Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

mercredi 25 octobre 2017

Avion en perdition, féminisme, écriture inclusive, harcèlement et toutes ces sortes de choses.



Un cadran se mit soudain à virer au rouge en clignotant avec frénésie. Le commandant de bord de l'Airbus A320 faisant la liaison Paris-Toulouse, pâlit et se tourna vers son copilote.

- « On a un moteur en feu ! Faut faire demi-tour d'urgence et rallier l'aéroport le plus proche ! »
L'avion commença à vibrer de toutes ses tôles.

- « On perd de l'altitude ! Je ne comprend pas, cet avion devrait pouvoir se maintenir avec un seul réacteur ! »
- « Commandant, l'autre réacteur a des ratés ! »
- « Je fais une annonce aux passagers : Mesdames et messieurs, nous connaissons un léger problème technique qui nous contraint à rebrousser chemin et à atterrir à un aéroport proche. Nous vous demandons de rester assis et de boucler vos ceintures ».
L'avion piqua du nez tout d'un coup, et se balança brutalement d'une aile sur l'autre.
Dans l'espace passagers, des coffres à bagages s'ouvrirent du fait des soubresauts de l'appareil et toutes sortes de sacs et valises se déversèrent sur les passagers.

Des alarmes stridentes se mirent à retentir.

La voix du commandant résonna à nouveau dans les hauts-parleurs :
- « Mesdames et messieurs les passagers, adoptez la position de sécurité que vous montrent les hôtesses ! »

L'avion tombait maintenant quasiment en vrille.

A ce moment-là, une passagère se leva, très digne, et se dirigea tant bien que mal vers le cockpit des pilotes. Une hôtesse s'interposa et l'apostropha :
- « Madame, retournez à votre siège et attachez-vous, vous avez entendu le commandant de bord ! »

La passagère toisa l'hôtesse et lui dit :
- « Mademoiselle, je suis la présidente de l'Association des Amateurs de Thés, et à ce titre j'ai une requête à faire auprès du commandant de bord. »

- « Mais... mais que voulez-vous dire ? » bredouilla l'hôtesse, abasourdie.

- « Le thé que vous nous avez servi tout à l'heure était à la fois trop sucré et pas assez infusé, et c'est un vrai scandale. Je veux donc déposer officiellement une réclamation auprès de la Compagnie dont le Commandant de bord est ici le représentant ! »

- « Mais Madame, ne comprenez-vous pas que nous sommes en train de tomber et que nous allons nous écraser ? »

- « Je vous répète que, en tant qu'éminente présidente de l'Association Internationale des Buveurs de Thé, je me dois de dénoncer ce scandale afin qu'une réponse appropriée y soit apportée dans les meilleurs délais ».


Pourquoi cette histoire ?

Parce que l'attitude imbécile et mal à propos de cette passagère est exactement, pour Saucisson-Pinard, celle des prétendues féministes d'aujourd'hui.

Cette religion d'arriérés qu'est l'Islam, gagne du terrain en France, avec son cortège d'idées d'un autre âge sur ce que doit être le rôle et la place des femmes dans la société. 
Dans des quartiers de plus en plus nombreux, les femmes ne peuvent plus se promener seules en toute liberté, ne peuvent plus s'habiller comme elle le veulent sans s'attirer des réflexions et des insultes de racailles basanées ou noires. Mais le seul remède que des responsables politiques bobos de gauche trouvent à opposer, est de demander un élargissement des trottoirs.
Des imams professent doctement dans des mosquées salafistes que les femmes sont des êtres inférieurs.
Des espaces publics comme des bars se trouvent déjà, dans certains quartiers envahis par cette faune islamique, interdits d'accès aux femmes, surtout si elles sont blanches et ne portent pas le voile.

Mais tout ce que trouvent à faire nos féministes éclairées, c'est de remettre en cause une règle grammaticale séculaire qui privilégierait le masculin au détriment du féminin. Et à cette fin, elles.ils, (les féministes des deux genres, ces mal baisé.es), nous inventent l'écriture inclusive. Une société d'édition de livre scolaire s'engouffre dans la bêtise et présente fièrement ce premier livre de lecture inclusive, en compliquant ainsi davantage l'apprentissage de lecture et d'écriture d'enfants déjà mis à mal par cette fameuse méthode globale dont nos pédagogues de l'Education Nationale qui ont fabriqué des générations d'handicapés orthographiques, sont si fier.es.

