Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

mercredi 25 novembre 2015

Il y a de quoi pavoiser!!

Hollande Ouille propose aux Français de pavoiser aux couleurs nationales leurs fenêtres vendredi prochain en hommage aux victimes des attentats de Paris.

C'est une excellente idée. Une fois n'est pas coutume.

Saucisson-Pinard propose comme modèle le pavois ci-dessous:


samedi 21 novembre 2015

Cerveau? quel cerveau?




Le « cerveau » des attentats de Paris a donc été localisé et ensuite éparpillé aux quatre coins d'un squat de Saint-Denis, façon puzzle, comme disait Raoul.
La terminologie « cerveau » créée et reprise à l'envi par tous les médias écrits, parlés et télévisés en mal de vocabulaire, est surprenante. D'abord à cause de la personnalité même du sujet, le dénommé Abaaoud, décrit par ceux qui l'ont connu le mieux comme « un petit con ».
Ensuite par son CV de terroriste. Finalement, il aurait été à l'origine de quatre tentatives d'attentat qui ont été quatre échecs. Et on peut se demander si lancer une poignée de décérébrés armés défourailler au petit bonheur et sans risque sur quelques terrasses de café bondées et une salle de spectacle requiert vraiment un cerveau. Surtout en faisant arriver en retard ceux qui étaient chargés du massacre dans le Stade de France, en laissant trois véhicules immédiatement localisés par la police, et un téléphone portable sur les lieux. On est quand même bien loin d'une opération de génie. Ce n'est pas l'affaire du braquage du train Glasgow-Londres. Ce n'est pas le poids de son cerveau qui lui aurait déséquilibré la tête, l'Abaaoud...
Alors Saucisson-Pinard suggère à nos scribouillards analphabètes les termes de leader, coordinateur, planificateur, commanditaire, organisateur ou à la rigueur chef de l'opération. Mais « cerveau », non, décidément non. C'est accorder à cet individu beaucoup de crédit. C'est même l'ériger en héros auprès d'autres décérébrés de banlieue racaille alors qu'il n'est qu'un petit minable dont seul le niveau de lâcheté atteint des sommets.

D'ailleurs, il n'y a pas que dans les rangs des terroristes qu'on manque de cerveaux. Chez tous les politiques qui nous ont traînés dans cette Europe incapable de nous protéger, économiquement – on le sait depuis longtemps- et on le constate aujourd'hui, physiquement, il est évident que le cerveau n'est pas la partie anatomique qui fonctionne le mieux.

N'oublions pas que si Abaaoud a traversé tranquillement plusieurs pays de l'espace Schengen depuis la Syrie jusqu'à Paris, c'est finalement grâce aux renseignements d'un pays, le Maroc, ne faisant pas partie de cet espace, et encore moins de l'Europe, que le refuge terroriste de Saint-Denis a été localisé. Peut-on illustrer mieux la vacuité de cette Union Européenne, plus préoccupée de statuer sur la cambrure des bananes que d'établir une centralisation des données des agences de Renseignement nationales pour assurer sa sécurité?
Vous diriez qu'un cerveau manque aussi chez toutes celles et tous ceux qui ont voté répétitivement pour ces politiques, et vous auriez raison. Le leitmotiv de la construction européenne était de dire 
« vous aurez moins d'autonomie nationale mais en contre-partie, vous aurez la force que fait l'Union ». Et on a eu moins d'autonomie nationale et la farce de l'Union.

Un cerveau manque aussi à l'évidence à certains individus : quand on entend le socialo Bartolone prétendre qu'il n'y a pas d'ennemi de l'Intérieur en France alors que la majorité des terroristes est porteuse d'un passeport français, on se demande si le titulaire du perchoir à l'Assemblée Nationale ne s'est pas fait trépaner à l'insu de tous.

Il y a d'autres dérapages sémantiques dont nos médias nous ont abreuvés cette semaine. Saucisson-Pinard a entendu des journaleux évoquer les « soldats », et même les « guerriers » de Daesh sur le sol français. Comme si un petit con muni d'une kalachnikov qui tire par surprise et au hasard sur de simples passants et passantes innocents et désarmés, pouvait se comparer aux résistants russes au siège de Stalingrad, aux Poilus des tranchées de Verdun, aux Rangers à l'assaut des falaises de la Pointe du Hoc en Normandie en juin 44, aux grognards napoléoniens au Pont d'Arcole. Ou alors, c'est que l'échelle des valeurs des Arabes n'est décidément pas celle des Caucasiens...

Et puis parfois, nos journalopes trouvent des expressions qui font rire malgré la gravité des évènements. Sans le vouloir vraiment, on le suppose. Ainsi quand ils affublent notre présidenticule du titre de « chef de guerre », ça doit être de l'humour involontaire. L'image de notre Hollande Ouille rondouillard, dans un petit treillis étriqué, avec son sourire niais habituel, qui pincerait la joue de fantassins sur la ligne de front en s'exclamant « je suis fier de vous, soldats ! », a le don de mettre Saucisson-Pinard en joie.

Quand on lit le compte-rendu dithyrambique d'un dénommé Bruno Roger-Minus (Saucisson-Pinard n'est pas sûr du patronyme exact du personnage, mais c'est quelque chose dans cet esprit, l'étiquette correspondant exactement à la composition du produit), sur le discours de Hollande Ouille au dernier Congrès de Versailles, il y a de quoi se taper sur les cuisses et se pisser dessus.
L'ex-journaliste de l'Obs qui sévit aujourd'hui à Challenges affirme le plus sérieusement du monde que Hollande y a été « beau comme un tableau de David, digne de la mise en peinture du Serment du jeu de Paume ». On entendrait ça dans une comédie de Mel Brooks, on dirait que le réalisateur pousse un peu trop loin le bouchon de la caricature et de la dérision.

Mais on n'est pas dans une comédie hilarante de Mel Brooks, on est en 2015 dans un magazine supposé sérieux du microcosme médiatique français.

Selon le servile courtisan présidentiel, « Hollande écrit l'Histoire ». Tout ça parce qu'il essaie avec fébrilité de rattraper trois an et demi de profonde léthargie.
Pas une seconde le Roger-Minus ne s'étonne que les quelques 250 perquisitions menées en deux ou trois jours révèlent caches d'armes, faux papiers, et plan d'attaques et documents de prosélytisme de djihad.  Il ne s'épate pas qu'on commence seulement à s'inquiéter de centaines de mosquées salafistes.
Pas une seconde il ne se dit que ces opérations auraient pu être lancées depuis longtemps et régulièrement; qu'elles auraient peut-être empêché, si faites à temps, les attentats que vient de connaître Paris.
Ça ne l'effleure même pas que cette précipitation est finalement une forme d'aveu de la responsabilité directe de son idole et de celle du petit caudillo-aux-mâchoires-serrées, ex-ministre de l'intérieur et actuel premier ministre, dans la mort de ces 130 innocents.
Si Hollande Ouille écrit l'Histoire, c'est celle des grands ratages de la politique française, celle où on retrouve Daladier revenant de Munich, celle du soutien des communistes français à Staline, celle de la trahison envers les Harkis, celle de l'abandon des bérets rouges à Diên Biên Phù.

Le passif du bilan de Hollande Ouille vient de s'alourdir encore, et cette fois-ci, de façon tragique. Et il reste encore, dans le pire des cas, un an et demi à courir. A moins que les Français ne se réveillent enfin...

samedi 14 novembre 2015

Extra-lucidité.



Nous sommes à quelques heures à peine de cette soirée funeste qui met le monde politico-médiatique en émoi et si les informations sur le petit écran tournent en boucle, elles n'apportent encore pas grand chose de précis.
Aussi, pour gagner du temps et avoir des nouvelles avant tout le monde, Saucisson-Pinard se précipite sur sa boule de cristal.

Et que voit Saucisson-Pinard dans les reflets du cristal ?

Saucisson-Pinard voit... il voit déjà très clairement des jours et des jours d'exploitation médiatique jusqu'à l'écoeurement. Sa boule de cristal n'a cependant aucun mérite : quand on sait ce que nos journaleux ont réussi à faire à partir d'un accident routier, on imagine sans mal ce qu'ils vont bien pouvoir tirer du massacre de cent cinquante personnes.

