Cher* Monsieur Barnier,
Je vois bien que vous êtes à court d'idées pour redresser le pays. Je comprends que votre passé de politicard européiste, rompu au fonctionnement du Système qui détruit méthodiquement notre pays depuis un demi-siècle, vous a obscurci la vue. Je me propose donc de déchirer le voile qui vous empêche de voir la réalité, et de vous donner quelques pistes de réflexion à même de mettre un coup d'arrêt à la descente aux enfers de notre pays.
Bien entendu, le premier préalable à toutes ces mesures qui vont suivre, est la sortie de cette UErss que vous chérissez tant. Retrouver sa souveraineté est de toute évidence la première
étape pour adopter des initiatives qui ne manqueront pas de contrarier les diktats européens. Contrairement à ce que pense un Zemmour, il n'est pas logique de vouloir continuer à appartenir à un club si l'on a l'intention de ne pas en appliquer les règles. D'autre part, rien ne retient la France dans cette UE qui ne manquera pas de s'écrouler d'elle-même lorsque la France, un de ses principaux piliers financiers, se sera dérobée sous elle. L'Allemagne, son autre principal pilier, ne sera pas emballée à l'idée de subvenir seule aux besoins de tous les autres membres qui ne sont pas contributeurs nets de cette construction ubuesque. Ne pas appartenir à l'Union européenne n'empêchera pas la France, pendant le temps de son écroulement, d'avoir des échanges avec ses membres. L'UE a une philosophie mondialiste (et vous la partagez) et ses portes sont grandes ouvertes au monde entier - c'est même un de ses nombreux problèmes - ses membres resteront donc réceptifs à des échanges avec la France, comme ils en ont gardés d'ailleurs avec la Grande Bretagne depuis le Brexit. Il n'y aura pas de « repli sur soi », comme aimeraient à le faire croire vos complices européistes.
Le second préalable est de sortir de l'euro comme monnaie unique et de revenir à une monnaie nationale. Un pays ne peut pas avoir d'autonomie sans avoir sa propre monnaie, une monnaie qui doit être le reflet de son niveau économique propre. Le décrochage de l'industrialisation de la France coïncide de façon spectaculaire avec l'adoption de cet euro qui n'était à l'époque, et est encore, un sosie du mark allemand. Certes, il y aurait au début une dévaluation qui rendrait les produits venant de l'étranger plus chers. Mais la dévaluation est un outil parmi d'autre, de gestion économique. Et les produits français redeviendraient compétitifs à l'étranger, d'où un regain d'industrialisation, donc un regain de création d'emplois, donc de richesses.
Ces deux préalables étant requis, voyons les mesures qui pourraient être prises dans différents domaines. Nous commencerons dans cette première missive que je vous adresse, par le chapitre concernant l'immigration. Les chapitres sur l'économie, la Justice, l'Education, le fonctionnement des institutions et de la démocratie feront l'objet de prochains courriers.
L'immigration.
Les frontières du pays sont rétablies, avec le retour des postes de douanes classiques. Une politique de visa obligatoire pour l'entrée de tout ressortissant non européen doit être instaurée. Des patrouilles militaires sont lancées dans les Alpes et les Pyrénées, et le long des côtes maritimes pour intercepter tous passages clandestins.
La Marine Nationale est mobilisée pour fermer l'accès des eaux territoriales aux bateaux des passeurs ou des associations immigrationnistes.
Ces associations d'origine française sont dissoutes, les associations étrangères n'ont pas de droit d'installation sur le territoire français, les bateaux des unes comme des autres, sont saisis et leurs financements, d'origine française ou étrangères, en deviennent ipso facto interdits.
Le délit de présence non autorisée sur le sol national est rétabli. Les clandestins sont systématiquement arrêtés. La question se pose alors : qu'en fait-on, une fois arrêtés ? S'ils sont en possession de leurs pièces d'identité, ils sont renvoyés systématiquement dans leur pays d'origine, à leurs frais ou, à défaut, à ceux du pays concerné. Un compte serait créé à cette fin et son règlement se ferait d'une façon ou d'une autre : impôt international, droit de douane exceptionnel sur les produits importés de ces pays, taxes sur les voyages des ressortissants venant en France ou passant par la France. Le choix est vaste, il suffit de le vouloir.
Si les clandestins n'ont pas de pièce d'identité, ils sont donc en attente d'un laisser-passer consulaire. Soit le pays concerné octroie ce laisser-passer et tout va bien, le clandestin est renvoyé chez lui. Si le pays d'origine du clandestin refuse ou traîne des pieds à émettre ce laisser-passer consulaire, comme c'est le cas notamment des pays du Maghreb, il convient de prendre des mesures de rétorsion : ne plus donner de visa d'entrée aux ressortissants de ces pays, y compris à leur personnel politique, saisir les biens possédés en France par ce personnel politique, interdire tous transferts d'argent vers ces pays de la part des immigrés installés en France, et évidemment suspendre toute aide financière à ces pays.
En attendant l'obtention de ces laisser-passer, les clandestins resteraient en France. Mais pas n'importe où en France. Des camps de rétention aux Kerguelen les accueilleraient. Les îles Kerguelen, c'est la France. Pas forcément la France qu'ils rêveraient de connaître, mais la France quand même. Charge alors à ces clandestins d'obtenir via leurs familles ou amis restés au pays leur pièce d'identité leur permettant de revenir chez eux comme n'importe quel touriste rentrant au pays. Il conviendrait évidemment, qu'ils payent aussi à la France, avant de quitter les Kerguelen, leur voyage de retour.
Les demandes de visas d'entrée et les demandes d'asile politique devraient se faire exclusivement dans les ambassades françaises des pays de départ. Bien entendu, tout clandestin surpris en France, clairement identifié par photo et empreintes digitales, ne serait pas autorisé à déposer une telle demande, une fois expulsé.
La double nationalité serait supprimée. Les bi-nationaux auraient à choisir leur nationalité unique. Bien entendu, toutes prestations sociales, de toutes natures, seront exclusivement réservées aux personnes de nationalité française. Les bi-nationaux ayant publiquement, d'une façon ou d'une autre, exprimé leur haine de la France, seront déchus de leur nationalité française. Les bi-nationaux ayant été condamnés à une peine de prison supérieure à deux ans et/ou à une peine d'amende supérieure à 50 000 euros pour des motifs de délinquance financière par exemple, en seraient également déchus. Ils seront alors considérés comme de simples étrangers, sans bénéficier des droits réservés aux Français.
Tous ces ex-binationaux ayant choisi de gré ou de force leur nationalité d'origine, auraient à faire, pour rester en France, une demande de visa de séjour limité dans le temps et renouvelable sous certaines conditions, notamment de n'avoir jamais plus été condamné par la Justice.
Les étrangers actuellement en prison en France seraient automatiquement renvoyés dans leur pays d'origine après avoir purgé une peine minimale de deux ans de prison.
Des détails sur ces mesures seront exposés dans un prochain courrier consacré à la Justice.
Voilà, Monsieur Barnier. C'est un bon début, non ?
Bon, si vous
en êtes à lire cette ligne, c'est que vous ne vous êtes pas
évanoui en cours de lecture. Sachez que vous n'avez encore rien vu
de ce qu'il est possible de faire quand on a le courage et la
détermination nécessaire; quand on sait se défaire de la
soumission au politiquement correct dicté par l'oligarchie
mondialiste et véhiculé par les médias qui lui appartiennent. Vous
en aurez une idée plus précise à la lecture de mes prochains
courriers qui vous exposeront ce qu'il faudra faire dans les domaines
de l'Economie, de la Justice, du sociétal, de
l'Education
Instruction Nationale, de la politique étrangère, pour retrouver un
pays où il fait bon vivre, un pays en paix et en sécurité, un pays
respecté à l'international.
Votre médecin saura vous prescrire le médicament adéquat pour ralentir votre rythme cardiaque que la lecture de la présente aura pu emballer quelque peu.
Vous pouvez aussi, d'ici la réception de mon prochain courrier, prendre quelques cours de yoga, propres à vous apprendre à acquérir la sérénité nécessaire pour affronter la remise en cause de votre formatage politique si ancien et si profondément ancré.
Bien cordialement, Monsieur Barnier,
Votre dévoué Saucisson-Pinard.
* C'est en considérant le cumul de vos retraites de député, député commissaire européen et aujourd'hui salaire de premier ministre, que oui, décidément, vous m'êtes, ainsi qu'à tous les contribuables français, très cher.
Pour bien vous faire comprendre et accepter qu'à l'avenir, la société occidentale devra impérativement être métissée et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper.
En réponse modeste à ce matraquage, Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur.
j'aurais bien proposé au premier ministre de se munir de trois enveloppes...
RépondreSupprimernumérotées....
la première contiendrai les mots suivants "les difficultés arrivent ? mettez tout sur le dos de votre prédecesseur"
la deuxième contiendrait ces mots "ça ne s'arrange pas? promettez la lune, puis si vous n'êtes pas exhaucé, démissionnez"
la troisième contiendrai les mots suivants "prenez votre successeur à part et glissez lui à l'oreille...prépare trois enveloppes..."
Vu la tournure des choses, je crains qu’ils ne finissent par manquer d’enveloppes…!
SupprimerLe visa devrait etre demandé aussi pour les ressortissants européens. Cela évitera l'entrée avec de faux documents d'identité, ou à des étrangers avec plusieurs nationalités dont une européenne. Le visa devra etre sollicité par internet à l'avance, aucun visa n'etant délivré à la frontière ou à l'arrivée à l'aéroport ou le port.
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