Aux Etats-Unis, Biden The Cheater propose d'attribuer une subvention de $ 450 000 (390 000 €) à chaque enfant d'une famille de migrants illégaux se trouvant séparé de sa famille du fait de l'expulsion de ses parents au-delà de la frontière durant le mandat de Trump.
Elle n'est pas belle la vie de ceux qui transgressent la loi, dans le pays de Biden The Cheater ? Papa-maman violent la loi en passant illégalement la frontière mexicano-américaine, puis se font renvoyer dans leur pays d'origine, en laissant leur progéniture aux Etats-Unis. Et les gosses en question se verraient toucher l'équivalent de 27 ans de smic français ! Tout en restant aux Etats-Unis !
La question est : qu'attendent les contribuables américains pour se précipiter à la Maison Blanche, sortir le sénile de son bureau ovale à grands coups de pied au train et aller le pendre haut et court en public au Lincoln Memorial devant la statue du 16e président, pour l'exemple ?
En France, une présentatrice télé, Maïtena Biraben, qui a papillonné de chaînes en chaînes en accumulant les échecs d'audience, observe le public rassemblé à un meeting de Zemmour à Biarritz et remarque, faussement candide, dans un tweet : « Beaucoup de Blancs, non ? ».
Bah oui, Maïtena ! C'est comme dans ta famille franco-suisse : beaucoup de Blancs, non ? Tu vas nous refaire le sketch de Muriel Robin ? « Il y a beaucoup trop de Blancs dans notre famille ! » T'avais pas remarqué que le peuple français de souche est de race blanche ? Est-ce pour cette ignorance que tu as été recalée à l'entrée d'un centre de formation de journalisme ? Et si t'es en manque de bouilles négroïdes, tu n'as qu'à te coller devant les pubs sur le petit écran. La négritude y est pléthorique.
La cote de Zemmour grimpe dans les sondages. Pour le comité éditorial du journal Sud-Ouest, c'est insupportable. Du coup, il décide de ne plus relayer les sondages relatifs à la présidentielle 2022. Et, pour faire bonne mesure, s'engage à ne même plus commenter les sondages à venir. Et tant pis pour sa mission qui est, en principe, d'informer le lecteur de ce qui se passe dans le pays...
Le rédacteur en chef dénonce « une avalanche de sondages qui est utilisée pour marteler les choses, bourrer la tête de citoyens ». Curieux, non ? : on n'avait pas observé que le groupe de presse Sud-Ouest s'était abstenu d'être partie prenante dans le matraquage médiatique en place en 2017 en soutien de Macreux ! N'y avait-il pas alors bourrage de crâne du citoyen ? C'est vrai qu'il s'agissait alors simplement de diffuser, en force, l'opinion du journal (ou plutôt celle de son commanditaire oligarchique: la famille Lemoine) et non pas le reflet de l'opinion du citoyen, un sondage étant précisément par nature ce reflet...
Et si, comme chacun sait, les sondages se trompent, la question légitime est : où est le problème ? Où est le danger, puisque si ces sondages ne sont pas fiables, c'est la preuve qu'ils sont sans effet pervers sur la décision finale du citoyen dans l'isoloir ? D'ailleurs, c'est vrai que ces sondages sont à prendre avec des pincettes : qui peut croire que Macreux, président le plus haï de la Ve République, serait à 25% au premier tour ?
160 journaleux signent une tribune dans Médiapart dans laquelle ils s'engagent à « invisibiliser » et même à « combattre » certaines personnalités politiques... Suivez leur regard... Sans crainte de l'oxymore, ces signataires se proclament, dans le même souffle, « respectueux des valeurs démocratiques »...
Donc « invisibiliser » n'est pas censurer, nuance !
C'est vrai qu'à une époque où la signification des mots de la novlangue est l'inverse de ce qu'elle est en bon français, on peut se permettre de tout dire :
En novlangue, les vrais fascistes se font appeler antifascistes ou antifas.
En novlangue, les vrais racistes se font appeler anti-racistes.
En novlangue, les indigènes ne sont plus les habitants du cru mais ceux qui arrivent de l'extérieur. Selon la novlangue, c'était donc Magellan abordant les Philippines qui était l'indigène ! et non pas les sauvages qui lui ont décoché la flèche mortelle !
Il y a quelques années à peine, la bien-pensance s'évertuait à vouloir nous convaincre, avec preuves scientifiques à l'appui, que les races n'existaient pas. Comme c'était quand même un peu dur à avaler pour le citoyen ayant un minimum de sens de l'observation, cette même bien-pensance opère aujourd'hui un virage à 180 degrés et il convient de tout rapporter à un problème de races.
Mieux : il y a aujourd'hui les « racisés » ; comprendre: tous ceux qui ne sont pas Blancs. On en déduit donc que le Blanc, de par le fait non « racisé », est sans race. Un peu comme le serait un extra-terrestre, sans doute.
Toujours selon la novlangue progressiste, femme et homme seraient des entités naturellement indifférenciées. Et la femme serait devenue, sous l'impulsion d'un patriarcat hétérosexuel, une pure construction sociale. Et la relation, pourtant millénaire et planétaire, entre l'homme et la femme ne serait jamais qu'une contrainte purement conventionnelle. Ce qui se passe dans le monde animal ne semble pas perturber le raisonnement progressiste.
Revenons aux Etats-Unis, où désormais vont être émis les premiers passeports portant la mention « X » pour le sexe qui se revendiquerait n'être ni masculin ni féminin. Saucisson-Pinard aurait mieux compris qu'on garde une des deux mentions habituelles, justifiée par un simple constat anatomique, mais agrémentée d'une case intitulée « cas psychiatrique » pour le déglingo en recherche de son identité.
Biden The Cheater, présentatrice débile, journaleux de Sud-Ouest ou d'ailleurs, petits soldats de la dictature, antifas fascistes, anti-racistes racistes, progressistes de tous poils voulant imposer leurs tares existentielles menant à la décadence civilisationnelle: pendez-les tous, haut et court !
Pour bien vous faire comprendre et accepter que l'avenir de la société occidentale devra impérativement être métissé et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper.
En réponse modeste à ce matraquage,
Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur.