La Justice ferait bien de temps en temps de retirer son bandeau... |
Un muzz attaque
délibérément et au hasard deux jeunes femmes à la gare
Saint-Charles de Marseille et les tuent.
Bon.
Un de plus, direz-vous.
Mais là, on touche au
sublime : une caricature d'exemple maintes et maintes fois
dénoncé par ce que nos médias bien-pensants et politiques
gauchisants appellent, la "fachosphère".
Car notre
« déséquilibré », en plus d'être muzz, cumule :
il est clandestin.
Pas clandestin récent ;
clandestin depuis au moins 2005. Afin que les choses soient claires
pour les lecteurs matraqués par la novlangue médiatique qui se
seraient perdus sur ce blog, cela fait donc douze ans – douze
ans!!- qu'un « migrant » se balade impunément sur le
sol français.
De nombreuses questions
se posent alors à ceux un peu curieux comme Saucisson-Pinard – et
ces questions n'effleurent aucunement nos journalopes, semble-t-il,
puisqu'elles ne sont abordées nulle part:
- de quoi a vécu cet
individu depuis douze ans ?
On suppose qu'il n'a pas
dormi sous les ponts chaque nuit depuis 2005. S'il a loué un abri
quelconque, c'est qu'il a payé pour cela. C'est aussi qu'il a donné
des « garanties », comme il est demandé à n'importe
quel candidat locataire.
S'il a travaillé, c'était, en principe, dénué de papiers, au noir, et dans
ce cas, il y a des employeurs à retrouver et à condamner. Comment
s'est-il nourri, soigné, sans papier d'identité ? Comment
a-t-il payé ses nombreux voyages entre Lyon et le Sud-Est de la
France ? D'une façon générale, comment payait-il ses
dépenses ? Pas de chéquier, pas de carte bancaire – petits
attributs qu'il est normalement impossible d'acquérir auprès des
banques sans apporter des brouettées de documents personnels- ?
Vous diriez : « il
n'a pas dormi sous les ponts toutes les nuits parce qu'il en a passé
une partie en garde à vue dans des commissariats ». Certes,
mais pas toutes les nuits quand même !
En effet, non seulement
cet assassin était muzz, clandestin, mais il était, en effet, aussi
multirécidiviste ! La totale ! Une caricature, on vous
dit ! Et par « multi », comprenez huit fois arrêté.
Oui, huit fois quand même !
C'est ce que l'Humanité
appelle un « profil déroutant ». Il n'y a guère que ce
torchon communiste et ceux de sa mouvance, qui peuvent être
« déroutés » par ce profil parfaitement cousu de fil...
blanc (si on peut dire...)
On nous dit qu'il aurait
décliné à chaque arrestation une nouvelle identité. Suffit-il
donc, quand on est arrêté pour un délit et qu'on est dépourvu de
papier d'identité, de s'inventer un nom et prénom, voire un pays
d'origine pour être cru sur parole ? Il n'y a donc aucun
contrôle plus approfondi ?
C'est bon à savoir !
La prochaine fois que Saucisson-Pinard se fait arrêter pour excès
de vitesse ou même pour un simple contrôle d'identité, le
scénario est écrit d'avance :
Le gendarme : Vos
papiers, s'il vous plaît.
Saucisson-Pinard :
N'en ai pas.
Le gendarme : Votre
nom ?
Saucisson-Pinard :
Pinard !
Le gendarme : Votre
prénom ?
Saucisson-Pinard :
Saucisson !
Le gendarme : Vous
venez d'où ?
Saucisson-Pinard :
de Papouasie-Nouvelle-Guinée !
Le gendarme : C'est
votre voiture ?
Saucisson-Pinard :
Non !
Le gendarme : C'est
donc une voiture volée ?
Saucisson-Pinard :
Oui, et alors ?
Le gendarme : j'ai
bien tout noté. Circulez !
Les complicités dans
cette affaire de meurtre sauvage commencent à se cumuler
spectaculairement, non ? Après les loueurs de logement,
éventuellement des banques, des employeurs, il y a donc la Police
qui pêcherait par légèreté.
Et ce n'est pas fini !
Il y a évidemment la
complicité de tous les juges qui ont statué à chaque fois que ce
clandos muzz récidiviste est passé devant eux sans qu'ils aient
procédé à la vérification de son identité vraie. Deux jours
après le drame, on en est encore à se demander s'il vient de
Tunisie ou d'Algérie !
Mais la plus flagrante
complicité est celle du dernier juge de la région Rhône-Alpes qui
a remis en liberté ce clandos muzz multirécidiviste au motif qu'il
n'y aurait plus eu de place en rétention.
On attend encore d'avoir
le nom et – pourquoi pas?- la photo de ce juge qui, dans un pays
normalement géré, devrait être jugé et condamné pour complicité
passive dans cette affaire de meurtre, au moins pour non-assistance à personnes en danger, et au strict minimum pour faute
professionnelle lourde, avec licenciement sans préavis ni indemnité.
Le chef d'une entreprise dans laquelle un de ses employés meurt dans
un accident du travail, est-il aussi peu inquiété par la Justice
que ce juge dont la terrible décision a provoqué la mort, non pas
d'une personne, mais de deux ? Nan, Saucisson-Pinard ne croit
pas.
Le Dauphiné Libéré a
eu cette extraordinaire expression : c'est un « couac »
administratif qui a conduit ce meurtrier a être libre le lendemain
de son arrestation pour vol à l'étalage. Un « couac » !
Pour se résumer, à la
façon journalistique d'aujourd'hui, deux jeunes femmes innocentes
sont mortes parce qu'un « sauvageon » a créé un
« incident » suite à un « couac » !
Formidable sémantique
contemporaine.
Un couac, deux couics. Mais là, c'est vraiment pas drôle.
RépondreSupprimerLe Page.
Cette histoire est un véritable scandale qui traduit l'état de délabrement de la "puissance" (j'hésite à employer le mot) publique en France. Notons qu'en revanche, la "justice" (j'hésiste encore plus) poursuit Gilbert Collard pour avoir montré ce dont l'Etat Islamique (avec "islam" dans le nom) est capable. On est au pays d'Ubu, mais malheureusement, ce n'est pas de la fiction.
RépondreSupprimerOui, et on s'était montré moins pudique dans l'exposition merdiatique du cadavre du petit Aylan sur une plage turque...
SupprimerUn couac, c'est cela...et personne ne bouge, à part la "fachosphère" qui gueule un peu, mais comme elle a tort par postulat...
RépondreSupprimerAmitiés.
Une fois de plus, tout est dit : quel pays de petites bouses la France est-elle devenue ? L'impression d'être un nazi lorsque j'ose exprimer cela en public. Au moins, ça a le mérite de faire le tri de ses fréquentations. Merci pour ce blog salvateur et bien à vous ! Allons au bar !
RépondreSupprimervous dites "dans une entreprise, le chef du personnel serait plus inquiété par la justice lorsqu'un employé meurt d'un accident du travail"
RépondreSupprimervrai
dans l'armée vronzaise, il me revient que dans les 90 finissantes , alliot-marie avait obtenu le congédiement d'un sous-off responsable de la mort d'un coupeur de route en zentrafrik ou en ivoirie ou au kongo , le gars avait étouffé le néfaste au moyen d'un sac plastique au lieu de desserrer le garrot qu'il avait à la cuisse ( plaie par balle )
on ne compte plus les chirurgiens des hôpitaux interdits de bloc par "mesure conservatoire" (mais pas de garde , houlà non! faut que ça continue à tourner les urgeries , y fô Habsolument !) lorsqu'un patient les lâche fort inopportunément à l'issue d'un geste désespéré et que le collègue réanimateur porte le pet
de façon assez comique , dans notre république du grotesque , ce sont les responsables des plus grandes cagades qui sont à l'abri des conséquences de leurs actes
qui se souvient du juge burgot qui a enchristé pendant des mois les innocents d'outreau?
qui se souvient du juge d'instruction de bruay en artois qui a ruiné la vie du notaire, dont il n'a jamais pu prouver la culpabilité ?
cette histoire, elle me revient car l'an dernier ou encore celle d'avant , vronze kul en a repassé une recension, l'été , et que ça a été à l'origine de la renaissance de libé ou de son ascension merdiatique
qui se souvient que lors de l'affaire dite du petit grégory , l'action ( aktion serait mieux à sa place , avec son caractère Hallemand, zystématik ) du juge d'instruction a abouti à la mort de bernard laroche ?
puis, après le suicide du juge d'instruction en question , 30 ans plus tard , à la mise en accusation de murielle bolle ?
s'il y avait des présomptions à cette époque , que n'ont elles été validées par la cour?
qui se souvient encore que sarko, l'ignoble sarko pour lequel je n'ai aucune considération , sarko donc est renvoyé pour la troisième fois en correctionnelle pour des faits non avérés , soupçonnés par des écoutes téléphoniques illégales?
qui se souvient que lors d'un naufrage de chalutier dans les 80 finissantes, le tabelion du parquet de quimper ( erreur ,le juge d'instruction appartient au siège )avait fait renflouer le bâtiment ( au fond de l'atlantique ....ça vous a coûté un saladier , cons de tribuables ,moi je gagnais pas ma vie, étant revêtu d'un joli costume vert )
et on en a encore sous le pied
Le coup des identités variables, c'est aussi utile pour récupérer les 2500 euros autant de fois que d'identités.
RépondreSupprimerJe me suis demandée aussi comment un tel truc était possible, vu qu'on nous demande 20 fois par jour de prouver la nôtre d'identité, à nous, cons de Français !