Continuons donc de sonder le futur proche :
Saucisson-Pinard voit des personnalités politiques se lamenter avec des trémolos dans la voix en constatant ce qui n'est jamais que le résultat d'un demi-siècle d'aveuglement, de collaboration plus ou moins active, de laxisme, de lâcheté. Sans toutefois reconnaître leur responsabilité personnelle bien sûr.

Il voit que certains ou tous les terroristes seront des « Français ». Des Moulouds, Karim ou Mohammed bien sûr, mais porteurs d'un passeport français.

Il voit que ces Français de papier auront été nourris, logés, éduqués avec les prestations sociales que notre généreux système distribue sans discernement.

Il voit que certaines, mais pas toutes, de ces chances pour la France auront été bel et bien déjà fichées « S » par les Services de Renseignements. Sans aucune conséquence pratique.

Il voit que certaines d'entre elles auront été « défavorablement connues des services de police ». Et fait de la prison. Qu'elles auront été probablement récidivistes.

Il voit que si ces peines de prison infligées avaient été réellement appliquées, ces chances pour la France n'auraient même pas dû être en liberté ce soir du 13 novembre.

Il voit déjà se profiler le « Pasdamalgame » de rigueur et sur tous les tons.

Il voit un appel à l'unité nationale, mais bien sûr une unité rimant avec diversité, cet oxymore politiquement correct. Pas seulement correct d'ailleurs, mais obligatoire.

Il voit que Hollande Ouille ne fera rien de concret. Qu'il restera dans les imprécations, les phrases creuses du style : « tout sera fait pour assurer la sécurité des Français », ou « le niveau de mobilisation des forces de sécurité sera porté à son niveau maximal ».

Il voit que nos politiques et nos médias continueront d'afficher un sidérant étonnement devant ces attentats tellement prévisibles. Et prévus (Voir dans ce blog l'article du 22 avril dernier « Réaction à chaud et poisson pourri »). D'une certaine façon, il vaudrait mieux, pour leur crédibilité, que cet étonnement soit feint. Car si ce n'était pas le cas, cela voudrait dire que leur niveau d'inconscience est stratosphérique.

Il voit l'incompréhension des gouvernants, après des années et des années d'immigration musulmane incontrôlée, de reculades successives quand il s'agissait de défendre la prééminence de notre culture et notre identité, des années et des années de compromis avec l'islam et ses représentants, (des compromis finissant par prendre des allures de reddition en rase campagne), des années de ce que De Villiers appelle la « mosquéisation » du pays, des années à battre en brèche le principe de laïcité pour choyer nos envahisseurs.

Il voit que ces mêmes politiques et leurs domestiques médiatiques constatent avec stupéfaction que l'ennemi a bien pris note de leur lâcheté récurrente.

Il voit qu'ils sont ébahis de constater que cet ennemi profite de ce ventre mou délibérément et naïvement exposé pour y plonger son cimeterre.

Et enfin, il voit aussi que, pour le Petit-Caudillo-aux-mâchoires-serrées et d'autres, la République est mise en danger... par le Front National !

Bôf ! Saucisson-Pinard est déçu. Il croit bien qu'il va flanquer sa boule de cristal à la poubelle. Elle n'est de toute évidence douée d'aucune propriété extra-lucide.





samedi 7 novembre 2015

On le savait, mais ça se confirme!






A ce jour, deux semaines après les faits, toujours aucune arrestation parmi les manouches, poétiquement appelés « gens du voyage », qui ont mis le souk à Moirans au prétexte que l'un de ces anges, récidiviste violent, était en prison et était interdit de sortie pour se rendre à l'enterrement d'un frère. Rien d'étonnant à ce fiasco. Le préfet aux ordres du gouvernement, n'ayant pas autorisé la police à intervenir  pour alpaguer sur le fait ces vandales, les enquêteurs doivent maintenant tenter de confondre des coupables gantés et cagoulés à partir d'images vidéo... Autant dire que les avocats des manouches éventuellement suspectés se feront une joie de démonter la vacuité d'éventuelles accusations. Le petit Caudillo aux-mâchoires-serrées a beau venir au contact des habitants de Moirans pour donner quelques coups de menton, ces derniers pourront juste continuer d'espérer, faute de mieux, que les « gens du voyage » se mettent effectivement à voyager. Mais voyager loin. Loin de Moirans en tous cas.
L'état socialiste est faible avec les crapules, on le savait. Mais ça se confirme.

La ministre du Travail El Connerie* s'est faite prendre en flagrant délit d'ignorance crasse du droit du travail lors d'une interview sur RMC. « Combien de fois peut être reconduit un contrat en CDD ? » fut la question banale qui la laissa sans voix et dont la réponse est pourtant connue de quelques millions de salariés d'entreprise. Ignorance d'autant plus impardonnable que la limitation de cette reconduction fut décidée par son prédécesseur, le déserteur dijonnais Rebsamen, il y a trois mois à peine. C'est vrai que confier le ministère du Travail à une greluche qui n'a jamais de toute sa vie mis un pied dans une entreprise, c'est un peu nommer un objecteur de conscience ministre de la Défense : le genre d'incongruité qui ne fait nullement peur à un chef de gouvernement socialiste.
« J'ai merdé » a reconnu la pitoyable El Connerie après l'interview. Mais non, chérie, tu n'as pas « merdé ». Tu n'es simplement pas à ta place dans ce ministère où tu pètes beaucoup plus haut que ton cul le permet. Il faut juste que tu te rendes compte que tu as simplement été nommée à ce poste parce que tu portes un nom arabe, que tu es jeune, que tu es une femme et estampillée socialiste. Quatre « qualités » nécessaires aux yeux d'un chef de gouvernement obnubilé par le paraître. Paraître dans le vent, avec la jeunesse, paraître vivrensemblesque avec ton côté maghrébin, et paraître féministe parce que tu ne vas pas te soulager aux pissotières des hommes. Caractéristiques nécessaires, mais très très loin d'être suffisantes si l'on attend d'un ministre un minimum de compétence.
Le petit Caudillo et Hollande Ouille sont donc entourés de branquignols, on le savait, mais ça se confirme.

Les technocrates de Bruxelles font savoir qu'ils doutent sérieusement que la France parviendra à réduire le déficit de ses Finances Publiques en dessous de 3% du PIB en 2017, contrairement à ce que prétend à qui veut l'entendre notre présidenticule dont la lucidité en matière économique vaut celle dont il fait preuve en géopolitique, c'est-à-dire, nulle.
Hollande Ouille ne cesse de se vautrer lamentablement dans ses prévisions, on le sait, mais ça se confirme.

Le matraquage fiscal en matière de taxe foncière est devenu tellement spectaculaire pour certaines personnes âgées et sur les propriétaires de terrains constructibles que le gouvernement est obligé, toute honte bue, de faire un rétropédalage vigoureux, à peine les avis d'imposition déposées dans les boîtes aux lettres. Même si cet effet de coup de pelle fiscal derrière les oreilles est dû en partie, (mais en partie seulement, parce que la nuisance de Du Flot (de conneries) se fait encore sentir des mois après son départ), à une mesure datant de l'ère Sarkozy, ce gouvernement donne une fois de plus l'impression d'être en improvisation permanente. Rien n'est jamais anticipé. Le capitaine de pédalo est en perdition dans le clapot.
Ce n'est pas nouveau, on le sait, mais ça se confirme.

La COP 21 est sous la menace de manifestations violentes de groupes d'extrême-gauche, notamment des Black Blocs. Nos socialos, Cambadélis en tête, ce Tartuffe qui fait office de premier secrétaire du PS, ne cessent de nous saouler avec la prétendue menace que ferait peser l'extrême-droite sur la République, car c'est tout ce qu'ils trouvent à dire pour conjurer la montée du FN et la magistrale fessée qu'ils s'apprêtent à prendre aux prochaines élections régionales. Mais on constate tout d'un coup que lorsqu'une vraie menace sur la sécurité plane au point qu'on éprouve le besoin de prendre pour de bon des mesures exceptionnelles, elle émane d'organisations d'extrême-gauche.
Et parmi ces mesures exceptionnelles, on notera le coup de canif au contrat Schengen avec le rétablissement de contrôles aux frontières, avant et pendant le temps de ce grand raout de la Cop 21 ! Ces fameux contrôles qu'on nous disait, il y a quelques mois à peine, tout à fait impossibles à rétablir pour contrer l'afflux de migrants.
Pour se résumer, quand il s'agit de protéger le peuple français de l'invasion de clandestins qui viennent mettre en péril sa sécurité, sa santé, ses emplois et ses économies, on ne jure que par le respect du principe de Schengen, véritable passoire. Mais quand il s'agit de permettre à nos gouvernants de se réunir tranquillement pour deviser entre soi de la pluie et du beau temps, avec force dépenses aux frais du contribuable et faire une photo de famille de happy few, on trouve alors subitement que des frontières nationales surveillées ont du bon pour se protéger des importuns.
Nos européistes apatrides se foutent vraiment de la gueule du peuple, on le savait déjà. Mais ça se confirme.

Hollande Ouille arrive de la Chine (mais pas à pied, tant pis pour les amateurs de contrepèteries) où il a tenté de s'attirer l'adhésion du pays champion du monde de pollution et de prévenir le fiasco annoncé de cette Cop 21. Notre squatteur élyséen n'est pas fichu de baisser le chiffre du chômage alors qu'il a pourtant quelques manettes à sa disposition pour le faire. Mais ça ne l'empêche nullement d'ambitionner rien de moins que de limiter la température de la planète à + 2 degrés par rapport à aujourd'hui ! Même pas peur !
Dans le même temps où Hollande Ouille voudrait faire croire que la température du globe se manipule avec un thermostat dont il détiendrait le mode d'emploi, la NASA fait savoir qu'elle constate en ce moment, une sur-activité tout à fait inédite de l'astre solaire. Les gesticulations stériles et prétentieuses de Hollande Ouille sont incommensurablement ridicules à en pleurer, on le sait depuis longtemps mais ça se confirme.

Et enfin, ne voilà-t-il pas que notre Flanby essaie de nous faire le coup du président proche de son peuple et à son écoute : ce qu'on appellera désormais le coup de Lucette, du nom de cette brave dame choisie par le service de propagande élyséen pour accueillir « à l'improviste » notre petit père du peuple et discuter à bâtons rompus de tout et de rien avec lui. Manque de chance, la Lucette a vendu la mèche et a foutrement nuancé le côté spontané de cette rencontre. Elle a tout balancé, la brave Lulu : la femme de ménage envoyée avant l'auguste entretien par l'Elysée pour faire place nette (peur de salir son petit costume en frayant avec les sans-dents, le Flanby?), les fleurs offertes pour égayer la photo immortalisant l'évènement, et surtout le briefing d'avant conversation : « surtout, pas de mention des migrants, aucune allusion à l'invasion migratoire ». Pourtant, elle aurait bien voulu en discuter, la Lucette, parce qu'elle est concernée, et elle est choquée de voir le traitement qu'on réserve aux migrants étrangers quand par ailleurs nos clochards sont laissés sur le carreau... Sujet Verboten, donc !
Bref, une fois de plus, Hollande Ouille a cherché à prendre les Français pour des gogos. Il est déjà inconcevable, avec les casseroles qu'il se traîne au terme de trois ans et demi d'un mandat cataclysmique, qu'il puisse imaginer une seconde que ce genre de manipulation médiatique puisse avoir un quelconque effet bénéfique sur son image. Ça démontre un manque de réalisme qui défie l'imagination. Mais, cerise sur le gâteau, même en se hasardant dans cette entreprise, il se vautre lamentablement.
Hollande Ouille est un pitoyable loser, on le savait, mais ça se confirme.

C'est fou comme en une petite semaine seulement, notre gouvernement socialiste et son présidenticule parviennent à synthétiser les tares qu'on leur connaît depuis longtemps. Ils ne nous ont rien appris de nouveau. C'est juste comme s'ils avaient cherché à nous conforter dans notre jugement. Mission accomplie.


* l'approximation phonique est facile mais tellement justifiée dans ce cas précis que Saucisson-Pinard ne veut pas perdre de temps à chercher l'orthographe exacte de ce nom arabe qu'on oubliera bien vite. Et tous les lecteurs sauront de toute façon de qui on parle ici.