Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

lundi 23 août 2021

Le Drian et les Talibans: en rire ou en pleurer?

 

Le Drian, nouveau taliban.

Ce qu'il y a de bien avec ce gouvernement de tocards, c'est qu'il y en a toujours un qui se distingue un jour par une sortie surréaliste propre à faire rire dans cette période pourtant peu propice aux réjouissances. A faire rire, si on en reste à une réflexion primaire, disons instinctive, bien sûr. Parce que si on va au-delà de cette réflexion primaire et qu'on réalise que la sottise proférée émane d'un ministre grassement payé et investi d'énormes responsabilités dont les conséquences peuvent toucher chacun d'entre nous, économiquement, socialement voire même vitalement, ça devient beaucoup moins drôle et franchement inquiétant.

En avril dernier, on avait Blanquer (voir l'article « Y a d'la joie »), en mai on avait Darmanin (voir l'article « Darmanin en manif, culot ou profond mépris »).

Ce mois-ci, c'est Le Drian, le sinistre des Affaires Etrangères, qui tient la vedette avec une réflexion digne d'un film de Mel Brooks.

Le benêt estime que les Talibans parvenus au pouvoir en Afghanistan ont "changé" et il espère qu'ils vont mettre en place un gouvernement « inclusif », qui respectera le droit des femmes « dans le respect de la loi islamique ».


Mais bien sûr, qu'ils ont changé ! Les tenants les plus rigoristes d'une religion qui est restée collée pendant treize siècles aux élucubrations d'un gardien de chèvres dans le désert devenu chef militaire tribal pédophile et violent, viennent juste de « changer » ces quatre dernières années ! C'est parfaitement crédible!

Et ils vont former un gouvernement « inclusif » (l'anachronisme du terme par rapport à l'époque pré-médiévale où vit encore l'Afghanistan, n'effleure même pas le sinistre du Quai d'Orsay, vraisemblablement touché par une sénilité précoce).

Saucisson-Pinard suggère à Le Drian d'envoyer aux Talibans le couple formé par son porte-parole imberbe Attal et sa copine de tandem Stéphane Séjourné, conseiller de Macreux, afin de les aider à la formation de ce gouvernement « inclusif ». Peut-être qu'entre deux pierres qui leur seraient jetées à la tête, ils pourront leur prodiguer de judicieux conseils ?

Le Drian pourrait aussi ajouter à cette délégation, la pornographe Schiappa, qui se ferait forte de leur apporter ses suggestions pour l'établissement du droit des femmes dans la loi talibane. Elle pourrait par exemple dans un premier temps, obtenir l'élargissement du grillage dans la partie supérieure de leur burka qui masque leur visage et imposer une limite à la taille des pierres utilisées pour leur lapidation.


Ironie mise à part, c'est vrai que les Talibans de 2021 ont changé par rapport aux Talibans de 2016. Ils sont aujourd'hui bien plus armés. Et ce, grâce à la politique étrangère américaine dont la constante est de foirer systématiquement ses interventions extérieures depuis plus d'un demi-siècle, et plus particulièrement grâce à Biden The Cheater qui a géré le retrait des forces américaines d'Afghanistan en dépit du bon sens.

Biden the Cheater, supporter affirmé d'une remise en cause du deuxième amendement de la Constitution garantissant le droit du citoyen américain de détenir une arme, vient de laisser pour plusieurs milliards de dollars d'armement à une tribu de sauvages d'une autre époque qui ne cherchent qu'à anéantir l'Occident.

Le compteur des victimes occidentales des bévues d'un vieillard sénile porté au pouvoir par l'Oligarchie mondiale est enclenché.


Décidément, le sourire que pouvait déclencher l'ânerie proférée par Le Drian aura fait long feu, à la lecture des derniers évènements. Il faut se tourner vers la Russie pour retrouver quelques réflexions de bon sens, qui détonnent dans cet Occident et cette France qui donnent l'impression d'être dirigés par des déficients mentaux échappés de Ste Anne.

Poutine vient de rappeler qu'il fallait se méfier des réfugiés afghans qui pourraient s'avérer être des terroristes déguisés, et donc qu'il était impérieux d'empêcher un afflux de ces réfugiés. Le propos, sans requérir une réflexion particulièrement poussée, est juste frappé au coin du bon sens. Et on a beau scruter les déclarations des politiques français ou allemands, on n'en trouve aucune du même acabit. Nul doute que Poutine saura protéger son peuple de ce risque et que l'Europe paiera au prix fort les conséquences de sa naïveté et de son droitdel'hommisme aveugle.

