Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

samedi 26 octobre 2024

Lettre N°2 à Michel Barnier: La Justice

 


Très très cher * Monsieur Barnier,

Comme je m'y suis engagé dans mon précédent courrier (voir post du 16 octobre 2024), je vais poursuivre mes propositions d'idées de réformes, puisque, décidément, vous me paraissez être bien démuni d'initiatives.

L'objet de ce courrier N°2 est la Justice. Et tout comme les mesures proposées pour régler le problème de l'immigration dans mon courrier précédent nécessitaient un certain nombre de préalables, là aussi, une réforme de la Justice va requérir des décisions initiales.


La première d'entre elles demandera la suppression, ou à tout le moins, la refonte du Conseil Constitutionnel. Cette institution prévue par le Général de Gaulle a été complètement dévoyée par le politique. Elle est devenue un fourre-tout de personnel politique sorti de l'arc démocratique, pour recaser des copains quipeuvent y exercer un pouvoir, non de surveillance de compatibilité avec le texte de la Constitution, mais d'ingérence du pouvoir de l'état profond manipulé par l'oligarchie mondialiste, pour court-circuiter les initiatives de représentants du peuple. Il faudra donc virer les crapules qui y siègent, à commencer par Fabius, dont le passif entaché, entre autres, du scandale du sang contaminé aurait dû l'envoyer directement en prison purger sa peine, plutôt que de lui confier un poste honorifique où il peut continuer à exercer sa nuisance.

Si on estime que le Conseil Constitutionnel doit continuer à exister, il faut qu'il soit exclusivement aux mains de purs juristes professionnels, apolitiques, avec pour mission de veiller à ce que la Constitution soit respectée dans ses textes, et non pas dans des interprétations idéologiques.

Il en va de même du Conseil d'état. Ce Conseil est en théorie une institution de défense des citoyens face à l'Administration. C'est un organe purement juridique qui ne devrait donc n'avoir pour seul moteur de fonctionnement, des arguments de juristes. Or les membres du Conseil d'Etat sont choisis par le président de la République, ce qui entache du fait même, leur objectivité dans leurs décisions. Au passage, on remarquera le niveau particulièrement élevé du salaire d'un membre de ce Conseil d'état (14 000 € brut, salaire qui peut se cumuler à une retraite), soit à peine moins que le salaire du Président (16 000 €). On comprend donc que la nomination au Conseil d'état peut aisément être une affaire de copinage, ce qui met directement à mal l'indépendance qu'on devrait attendre de cette institution.

Le second préalable aux propositions qui vont suivre est donc un grand coup de balai dans la désignation et le fonctionnement de ce Conseil d'état, si tant est qu'il faille, d'ailleurs, en garder un...

Donc une fois le ménage fait dans ces deux institutions qui se sont pourries au fil du temps, vous pourriez, Monsieur Barnier, travailler efficacement.


IL EST GRAND TEMPS DE JUGER LES JUGES.

Que reproche-t-on à la Justice ? D'être trop laxiste. Il est grand temps de commencer à juger les juges. Après tout, les juges sont des employés du peuple en charge d'appliquer la Justice : rien d'autre. Et quand un employé fait mal son travail, on prend des mesures pour qu'il s'améliore. Et si ce n'est pas possible, on s'en débarrasse.

La question est alors de trouver un critère d'évaluation du travail de cet employé. On pourrait noter sa rigueur, sa tolérance, sa mansuétude ou carrément son laxisme, avec un critère objectif et quantifié. Ce critère pourrait d'ailleurs s'appliquer aussi à un procureur, qui n'est jamais, lui aussi, qu'un employé au service du peuple.

Imaginons qu'un accusé soit reconnu coupable d'un délit passible, selon la loi, de 6 ans d'emprisonnement maximum. Imaginons que le procureur demande 4 ans de prison et le juge finit par décider une peine de 2 ans seulement. Avec le ratio 4 ans demandés pour 6 possibles, le procureur obtiendrait donc une note de 6,67 sur 10, et le ratio du juge de 2 ans infligés pour 6 possibles, lui octroierait une note de 3,33 sur 10. Une telle notation serait appliquée à chaque jugement que le procureur aurait à requérir et le juge à infliger tout au long d'une année d'exercice. Cela donnerait pour l'un comme pour l'autre une note moyenne en fin d'année, qui permettrait de voir à quelle catégorie de magistrat nous avons affaire. Il est clair que si la note moyenne d'un juge ou d'un procureur au terme d'un an d'exercice est de 3 ou 4 sur 10, il serait classé comme délibérément laxiste. Une sanction appliquée par le ministère de la Justice aurait donc impérativement sa justification : coup d'arrêt dans l'évolution de carrière du juge ou du procureur incriminé, mutation, sanction financière, mise en retraite anticipée, voire licenciement. Nul doute que les juges et les procureurs sortiraient alors de cette sphère d'impunité dans lesquels ils officient depuis toujours.

Pour éviter que ces magistrats ne fassent passer leur idéologie avant leur devoir professionnel, il conviendra évidemment de dissoudre le Syndicat de la Magistrature, et pour le ministère de la Justice d'avoir ses – désormais- ex-membres, à l'oeil.

Il va de soi que le nombre de relaxes et « d'affaires classées sans suite » décidées par chacun de ces juges durant un an d'exercice sera également observé avec discernement, afin de repérer les cas où ces décisions arrivent un peu trop souvent pour être juste le fruit du hasard.

On pourrait aussi envisager que la nomination de ces juges soit, comme aux Etats-Unis, soumis à une élection citoyenne. Le votant aurait évidemment sous les yeux, la note du candidat à côté de son nom, sur le bulletin de vote... Le peuple aurait ainsi la Justice qu'il désire.

 

3 NIVEAUX D'ETABLISSEMENT PENITENTIAIRE

Se pose aussi la question du nombre de places en prison. Notons qu'avec le renvoi dans leurs pays d'origine des condamnés étrangers au terme d'un minimum de deux ans d'emprisonnement, comme proposé dans mon courrier précédent, un nombre considérable de places serait libéré dans les prisons françaises. Mais la construction de nouveaux établissements pénitentiaires resterait néanmoins nécessaire. Cela pourrait être l'occasion d'établir une gamme de trois niveaux de prison.

Une prison de ce qu'on pourrait appeler «  de niveau 1 » pour les peines les plus légères, avec un confort relatif et un champ de permissions plus étendu : nombre de visites de l'extérieur plus important, nombre d'appels téléphoniques autorisés plus élevé, plages de temps de « récréation » plus nombreuses, permissions de sortie plus nombreuses. Equipement en matériel d'éducation culturelle et en matériel sportif plus conséquent.

Une prison « de niveau 2 » dans laquelle toutes ces prestations, libertés et dotations seraient beaucoup plus limitées. Cette prison N°2 serait réservée pour les peines plus lourdes et pour les cas de récidive après peine purgée en prison de niveau 1.

Et enfin la prison « de niveau 3 » pour les cas les plus extrêmes, où le dénuement et la dureté du séjour resteraient la règle. Y seraient envoyés les condamnés jugés comme irrécupérables pour la société, et ceux qui seraient jugés et condamnés pour récidive après une condamnation en prison de niveau 2.

Bien entendu, dans les trois niveaux de prison, le travail serait obligatoire. S'y soustraire impliquerait pour les récalcitrants la perte de certains avantages et un durcissement des conditions de détention.

Le chiffre d'affaire découlant de ce travail faiblement ou non rémunéré selon le niveau de la prison, viendrait en financement partiel du coût pour la société, de ces internements.

Le grand principe sur lequel il faudrait revenir, serait celui de l'intouchabilité de la peine prononcée par un juge. Le condamné à 2 ans de prison resterait, dans tous les cas, sans aucune exception ni recours ou révision possible, derrière les barreaux 730 jours.

Pour tenir compte du rajeunissement de la délinquance, notamment dans celle observée dans le trafic de drogue, il est temps de faire descendre l'âge de l'excuse de minorité à 15 ans.

Enfin, un référendum pourrait être lancé avec pour sujet le rétablissement de la peine de mort pouvant être requis pour les cas les plus graves de délinquance comme le meurtre des plus fragiles de nos concitoyens : enfants, et femmes. Le meurtre de membres de force de l'ordre pourrait aussi faire l'objet d'une telle peine requise par un procureur.


Comme tu vois, Michel (avec tous ces échanges que nous avons désormais, on peut maintenant se tutoyer, non ?), tu as du pain sur la planche ! Au boulot ! Et on se retrouve prochainement dans ma prochaine lettre où je t'énumèrerai un certain nombre d'idées pour faire des économies, revenir à un peu plus de rigueur budgétaire et mettre fin à cette gabegie de l'Etat. Parce que sur ce sujet aussi, tu sembles bien tourner en rond et cultiver de vieilles lanternes usées jusqu'à la corde.

A bientôt, donc.

Ton Saucisson-Pinard.


* A ton coût personnel exorbitant de politicard cumulard, s'ajoute maintenant celui de tes nouvelles taxes et impôts que tu es en train de nous concocter. Donc, oui, tu nous es décidément très très cher !

 

 

Pour bien vous faire comprendre et accepter qu'à l'avenir, la société occidentale devra impérativement être métissée et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper. 

En réponse modeste à ce matraquage, Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur.

 

mercredi 16 octobre 2024

Lettre N°1 à M. Michel Barnier

 

Cher* Monsieur Barnier,

Je vois bien que vous êtes à court d'idées pour redresser le pays. Je comprends que votre passé de politicard européiste, rompu au fonctionnement du Système qui détruit méthodiquement notre pays depuis un demi-siècle, vous a obscurci la vue. Je me propose donc de déchirer le voile qui vous empêche de voir la réalité, et de vous donner quelques pistes de réflexion à même de mettre un coup d'arrêt à la descente aux enfers de notre pays.

Bien entendu, le premier préalable à toutes ces mesures qui vont suivre, est la sortie de cette UErss que vous chérissez tant. Retrouver sa souveraineté est de toute évidence la première


étape pour adopter des initiatives qui ne manqueront pas de contrarier les diktats européens. Contrairement à ce que pense un Zemmour, il n'est pas logique de vouloir continuer à appartenir à un club si l'on a l'intention de ne pas en appliquer les règles. D'autre part, rien ne retient la France dans cette UE qui ne manquera pas de s'écrouler d'elle-même lorsque la France, un de ses principaux piliers financiers, se sera dérobée sous elle. L'Allemagne, son autre principal pilier, ne sera pas emballée à l'idée de subvenir seule aux besoins de tous les autres membres qui ne sont pas contributeurs nets de cette construction ubuesque. Ne pas appartenir à l'Union européenne n'empêchera pas la France, pendant le temps de son écroulement, d'avoir des échanges avec ses membres. L'UE a une philosophie mondialiste (et vous la partagez) et ses portes sont grandes ouvertes au monde entier - c'est même un de ses nombreux problèmes - ses membres resteront donc réceptifs à des échanges avec la France, comme ils en ont gardés d'ailleurs avec la Grande Bretagne depuis le Brexit. Il n'y aura pas de « repli sur soi », comme aimeraient à le faire croire vos complices européistes.

Le second préalable est de sortir de l'euro comme monnaie unique et de revenir à une monnaie nationale. Un pays ne peut pas avoir d'autonomie sans avoir sa propre monnaie, une monnaie qui doit être le reflet de son niveau économique propre. Le décrochage de l'industrialisation de la France coïncide de façon spectaculaire avec l'adoption de cet euro qui n'était à l'époque, et est encore, un sosie du mark allemand. Certes, il y aurait au début une dévaluation qui rendrait les produits venant de l'étranger plus chers. Mais la dévaluation est un outil parmi d'autre, de gestion économique. Et les produits français redeviendraient compétitifs à l'étranger, d'où un regain d'industrialisation, donc un regain de création d'emplois, donc de richesses.

Ces deux préalables étant requis, voyons les mesures qui pourraient être prises dans différents domaines. Nous commencerons dans cette première missive que je vous adresse, par le chapitre concernant l'immigration. Les chapitres sur l'économie, la Justice, l'Education, le fonctionnement des institutions et de la démocratie feront l'objet de prochains courriers.


L'immigration.

Les frontières du pays sont rétablies, avec le retour des postes de douanes classiques. Une politique de visa obligatoire pour l'entrée de tout ressortissant non européen doit être instaurée. Des patrouilles militaires sont lancées dans les Alpes et les Pyrénées, et le long des côtes maritimes pour intercepter tous passages clandestins.

La Marine Nationale est mobilisée pour fermer l'accès des eaux territoriales aux bateaux des passeurs ou des associations immigrationnistes.

Ces associations d'origine française sont dissoutes, les associations étrangères n'ont pas de droit d'installation sur le territoire français, les bateaux des unes comme des autres, sont saisis et leurs financements, d'origine française ou étrangères, en deviennent ipso facto interdits.

Le délit de présence non autorisée sur le sol national est rétabli. Les clandestins sont systématiquement arrêtés. La question se pose alors : qu'en fait-on, une fois arrêtés ? S'ils sont en possession de leurs pièces d'identité, ils sont renvoyés systématiquement dans leur pays d'origine, à leurs frais ou, à défaut, à ceux du pays concerné. Un compte serait créé à cette fin et son règlement se ferait d'une façon ou d'une autre : impôt international, droit de douane exceptionnel sur les produits importés de ces pays, taxes sur les voyages des ressortissants venant en France ou passant par la France. Le choix est vaste, il suffit de le vouloir.

Si les clandestins n'ont pas de pièce d'identité, ils sont donc en attente d'un laisser-passer consulaire. Soit le pays concerné octroie ce laisser-passer et tout va bien, le clandestin est renvoyé chez lui. Si le pays d'origine du clandestin refuse ou traîne des pieds à émettre ce laisser-passer consulaire, comme c'est le cas notamment des pays du Maghreb, il convient de prendre des mesures de rétorsion : ne plus donner de visa d'entrée aux ressortissants de ces pays, y compris à leur personnel politique, saisir les biens possédés en France par ce personnel politique, interdire tous transferts d'argent vers ces pays de la part des immigrés installés en France, et évidemment suspendre toute aide financière à ces pays.

En attendant l'obtention de ces laisser-passer, les clandestins resteraient en France. Mais pas n'importe où en France. Des camps de rétention aux Kerguelen les accueilleraient. Les îles Kerguelen, c'est la France. Pas forcément la France qu'ils rêveraient de connaître, mais la France quand même. Charge alors à ces clandestins d'obtenir via leurs familles ou amis restés au pays leur pièce d'identité leur permettant de revenir chez eux comme n'importe quel touriste rentrant au pays. Il conviendrait évidemment, qu'ils payent aussi à la France, avant de quitter les Kerguelen, leur voyage de retour.

Les demandes de visas d'entrée et les demandes d'asile politique devraient se faire exclusivement dans les ambassades françaises des pays de départ. Bien entendu, tout clandestin surpris en France, clairement identifié par photo et empreintes digitales, ne serait pas autorisé à déposer une telle demande, une fois expulsé.

La double nationalité serait supprimée. Les bi-nationaux auraient à choisir leur nationalité unique. Bien entendu, toutes prestations sociales, de toutes natures, seront exclusivement réservées aux personnes de nationalité française. Les bi-nationaux ayant publiquement, d'une façon ou d'une autre, exprimé leur haine de la France, seront déchus de leur nationalité française. Les bi-nationaux ayant été condamnés à une peine de prison supérieure à deux ans et/ou à une peine d'amende supérieure à 50 000 euros pour des motifs de délinquance financière par exemple, en seraient également déchus. Ils seront alors considérés comme de simples étrangers, sans bénéficier des droits réservés aux Français.

Tous ces ex-binationaux ayant choisi de gré ou de force leur nationalité d'origine, auraient à faire, pour rester en France, une demande de visa de séjour limité dans le temps et renouvelable sous certaines conditions, notamment de n'avoir jamais plus été condamné par la Justice.

Les étrangers actuellement en prison en France seraient automatiquement renvoyés dans leur pays d'origine après avoir purgé une peine minimale de deux ans de prison.

Des détails sur ces mesures seront exposés dans un prochain courrier consacré à la Justice.

Voilà, Monsieur Barnier. C'est un bon début, non ?

Bon, si vous en êtes à lire cette ligne, c'est que vous ne vous êtes pas évanoui en cours de lecture. Sachez que vous n'avez encore rien vu de ce qu'il est possible de faire quand on a le courage et la détermination nécessaire; quand on sait se défaire de la soumission au politiquement correct dicté par l'oligarchie mondialiste et véhiculé par les médias qui lui appartiennent. Vous en aurez une idée plus précise à la lecture de mes prochains courriers qui vous exposeront ce qu'il faudra faire dans les domaines de l'Economie, de la Justice, du sociétal, de l'Education Instruction Nationale, de la politique étrangère, pour retrouver un pays où il fait bon vivre, un pays en paix et en sécurité, un pays respecté à l'international.

Votre médecin saura vous prescrire le médicament adéquat pour ralentir votre rythme cardiaque que la lecture de la présente aura pu emballer quelque peu.

Vous pouvez aussi, d'ici la réception de mon prochain courrier, prendre quelques cours de yoga, propres à vous apprendre à acquérir la sérénité nécessaire pour affronter la remise en cause de votre formatage politique si ancien et si profondément ancré.

Bien cordialement, Monsieur Barnier,


Votre dévoué Saucisson-Pinard.


* C'est en considérant le cumul de vos retraites de député, député commissaire européen et aujourd'hui salaire de premier ministre, que oui, décidément, vous m'êtes, ainsi qu'à tous les contribuables français, très cher.

 

 

Pour bien vous faire comprendre et accepter qu'à l'avenir, la société occidentale devra impérativement être métissée et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper. 










En réponse modeste à ce matraquage, Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur.