Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

dimanche 31 octobre 2021

Pendez-les haut et court!

 


Aux Etats-Unis, Biden The Cheater propose d'attribuer une subvention de $ 450 000 (390 000 €) à chaque enfant d'une famille de migrants illégaux se trouvant séparé de sa famille du fait de l'expulsion de ses parents au-delà de la frontière durant le mandat de Trump.

Elle n'est pas belle la vie de ceux qui transgressent la loi, dans le pays de Biden The Cheater ? Papa-maman violent la loi en passant illégalement la frontière mexicano-américaine, puis se font renvoyer dans leur pays d'origine, en laissant leur progéniture aux Etats-Unis. Et les gosses en question se verraient toucher l'équivalent de 27 ans de smic français ! Tout en restant aux Etats-Unis !

La question est : qu'attendent les contribuables américains pour se précipiter à la Maison Blanche, sortir le sénile de son bureau ovale à grands coups de pied au train et aller le pendre haut et court en public au Lincoln Memorial devant la statue du 16e président, pour l'exemple ?


En France, une présentatrice télé, Maïtena Biraben, qui a papillonné de chaînes en chaînes en accumulant les échecs d'audience, observe le public rassemblé à un meeting de Zemmour à Biarritz et remarque, faussement candide, dans un tweet : « Beaucoup de Blancs, non ? ».

Bah oui, Maïtena ! C'est comme dans ta famille franco-suisse : beaucoup de Blancs, non ? Tu vas nous refaire le sketch de Muriel Robin ? « Il y a beaucoup trop de Blancs dans notre famille ! » T'avais pas remarqué que le peuple français de souche est de race blanche ? Est-ce pour cette ignorance que tu as été recalée à l'entrée d'un centre de formation de journalisme ? Et si t'es en manque de bouilles négroïdes, tu n'as qu'à te coller devant les pubs sur le petit écran. La négritude y est pléthorique.


La cote de Zemmour grimpe dans les sondages. Pour le comité éditorial du journal Sud-Ouest, c'est insupportable. Du coup, il décide de ne plus relayer les sondages relatifs à la présidentielle 2022. Et, pour faire bonne mesure, s'engage à ne même plus commenter les sondages à venir. Et tant pis pour sa mission qui est, en principe, d'informer le lecteur de ce qui se passe dans le pays...

Le rédacteur en chef dénonce « une avalanche de sondages qui est utilisée pour marteler les choses, bourrer la tête de citoyens ». Curieux, non ? : on n'avait pas observé que le groupe de presse Sud-Ouest s'était abstenu d'être partie prenante dans le matraquage médiatique en place en 2017 en soutien de Macreux ! N'y avait-il pas alors bourrage de crâne du citoyen ? C'est vrai qu'il s'agissait alors simplement de diffuser, en force, l'opinion du journal (ou plutôt celle de son commanditaire oligarchique: la famille Lemoine) et non pas le reflet de l'opinion du citoyen, un sondage étant précisément par nature ce reflet...

Et si, comme chacun sait, les sondages se trompent, la question légitime est : où est le problème ? Où est le danger, puisque si ces sondages ne sont pas fiables, c'est la preuve qu'ils sont sans effet pervers sur la décision finale du citoyen dans l'isoloir ? D'ailleurs, c'est vrai que ces sondages sont à prendre avec des pincettes : qui peut croire que Macreux, président le plus haï de la Ve République, serait à 25% au premier tour ?


160 journaleux signent une tribune dans Médiapart dans laquelle ils s'engagent à « invisibiliser » et même à « combattre » certaines personnalités politiques... Suivez leur regard... Sans crainte de l'oxymore, ces signataires se proclament, dans le même souffle, « respectueux des valeurs démocratiques »...

Donc « invisibiliser » n'est pas censurer, nuance !

C'est vrai qu'à une époque où la signification des mots de la novlangue est l'inverse de ce qu'elle est en bon français, on peut se permettre de tout dire :

En novlangue, les vrais fascistes se font appeler antifascistes ou antifas.

En novlangue, les vrais racistes se font appeler anti-racistes.

En novlangue, les indigènes ne sont plus les habitants du cru mais ceux qui arrivent de l'extérieur. Selon la novlangue, c'était donc Magellan abordant les Philippines qui était l'indigène ! et non pas les sauvages qui lui ont décoché la flèche mortelle !


Il y a quelques années à peine, la bien-pensance s'évertuait à vouloir nous convaincre, avec preuves scientifiques à l'appui, que les races n'existaient pas. Comme c'était quand même un peu dur à avaler pour le citoyen ayant un minimum de sens de l'observation, cette même bien-pensance opère aujourd'hui un virage à 180 degrés et il convient de tout rapporter à un problème de races.

Mieux : il y a aujourd'hui les « racisés » ; comprendre: tous ceux qui ne sont pas Blancs. On en déduit donc que le Blanc, de par le fait non « racisé », est sans race. Un peu comme le serait un extra-terrestre, sans doute.

Toujours selon la novlangue progressiste, femme et homme seraient des entités naturellement indifférenciées. Et la femme serait devenue, sous l'impulsion d'un patriarcat hétérosexuel, une pure construction sociale. Et la relation, pourtant millénaire et planétaire, entre l'homme et la femme ne serait jamais qu'une contrainte purement conventionnelle. Ce qui se passe dans le monde animal ne semble pas perturber le raisonnement progressiste.


Revenons aux Etats-Unis, où désormais vont être émis les premiers passeports portant la mention « X » pour le sexe qui se revendiquerait n'être ni masculin ni féminin. Saucisson-Pinard aurait mieux compris qu'on garde une des deux mentions habituelles, justifiée par un simple constat anatomique, mais agrémentée d'une case intitulée « cas psychiatrique » pour le déglingo en recherche de son identité.


Biden The Cheater, présentatrice débile, journaleux de Sud-Ouest ou d'ailleurs, petits soldats de la dictature, antifas fascistes, anti-racistes racistes, progressistes de tous poils voulant imposer leurs tares existentielles menant à la décadence civilisationnelle: pendez-les tous, haut et court !

 

 

Pour bien vous faire comprendre et accepter que l'avenir de la société occidentale devra impérativement être métissé et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper.


En réponse modeste à ce matraquage,
Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur.

 

mardi 12 octobre 2021

"Fasciste!"

 


Devant l'avancée des idées de Zemmour et leur impact dans l'opinion, nos « élites » politico-merdiatiques sont décontenancées. Des thèmes et le vocabulaire qui les accompagne pour en débattre, semblent resurgir sur le devant de la scène, alors qu'elles pensaient les avoir enterrés à jamais depuis une bonne quarantaine d'années.

Alors nos bien-pensants progressistes se précipitent dans leur armoire de contre-argumentations, afin d'en trouver pour tenter de répondre aux constats de Zemmour, basés sur la triste réalité quotidienne dont les Français sont les témoins, et s'opposer à ses préconisations.

Ils ouvrent donc cette armoire. Et que constatent-ils ? Qu'elle est vide. Ou presque. En cherchant bien, tout au fond, ils n'y trouvent que quatre malheureux outils : une injure, une expression colorée, un adjectif odorant et un acronyme.

C'est peu.

Faute de mieux, certains de ces bien-pensants, pris de court, et parce qu'il faut bien occuper l'espace médiatique d'une façon ou d'une autre, se saisissent de l'un de ces éléments disparates.


Ainsi, Olivier Faure, président du parti socialiste, s'empare de l'injure comme d'une arme, pour l'inclure dans un de ses tweets: « Fasciste ! ». Il ne semble pas s'apercevoir que l'arme en question est usée jusqu'à la corde. Elle avait déjà été utilisée en 1958 contre De Gaulle. Dix ans plus tard, notre pédophile soixante-huitard, ce con de Bendit, s'en servait aussi : « Le fascisme ne passera pas ». D'avoir été utilisée à tort et à travers, et sans discontinuité depuis plus d'un demi-siècle, l'arme-injure est émoussée à l'extrême, et devient aussi percutante qu'un ballon en mousse. De plus, le chef du PS a omis de lire la petite étiquette racornie par le temps, attachée à l'injure, et qui précise : « Attention, cette invective ne devrait être utilisée qu'avec la plus extrême précaution par un socialiste, dans la mesure où, historiquement, Mussolini, reconnu père fondateur du fascisme, était lui-même socialiste ».


Jean-Marc Borello, directeur-adjoint du parti La-République-En-Marche (-Vers-l'Abîme), se saisit, quant à lui, du second élément perdu au fond de cette armoire à arguments : l'expression colorée : « Peste brune ». Il la brandit pour qualifier les 15% de Français qui seraient, selon des sondages, en soutien de Zemmour.

