Ce 19 février, le directeur du centre d'accueil de réfugiés à Pau se fait agresser à coups de couteau par un Soudanais migrant clandestin, et il en meurt. A Pau. C'est-à-dire à quelques kilomètres de la frontière franco-espagnole dont Génération Identitaire faisait tout récemment la démonstration de la vacuité de la surveillance par les Autorités ; à quelques kilomètres de là où, un peu plus tard, des associations d'extrême-gauche et autres pro-migrants faisaient leur contre-manifestation en faveur d'un accueil toujours plus généreux de clandestins qui violent la loi française. Saucisson-Pinard espère, du coup, que ce directeur du centre d'accueil faisait partie de ces contre-manifestants. On peut imaginer que ce Soudanais, nouvelle « chance pour la France », soit passé par le col du Portillon, précisément où ont eu lieu ces manifestation et contre-manifestation. L'actualité est cruelle... ou farceuse, selon le degré de compassion qu'on peut avoir pour cette histoire.
On nous dit que ce directeur était père de famille. Cette affaire est regrettable, surtout pour ses enfants, évidemment. Mais force est de constater qu'il y a eu, qu'il y a et qu'il y aura bien d'autres victimes de cette immigration sauvage et incontrôlée, mais que ces victimes ont été, sont et seront le plus souvent bien plus innocentes que ce responsable de centre d'accueil. Cette affaire peut faire penser à l'histoire d'un collabo de la période 40-44 qui serait tombé « accidentellement » sous les balles d'un gestapiste.
Saucisson-Pinard n'a pas suivi cette affaire à travers les merdias mainstream, craignant la submersion par un tsunami de pasdamalgames. Il constate néanmoins que le sinistre de l'Intérieur a jugé utile d'effectuer le déplacement à Pau, sentant le malaise. Et malaise il y a. Car on apprend que ce Soudanais, demandeur d'asile, venait d'effectuer un séjour en prison, parce qu'impliqué dans une rixe à l'arme blanche. Un bandeau d'annonce sur la chaîne Cnews précise : « Suite à cette condamnation, sa demande d'asile avait donc été refusée et il était prévu qu'il soit expulsé. C'est pour cela qu'il s'était rendu au Centre. »
On apprend par ailleurs que ce clandestin est en France depuis 2015 ! Donc en résumé, ce clandestin est repéré depuis plus de 5 ans ! Dans l'intervalle, l'individu a déjà occasionné pour le contribuable français des frais de justice, des frais d'emprisonnement, non pas pour avoir violé la loi relative à l'immigration mais pour violences au couteau. Puis, relâché, il n'est plus dans les mains de l'Etat, mais « on » lui demande si ça ne serait pas abuser de sa bonne volonté de bien vouloir se présenter de lui-même au Centre de réfugiés pour demander sa propre expulsion ? De qui se moquent Darmanin et son ministère de pieds-nickelés, qui ne trouvent rien de mieux à faire, dans le même temps, que de demander la dissolution de Génération Identitaire, association pacifique réclamant juste que les propres promesses de Macreux de faire surveiller les frontières soient enfin respectées ?
Et on est en droit de se demander, pour un cas qui vient tragiquement sur le devant de la scène, combien d'autres illustrant cette politique laxiste, pour ne pas dire j'menfoutiste, passent sous silence, à l'insu des Français cochons de payants ?
Résultat, dans ce cas présent, des enfants perdent leur père prématurément. Un avocat (pourquoi pas Me Gilles-William Goldnadel, celui de Génération Identitaire?) serait bien inspiré de contacter ces derniers et leur proposer de poursuivre Darmanin en justice pour mise en danger d'autrui, ou non-assistance à personne en danger, voire pour homicide involontaire. Car il y a là clairement, « incompétence ayant entraîné la mort sans intention de la donner », ce qui devrait devenir le libellé d'une infraction pénale à créer, permettant de mettre enfin des ministres face à leurs responsabilités.
Et pour l'épitaphe de la pierre tombale de ce directeur de centre de réfugiés, Saucisson-Pinard suggère une citation de Bossuet : « Dieu se rit des créatures qui déplorent les effets dont elles chérissent les causes. »
Il semble que gogole use d’algorithmes pour rendre le blog de Saucisson-Pinard moins visible sur la toile. Aussi Saucisson-Pinard en appelle à ses lecteurs pour qu'ils envoient juste le lien de cet article à, par exemple, cinq de leurs contacts, susceptibles d'être réceptifs à sa vision politique de l'actualité. D'avance, il vous en remercie !