- Dis-moi, Mohamed, c'est quoi un djihadiste ?
- Un djihadiste, ci un misilman qui fi la guerre sainte.
- Et pourquoi, il fait la guerre, le djihadiste?
- I fi la guerre pour partager l'islam.
- Et c'est quoi , au juste, l'islam ?
- Ti a pas entendu à la télé ? I disent bien qui ci une religion di paix, d'amour et di tolérance.
- Ah ? Et les musulmans, ils font la guerre pour partager une religion de paix ?
- Vi, mais ci siliment les djihadistes, pas li gentils misilmans.
- Ah bon ! Mais c'est qui leur prophète, aux djihadistes ?
- Ben, ci Mahomet.
- C'est le même que le tien, alors ?
- Ben, vi.
- Et c'est quoi leur livre de référence ?
- Ben, ci li Coran.
- Comme toi, alors ?
- Ben vi.
- Bah, alors, pourquoi tu ne fais pas le djihad, toi, puisque tu as le même Prophète que les djihadistes qui lisent dans le même Coran que toi qu'il faut faire le djihad contre les Chrétiens ?
- Ben ci pasque nous, on est des gentils misilmans.
- Ah bon. Alors toi t'es un musulman qui n'obéit pas à ce que demande ton Prophète dans le Coran que tu lis.
- Ci ça. Pasque nous, i sommes des gentils misilmans. I l'ont dit aussi à la télé.
- Alors, si je comprends bien, un gentil musulman, c'est un mauvais musulman qui n'obéit pas bien au Coran.
- …!
- Et un méchant djihadiste, c'est un bon musulman qui fait tout ce que lui demande son Prophète de Paix, d'Amour et de Tolérance dans le Coran.
- …!
- Ben, alors, finalement, si les gentils musulmans progressent dans le respect de leur religion et deviennent de bons musulmans, on n'a pas fini de mettre les drapeaux en berne...
Pourquoi ce blog?
Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.
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samedi 27 septembre 2014
Mohamed, explique-moi...
mardi 23 septembre 2014
Quand Sarkozy se Bayrouïse.
L'actualité
politico-médiatique de la semaine est tout à fait éloquente. Jugez
plutôt. Un président en exercice, aux lèvres duquel on pourrait
penser que le brave peuple devrait être suspendu, tant son destin
est lié aux décisions de son leader, fait un vrai flop d'audience.
Moins de 1,4 millions de téléspectateurs ont suivi l'allocution de
septembre de Hollande Ouille. Soit moitié moins que le score
enregistré pour son allocution de janvier dernier, qui était déjà
médiocre.
Moins d'une semaine plus
tard, un leader politique en retrait depuis près de deux ans et
demi, sans aucun mandat, s'avance sur la scène et fait près de 9
millions de téléspectateurs, soit près de sept fois plus...
C'est dire la
désespérance du peuple ressentie à l'égard d'un président qu'il
a élu il y a à peine deux ans et demi... Les Français ont enfin
compris qu'il n'y avait rien à attendre, rien à attendre de bon en
tous cas, de ce guignol. Ils sont anxieusement à l'affût d'une
alternative.
C'est dire aussi à quel
point la fascination exercée par Sarko tant sur ses fans que sur ses
détracteurs est grande.
Il est vrai que le
contraste de personnalité entre les deux individus est saisissant.
L'énergie qui transparaît dans la parole de Sarkozy est d'autant
plus criante quand elle fait suite à l'élocution hésitante et
lénifiante de Hollande Ouille et au vide sidéral de son propos.
Sarkozy est à Hollande
ce qu'est la vodka à l'eau du robinet, le Munster au fromage de …
Hollande, un chili con carne très épicé à un régime sans sel.
Tout le monde n'aime pas la vodka, mais on y goûte par défi, ou
parce qu'on aime à se faire peur...
Bien entendu, les médias
qui ont naguère massivement soutenu la candidature de Hollande
Ouille, jettent aujourd'hui un voile pudique sur la médiocrité de
leur favori et se précipitent sur leur chiffon rouge favori, Nicolas
Sarkozy. Assurément un chiffon rouge qui les fait vendre. Beaucoup
vendre. Aussi sa prestation a-t-elle été observée, scrutée,
disséquée pourrait-on même dire, avec à la fois gourmandise et
une mauvaise foi qui rappelle leurs plus belles années jusqu'en
2012.
Sur les radios
périphériques, on multiplie les pseudo débats entre intervenants
auditeurs pour jauger l'accueil réservé à ce retour en politique
de l'ancien président.
Bien entendu, les fans
restent fans et les antis restent antis.
Bien entendu, il ne
fallait pas s'attendre à ce que ce retour soit célébré avec
tambour et trompette dans l'opinion, encore moins dans les médias.
Bien entendu, tous les
poncifs éculés, assénés régulièrement durant tout son
quinquennat, reviennent intacts, notamment ceux relatifs à sa
prétendue agressivité ou nervosité. Curieux peuple qui est
toujours prompt à dénoncer la langue de bois des politiques et qui
s'offusque pourtant quand l'un d'eux appelle un chat un chat, un
menteur un menteur et un incompétent un incompétent.
De la part de ceux qui
avouent avoir voté Hollande en 2012, on aimerait simplement un peu
plus d'humilité et de discrétion. Avoir participé à l'élection
d'un tel clampin devrait inciter à ne plus s'autoriser à donner un
avis trop tranché négativement sur un candidat, quel qu’il soit.
Cela devrait même les obliger à se faire petit, tout petit, et se
faire oublier, plutôt qu'à aller baver sur les ondes.
Cela dit, quel est le
fond du propos de Sarkozy durant cette interview ?
On note avec une certaine
tristesse qu'il tombe dans l'illusion récurrente qu'il existe une
sorte de no man's land politique où la droite et la gauche
n'existeraient pas, une sorte de magma informe et sans teinte dans
lequel on pourrait répondre efficacement aux problèmes de la
société. C'est la fameuse chimère du centre ni-ni. Ni droite, ni
gauche, mais ailleurs. Chimère qui a jadis séduit Giscard, puis
Chirac, aujourd'hui Bayrou. Même Marine Le Pen serait tentée, à
l'entendre, par cette gageure. Feu Edgar Faure avait fort justement
dit : le Centre a le droit de vivre, à condition de faire le
mort.
Or toute conception qu'on
peut avoir de la vie en société dépend d'une appartenance
quasi-viscérale à un bord ou à un autre. Et en conséquence, les
réponses à apporter aux problèmes posés par cette vie en
communauté, également.
Les solutions que
pourraient partager droite et gauche sont rarissimes. Elles sont
quasiment toujours de nature philosophique, et dépendent de la façon
dont on conçoit la place de l'homme dans la société et sa
responsabilité personnelle en tant qu'individu.
Sarkozy a par exemple
évoqué la perspective effrayante d'avoir bientôt deux milliards
d'Africains à 12 kilomètres des frontières européennes au détroit
de Gibraltar. Contrairement à ce qu'il semble penser, la réponse à
apporter à ce danger mortel pour notre civilisation est forcément
de droite. Ne pas y répondre ou ignorer le danger est typiquement de
gauche.
On devine évidemment la
(grosse) ficelle de Sarkozy : celle d'attirer des voix de
gauche. Ce qui est parfaitement illusoire, tant il est marqué, à
tort ou à raison (et Saucisson-Pinard penserait plutôt à tort)
très à droite. Il ferait bien mieux de savoir où est sa clientèle
potentielle et d'attirer les sympathisants FN au lieu de les
ostraciser. Quitte à ne pas se fermer à un rapprochement avec le parti de Marine Le Pen, comme
les socialos l'ont toujours fait avec le PC et les
Verts-pastèques.
Aussi, quand il reproche
à Marine Le Pen de n'avoir pas appelé à voter pour lui, il oublie
délibérément Bayrou qui a officiellement, quant à lui, appelé à
voter Hollande, et donc contre lui. La responsabilité de Le Pen dans
l'élection de Hollande Ouille et, par conséquent, dans la situation
dans laquelle se trouve le pays aujourd'hui, est relative. Celle de
Bayrou est absolue.
D'ailleurs, en remettant
en cause en 2014 l'existence de l'espace Schengen alors qu'il s'en
est accommodé pendant tout son quinquennat, il reconnaît avec vingt
ans de retard que le FN avait raison. Encore un effort et il pourra
reconnaître que l'Europe telle qu'elle fonctionne aujourd'hui n'est
pas viable et qu'il faut soit la réformer en profondeur soit la
quitter.
Un plus gros effort sera
nécessaire pour reconnaître que la sortie de l'euro pourrait se
faire sans catastrophe, et que la Grande Bretagne, la Norvège ou la
Suisse ne vivent pas si mal avec une monnaie nationale, dans ou hors
l'Union Européenne.
En ayant la lucidité de
reconnaître la peur de la perte de leur civilisation par les
Français de souche, il ne fait qu'adhérer à la dénonciation par
le FN de l'immigration invasive que subit le pays depuis plus de
quarante ans.
Selon certains sondages,
on reconnaîtrait au moins à Sarkozy du courage. Néanmoins, son
courage n'aura pas été jusqu'à prendre une position claire et
franche sur ce qu'il ferait sur le « mariage pourtousse ».
Le moins qu'on puisse dire est qu'il a botté en touche. Dommage.
En évoquant l'utilité
dans son combat, d'avoir recours à de vieux bonzes comme Juppé le
dhimmi ou de Fillon le prototype UMPS, il donne l'impression de
proposer le remake dont les socialos lui font déjà le procès
d'intention.
Bref, ce n'est pas en se
bayrouïsant ainsi qu'il rassurera les électeurs de son vrai camp.
mardi 9 septembre 2014
Nouvelles de la rentrée: juste pour rire.
Un retrait ponctuel par
rapport aux flots de l'actualité puis le survol rapide des titres de
la Presse pour se remettre à niveau, permettent de savourer la
drôlerie de notre époque, sans rien prendre au tragique : une
sorte de recul salutaire en ce retour de vacances pour ne pas sombrer
illico dans la dépression où ne manquerait pas de nous plonger
toute réflexion objective sur les évènements politiques et
sociétaux de l'ère hollandesque.
Une jeune joggeuse est
poignardée en Seine-Saint-Denis. L'assassin est arrêté, et bien
évidemment il s'agit d'un « déséquilibré ». On ne
donne ni son nom ni sa race, mais on aura compris :
Seine-Saint-Denis, poignard : un « déséquilibré »,
qu'on vous dit... Bon, rien de nouveau sous le soleil français.
Voyons les autres
nouvelles :
Le corps médical
britannique lance Interpol aux trousses d'un couple cherchant à
échapper à ses griffes. Merveilleuse époque où la médecine-bien-comme-il-faut peut demander à la police internationale de traquer des malades comme des criminels ou des terroristes. C'est vrai que la médecine officielle a
tellement de résultats positifs dans sa lutte contre le cancer,
qu'on se demande pourquoi des malades auraient l'inconscience de
refuser de profiter de sa compétence...
Revenons en France :
Hollande Ouille n'a
aucune considération pour le petit peuple, cette méprisable
catégorie de « sans-dents », dixit la Première Cocue de
France. Bon. Mais où est le scoop ? Ce qui interpelle vraiment
Saucisson-Pinard dans cette affaire, ce n'est pas que Hollande Ouille
soit un-moins-que-rien. Comme le dit Philippe Bouvard, « on
savait que Hollande n'était pas un grand homme, on sait maintenant
que c'est un petit monsieur ». Non, ce qu'on se demande,
c'est : dans l'appellation « sans-dents », où est
l'humour que la vengeuse démasquée attribue à Hollande?
Saucisson-Pinard a longtemps cherché un hypothétique jeu de mot, un
à-peu-près, voire une contrepèterie, sans jamais rien trouver. Ben
non, « sans-dents », c'est juste méprisant, mais même
pas drôle.
Quoi d'autre ?
Un secrétaire d'état
est contraint de démissionner après neuf jours seulement
d'exercice, parce qu'on a découvert que ce député distrait ne
payait pas d'impôt depuis trois ans. On constate donc que le
recrutement au gouvernement se fait donc sous Valls II aussi
sérieusement que sous Z'Ayrault I, II, III ou que sous Valls I.
Bravo.
Aux dernières nouvelles,
Thevenoud (c'est le nom de cet éphémère secrétaire d'état au
commerce extérieur en délicatesse fiscale) quitte le PS, mais reste
député. Ben voyons. Il maintiendra ainsi la voix indispensable pour
assurer la courtissime majorité du PS au Parlement, mais sans porter le maillot de l'équipe. On le comprend, le Thevenoud : être député,
c'est être représentant du peuple. Et dans le peuple, il y a bien
des tricheurs fiscaux, non ? Donc, il reste député pour, en
quelque sorte, les représenter. Logique imparable.
Et puis il a l'argument
suprême : la politique ne l'a pas enrichi. Donc la plus grande
mansuétude lui est due. Il a juste « oublié » de payer
ces impôts. Ça arrive à tout le monde, un oubli, non ? On ne
culpabilise pas un Alzheimer. Et puis, il n'a pas violé ni trucidé
personne. En tous cas, rien ne le prouve encore, donc, un peu de
retenue, s'il vous plaît, dans vos anathèmes... Thevenoud va donc
rejoindre sur les bancs de l'Assemblée Nationale comme non-inscrit,
Sylvie Andrieux, autre socialiste condamnée pour détournements de
fonds publics. Ils vont bientôt pouvoir former un
groupe parlementaire: « les salopards de la République »,
qui va porter un coup sévère au PS en siphonnant beaucoup de ses
membres...
Jusqu'à maintenant, il
n'y a pas grand'chose de nouveau, en France. Continuons notre survol
de l'actualité.
Bonne nouvelle, le taux
de pauvreté diminue en France. Enfin, bonne nouvelle, si on veut.
C'est juste parce que le taux de pauvreté se calcule par rapport à
un niveau de vie médian. Et manque de chance, le niveau de vie
médian a, lui, bien baissé en 2013. Donc, pour se résumer, s'il y
a quasiment autant de « pauvres officiels » en 2013 qu'en
2012, ces pauvres sont en revanche encore plus pauvres qu'avant.
Hollande Ouille va donc trouver davantage de matière première à
ses moqueries. Restons positif.
Z'Ayrault se réveille :
il fait son auto-critique, en y incluant Hollande Ouille, en disant
qu'ils auraient dû dire la vérité sur l'état exact du pays. Il
regrette n'avoir pas suffisamment « décrit le niveau de
difficulté que rencontre la France, ni la baisse de son niveau de
capacité ». Il faut reconnaître que s'ils l'avaient fait, ça
revenait à donner leurs démissions immédiates en guise de début
de solution.
Le déficit de l'état
s'est encore creusé en juillet. De presque 5% en un an. Une paille !
Mais le gouvernement est fier : il a maîtrisé les dépenses
qui ont baissé de... 0,8%. Et ce sont ces satanées recettes
fiscales qui ont fortement baissé. « Monsieur le banquier,
certes je suis encore plus dans le rouge, et je continue de dépenser
énormément, mais pas plus qu'avant. Et c'est pas de ma faute
si j'ai moins de revenus... ! »
Et pour faire bonne
mesure, le ministère invoque des « effets de calendriers ».
Même les excuses les plus bidons ne changent pas.
Quoi de neuf, alors ?
Le GIEC cherche à
sécuriser ses subventions à venir et lance son vice-président et
représentant en France en la personne de Jean Jouzel sur la scène
médiatique.
Et Jouzel de nous prédire
une météo « à laquelle l'homme aura beaucoup de mal à
s'adapter » pour la seconde moitié du XXI e siècle, aux
micros complaisamment tendus par une Presse gourmande de catastrophes
annoncées.
Trop fort, le Jouzel.
Saucisson-Pinard aimerait qu'il vienne exercer son talent dans sa
région de résidence. SP constate en effet quasiment tous les jours
que les prévisions marines qu'il consulte se plantent de façon
quasi-systématique sur la direction, ou sur la force des vents, ou
sur les deux, et ce à l'échéance de 48 heures. Souvent, même les
prévisions à 24 heures s'avèrent a posteriori très folkloriques.
Alors ce génie du climat capable de nous dire de combien va s'élever
la température moyenne en France dans les 80 prochaines années,
pourrait se faire une fortune en nous faisant profiter de ses
compétences.
Evidemment,
l'inconvénient est qu'il aurait à répondre de ses erreurs,
aisément constatables. Alors que d'ici la fin du siècle, personne
ne ne souviendra de ses élucubrations financièrement intéressées,
à défaut d'être intéressantes. Et à ce moment-là, sa
contribution aux bienfaits de la planète commencera alors seulement
en participant à l'alimentation des vers.
La consultation (que SP
vous recommande) du rapport de Jouzel à Ségo-l'écolo est un régal
de trituration de chiffres, de magouilles de données historiques et
de manipulations d'informations contradictoires et incohérentes afin
de parvenir à toute force à un constat établi à l'avance. Un peu
comme si notre « expert en climatologie » s'était
ingénié avec obstination et application à limer, scier, polir les
angles d'une pièce octogonale pour la faire rentrer dans un trou
rond.
Dernier gag, enfin :
le changement climatique annoncé est dû à 99,9% à l'homme. On
admirera la précision du chiffre. Et on se demandera avec
impertinence à quoi peut bien correspondre le 0,1% responsable de ce
changement...
Bref, là non plus, rien
de bien nouveau.
Saucisson-Pinard se
demande s'il ne va pas repartir en vacances...
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