Vous diriez, à raison, que l'expression diffère assez peu de l'injure citée plus haut. Mais que voulez-vous, les contre-arguments du Système en place, brillant par leur absence, il faut faire feu de tous bois. Donc tous les dérivés sont bons à prendre : fascisant, peste brune, fachosphère etc... quitte à paraître répétitif et dénué d'imagination.


Ces deux outils étant déjà pris, en guise de réponse à Zemmour, restent à la disposition d'autres prétendants à la contradiction de l'éditorialiste candidat potentiel à la présidentielle, les deux autres éléments gisant au fond de l'armoire : l'adjectif odorant, et l'acronyme.

L'adjectif odorant est le galvaudé « nauséabond ». L'acronyme est « LHLPSDNH ». Attendons de voir lequel des contempteurs de Zemmour les moins inspirés, se rabattra sur l'un ou l'autre de ces vocables. La campagne présidentielle sera longue, mais gageons qu'il ne faudra pas attendre bien longtemps pour voir le premier émerger.


Bien entendu, le Système, désarmé au niveau de ses arguments politiques, peut recourir aux menaces. Façon « Bon, je n'ai rien à t'opposer comme argument valide, mais je peux te foutre ma main dans la gueule ! »

La campagne présidentielle a à peine commencé, mais la formule est déjà utilisée contre un (pour l'instant) non-candidat. C'est dire le niveau de panique qui a saisi l'establishment en place.

Bien sûr, la menace n'est pas prononcée aussi directement – « Donnons un semblant de retenue au propos ». On se sert alors d'un « humoriste », engagé au Point-Virgule, cabaret propriété de Dumontet, grand copain de Macreux. Le «showman», qui, en se prétendant humoriste, démontre juste qu'il s'est trompé de métier (et à plus de 30 berges, ça devient embêtant...) joue la provoc en imaginant, publiquement, un Bataclan peuplé de citoyens assistant à une allocution de Zemmour, et en proie à une attaque mortelle de djihadistes. Ce propos est diffusé mine de rien, sur l'air de « mais comprenez, ce n'est que de l'humour, bien sûr ! ». Le second couplet est aussi convenu : « excusez-moi, on s'est mal compris, je ne cherchais qu'à être drôle etc etc... » Notons au passage que ce raté professionnel ne s'est excusé qu'auprès des familles des victimes du massacre du Bataclan, et non pas auprès de Zemmour, qui, à l'évidence, est pourtant l'unique personne visée par ce trait d' « humour ». Ce qui en dit long sur la véritable intention qui l'a motivé.

Imaginons une seconde que ce soit n'importe quelle personnalité du Système qui ait fait les frais de la « blague », et l'affaire aurait pris une toute autre tournure, médiatique, politique et judiciaire!

On évoquerait une incitation à la violence et à la haine pour beaucoup moins que ça, si la personne visée n'était pas celle que l'establishment perçoit comme une vraie menace pour ses intérêts.


Puisque cet humoriste raté est amateur de scènes imaginaires, on se contentera, mentalement, de saisir ce Gaëtan Matis, ce Faure et ce Borello par le paletot, entre le pouce et l'index, à bras tendu, puis de se diriger vers la poubelle, d'appuyer du pied sur son système d'ouverture, d'y laisser tomber les trois individus au fond, avec un bruit de merde s'écrasant sur le pavé. On veillera à vider la poubelle le plus tôt possible dans un container de déchets non recyclables. Point-virgule.



Pour bien vous faire comprendre et accepter que l'avenir de la société occidentale devra impérativement être métissé et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper.


En réponse modeste à ce matraquage,
Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur.



samedi 9 octobre 2021

Histoire de bouée de sauvetage.

 


Un type en maillot s'approche d'une piscine. Soudain, un gars en uniforme s'interpose.

- Hé, vous, où allez-vous ?

- Ben, je vais me baigner ! C'est bien une piscine, non ?

- Oui, mais vous n'avez pas de gilet de sauvetage !

- Non, je sais. Mais je n'en ai pas besoin, je sais nager.

- Prenez un gilet.

- Merci, mais non, je n'en ai pas besoin. Comme je viens de vous le dire, je sais nager.

- Comment ça, « vous savez nager » ?

- Ben oui, j'ai appris à flotter, la tête hors de l'eau, et à avancer. Ça s'appelle savoir nager.

- Mais vous pouvez être mouillé !

- C'est vrai, ça s'appelle les risques d'aller dans l'eau !

- Mais vous savez que vous avez 0,0001182% de la population qui se noie chaque année ? Autrement dit, ça peut arriver à n'importe qui, même vous !

- Je prends le risque. Je ne veux pas mettre de gilet de sauvetage pour aller nager dans une piscine.

- Regardez donc le gars, là. Il est dans la piscine et porte un gilet de sauvetage.

- Ben oui, il fait ce qu'il veut. D'ailleurs, il a pied, là où il est. Mais moi, je ne veux pas de gilet de sauvetage !

- Vous ne m'avez pas compris : le gilet est obligatoire !

- Le gilet de sauvetage est obligatoire pour aller dans une piscine ?

- Oui ! Pour aller sous la douche et dans le pédiluve aussi, d'ailleurs !

- Mais pourquoi donc ?

- Parce que si vous n'en portez pas, vous mettez ceux qui en mettent un en danger !

- Pourquoi ? Ils ne sont pas efficaces, les gilets de sauvetage ?

- Si, très efficaces !

- Ben alors, comment je peux mettre en danger le gars qui porte un gilet de sauvetage efficace, en n'en portant pas !

- Parce que si vous ne portez pas de gilet de sauvetage, le gars qui en a un, est moins protégé !

- Ce n'est pas logique !

- C'est comme ça, et puis c'est tout. Ne soyez pas complotiste ! Prenez un gilet de sauvetage.

- Oh mais dites donc, regardez, votre gars, avec son gilet de sauvetage, il est en train de couler ! On dirait que son gilet s'est rempli d'eau et l'entraîne par le fond !

- Ouais, peut-être... Ça arrive... Mais ça fait partie des risques des nouvelles technologies. Vous ne croyez pas aux nouvelles technologies ?

- Si, mais vous auriez peut-être mieux fait de lui apprendre à nager !

- En attendant, prenez un gilet de sauvetage.

- Et j'en trouve où, un gilet de sauvetage ?

- Allez voir mon frère, là, au coin de la piscine. Il en vend.

- C'est votre frère qui vend les gilets de sauvetage que vous rendez obligatoire ?

- Oui.

- Il en a vendu beaucoup, votre frère ?

- Pour 27 milliards de dollars !

- Mais dites-donc, ce n'est pas du conflit d'intérêt, ça ?

- Conflit d'intérêt ? Jamais entendu parler de ça !

- Bon, ça y est, je l'ai votre putain de gilet de sauvetage, je peux me baigner maintenant ?

- Montrez-moi votre certificat d'achat d'abord !... Bon, vous pouvez y aller. C'est bon pour cette fois. Mais n'oubliez pas que demain, vous devrez vous munir de brassières gonflables de sécurité autour de chaque bras.

- Des brassières de sécurité, en plus du gilet de sauvetage ??

- Bien sûr ! Nous tenons à votre sécurité avant tout ! Vous irez voir mon frère. Il en vend aussi !


Cette histoire est une pure fiction. Bien sûr, toute ressemblance avec des faits réels serait pure coïncidence.

 

 

Pour bien vous faire comprendre et accepter que l'avenir de la société occidentale devra impérativement être métissé et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper.


Comme annoncé précédemment, en réponse modeste à ce matraquage,
Saucisson-Pinard vous propose, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur.

 

mercredi 6 octobre 2021

Votre corps, votre décision.

Pour une fois, Saucisson-Pinard va laisser la parole à une petite video bien faite. Elle résume bien la situation de la dictature sanitaire qui se met en place. Cette dictature, justifiée par des mensonges, ne devrait pas, en aucun cas, vous faire oublier un enjeu majeur, le seul qui compte :

C'EST DE VOTRE CORPS dont il s'agit, C'EST donc VOTRE DECISION.


https://vk.com/video599120238_456253033

ou

https://rumble.com/vn5aev-si-aprs-avoir-regard-cette-vido-les-gens-se-font-piquer-alors-prions-pour-e.html

Pour bien vous faire comprendre et accepter que l'avenir de la société occidentale devra impérativement être métissé et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper.

Comme annoncé précédemment, en réponse modeste à ce matraquage,
Saucisson-Pinard vous propose, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur.