Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

dimanche 29 décembre 2013

Exclusivité et avant-première: Discours des voeux de Hollande pour 2014


Des recommandations circulant sur internet, de boycott du discours de vœux de notre cher Président, Saucisson-Pinard vous propose ci-dessous en exclusivité et en avant-première la version écrite de ces vœux.

Vous pourrez ainsi éteindre votre télé pendant cette allocution et marquer ainsi votre désapprobation de la politique suivie, tout en vous tenant au courant des révélations éclairées de notre leader adoré.



Pour une lecture plus aisée, les « euh.. » ont été retirés, et les paquets de trois mots que nous livre habituellement notre grand orateur ont été rassemblés en phrases complètes.



« Chères socialistes, chers socialistes, chères arabes, chers arabes, et, n'hésitons pas à le dire, chères Françaises, chers Français,

C'est avec plaisir qu'en ce dernier soir de l'année 2013, je m'adresse à vous, depuis la tranquillité de ce salon de l'Elysée, loin des foules en délire et des sifflets d'enthousiasme qui ponctuent désormais chacun de mes passages parmi vous. C'est vrai, ma modestie naturelle dût-elle en souffrir, votre soutien public bruyant et chaleureux à chacune de mes sorties du Palais les rend évidemment plus difficiles et donc plus rares. C'est aussi la raison pour laquelle je prends désormais beaucoup moins le train et davantage l'avion que lors du premier mois de ma mandature. Je me refuse en effet à ce que l'enthousiasme des foules durant mes déplacements parmi les gueux, euh je veux dire parmi nos braves citoyens, n'apportent trop de perturbations dans leurs déplacements.

J'ai d'abord une excellente nouvelle à vous annoncer. L'année 2013 a été une très bonne année pour la France. Surtout en regard de ce que sera la prochaine.

Tout d'abord, comme je vous l'avais prédit, le chômage baisse en France. Si vous prenez les statistiques du 17 octobre dans l'après-midi au 24 du même mois au matin dans la sous-catégorie B' de la catégorie petit a du secteur grand A des sans-emplois, on voit clairement une inversion de la courbe de chômage. Et si globalement le record du nombre de chômeurs est battu chaque mois, cela ne change rien à la réalité de ma prédiction. D'ailleurs, ma gestion des affaires de la France fera désormais fi des sempiternelles « prévisions » pour ne plus compter que sur des « prédictions ». Et je songe sérieusement à prendre M. Coué comme porte-parole du gouvernement, car il a une méthode réputée dont je veux vous faire bénéficier.

Autre bonne nouvelle. Vous êtes désormais 75% à bientôt partager, dans un avenir proche, l'optimisme des 25% qui ont déjà confiance dans ma politique ! Je suis très ému de cette confiance et je vous en remercie.

S'il fallait qualifier cette année 2013 qui s'achève, je dirais qu'elle a été une année de paix. Paix dans la rue, paix chez les bijoutiers, paix au Trocadéro, paix dans les stades, paix dans les cités que je vous propose de ne plus appeler « sensibles » mais plutôt « radieuses », paix en Bretagne, paix dans les usines.

Paix également à l'étranger grâce à une politique étrangère parfaitement cohérente qui nous conduit à quitter nos alliés qui combattent les bases arrières du terrorisme international en Afghanistan, pour nous précipiter, seuls, au Centrafrique pour empêcher les Chrétiens de se défendre contre les Islamistes.
Vous aurez noté que je passe de plus en plus de temps à l'étranger. Les affaires vont tellement bien dans notre pays que je peux effectivement faire profiter le monde entier de mes compétences et passer davantage de temps au chevet des pays qui me réclament à cor et à cri.
C'est ainsi que je suis allé en Chine (ou au Japon, je ne sais plus trop), au Brésil, en Macédonie, pour tenter d'y obtenir des contrats, et que je suis allé aux funérailles de Mandela au sud de l'Afrique. Et tout s'est très bien passé. Surtout l'enterrement de Mandela dans le sud de l'Afrique...
Je reviens juste d'Arabie Saoudite où, comme vous l'ont dit les journaux, j'ai été parler d'économie. Nul doute qu'avec les résultats stupéfiants que j'ai obtenus dans notre pays, j'ai été écouté avec la plus vive attention par les cheikhs milliardaires en pétrodollars.

