Saucisson-Pinard: - Dites, monsieur Mouton, vous qui pensez correctement et êtes abonné à BFM TV, j'ai des questions qui me turlupinent.
Monsieur Mouton: - Demandez donc, si je peux vous aider...
SP: - Eh bien voilà, concernant le confinement...
M.M: - Oui ?
SP: - On est au deuxième confinement, avec des mesures draconiennes, et avons les résultats que vous savez. La Suède n'a jamais confiné, n'a jamais arrêté son activité, et n'a pas de résultats sanitaires pires que les nôtres, voire même, sur ce plan, un peu meilleurs. Comment se fait-ce ?
M.M: - C'est pas pareil !
SP: - Ah, bon ! Et la France n'a pas fermé ses frontières, laissant la libre circulation à tous, sauf à ses propres citoyens, pendant que les pays d'Europe de l'Est, Hongrie, Pologne, Roumanie, Biélorussie entre autres, ont fermé les leurs, ont moins de cas de Covid et moins de létalité que chez nous, tout en n'imposant pas le masque. Comment l'expliquez-vous ?
M.M: - Parce que c'est pas pareil !
SP: - Bon. Regardons de plus près les mesures qui nous sont imposées en France. Pourquoi est-il moins sain de naviguer en pleine mer à bord de son bateau de plaisance qu'à bord de transports en commun, trains, métro ou bus ?
M.M: - Ah bah, parce que c'est pas pareil !
SP: - Et pourquoi peut-on être des centaines à déambuler dans un hypermarché mais pas seul à taper dans une balle sur un terrain de golf de plusieurs hectares ?
M.M:- Ah bah alors, là c'est facile : parce que on ne peut pas faire ses courses sur un terrain de golf !
SP: - Ah excusez-moi, je pensais qu'il s'agissait de mesures purement sanitaires... Mais pourquoi peut-on s'entasser dans un wagon de métro mais pas assister à une célébration religieuse dans le vaste volume que peut représenter une église ou une cathédrale, à partir du moment où la « distanciation » peut y être très facilement respectée ?
M.M: - C'est pas pareil !
SP: - Allons dans le détail : il est permis de sortir une heure pour prendre l'air ou promener son chien, mais pas à plus d'un kilomètre. Pourquoi seulement un kilomètre ? On est davantage vecteur de virus quand on est à 2,5 kilomètres de chez soi qu'à 1 kilomètre ?
M.M: - Parce qu'il vous faut le temps de rentrer chez vous, pardi !
SP: - Vous marchez à 2 Km/h, vous ? Même quand vous faites votre petit footing ?
M.M: - Il faut bien une limite !
SP: - Oui, limiter semble bien effectivement être le mot d'ordre de notre gouvernement. En toutes choses. Et particulièrement en ce qui concerne sa compétence...
M.M: - Vous faites du mauvais esprit !
SP: - Changeons de sujet. Ça ne vous étonne pas, vous, qu' « on » ait trouvé un vaccin si vite, pour un virus qu'on nous a vendu comme étant inconnu et d'origine 100% naturel il y a moins de 9 mois ?
M.M: - Des laboratoires sont très performants, voilà tout !
SP: - Et si ce virus avait été construit par le cerveau scientifique humain, des mauvaises langues diraient « pasteurisé », est-ce que ça n'aiderait pas à en trouver le remède, par hasard ?
M.M: - Mais vous faites du complotisme, là !
SP: - Je demande, juste, Monsieur Mouton, je demande juste... Et ça ne vous étonne pas qu'on se satisfasse de si peu de recul sur son efficacité supposée et ses effets secondaires éventuels, alors que dans le même temps, on exigeait une étude très poussée, sur des centaines de milliers de cas et sur une longue période, pour valider l'utilisation de l'hydroxy-chloroquine (toujours interdite de prescription à cette heure d'ailleurs), alors que ce médicament est utilisé depuis des lustres par des millions de sujets à travers le vaste monde, mais présente le défaut majeur de ne coûter que quelques malheureux euros la boîte ?
M.M: - C'est pas pareil !
SP: - Là, je suis d'accord avec vous, Monsieur Mouton. Vues les sommes astronomiques que l'Union Européenne s'est engagée à investir dans des commandes de doses de vaccin à ces laboratoires « performants », ce n'est pas pareil !
M.M: - Puisque je vous le dis !
SP: - Mais dites-moi, Monsieur Mouton, ce laboratoire Pfizer, par exemple, ce n'est pas celui qui a été condamné pour avoir contaminé trois de ses employés avec un virus de sa création ?
M.M: - Des accidents, ça arrive...
SP: - Et ce n'est pas Pfizer qui a été accusé par le gouvernement nigérian d'avoir provoqué la mort et des maladies graves sur des centaines d'enfants à l'occasion de vaccination-tests contre la méningite ?
M.M: - On ne fait pas d'omelettes sans casser des œufs...
SP: - Libre à vous si vous voulez être l'oeuf de l'omelette. Mais, Pfizer, ce n'est pas non plus le laboratoire qui a été contraint, en 2009, de payer une amende record de 2,3 milliards de dollars aux Autorités Américaines pour avoir promu des médicaments interdits par la Food and Drug Administration ?
M.M: - C'est pas pareil, ce n'était pas un vaccin !
SP: - Mais ça ne vous vient pas à l'esprit que l'empressement de certains politiques, notamment en France et dans l'UE, à faire confiance à ce laboratoire pour inonder le marché de son vaccin, peut avoir été « facilité » avec des enveloppes garnies ?
M.M: - Pure spéculation !
SP: - Spéculation, spéculation, je veux bien, mais ce n'est pas Cahuzac qui a avoué, lors de son procès, avoir vu son compte en Suisse approvisionné par le laboratoire Pfizer ?
M.M: - Si vous vous mettez à écouter un corrompu comme Cahuzac, maintenant...
SP: - Notez qu'il n'y a pas de corrompu sans corrupteur, je vous dis ça, je ne vous dis rien... Sachez aussi qu'un procès est en cours, depuis 2019, contre Pfizer, concernant la mort de consommateurs de produits de vapotage de ce laboratoire.
M.M: - Rien à voir avec un vaccin !
SP: - Toujours confiant, alors, Monsieur Mouton ? Mais comment expliquez-vous que, Pfizer, ou, d'ailleurs, n'importe quel autre laboratoire en piste pour nous proposer un vaccin « le plus tôt possible », soit par avance exonéré de payer les pots cassés, si, par malheur, les choses tournaient mal ? En effet, il est annoncé que dans ce cas, ce sont les passeurs de commande de ces vaccins, donc les Etats européens, qui feraient face aux dédommagements financiers qui ne manqueraient pas d'être réclamés par les victimes ! Pas mauvaise, la martingale pharmaceutique : on travaille peu longtemps sur l'élaboration d'un vaccin, donc pour pas cher en R&D, on vous le vend pour très cher, et si au final, le vaccin foire avec des milliers ou millions de victimes, on s'en lave les mains, et on laisse le contribuable payer la note. Ça ne serait pas avoir le beurre, l'argent du beurre, le cul de la crémière et le sourire du crémier, ça ?
M.M: - Vous voyez le mal partout !
SP: - Et que pensez-vous de l'obligation éventuelle de se faire vacciner dans ces conditions ?
M.M: - Ah bah ça, c'est l 'évidence même ! C'est pour protéger la population, à son corps défendant !
SP: - Mais la protéger de quoi, de qui ? Imaginez que vous soyez vacciné, Monsieur Mouton. Et moi, pas. Que craignez-vous de moi ? Je ne peux pas vous contaminer, puisque vous êtes sous la protection de votre vaccin !
M.M: - Mais vous protéger de vous-même, pardi !
SP: - Mais Monsieur Mouton, vous savez qu'il m'arrive de prendre ma voiture. Vous n'avez pas peur que j'aie un accident de la circulation qui m'occasionne des blessures, voire même la mort ? Vous allez m'interdire de conduire pour me protéger de moi-même ?
M.M: - C'est pas pareil !
SP: - Autre chose : ça ne vous interpelle pas qu'un des actionnaires éminents de Pfizer soit Bill Gates, qui travaille d'arrache-pied sur les nanoparticules injectables à l'occasion de vaccination ? Des nanoparticules qui pourront, pour le moins, témoigner de votre vaccination, et pour le plus, participer au traçage en règle de la population vaccinée?
M.M: - N'importe qui peut acheter des actions de Pfizer...
SP: - Bill Gates, l'apôtre de la vaccination de la planète et du puçage de sa population, et « n'importe qui », c'est pas pareil, comme vous diriez. Mais bon, je vois que vous avez réponse à tout, Monsieur Mouton. Je vous laisse donc bêler en paix. Vous adresserez mes meilleures salutations à M. Panurge...