Autre déclaration de bon sens du dirigeant russe : tout en défendant la vaccination comme un moyen (parmi d'autres) contre l'épidémie de Covid-19, il a insisté sur l'importance du consentement libre et éclairé. Et il réfute donc l'idée d'un vaccin obligatoire. A fortiori d'un pass discriminatoire.

Encore faut-il préciser qu'il parle ici du vaccin Spoutnik V qui est un vrai vaccin, basé comme tout vaccin digne de ce nom, sur une forme atténuée du virus. Non pas d'une recette à la Frankenstein qui tripatouille avec l'ADN.

Constatons que la non-homologation par la France de ce vaccin Spoutnik V, adopté par des dizaines de pays de par le monde, est la plus parfaite démonstration que les mesures prises par Macreux et défendues par sa clique de serviles domestiques politico-médiatiques ne sont en rien sanitaires mais purement politiciennes.

Et cette politique, symptomatique de la mise en place d'une dictature qui ne dit pas son nom, ne peut pas faire oublier quelques éléments purement factuels et extraits de données de l'OMS, des CDC (Center for Disease Control) américains, de Johns Hopkins Hospital et d'autres études scientifiques officielles:

- 90% des positifs à la Covid n'ont aucun symptôme. Comme certains le font remarquer avec humour, la Covid-19 est une maladie tellement mortelle qu'il faut se faire tester pour savoir si on l'a !

- Ces positifs asymptomatiques sont de piètres «propagateurs » du virus (0,7%!)

- Parmi les - donc rares - infectés qui ont les symptômes de la Covid, le taux de survie est de 99,82% pour les moins de 69 ans, et de 94,6% pour les 70 ans et plus. Encore faut-il préciser que parmi les 5,4% infectés avec symptômes de cette tranche d'âge qui ne survivraient pas, il y a beaucoup de facteurs de co-morbidité liés et qu'en outre, dans les statistiques relevées, un bon nombre de décès ont été abusivement attribués à ce coronavirus. Des décès n'ayant rien à voir avec le coronavirus ont été estampillés Covid parce qu'un test pratiqué juste avant ou après, a été déclaré positif. Beaucoup de personnes ne sont pas mortes tuées « par » le virus mais « avec » le virus, ou, si on préfère, « accompagné » par le virus. En outre, les CDC reconnaissent que les décès dus aux grippes « ordinaires », pneumonies et Covid-19 ont été rassemblés sous la même appellation Covid-19 ! En France, cet abus statistique est également pratiqué pour gonfler artificiellement la dangerosité de la Covid et de ses différents variants. Qui a entendu parler depuis 2020 du nombre de décès de la grippe « ordinaire » ?

Les raisons pour instaurer ce Pass nazitaire sont donc parfaitement injustifiées d'un point de vue strictement santé publique. Elles ne sont validées qu'en vue d'instaurer un contrôle de plus en plus serré de la population tout en assurant à Big Pharma la phénoménale rétribution des supports financiers qu'il a apporté et continuera d'apporter à ses pions politiques, comme Biden The Cheater aux USA et Macreux en France.



lundi 2 août 2021

Une histoire qui pue.

 


18 mois. Cela fait 18 mois que les nouvelles s'enchaînent depuis le début de cette histoire covidienne. Une petite rétrospective s'impose. Il est temps de prendre un peu d'altitude au dessus du flot d'informations qui nous submergent quotidiennement. De remettre en perspective les étapes qui se sont enchaînées. Et constater à quel point cette affaire de pandémie virale pue depuis le début.


Rappelons-nous. En janvier 2020 on apprenait l'émergence d'un virus grippal qui obligeait les autorités chinoises à confiner toute la région de Wuhan. Très vite, la responsabilité d'une chauve-souris ou d'un pangolin fut avancée comme étant la seule et unique origine du virus, et bien entendu, toute autre hypothèse avancée eut tôt fait d'être qualifiée de complotiste. Pourtant, la ville de Wuhan présente comme singularité d'abriter un centre de virologie chargée d'étudier ce qu'on appelle « l'augmentation de moyen » de virus. En clair, de développer la nocivité de virus naturels. Ce centre de virologie P4 est au carrefour d'intérêts internationaux par le biais de multinationales, et donc n'est pas du ressort strictement chinois. La France, par exemple, se trouve étroitement mêlée à son élaboration avec l'Institut Mérieux. Des politiques français se pressent d'ailleurs à l'inauguration de ce centre P4.

La coïncidence entre l'implantation géographique de ce centre de virologie et l'origine du virus, et surtout la négation officielle de cette coïncidence, laisse penser, d'ores et déjà, que l'affaire ne sent pas bon.


A ce constat, s'ajoute deux réalités.

Nous avons d'une part l'oligarque Bill Gates, dont les compétences en informatique semblent curieusement se convertir en compétences épidémiologiques, qui prédit publiquement, il y a quelques années à peine, l'arrivée plus que probable d'une pandémie mondiale. L'oiseau de mauvaise augure se fait aussi, en passant, l'apôtre d'une vaccination planétaire tout en s'intéressant de près - et là il retrouve son domaine de compétence originelle - à tous les bénéfices à visée transhumaniste qu'on pourrait tirer dans l'injection de nanoparticules à chacun des humains qui peuplent notre planète.

D'autre part, nous avons ce qui est désormais appelé les gars-femmes (non, il ne s'agit pas ici des déviants sexuels trans, mais d'une traduction phonétique par Saucisson-Pinard, pour des raisons de discrétion algorithmique), ce conglomérat oligarchique de sites numériques, toutes propriétés de richissimes individus mondialistes. Ce conglomérat censure à tour de bras toutes informations qui laisseraient penser que cette pandémie aurait d'autre cause que strictement naturelle.


Et là, on se dit que cette histoire commence à puer méchamment.


Passons rapidement sur les errements apparents dans la gestion de cette épidémie par Macreux, fidèle valet des intérêts de l'oligarchie qui cherche à imposer une gouvernance mondiale, comme Klaus Schwab, créateur du forum de Davos, ne s'en cache même plus. Au prétexte surréaliste que le virus n'a pas de passeport, Macreux prend bien soin de laisser les frontières ouvertes, afin que le virus puisse effectivement se répandre sur tout le pays. Ce qu'il fait. Et il le fait en alignant ses victimes préférées : les personnes très âgées à faible espérance de vie ou personnes plus jeunes mais de santé très fragile (souffrant de ces fameux facteurs de « comorbidité »). Bref, comme une grippe un peu plus sévère que d'habitude. Bilan ? En France en 2020, 65 000 morts. En 2016, l'épidémie de grippe a fait 60 000 morts. En 2016, le bilan interpelle juste le corps médical. En 2020, 5 000 morts seulement de plus font déclencher une alerte à l'apocalypse menaçante...


La Covid-19 n'est donc pas présentée comme une grippe sévère, mais comme un virus très très méchant. Et c'est là qu'on assiste au second volet de l'opération conjointe menée par la classe politique aux ordres de l'oligarchie (dont Macreux est l'incarnation parfaite) et les médias, eux-mêmes aux mains de cette oligarchie. (Rappelons qu'en France, 95% des merdias sont propriétés de pas plus de 9 oligarques). Le POuvoir politique et la Presse Oligarchiques - appelons-le POPOL par simplification pour la suite de la démonstration - POPOL, donc, se met en ordre de marche. Et le mot « guerre » lâché par Macreux lors d'une allocution télévisée, prend tout son sens. Non pas une guerre contre un virus, mais une guerre de POPOL contre le peuple, ce ramassis de gueux et de manants qui ose faire entendre sa voix auprès d'élites auto-proclamées.

Ce second volet consiste à instaurer la peur dans la population. La peur, voire la terreur. C'est le principe même du terrorisme : imposer la peur chez la victime afin de la contraindre à agir comme on l'entend.


Rappelons-nous : dès le début de cette épidémie, POPOL instille l'idée que le vaccin va être la seule porte de sortie possible de la crise sanitaire.


CANDIDE: «Un vaccin ? Pourquoi un vaccin ? Et pourquoi pas un traitement ? »

POPOL : « Non, il n'y a pas de traitement. On trouvera un vaccin et l'affaire sera réglée. »

Un doigt se lève dans l'assistance.

- « Euh, il y a l'hydroxychloroquine qui semble marcher plutôt bien, quand on l'administre suffisamment tôt... »

POPOL : « Non, on vous dit : il ne peut pas y avoir de traitement. Il y aura un vaccin. »


Et pourquoi donc ne peut-il pas y avoir de traitement ? Parce que tant qu'il n'y a pas de traitement reconnu officiellement, il peut y avoir une AMM (Autorisation de Mise sur le Marché) temporaire pour un vaccin.

Et si un traitement ne concerne, par définition, que les malades, donc une portion congrue de la population, un vaccin s'adresse à la population mondiale ! L'enjeu financier pour Bigpharma, pilier de l'oligarchie, est alors sans commune mesure !


Et POPOL va jusqu'à sortir, pour discréditer l'hydroxychloroquine et son promoteur, une étude grossièrement bidonnée dans une revue médicale de renom, The Lancet, sur l'inefficacité et surtout sur la dangerosité supposée de ce remède pourtant utilisé sans problème depuis des décennies contre le paludisme sur des centaines de millions d'Africains. On a là un aperçu du pouvoir de coercition de POPOL sur une revue médicale supposément indépendante, pour obtenir sur commande, la publication d'une telle étude.

La supercherie aura beau être démontrée par la suite avec les excuses de The Lancet, la liberté de prescription de l'hydroxychloroquine par le médecin ne sera pas rétablie pour autant. La liberté de prescription allait d'ailleurs être une des premières de la longue liste des libertés que POPOL fera disparaître.


Une autre main se lève.

- « Et l'ivermectine, ça marche pas mal non plus ! »

POPOL : « Non et non ! Il n'y a pas de traitement ! Seuls les complotistes rétrogrades et réactionnaires peuvent croire à un traitement contre les effets de ce monstrueux virus. On travaille sur un vaccin. Il ne saurait tarder ! »


Dès lors, POPOL fait tourner l'opération terroriste à plein régime. Tous les soirs de confinement, nous avons à l'écran un Directeur de la Santé qui joue au croquemort statisticien, en énumérant le nombre de décès du jour, prétendument attribués à la Covid-19.

Dans les ehpads, c'est l'hécatombe. Quand la causalité d'une mort est discutable, elle sera d'autorité, estampillée « Covid ». Mieux : on autorise la dispensation par le simple personnel soignant, au malade touché par le virus, d'un produit à l'utilisation très délicate, le Rivotril, dont la notice précise pourtant clairement qu'il ne doit pas être utilisé en cas de difficulté respiratoire. Or la difficulté respiratoire est le principal symptôme de l'infection par ce coronavirus. Ce recours au Rivotril ressemble furieusement à de l'euthanasie. Et comme les visites des parents et proches des pensionnaires en ehpads sont interdites, POPOL commet le crime parfait.


Et l'affaire covidienne pue de plus en plus.


POPOL utilise pour sa propagande alarmiste, les statistiques à tour de bras. Quand il n'y pas assez de morts (et pour cause, la létalité du coronavirus s'avère finalement très faible statistiquement), POPOL évoque le nombre de malades. Et quand le nombre de malades devient trop anecdotique, on met en avant le nombre de cas. Et évidemment, ces cas, plus on les cherche, avec les tests PCR hypersensibles (qui réagissent à une présence virale très ancienne) et tests antigéniques, plus on les trouve. C'est comme les petits cailloux blancs. Dans la vie courante, on ne les remarque pas, mais si on commence à les chercher attentivement, on en trouve une quantité insoupçonnée.


Bref, POPOL a recours à tout ce qui peut instaurer un climat de panique : Mots choisis (« nous sommes en guerre », « pandémie mondiale »), attitudes (couvre-feu, port de masque partout en en tous lieux, enfermement des gens chez eux, interdiction de réunion, fermetures de commerces, bars et restaurants etc...), monopolisation du sujet dans les médias, tout est bon pour faire croire au bon peuple que, aussi longtemps qu'il n'y aura pas de vaccin, la vie ne pourra pas revenir à la normale.


Et bingo ! A peine dix mois après l'éclosion d'un virus supposément inconnu au départ, voilà les premiers vaccins qui arrivent sur le marché. Jusqu'alors, un vaccin mettait plusieurs années à être mis sur le marché, après qu'on se soit assuré de son efficacité et bien sûr de son innocuité. Et il n'était dispensé qu'en l'absence de traitement efficace contre la maladie visée. POPOL se pâme alors de la performance de Bigpharma à avoir réagi avec autant de célérité.

Bon, évidemment, les essais cliniques sont encore en cours. Pour Pfizer, par exemple, les études sont censées se poursuivre jusqu'à l'été 2022.

