Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

dimanche 19 mars 2023

Macron à l'Elysée: Stop ou encore?

 

Comme demandé dans l'article précédent, Saucisson-Pinard vous engage à vous abonner à son blog afin de lutter contre les algorithmes de gogole qui ont pour vocation d'invisibiliser ses propos, qui sont, il est vrai, assez peu conformes à la doxa dominante. Merci !

Au vu des évènements du moment, avec cette onzième application du 49.3 sur l'adoption d'une réforme des retraites impopulaire et les manifestations qu'elle déclenche, sans compter les possibilités de suites institutionnelles, il est utile de faire un instantané sur la personnalité du psychopathe que nous avons à l'Elysée.

Passons rapidement en revue le bilan du "Mozart de la Finance" permettant d'évaluer sa « compétence »:

1. Sur le plan économique, que peut-on énumérer ?

- Déficit budgétaire abyssal alors que les prélèvements fiscaux n'ont jamais été aussi hauts et les services publics aussi mal rendus.

- Endettement record du pays.

- Fraude fiscale endémique (y compris chez les membres du gouvernement), fraude sociale de grande ampleur (avec, à titre de simple exemple, un nombre de cartes vitales qui dépasse celui des habitants...)

- Déficit commercial record. Même le secteur alimentaire, jadis largement excédentaire, est aujourd'hui touché : on importe plus de produits agricoles qu'on en exporte!

- Record du taux de la population sous le seuil de pauvreté.

- Chômage élevé, quoique camouflé par trituration des chiffres.

- Le PIB par tête d'habitant classe aujourd'hui la France au 25e rang mondial !

- Le secteur industriel est passé maintenant sous la barre des 10% du PIB !

- Des fleurons industriels et pépites stratégiques français sont vendus (parfois soldés) à l'étranger. (Alstom, STX, Arcelor, Pechiney, Alcatel pour ne citer que quelques-uns).


2. Sur le plan du fonctionnement du pays :

- Le secteur de la Santé est à la ramasse. L'Hôpital est à l'agonie, avec manque de personnel, manque de lits, manque de matériel. La Recherche est au point mort. De plus en plus de gens zappent leur suivi médical et dentaire pour raisons économiques. La France avait le secteur de la Santé le plus performant du monde il y a encore quelques années...

- La France, naguère leader dans le domaine de l'énergie nucléaire et exportatrice d'électricité, est aujourd'hui dépendante de l'étranger et désormais en retard dans cette technologie.

- L'éducation nationale est devenue une usine à crétins, le pays plonge dans les profondeurs du classement PISA mondial. De surcroît, son ministre s'occupe aujourd'hui davantage de ce que les enfants ont dans la culotte que de ce qu'ils ont dans leur tête.

- La délinquance est à la hausse sur tous les plans : vols, cambriolages, agressions, meurtres, viols, squats, dégradations de biens publics. La part des affaires non résolues est vertigineuse, par manque de moyens et de personnel et tout simplement parce que ces affaires se multiplient.

- La Justice, vérolée par l'idéologie gauchiste, joue allègrement avec la règle du deux poids deux mesures selon que le coupable est français de souche ou immigré: sévère ou peut-être juste dans le premier cas, mais laxiste dans le second. Elle est désormais décrédibilisée aux yeux des Français qui ne lui font plus confiance.

- Le patrimoine national part en lambeaux, à la fois pour des raisons idéologiques de désintérêt et des raisons économiques (les deux étant liées, d'ailleurs.). Des monuments historiques ne sont pas entretenus, des églises sont détruites, du mobilier historique est bradé.

- Une immigration débridée sans aucun contrôle. Les frontières sont des passoires, les OQTF de simples bouts de papier sans valeur ni conséquence.

- La liberté d'expression n'existe plus. La censure est partout, les merdias mainstream, les privés comme ceux du service public, sont à la solde du gouvernement. Des médias étrangers sont désormais carrément interdits, exactement comme en Corée du Nord...

Il est clair que ce bilan interne n'est pas de nature à enjoliver l'image de la France dans le monde. 

Mais regardons maintenant notre politique étrangère, celle qui concerne directement les pays étrangers, partenaires politiques et/ou commerciaux. La question est d'ailleurs « la France a-t-elle encore une politique étrangère qui lui est propre ? » La réponse à l'évidence est non. Encore une chose que la France avait, ou plus exactement, a eu, du temps de de Gaulle et même de Chirac, et qu'elle n'a plus. La France ne se distingue plus de la politique à vocation hégémonique de l'OTAN, donc de celle des USA. Le suivisme de la France à l'égard de l'UE(RSS) qui fait elle-même preuve de suivisme à l'égard de l'Amérique, résume ce qu'on pourrait appeler « les Affaires Etrangères » de la France.

En conséquence, la voix de la France n'existe plus. Il est inutile de se demander pourquoi Macron fait un discours à l'ONU en septembre dernier devant une assistance quasiment vide, ce qui n'arrivait jamais jusque là.

Les mésaventures de la France en Afrique est d'ailleurs un autre symptôme de sa disparition progressive de la scène diplomatique mondiale. 

Elle est chassée politiquement du Mali et du Burkina Faso, mais elle est déconsidérée partout. Des pays pourtant francophones demandent leur adhésion au Commonwealth britannique. 

Elle est chassée économiquement de partout. La Chine et la Russie la remplacent, y compris dans l'Afrique de l'Ouest où la France avait naguère une place prépondérante. Et ce n'est pas le dernier voyage catastrophique de Macreux en Afrique qui changera quelque chose, si ce n'est en pire.

Le bilan affligeant de ce président est donc sans appel. Il serait vain de trouver un seul domaine où la France a trouvé le moindre bénéfice à l'avoir à l'Elysée.


Attardons-nous maintenant sur sa personnalité, non pas en tant que gestionnaire de pays, mais en tant qu'individu.

Passons rapidement sur le fait que le locataire de l'Elysée a une sexualité qu'on qualifiera, pour être gentil, d'ambigüe, qui l'a conduit à doter le pays d'une « première dame » qui n'est jamais qu'un travelo. Ceux qui seront les plus lucides mais néanmoins utilisateurs de novlangue l'appelleront « trans », mais en bon français, Jean-Michel Trogneux est juste un travelo.

Cette sexualité équivoque se manifeste aussi par cette manie honteuse à tripoter sans cesse et en tous lieux, publiquement et sans retenue, ceux qui passent à sa portée, avec une légère préférence manifeste, pour les épidermes à forte pigmentation... On rétorquera à Saucisson-Pinard, à raison, qu'il s'agit là de sa vie privée. Mais quand on est un personnage public qui représente aux yeux du monde, la France, et donc les Français, la frontière entre vie privée et vie publique est ténue, et l'aspect privé doit être irréprochable et ne pas être l'objet de quolibets et moqueries.

Rappelons-nous de la mise en scène qu'il s'est concoctée lors de son intronisation comme président après sa première élection en 2017. Apparaissant seul dans un halo de lumière, avec la pyramide du Louvre en arrière-plan (sans aucun doute en clin d'oeil à la franc-maçonnerie qui l'a fait roi) : ce fut le premier indice d'un narcissisme qui n'a fait que se confirmer et se multiplier par la suite.

Cette propension à se mettre en avant est probablement la raison pour laquelle il serait vain de trouver dans son entourage une personnalité digne d'intérêt et prometteuse pour l'avenir. Ce narcissisme l'a poussé à mettre beaucoup de soin à ne s'entourer que de branquignols peu susceptibles de lui faire de l'ombre. Dans l'histoire de la Ve République, Saucisson-Pinard ne se souvient pas avoir vu un tel défilé de nullités autour de ses présidents. Evoquer des noms comme ceux de Schiappa, Darmanin, Le Maire, Dupont-Moretti, Véran, pour ne citer que ceux-là, donne déjà une idée de la catastrophe. On ne citera pas les noms de tous les hurluberlus noyés dans l'anonymat de leur médiocrité. Si Macreux a un seul talent, c'est bien celui de se dégoter des clampins qui brillent, si l'on peut dire, par leur incompétence, leur fadeur, quand ce n'est pas, à titre accessoire, par leur totale absence d'honnêteté morale.

Rappelons-nous aussi ce président qui, tel Néron jouissant de voir Rome en flammes, s'est mis à rire sous cape devant l'incendie de Notre-Dame de Paris, alors que la population était, à juste titre, profondément émue devant ce désastre ! (A propos, elle en est où, cette enquête judiciaire? Où sont les journalistes d'investigation qui pourraient se demander comment on met le feu à des poutres d'un demi-millénaire avec un mégot de cigarette?)

Rappelons-nous ce président qui « a une grosse envie d'emmerder » des citoyens simplement désireux de décider ce qui est bon pour leur santé, et donc de refuser un vaccin expérimental.

Rappelons-nous ce président disant à son ministre de la Santé « tiens bon, on les aura, ces connards » en parlant toujours de ces non-vaccinés.

Rappelons-nous ce président refusant encore et toujours de ré-intégrer les soignants et pompiers non-vaccinés, parce que, évidemment, ça serait l'aveu implicite que ses décisions dans la politique anti-Covid étaient imbéciles. Notons que la France est désormais le seul pays du monde à ne pas l'avoir fait !

Rappelons-nous les gaffes diplomatiques dont s'est rendu coupable ce clown arrogant et méprisant, comme par exemple, se moquer en pleine conférence de presse, du président burkinabé qui l'avait invité, en prétendant qu'il était sorti de la salle "pour aller réparer la climatisation". Ou comme souligner en public, également en conférence de presse lors de son dernier déplacement africain, les ratés de gestion du président de la République Démocratique du Congo; ce qui est quand même l'hôpital qui se fout de la charité quand on songe à ce qu'est son propre bilan présidentiel !

Rappelons-nous les annonces de Macreux, suivies d'autres annonces et d'actions en parfaite contradiction avec les premières susdites. Comment avoir la moindre confiance dans un individu capable de dire tout et son contraire sans sourciller, sans jamais reconnaître d'erreurs de jugement ou d'action ?

Rappelons-nous cette propension à émailler ses discours de mots creux, dénués de sens, qui témoignent juste de l'immense vacuité du personnage et de son inculture crasse.

Dans « les milieux autorisés », tout le monde sait que Macreux est un cocaïnomane avéré. L'affaire Palmade, autre amateur de poudre blanche, devrait faire prendre conscience de ce à quoi la consommation de stupéfiant peut mener. Et si Macreux n'a pas à conduire un véhicule la plupart du temps, il a le bouton de l'arme nucléaire à portée de main...


Bref, Macreux ajoute à son incompétence universelle, une personnalité malade, pétrie d'arrogance, de narcissisme, d'absence de tout scrupule, de mépris pour les Français envers lesquels il ment en permanence, ne défendant jamais l'intérêt national mais toujours l'intérêt de l'oligarchie mondialiste, tout en se prévalant d'une supériorité intellectuelle dont on se demande sur quoi elle pourrait bien reposer, si ce n'est un ego surdimensionné mais sans fondation. Alors, la question se pose aux députés qui ont l'article N° 68 de la Constitution sur la destitution du président à portée de vote. (Cet article, rappelons-le, énonce que « Le Président de la République peut être destitué en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l'exercice de son mandat ».) Alors, mesdames, messieurs les députés, « Macron à l'Elysée, stop ou encore ? »