Sur le plan économique, c'est vers un avenir flamboyant que nous nous dirigeons. Notre ministre de l'économie et des finances, que le monde entier nous envie, nous attribue, en toute impartialité, la note maximale de AAAAA+++. Et c'est par pure jalousie et rétorsion que les agences de notation américaines nous dégradent régulièrement leur note.

En 2013, je vous avais promis que les impôts n'augmenteraient plus. Eh bien rassurez-vous, cette promesse, je continuerai à vous la faire en 2014.
Souvenez-vous, alors que je n'étais que simple candidat à la présidence de la république, je vous avais dit tout le mal que je pensais de la TVA sociale de mon prédécesseur, impôt inutile et injuste car il touche tous les Français et notamment les plus faibles d'entre eux. Eh bien aujourd'hui, enfin, plutôt dès demain matin, je vous annonce qu'en lieu et place de cette TVA sarkozyste, nous aurons une augmentation de la TVA socialiste, et donc bien plus juste et plus équitable.

Sur le plan social, avouez que vous avez été gâté. Le mariage pourtousse a été une pleine réussite et à part quelques manifestants isolés, (de dangereux fascistes), il a été plébiscité par tous les citoyens qui n'attendaient que cela pour mieux vivre leur quotidien. La réforme des rythmes scolaires a aussi été un formidable succès suscitant une réelle exaltation chez les maires, les professeurs, les élèves et les parents d'élèves.

Je ne vais pas détailler davantage toutes mes réussites, car, vous le savez, je suis un président normal, modeste et tout. Je veux simplement vous assurer que je vais continuer à mettre à votre service pour 2014, toute ma compétence et toute mon intégrité ainsi que celles de mon gouvernement. Lui comme moi, nous vous en avons apporté largement les preuves. Vous n'avez pas pu manquer de le constater depuis que nous présidons aux destinées de ce pays.
Et quand je dis « nous », je veux dire « nous les socialistes » qui détenons toutes les commandes: à l'Elysée, au gouvernement, au Parlement, au Sénat, dans les Régions et dans les principales villes du pays.
Et rappelez-vous, surtout à l'occasion des prochaines élections qui vont intervenir en 2014, municipales et européennes : s'il y a des choses qui marchent, c'est grâce à nous, les socialistes. Ce qui ne marche pas, c'est la faute de nos prédécesseurs.

Je vous souhaite, chers cons, citoyens, une excellente année 2014,
Vive la République socialiste, vive la France diverse du bienvivrensemble !

mardi 17 décembre 2013

Si Hollande avait été contemporain d'Hitler (ou réciproquement)




Si Hollande avait été contemporain d'Hitler, il se serait rendu à Munich, pour une rencontre au sommet avec le chancelier allemand. Et voici ce qui ce serait dit :

Hitler : Bonchour Franzois, enchanté de faire fotre konnaissance.
Hollande : Bonjour cher Adolf ! Tout le plaisir est pour moi. Ch'ui toujours ravi quand je rencontre les grands de ce monde. D'ailleurs, chez moi, on dit que je suis le ravi de la crèche. Sans doute parce que c'est bientôt Noël.

Hitler : Kan che fou ai fu ce matin déposer une cherbe au monument des victimes allemandes de la guerre 14/18...
Hollande : oui, d'ailleurs, on s'excuse encore, hein, pour toutes ces malheureuses victimes allemandes...

Hitler :...ch'ai tout de suite fu que fous étiez une ponne personne et kon allait bien s'entendre.
Hollande : ben oui, et puis entre socialistes, il n'y a pas de raison... Vous êtes juste plus national que moi, c'est tout ! Ah ah ah ah !

Hitler : Ben chustement, buisqu'on en barle. Ch'ai l'intention d'envahir la Franze, figurez-vous.
Hollande : ah oui ?

Hitler : Et ch'avais pensé qu'on pourrait s'épargner beaucoup de problèmes si fous laissiez chuste venir un maximum de mes compatriotes s'installer chez fous.
Hollande : mais c'est une excellente idée ! Après tout, la France n'est-elle pas le pays des Droits de l'Homme ? Et parmi ces droits, celui de venir profiter du fric et de la belle vie là où ils sont...

Hitler : Che zui ravi que vous le preniez comme ça. Nous allons ainsi nous éfiter de gros frais d'armement et une guerre toujours péniple.
Hollande : Eh bien ça tombe plutôt bien, parce que je suis précisément en train de réduire le budget des Armées, dites-donc !

Hitler : Alors natürlich, fous prévoyez de résserver vos lochements sociaux en priorité pour nos ressortissants allemands.
Hollande : Naturellement.

Hitler : Vous leur tonnerez aussi tout plein de supfentions, d'allocations en tous genres, pour leur faciliter la fie au maximum.
Hollande : Le mieux serait que nous favorisions la création d'associations, en les subventionnant, dont l'unique raison d'être serait précisément de faciliter la venue et l'installation de vos compatriotes chez nous.

Hitler : Wonderbar !
Hollande : … et ainsi faciliter leur intégration dans mon pays.

Hitler : Was ? Intékration ? Nein ! Ze n'est pas aux Allemands de s'intékrer, c'est aux Franzosen de s'adapter à la vie allemante. Et d'ailleurs, fous aurez soin d'imposer la choukroute et la saucisse de Francfort dans les cantines de fos écoles.

Hollande : C'est bon, ça, la choucroute et les saucisses. Moi, j'adore.

Hitler : Fous savez qu'en Allemagne, nous sommes plutôt de religion protestante. Il serait konvenable que fous favorisiez le protestantisme en France, et que vous abandonniez le catholicisme. On se comprend pien, n'est-ce pas ?
Hollande : bah, vous savez, moi, je ne crois en rien, alors, la religion, je m'en bats les paupières avec une pelle à gâteau !

Hitler : Ach, komme ça fous aurez même pas à vous renier sur koi que ce soit, wonderbar ! et puis fous penserez à mettre vos formulaires atministratifs en allemand. Mes compatriotes ne font kand même pas s'emmerter à apprendre le französich, n'est-ce-pas ?
Hollande : ça va de soi.

Hitler : Pendant k'on y est, faudrait penser à imposer la culotte de cuir à tous les petits karçons.
Hollande : ah bah, c'est solide, ça, les culottes de cuir.

Hitler : Che pense à kelke chose...
Hollande : oui, et à quoi donc, mon cher Adolf ?

Hitler : Il serait pon que fotre Presse soit très arrangeante, che veux tire, à propos de zette petite invazion. Il faudrait qu'elle collabore totalement avec ce prochet.
Hollande : Ah bah pour ça, vous n'avez vraiment pas à vous inquiéter, nous avons la Presse la plus collaborante qui soit..

Hitler : Ch'inziste ; si par exemple, des ressortissants allemands font des konneries, il zerait bon k'on ne disent pas k'ils sont allemands. Fous pourriez les identifier dans la Presse en les appelant des.. che ne sais pas, moi... euh, des Mohammed par exemple.
Hollande : Ça, c'est malin, je n'y aurais pas pensé.

Hitler : Pon ! Puisqu'on est d'accord sur l'ezzentiel, c'est parfait. On fa poufoir enfisager sérieusement de faire de votre pays une extension de la krande Allemagne. C'est une affaire de 20 à 30 ans, che pense.
Hollande : Peut-être moins, mon cher Adolf, vous pouvez compter sur moi. Euh, à propos, est-ce que, euh, en échange de ma collaboration, euh je veux dire de mes bons et loyaux services..., vous pourriez vous assurer que vos compatriotes, (qui sont, bien évidemment autant de chances pour la France), votent pour moi et les miens pour les quelques années qui nous restent avant d'intégrer votre merveilleuse société ? Parce que, vous comprenez, avant, c'était les ouvriers qui votaient pour nous. Mais comme on a foutu en l'air notre industrie avec l'aide de nos syndicats, il n'y a plus d'ouvrier. Et donc plus grand monde pour voter pour nous.

Hitler : Ach, mon petit Franzois, fous êtes une petite kanaille, hein ? Nein, plutôt une kolossale kanaille ! Allez, fous et les fôtres êtes dans l'Histoire, maintenant, hein ! Ach so, réussir à détruire en quelques années une nation qui a mis deux millénaires à se former, et cela sans même donner un coup de canon, c'est pas à la portée du premier fenu, n'est-ce pas ? Allez, che ne vous raccompagne pas, fous connaissez le chemin. Auf wiedersehen !

Hollande : Bon, c'est pas tout ça, mais il est où, l'avion ?


samedi 7 décembre 2013

Décembre: période de gavage annoncée.



La potion va s'annoncer sirupeuse et épaisse à souhait. Et elle va être servie en quantité industrielle. On va vite comprendre ce qu'endurent les oies de batterie dans les mois qui précèdent la saison des fêtes de fin d'années et ses orgies de foies gras. Nous pourrons donc, puisque cette période arrive justement, être en totale empathie rétrospective avec ces pauvres bêtes, lorsque dans quelques jours nous étalerons avec gourmandise sur des toasts grillés ce nectar de la gastronomie française.

Nous allons en effet être gavés jusqu'à l'écoeurement d'hommages lyriques, de bons sentiments dithyrambiques distillés avec une mauvaise foi(e?) en béton armé, de larmes médiatiques bien sucrées, de témoignages aussi dérisoires qu'orientés, d'analyses bien formatées à la machette des idées préfabriquées, et de tombereaux de révisionnisme historique.

Brassens chantait déjà que les morts sont tous de braves types, mais là, la « bravitude » chère à la Ségo, du mort en question, va s'annoncer exponentielle. Nul doute que nos politiques et journalistes du Mainstream se sont longuement échauffés ces derniers mois, au massage de nos gosiers d'auditeurs, spectateurs et lecteurs pour mieux y faire couler l'immonde et compact pâté de recueillement et repentance occidentale blanche, jusqu'à ne plus laisser la moindre place à une pensée cohérente et objective.

On était conscient que cette préparation émétique était en maturation forcenée dans les salles de rédaction et les réunions de com des partis politiques du monde entier depuis que « le prestigieux ami » de Fidel Castro avait été hospitalisé, il y a six mois, et qu'il ne finissait pas de mourir. Cela ne la rendra pas moins pénible à ingurgiter. Au contraire. Vous pensez bien que depuis l'été dernier, nos cuisiniers de la Pensée progressiste ont eu tout le temps d'ajouter des louches et des louches d'ingrédients plus laxatifs, plus vomitifs les uns que les autres, à la purge journalistique que nous allons nous voir administrer sur les écrans, les ondes et le papier imprimé dans les jours, que dis-je, les semaines à venir.

S'il est une période propice pour un sevrage médiatique, c'est bien maintenant. Les infos, c'est comme les coups de marteaux sur la tête, ça fait un bien fou : quand on les arrête. De temps à autre, pendant quelques jours, il est essentiel, pour sa santé mentale, de couper la télé, la radio, de s'interdire d'ouvrir un magazine ou un journal quelconque. Cela permet de respirer un peu, de prendre un peu d'altitude sur les évènements, un peu de recul sur la marche du monde, et de remettre un peu de (bon) sens dans ses réflexions. Ce moment est venu. Quand on cesse d'agiter un flacon d'eau boueuse, la boue se décante, tombe au fond du flacon et une eau pure et transparente qu'on ne soupçonnait pas, apparaît. Il en va de même avec la réflexion.

Et une fois que ce recul est pris, on apprécie avec d'autant plus de clairvoyance et de détachement le ridicule, la vacuité du monde et des bipèdes qui le parcourent. Et on peut alors pleinement en jouir.

Ainsi, comment ne pas éclater de rire quand on entend, dans les incontournables micro-trottoirs, qui sont dans ce genre de circonstances, à l'analyse politique ce qu'est la magazine Closer à la physique quantique : « Cette nouvelle é bien twiste, on s'y attendait si peu, p'ésentement ! »

Comment ne pas pouffer quand une journaleuse de M6 déclare : « il est mort ( rappel : à 95 ans... !) des complications d'une tuberculose contractée en prison. »

Comment ne pas se taper sur les cuisses quand un autre journalope qualifie de « terribles et inhumaines » les conditions de détention de l'auguste disparu qui quitte cette vallée de larmes à 95 ans sonnés, soit 17 ans plus tard que le mâle français moyen qui n'a pas connu les geôles sud-africaines...

Comment ne pas hurler de rire en constatant le télescopage cocasse des actualités internationales: le jour même où trépasse «celui qui a enseigné à la planète qu'un homme pouvait changer le monde », la France se croit obligée, une fois de plus, d'envoyer en urgence en République Centrafricaine des soldats blancs pour séparer des belligérants noirs à nouveau engagés dans une de ces guerres religio-tribales récurrentes dont le continent est le coutumier théâtre.

Comment ne pas se tordre les zygomatiques quand on lit que «  l'homme a empêché une guerre civile en Afrique du Sud » alors que des milliers de fermiers blancs se font torturer et massacrer en toute impunité depuis la fin de l'apartheid, que les tribus Zoulous s'écharpent quotidiennement avec les tribus Xhosas, les Xhosas avec les Sothos, et que l'Afrique du Sud est devenue l'un des pays les plus dangereux au monde.

Comment ne pas se rouler par terre quand on entend citer la « grande icône de l'émancipation africaine » alors que le taux de chômage des Noirs est passé de 20% quand l'Afrique du Sud de l'apartheid était étouffée dans l'étau du boycott mondial, à plus de 40% aujourd'hui dans un pays « arc-en-ciel » devenu commercialement fréquentable;

Et comment ne pas s'étrangler de rire à la pensée de « son engagement pour un monde de paix, d'amour et de justice » alors qu'un sud-africain noir court aujourd'hui bien plus de risques de mourir de mort violente que jamais. On ne doute pas que la perspective de pouvoir désormais partager des toilettes publiques avec des Blancs lui est d'un grand réconfort...

L'histoire de l'Afrique du Sud est l'une des plus grandes escroqueries intellectuelles contemporaines. En être les témoins impuissants mais pas dupes, ne nous dispensent pas de profiter de ce spectacle de grand cirque où les loups hurlent avec les loups et les moutons bêlent avec les moutons. En attendant avec la délectation de celui qui n'en a plus rien à foutre, que les premiers bouffent les seconds.

dimanche 1 décembre 2013

Recette anti-raciste.



Une fois n'est pas coutume, Saucisson-Pinard vous propose aujourd'hui une recette de cuisine. Le magazine Elle ayant déclaré que Taubira était « la femme de l'année » (non, il ne s'agit pas d'une coquille, ce n'était pas « l'infâme de l'année »), Saucisson-Pinard va à son tour rendre hommage à notre si bienveillante ministre de l'Injustice.
La recette proposée sera appelée le gâteau Taubira.

Bien entendu, des associations de certains mots et patronyme étant désormais interdites, cette recette respectera intégralement le bien-parler politiquement correct.

C'est une recette très facile à faire, nul besoin d'être malin comme un mammifère primate.
En plus, elle est économique : vous la ferez pour l'équivalent d'une monnaie de ce primate.

Le gâteau Taubira :

Battez deux asiatiques d'oeufs avec 200 g de sucre de type européen.
Ajoutez 100 g de beur fondu, 200 g de farine de type européen, un paquet de levure, une pincée de sel et de la vanille.
Ecrasez 3 fruits jaunes et longilignes prélevés d'un régime (politiquement socialiste de préférence) et incorporez au mélange précédent.
Battez (je sais, c'est une recette hyper-violente, comme notre époque) les types européens d'oeufs en neige et les ajouter au mélange précédent.
Beurrez un moule, versez-y la préparation et cuire au four thermostat 6 pendant 40 mn.

Et vous verrez : Y a délicieux, le gâteau Taubira !