Nous sommes pratiquement à la veille d'avoir des candidats muzz éligibles à des élections locales, et à l'avant-veille d'en avoir à des élections nationales. Une fois élus, ils n'auront alors qu'une idée, appliquer leur foutue charia, reléguant les femmes françaises au rang de créatures de bas étage dont « bénéficient » les femmes de tous les pays islamiques sans exception.
Mais tout ce qui inquiète nos féministes, c'est d'être l'objet de coups d'oeil concupiscents des hommes. Elles réclament donc une loi contre ce prétendu « harcèlement » qu'elles mettent paresseusement dans le même sac que le viol, faute de pouvoir en donner une définition exacte. Où finit la séduction, voire la drague, et où commence le harcèlement, voilà des questions auxquelles elles ne s'embarrassent pas de répondre.
En tous cas, il est clair que pour nos militantes du féminisme (qui ont, soit dit en passant, déformé cette juste cause des femmes, en machisme au féminin), la personne visée est l'homme blanc, de préférence de plus de cinquante ans, mais de toutes façons, blanc. En aucun cas, le jeune maghrébin un peu lourdingue. Voici sous forme de charade, ce que ne visent pas nos suffragettes à la petite semaine :

Mon premier sert à tamiser la lumière,
Mon second est un département français,
Mon troisième est un vêtement,
Mon tout est la drague délicate d'une Chance pour la France s'adressant à une jeune Française de souche.
Réponse : Abat-jour, Meurthe et Moselle, Tunique ?

(S'adresser à Saucisson-Pinard pour une explication phonétique éventuellement nécessaire)

Bref, nos féministes gauchistes sont dans l'avion en perdition de notre civilisation avancée, en passe de s'écraser contre le sol islamique aride, mais elles ne pensent qu'à occuper l'espace politico-médiatique avec des requêtes dérisoires et hors de propos vu les circonstances.

Et la perspective qu'une Clémentine Autain pourrait un jour être contrainte de se bâcher et être exclue de toute scène publique, n'est quand même qu'une très maigre consolation.

dimanche 8 octobre 2017

Réagir en cas d'attaque terroriste.



Le Ministère de l'Intérieur a pondu et distribue par tous biais, une affiche titrant « Réagir en cas d'attaque terroriste ».
Voilà une très bonne initiative, qui clouera définitivement le bec à tous ceux de la « fachosphère » qui ne font rien que de critiquer et prétendent que nos dirigeants ne font rien contre le terrorisme !

Qu'annonce donc cette affiche ?
Elle apporte des conseils vitaux à suivre en cas d'attaque terroriste, auxquels personne n'aurait pensé instinctivement, ce qui fait évidemment tout l'intérêt de cette initiative ministérielle.

Tout d'abord, le premier comportement à adopter, si vous vous trouvez au milieu d'une attaque, est : il faut s'échapper ! Bigre, en voilà une recommandation qu'elle est bonne , comme disait Coluche!
Ainsi donc, contrairement à ce que le citoyen de base, ce con, pense, il ne faut pas en cas d'attaque terroriste de muzz armés jusqu'aux dents et ceinturés d'explosifs, se précipiter vers eux pour leur dire « As-Salam Alaykum » et tenter de les convaincre que ce qu'ils font, c'est pas bien, qu'ils feraient mieux de réfléchir à leurs actes, rentrer chez eux et se repentir.
Non, il ne faut pas. Nos fonctionnaires du Ministère de l'Intérieur estiment qu'il vaut mieux s'échapper ! Comme quoi, les idées reçues... n'est-ce pas...

Ensuite, l'affiche nous enseigne qu'il faut se cacher ! C'est futé, non ? Des terroristes tirent dans tous les coins, courent après tout ce qui bouge pour y coller une rafale, et il vaut mieux, d'après cette affiche astucieuse, se cacher plutôt que de lever la main et crier « Eh ho, je suis là ! Coucou ! ». Décidément, cette affiche est une mine de renseignements.

Et enfin, elle nous recommande en point 3, d'alerter. Pas bête ! Plutôt que de rentrer vite chez soi pour ne pas risquer de manquer le début de l'émission culturelle « Touche Pas A Mon Poste » ou continuer tranquillement de faire ses courses, il est gentiment demandé de donner l'alerte.

