Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

vendredi 25 février 2022

"De quoi j'me mêle?"


 

La situation en Europe est en train de connaître un bouleversement historique.

En effet, la Wallonie réclame son autonomie et demande officiellement le soutien de la France.

Cela faisait déjà longtemps que ses velléités d'indépendance vis à vis des Flamands étaient connues. D'ailleurs, cette co-existence entre les Flamands néerlandophones et les Wallons francophones peut être considérée comme un non-sens et en tous cas une contradiction historique.

Après tout, la Belgique telle que nous la connaissons aujourd'hui n'existe que depuis 1830. Jadis, les Wallons étaient les plus nombreux et la Wallonie était plus riche que la Flandre. Aujourd'hui, les rapports sont inversés. Les Flamands représentent 60% de la population belge, et leur PIB est supérieur à celui des Wallons. La rivalité entre les deux ethnies n'a fait que croître avec les années. Les Flamands considèrent avec amertume qu'ils doivent payer pour compenser la relative pauvreté des Wallons et ont un ressentiment à l'égard de ces derniers, après des décennies de ce qu'ils considèrent comme une oppression de la part des Wallons exercée au début du royaume de Belgique.


Aujourd'hui, force est de constater que les Flamands regardent des chaînes de télé flamandes quand les Wallons ont leurs propres chaînes de langue française. Au niveau politique, le hiatus est également flagrant, les Flamands votant pour des personnalités flamandes et les Wallons pour des personnalités wallones. Ce qui complique singulièrement la constitution d'un gouvernement commun.

Bref les raisons de cette cohabitation s'amenuisent d'année en année.

Le clash était donc inévitable et c'est tout naturellement que la France apporte son soutien à cette émancipation wallone. Macreux s'est d'ailleurs empressé d'apporter une aide militaire à l'état wallon en cours de constitution, afin de dissuader la Flandre d'exercer une rétorsion par la force envers les sécessionnistes.

Le président russe Vladimir Poutine a eu tôt fait de rendre publique sa désapprobation et de menacer la France de représailles « sévères » et de mesures de rétorsions économiques et financières. De plus, il envoie une armée de 7000 hommes aux Pays-Bas, pour parer à toute éventualité.

L'opinion publique tant française que wallone s'étonne à juste titre de l'attitude de la Russie et se demande bien naturellement en quoi la Russie de Poutine peut bien être concernée par une affaire purement franco-belge. L'homme de la rue d'Europe occidentale se dit, non sans justesse : « Mais de quoi j'me mêle ? »

 

Bon. D'accord. L'histoire actuelle n'est pas exactement celle-ci. Mais elle pourrait.


Et l'interrogation « De quoi j'me mêle ? » reste de mise, mais cette fois dans l'esprit de l'homme de la rue russe et du citoyen du Donetsk et de Lougansk, vis-à-vis de l'attitude du gouvernement de Biden The Cheater et de ses toutous européens, Macreux en tête.

Il convient en effet de remettre les choses en place et d'énumérer quelques éléments historiques que les merdias se gardent bien de rappeler, dans leur empressement à soutenir l'hystérie de Macreux qui joue, une fois de plus, avec délectation au petit chef de guerre.

  1. L'Ukraine a été la cible d'un coup d'état en 2014 mené en sous-main par l'Europe, sur demande des Etats-Unis. Donc il y a déjà eu ingérence caractérisée par l'UE et derrière elle, les Etats-Unis, dans un pays tiers qui ne fait même pas partie de l'UE.

  2. Au moment de la signature des accords de paix de Minsk, le Donbass, région ukrainienne frontalière de la Russie, était déjà le théâtre de violents affrontements entre séparatistes pro-russes et armée ukrainienne. Le protocole de Minsk est alors signé et prévoit un cessez-le-feu immédiat.

  3. Cet accord de Minsk, signé le 12 février 2015, prévoyait notamment le retrait des armements lourds, la libération et l'échange de l'ensemble des prisonniers et des réformes constitutionnelles. Mais cet accord ne sera jamais réalisé.

  4. Les Ukrainiens ne voulaient pas de cet accord, notamment parce qu'il impliquait de reconnaître une légitimité et un statut spécial aux séparatistes. Le conflit mené par l'Ukraine contre les russophones de l'Est a causé la mort d'environ 14 000 personnes depuis 2014.

  5. Les Etat-Unis n'ont eu de cesse d'étendre leur zone d'influence militaire vers l'Europe de l'Est, en contradiction avec ces mêmes accords de Minsk. Les bases de l'OTAN tendent à encercler les frontières occidentales de la Russie. Poutine refuse, et on le comprend, cette pression militaire à proximité de son territoire.

  6. L'Ukraine a, depuis ce coup d'état, exercé des exactions violentes permanentes sur les populations russophones de l'Est.

  7. La marionnette qui tient lieu de président de gouvernement ukrainien, est un vulgaire saltimbanque, ex-humoriste ayant joué un rôle comique de professeur de lycée devenant président de la république (la réalité dépasse parfois la fiction, dans les délires de la politique étrangère des USA). Cette marionnette manipulée par les pays occidentaux s'entoure volontiers, pour ses basses œuvres, de militants néo-nazis. Mais cela n'a pas l'air de choquer outre mesure nos dirigeants et influenceurs bien-pensants pourtant d'ordinaire toujours prompts à voir des nazis partout et surtout là où il n'y en a pas, à l'image de notre belliqueux « philosophe » de plateau télé BHL. Voir ce juif parasite pousse-au-crime défendre un régime qui s'appuie sur des milices nazies est une délectation de fin gourmet.


Bref cette affaire ne concerne que la Russie et l'Ukraine ; La Russie qui veille à sa sécurité d'une part, et d'autre part, dans l'Ukraine, des populations qui ont le droit de vivre comme elles l'entendent, sous l'autorité de leur choix et en conformité avec leur identité culturelle.


Macreux dont l'immaturité va une fois de plus coûter cher aux Français, cherche à se donner une stature internationale qu'il n'aura à l'évidence, jamais. Il n'est que le jouet d'intérêts (américains) qui le dépassent de très haut. Les mesures de rétorsion qu'il brandit à la face de Poutine ne serviront à rien. Les mesures de rétorsion prises par Hollande Ouille en 2014 avaient déjà été parfaitement inopérantes. Elles avaient eu pour conséquences de coûter très cher à l'agriculture française exportatrice et de permettre à la Russie de se doter, en compensation, d'une agriculture plus performante.

Cette fois, c'est Renault et Total, entre autres, qui font faire les frais des gesticulations ridicules de notre présidenticule.


Si la France est le 17e client de la Russie, elle est son 7e fournisseur. La Russie exporte essentiellement des hydrocarbures, donc du carburant, alors que la France exporte des biens manufacturés. Autant dire que des mesures de rétorsion commerciale de la France ne feront ni chaud ni froid à la Russie. Elle se tournera vers d'autres pays pour ces biens manufacturés, notamment la Chine.

Jeter ainsi la Russie dans les bras de la Chine qui n'en demandait pas tant, est, en terme de perspective géopolitique, d'une imbécillité rare.

Et si la Russie ferme le robinet à gaz et à hydrocarbures, on peut déjà envisager la note salée aux pompes à carburants et une explosion du coût du chauffage. Bref, cette guéguerre commerciale coûtera cher à la France. Et donc aux Français en termes d'emploi et de coût de la vie.

En même temps, comme dirait notre infantile locataire élyséen, ce n'est pas comme si la France avait une balance commerciale globale déficitaire... (pour mémoire, un déficit abyssal jamais vu de 85 milliards d'euros en 2021... Bravo Macreux et merci!)

D'ailleurs, le marché boursier ne s'y trompe pas, avec le dévissage brutal des titres des entreprises françaises dépendant de la demande russe, dont 35 groupes du CAC 40.


L'Amérique, elle, se frotte les mains. Elle vendra son gaz de schiste à prix d'or aux Allemands, en compensation de la fermeture du robinet à gaz russe de Nord Stream 2.

Et elle regarde avec délectation ses chiens-chiens européens creuser bêtement le fossé entre eux et la Russie, et en payer, eux seuls, les conséquences. Un fossé qui ne répond qu'aux intérêts géostratégiques étatsuniens.


Décidément, chaque jour qui passe apporte une nouvelle raison de virer ce petit chefaillon immature de l'Elysée le 10 avril prochain.



Pour bien vous faire comprendre et accepter que l'avenir de la société occidentale devra impérativement être métissé et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper.








En réponse modeste à ce matraquage,
Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur caucasienne. (Femme ou homme, parce qu'il en faut pour tous les goûts !-D )


mercredi 9 février 2022

Pensées présidentielles.

 


Vous avez toujours voulu savoir ce qui se passe dans la tête de présidents devant se rencontrer lors d'un sommet diplomatique ?
Vous allez le découvrir ici, alors que Macreux se rend à Moscou pour « tenter une désescalade » des tensions entre l'Otan, l'Ukraine et Vladimir Poutine.



Macreux : « Me voici dans l'avion présidentiel, en tant que président de l'Europe. Aaaaah, le monde entier a les yeux rivés sur moi. Je vais être le grand diplomate au service de la paix sur la planète. C'est là que ma stature internationale va s'exprimer dans toute sa plénitude ! C'est Biden qui va me devoir une fière chandelle ! »

Poutine : « Bon, qu'est-ce que j'ai à mon agenda aujourd'hui ? Oh,  Chert!* Il y a cet avorton de président français qui doit arriver ! J'avais complètement oublié ! Pfff, comme si j'avais du temps à perdre en ce moment ! Qu'est-ce qui m'a pris d'accepter ce rendez-vous ? Décidément, je suis trop poli avec ces seconds couteaux qui cherchent à se faire mousser. »

Macreux : « Voilà Moscou ! Brrr, il a l'air de cailler dur ! Quand je pense que je dois faire semblant de croire régulièrement à cette fable du réchauffement climatique ! Paraît qu'en Sibérie, il n'a jamais fait aussi froid depuis des lustres !!! »

Poutine : « Bon, je m'en vais te l'expédier vite fait, ce morveux. Dès ce soir, je pourrai revenir aux choses sérieuses ! »

Macreux : « J'adore ça, quand je descend de l'avion et que m'attend tout un aréopage d'officiels en rang d'oignons pour me saluer ! Il  faut que je pense à prendre mon air le plus martial quand je vais serrer la main de Poutine, pour bien lui faire comprendre à qui il a affaire. »

Poutine : « J'ai pas trop le temps d'aller à l'aéroport maintenant. Tiens, je vais demander à Dimitri de prendre une voiture officielle avec trois ou quatre de son équipe de laveurs de carreaux pour aller chercher le guignol. Ils finiront leur ménage plus tard. »

Macreux : « Ben alors ? Il n'y a personne pour m'accueillir ? Où est Poutine ? Ah je comprends ! Trop impressionné pour pouvoir m'affronter sur le tarmac devant les télévisions du monde entier! »



Poutine : « Allez, va t'installer en bout de cette table, coco. Faut surtout pas montrer qu'on est proche en quoi que ce soit. »

Macreux : « Ah, il respecte la distanciation sociale et les gestes barrières comme le recommandent les pubs que mon ministère de la Santé passe à la télé. Bon point pour moi ! Ça prouve qu'il a de la considération pour mes talents de communicant ! »

Poutine : « Au moins, à cette distance-là, il ne peut pas voir que je consulte mes papiers des affaires courantes. »

Macreux : « Je sens qu'il est ébranlé par mon argumentation, ses yeux commencent à papillonner, il me semble, non ? »

Poutine : « Blin !*, ça fait combien de temps qu'il soliloque comme ça ? Jetons un petit coup d'oeil discret à ma montre. Trois heures déjà ! J'y crois pas ! Il en a pour longtemps encore ? Je sens que mes paupières sont lourdes... »

Macreux : « Là, je sens bien que je suis en train de l'enfumer grave. C'est vrai que je n'ai absolument aucun mandat pour lui promettre quoi que ce soit au niveau de l'Otan, alors il faut que je fasse comme je fais à la télé française quand je dois parler de tout et de rien avec un air pénétré pour hypnotiser les gueux devant leurs écrans. »

Poutine : « Blyat ** alors!  Ça fait cinq heures qu'il parle pour ne rien dire, maintenant ! J'en peux plus ! C'est de la torture ! Peut-être que je ne devrais pas hocher de la tête de temps en temps, ça a l'air de le relancer à chaque fois ! Bon, je vais discrètement couper le son de mon traducteur, ça sera déjà ça. Ça me permettra de commencer à réfléchir tranquillement à ce que je vais dire en conférence de presse de fin de réunion. »



Macreux : « Bon, direction l'Ukraine, maintenant, pour annoncer la réussite de ma prestation à Volodymyr Zelensky. »



Zelensky : « Mais qu'est-ce qu'il me raconte, ce guignol ? Il n'a rien obtenu du tout ! Il rigole ou quoi ? C'est moi l'ex-humoriste, pas lui ! »



Macreux : « Bonne chose de faite. Les Européens vont être fiers de leur président. Mais il faut que je rentre d'urgence. Ce connard de Darmanin va me foirer ma campagne présidentielle en parlant comme il vient de le faire à une journaliste de ma chaîne d'information continue. Et cette quiche de Schiappa qui en remet une couche en pleine Assemblée ! Et puis il y a mon ministre de la Justice qui vient de se voir affubler du sobriquet de Ducon-Maserati, avec ce transfert de 100 000 euros d'origine extrêmement douteuse sur son compte. Ce crétin ne sait même pas planquer correctement son fric de corruption !  Il va falloir que je lui donne des leçons ! Comment pense-t-il que je fais avec Pfizer sans me faire poisser? C'est quand même quelque chose, on ne peut pas s'absenter deux jours sans que ces crétins et ces crétines fassent des conneries en public. Cellezéceux qui me plombent ma campagne ne croient quand même pas retrouver un portefeuille ministériel si je suis réélu, sans blague ? Ils vont gicler direct, ces cellezéceux. Mon Jean-Michel a raison, c'est la contrepartie d'engager des encore plus incompétents que soi pour pouvoir régner sans ombre, mais ça peut me coûter cher au final... »

 

*Merde ! en russe.
** Putain! en russe.




Saucisson-Pinard n'a pas pour habitude de faire de la pub pour quoi que ce soit. Mais voici une exception : Il vous recommande (gratuitement!) le nouveau trimestriel Furia.


Très bien écrit par, entre autres, Obertone, Papacito et illustré par Marsault, Furia a un ton libéré qui tranche et fait du bien dans cette atmosphère coincée et compassée du politiquement correct ambiant. 






Pour bien vous faire comprendre et accepter que l'avenir de la société occidentale devra impérativement être métissé et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper.







En réponse modeste à ce matraquage,
Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur caucasienne. (Femme ou homme, parce qu'il en faut pour tous les goûts !-D )