CANDIDE: « Mais alors, POPOL, les vaccinés actuels sont des cobayes gratuits ? »

POPOL : «  Oui, en quelque sorte, mais croyez-moi, il n'y a rien à craindre ! »

CANDIDE: « Mais dites-donc, POPOL, vous n'avez aucun recul sur votre nouvelle technique dite d'ARN messager, jamais encore utilisée sur l'homme ? »

POPOL : « Non, mais soyez tranquille. Il n'y a pas de danger ! »

CANDIDE: « Vous vous en portez garant, alors ? »

POPOL : « Ah bah, non ! On se dégage de toute responsabilité civile et pénale en cas de problème ! »


Et l'odeur de cette affaire covidienne devient carrément pestilentielle.


CANDIDE: « Dites-donc, POPOL, le citoyen peut avoir un regard sur les termes du contrat qui unit l'UE et les fournisseurs de vaccins ? »

POPOL : « Nein. Verboten ! Les très rares privilégiés à avoir accès aux contrats peuvent les consulter dans une salle fermée, pendant un temps très limité, après avoir laissé leur téléphone à l'entrée, et sans avoir la possibilité de faire aucune copie. »

C'est la transparence version « Union Européenne ».

Que Bigpharma ait pu imposer cette loi du silence aux instances de l'UE en dit long sur le rapport de force existant entre POPOL et nos politiques. Opacité des accords conclus et déresponsabilisation des fournisseurs : avec l'UE, ce n'est pas le client qui est roi, c'est le vendeur ! Et il se dit que Pfizer est en train de faire passer le prix de sa dose de vaccin de 15 euros à 19 euros. Et l'UE d'opiner en baissant les yeux. 27% d'augmentation d'un seul coup d'un seul, qui dit mieux ?


Et des doses, POPOL nous confirme qu'il va y en avoir à injecter! La France est en train de commander pour les deux ans qui viennent, deux milliards de doses à Pfizer. Oui, vous avez bien lu : deux milliards de doses. Faites le calcul : 2 milliards de doses pour 66 millions de Français, ça fait 30 doses par tête de pipe, y compris les nourrissons et les enfants de moins de 12 ans. 2 milliards de doses en plus de celles qui ont déjà été commandées et injectées à ce jour, bien sûr. De quoi faire face aux variants à venir, non ?

D'autant que c'est dans la nature d'un virus : plus il trouve d'obstacles, plus il mute pour s'adapter à l'obstacle. Que, ce faisant, il devienne éventuellement plus contagieux mais bien moins pathogène, n'a aucune importance, puisque désormais, on observe davantage le nombre de cas plutôt que leur gravité. Donc, plus il y aura de vaccinés, plus il y aura de mutations de virus. Donc de variants. Et plus il y aura de variants, plus Bigpharma se frottera les mains en proposant de nouveaux vaccins, avec deux ou trois doses chacun à la clé. Elle n'est pas belle la vie sous le régime de POPOL ?


Il s'agit évidemment maintenant de veiller à ce que ces doses soient effectivement injectées. Il ne faudrait pas que des moutons à l'odorat un peu délicat, commencent à tiquer devant la puanteur de l'affaire et cherchent à sortir du troupeau. La numérisation du citoyen qui est visée par POPOL, au-delà de l'aspect purement financier pour Bigpharma, ne présentera d'intérêt que si une écrasante majorité est injectée. Le but ultime est de faire perdre au multi-vacciné son statut de citoyen autonome et responsable au profit d'un label de pion connecté, d'objet traçable, manipulable, et potentiellement mis au rebut de la société d'un simple clic sur un clavier d'ordinateur. Au bon vouloir de cette gouvernance oligarchique.



Donc après la première phase de dispersion du virus, après la seconde phase terroriste pour imposer l'espoir d'un vaccin salvateur, après la troisième phase, la présentation du-dit vaccin, arrive la quatrième et dernière phase de l'opération oligarchique : l'imposition par la force de ce vaccin.

D'où la création du Pass sanitaire. La discrimination entre le bon mouton en voie de devenir le pion connecté évoqué plus haut, et le mouton noir, réfractaire, se met en place.


Et voyant que le nombre de ces bons moutons vaccinés atteint un plafond de verre, POPOL commence à évoquer l'obligation vaccinale, par la contrainte. Ça sera l'apothéose du coup d'état de l'oligarchie sur les instances politiques des nations et sur les citoyens qui usent de la démocratie pour les diriger.


Alors ? Elle ne pue pas, cette affaire covidienne ?