Et pour illustrer cette alerte, on remarquera que le petit dessin montre un personnage basané se précipitant au devant de deux personnages blancs. Et c'est là qu'on perçoit tout l'intérêt de cette affiche.
En effet, vous admettrez que le premier réflexe qu'aurait, instinctivement, un Blanc devant un basané se dirigeant vers lui les bras en avant, dans le tumulte et le chaos d'une scène d'attaque terroriste, serait de se barrer le plus vite possible, non ? Bah, non, il aurait tout faux. L'affiche lui recommande au contraire de s'arrêter et de s'enquérir:
- « Que se passe-t-il, cher ami issu de la diversité ? Que signifie ce bruit de pétards et de feux d'artifice ? Quelle est l'origine de ces cris, pourquoi tous ces gens se mettent-ils à courir en panique ? Comment ? Que me dites-vous là ? Il s'agit d'une attaque de déséquilibrés, quoique coreligionnaires à vous, en train de créer un incident? Mais vous êtes bien bon, mon brave ami du Vivrensemble ! Merci du renseignement, je m'en vais donc de ce pas, appliquer le point 1 des recommandations ministérielles, afin, ensuite, d'en appliquer le point 2 ! Merci encore ! »

Il fallait en effet que le seul personnage basané de cette affichette soit celui qui alerte de l'attaque... Les communicants du Ministère de l'Intérieur pensent vraiment à tout...
Saucisson-Pinard aurait juste une suggestion à l'intention des créatifs de cette affiche. Pour bien enfoncer le clou, ils auraient dû doter ce personnage basané d'une barbe et l'affubler d'une djellaba.

Saucisson-Pinard est évidemment reconnaissant à l'égard du Ministère de l'Intérieur pour lui avoir dispensé des consignes aussi instructives. Il se sent ainsi très protégé et ça lui fait plaisir de voir comment son argent de contribuable est ainsi dépensé de façon aussi utile et judicieuse, surtout en pleine période de paiements d'impôts divers et variés.

Le gouvernement diffuse cette affiche, entre autres, sur twitter, sous le nom d'auteur de @stopdjihadisme avec l'hashtag #Gestesquisauvent.
Un service en appelant un autre en réciprocité, Saucisson-Pinard propose à @stopdjihadisme avec l'hashtag #Politiquesquisauvent, une affiche avec les propositions suivantes :

  • Expulser les fichés S étrangers par principe de précaution.
  • Déchoir de la nationalité française les bi-nationaux fichés S.
  • Puis leur appliquer la première de ces mesures.
  • Fermer les mosquées salafistes.
  • Expulser leurs imams.
  • Stopper immédiatement l'immigration clandestine.
  • Expulser les clandestins.
  • Rétablir les frontières nationales.

Et voilà un petit dessin pour illustrer certaines de ces mesures :

ou celui-ci :


Bien sûr, cher @stopdjihadisme, ces mesures peuvent vous sembler d'une banalité affligeante et d'une évidence telle que vous allez peut-être penser que Saucisson-Pinard vous prend pour un débile profond.
Mais après tout,  cher @stopdjihadisme, c'est vous qui avez commencé...


mardi 3 octobre 2017

Complicités.



La Justice ferait bien de temps en temps de retirer son bandeau...

Un muzz attaque délibérément et au hasard deux jeunes femmes à la gare Saint-Charles de Marseille et les tuent.
Bon.
Un de plus, direz-vous.

Mais là, on touche au sublime : une caricature d'exemple maintes et maintes fois dénoncé par ce que nos médias bien-pensants et politiques gauchisants appellent, la "fachosphère".

Car notre « déséquilibré », en plus d'être muzz, cumule : il est clandestin.
Pas clandestin récent ; clandestin depuis au moins 2005. Afin que les choses soient claires pour les lecteurs matraqués par la novlangue médiatique qui se seraient perdus sur ce blog, cela fait donc douze ans – douze ans!!- qu'un « migrant » se balade impunément sur le sol français.

De nombreuses questions se posent alors à ceux un peu curieux comme Saucisson-Pinard – et ces questions n'effleurent aucunement nos journalopes, semble-t-il, puisqu'elles ne sont abordées nulle part:
- de quoi a vécu cet individu depuis douze ans ?
On suppose qu'il n'a pas dormi sous les ponts chaque nuit depuis 2005. S'il a loué un abri quelconque, c'est qu'il a payé pour cela. C'est aussi qu'il a donné des « garanties », comme il est demandé à n'importe quel candidat locataire. 
S'il a travaillé, c'était, en principe, dénué de papiers, au noir, et dans ce cas, il y a des employeurs à retrouver et à condamner. Comment s'est-il nourri, soigné, sans papier d'identité ? Comment a-t-il payé ses nombreux voyages entre Lyon et le Sud-Est de la France ? D'une façon générale, comment payait-il ses dépenses ? Pas de chéquier, pas de carte bancaire – petits attributs qu'il est normalement impossible d'acquérir auprès des banques sans apporter des brouettées de documents personnels- ?

Vous diriez : « il n'a pas dormi sous les ponts toutes les nuits parce qu'il en a passé une partie en garde à vue dans des commissariats ». Certes, mais pas toutes les nuits quand même !

En effet, non seulement cet assassin était muzz, clandestin, mais il était, en effet, aussi multirécidiviste ! La totale ! Une caricature, on vous dit ! Et par « multi », comprenez huit fois arrêté. Oui, huit fois quand même !

C'est ce que l'Humanité appelle un « profil déroutant ». Il n'y a guère que ce torchon communiste et ceux de sa mouvance, qui peuvent être « déroutés » par ce profil parfaitement cousu de fil... blanc (si on peut dire...)

On nous dit qu'il aurait décliné à chaque arrestation une nouvelle identité. Suffit-il donc, quand on est arrêté pour un délit et qu'on est dépourvu de papier d'identité, de s'inventer un nom et prénom, voire un pays d'origine pour être cru sur parole ? Il n'y a donc aucun contrôle plus approfondi ?
C'est bon à savoir ! La prochaine fois que Saucisson-Pinard se fait arrêter pour excès de vitesse ou même pour un simple contrôle d'identité, le scénario est écrit d'avance :
Le gendarme : Vos papiers, s'il vous plaît.
Saucisson-Pinard : N'en ai pas.
Le gendarme : Votre nom ?
Saucisson-Pinard : Pinard !
Le gendarme : Votre prénom ?
Saucisson-Pinard : Saucisson !
Le gendarme : Vous venez d'où ?
Saucisson-Pinard : de Papouasie-Nouvelle-Guinée !
Le gendarme : C'est votre voiture ?
Saucisson-Pinard : Non !
Le gendarme : C'est donc une voiture volée ?
Saucisson-Pinard : Oui, et alors ?
Le gendarme : j'ai bien tout noté. Circulez !

Les complicités dans cette affaire de meurtre sauvage commencent à se cumuler spectaculairement, non ? Après les loueurs de logement, éventuellement des banques, des employeurs, il y a donc la Police qui pêcherait par légèreté.

Et ce n'est pas fini !

Il y a évidemment la complicité de tous les juges qui ont statué à chaque fois que ce clandos muzz récidiviste est passé devant eux sans qu'ils aient procédé à la vérification de son identité vraie. Deux jours après le drame, on en est encore à se demander s'il vient de Tunisie ou d'Algérie !

Mais la plus flagrante complicité est celle du dernier juge de la région Rhône-Alpes qui a remis en liberté ce clandos muzz multirécidiviste au motif qu'il n'y aurait plus eu de place en rétention.
On attend encore d'avoir le nom et – pourquoi pas?- la photo de ce juge qui, dans un pays normalement géré, devrait être jugé et condamné pour complicité passive dans cette affaire de meurtre, au moins pour non-assistance à personnes en danger, et au strict minimum pour faute professionnelle lourde, avec licenciement sans préavis ni indemnité. Le chef d'une entreprise dans laquelle un de ses employés meurt dans un accident du travail, est-il aussi peu inquiété par la Justice que ce juge dont la terrible décision a provoqué la mort, non pas d'une personne, mais de deux ? Nan, Saucisson-Pinard ne croit pas.

Le Dauphiné Libéré a eu cette extraordinaire expression : c'est un « couac » administratif qui a conduit ce meurtrier a être libre le lendemain de son arrestation pour vol à l'étalage. Un « couac » !

Pour se résumer, à la façon journalistique d'aujourd'hui, deux jeunes femmes innocentes sont mortes parce qu'un « sauvageon » a créé un « incident » suite à un « couac » !
Formidable sémantique contemporaine.