narco-trafic. Le but de la
disparition des billets de banque et pièces de monnaie a évidemment
un autre but : surveiller et éventuellement diriger la
consommation des citoyens dans une direction à l'unique discrétion
de l'UE dictatoriale. La consommation du citoyen pourrait être
tracée. On pourrait lui imposer des limites d'achat selon les bons
vouloirs des politiques européennes. Imaginons qu'une quantité
maximale de consommation de carburant soit imposée pour des raisons
escrologistes : sa carte de paiement serait alors bloquée pour
un achat d'essence ou de gasoil dépassant cette limite imposée. Une
date limite de validité de son argent disponible pourrait aussi être
appliquée afin de forcer l'arrivée d'argent dans l'économie, au
cas où une menace de décroissance planerait.
La ressemblance entre le
IIIe Reich et l'UE d'aujourd'hui se confirme quasiment tous les
jours. Le sujet
actuel de cette fameuse « aide à mourir »
qui vient d'être votée et qui n'est ni plus ni moins que la
sacralisation de l'euthanasie, n'est pas sans rappeler la politique
eugéniste mise en place par Hitler en 1939.
Pour se résumer, nous
avons une UE qui accapare tous les pouvoirs politiques des nations
qui la composent, au sein d'une (grosse) Commission où ne siège
aucun élu par les peuples. Une UE qui fait des ingérences dans les
élections nationales, qui truquent leurs résultats. Une UE qui
supprime les libertés. Une UE qui multiplie les manoeuvres de
surveillance. Une UE qui se lance dans une politique d'eugénisme. La
question qui se pose alors est : qu'est-ce qui distingue cette
UE du IIIe Reich d'Hitler ?
Maintenant que la dérive
totalitaire de cette UErss est démontrée, regardons le profil
généalogique des personnalités qui tirent les ficelles de cette
dictature.
La grand mère de Ursula
La Hyène était une fervente supportrice d'Hitler. Après lui avoir
serré la main lors d'une rencontre, elle avait affirmé ne pas
s'être lavé la main pendant plusieurs jours qui ont suivi cette
mémorable rencontre. Joachim Adolf Otto Georg Diederich von der
Leyen était un agent enquêteur au sein de l'armée allemande
pendant la IIe guerre mondiale.
Karl Lauterbach, ministre
allemand de la Santé, a eu comme ascendant Hartmann Lauterbacher,
Obergruppenfuhrer SS.
Olaf Scholz,
ex-chancelier allemand, a eu dans son ascendance Fritz von Scholz,
également Gruppenfuhrer SS.
Donald Tusk, Premier
Ministre polonais et fervent européiste exerçant déjà une
politique totalitaire locale en Pologne, a dans son ascendance Josef
Tusk, du Service de Sécurité du Reichfuhrer SS.
Christian Lindler,
ministre des Finances allemand a dans on ascendance Gehhard Lindler,
Brigandenfuhrer SS.
Walter Hallstein, en tant
que secrétaire d'état d'Adenauer, a négocié les modalités de la
construction européenne et co-signé le traité de Rome en 1957. Il
était officier nazi pendant la guerre 39/45.
Klaus Schwab, fondateur
du Forum économique mondial, dont l'UE est la fidèle élève, est
le fils de Eugen Schwab, conseiller intime d'Hitler, qui était
responsable dans l'Allemagne nazie de « Escher-Wyss »,
entreprise stratégique qui avait son propre camp de concentration où
les prisonniers y travaillaient gratuitement.
Bien sûr, nul n'est
responsable des agissements de ses ascendants. Mais comme le dit la
sagesse populaire, les chats ne font pas des chiens. Et ne pas voir
la funeste corrélation entre ce qu'est devenue l'UE et l'ascendance
de ceux qui oeuvrent ou ont oeuvré à cette transformation, est du
déni ou de la bêtise crasse.
Le plus spectaculaire
finalement est le constat que ce régime dictatorial de l'UE est
l'aboutissement de plusieurs années de manœuvres pendant lesquelles
les Européens ont fait preuve d'un aveuglement et d'une passivité
absolument sidérants. Imaginons simplement que cette évolution de
l'organisation européenne se soit tenue dans un espace de temps de
quelques jours. Le terme de coup d'état fasciste aurait eu alors
tout son sens : c'est la parfaite illustration du syndrome de la
grenouille dans l'eau chaude évoqué plus haut.

Le régime totalitaire de
l'UE est tellement avancé et verrouillé, qu'une simple marche
arrière n'est même plus possible ni ne serait suffisante. Il n'y a
même plus un aménagement possible. C'est toute cette roue à
cliquets qu'il faudra faire sauter. Et pour cela, sortir unilatéralement, avec
un grand bras d'honneur, de cette UE. Si l'un des deux plus gros contributeurs nets de l'UE se retire, l'édifice s'écroule. Et sur sa lancée, la France quitte la CEDH, l'OMS, l'OTAN et la zone euro. Faute de quoi, la France aura autant d'importance dans le
monde que l'Iowa. Pire, même : un Iowa totalitaire : un
Kirghizistan de l'empire soviétique.
L'Union Européenne est
le IV e Reich en application.
RAPPEL: Macreux tente
d'instaurer un climat de peur, afin de distraire l'opinion de son
fiasco généralisé dont les Français ont de plus en plus
conscience. C'est une manœuvre qui, il faut le reconnaître, lui a
pas mal réussi pendant l'épisode Covid. Il tente de la réitérer
sur la base du conflit ukrainien. Pour ce faire, son dernier outil en
date est l'envoi d'un « guide de survie », supposé
servir en cas de guerre. Ce guide de survie vous sera envoyé d'ici
l'été prochain. Une bonne réponse à signifier à Macreux pour lui
montrer que vous n'êtes pas dupe de sa tentative d'enfumage, serait
de lui renvoyer ce guide. Pour cela, il suffit de ne pas ouvrir ce
courrier et d'écrire sur l'enveloppe « Refusé. Retour à
l'envoyeur » et de la poster sans l'affranchir. C'est gratuit.