Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

dimanche 19 mars 2023

Macron à l'Elysée: Stop ou encore?

 

Comme demandé dans l'article précédent, Saucisson-Pinard vous engage à vous abonner à son blog afin de lutter contre les algorithmes de gogole qui ont pour vocation d'invisibiliser ses propos, qui sont, il est vrai, assez peu conformes à la doxa dominante. Merci !

Au vu des évènements du moment, avec cette onzième application du 49.3 sur l'adoption d'une réforme des retraites impopulaire et les manifestations qu'elle déclenche, sans compter les possibilités de suites institutionnelles, il est utile de faire un instantané sur la personnalité du psychopathe que nous avons à l'Elysée.

Passons rapidement en revue le bilan du "Mozart de la Finance" permettant d'évaluer sa « compétence »:

1. Sur le plan économique, que peut-on énumérer ?

- Déficit budgétaire abyssal alors que les prélèvements fiscaux n'ont jamais été aussi hauts et les services publics aussi mal rendus.

- Endettement record du pays.

- Fraude fiscale endémique (y compris chez les membres du gouvernement), fraude sociale de grande ampleur (avec, à titre de simple exemple, un nombre de cartes vitales qui dépasse celui des habitants...)

- Déficit commercial record. Même le secteur alimentaire, jadis largement excédentaire, est aujourd'hui touché : on importe plus de produits agricoles qu'on en exporte!

- Record du taux de la population sous le seuil de pauvreté.

- Chômage élevé, quoique camouflé par trituration des chiffres.

- Le PIB par tête d'habitant classe aujourd'hui la France au 25e rang mondial !

- Le secteur industriel est passé maintenant sous la barre des 10% du PIB !

- Des fleurons industriels et pépites stratégiques français sont vendus (parfois soldés) à l'étranger. (Alstom, STX, Arcelor, Pechiney, Alcatel pour ne citer que quelques-uns).


2. Sur le plan du fonctionnement du pays :

- Le secteur de la Santé est à la ramasse. L'Hôpital est à l'agonie, avec manque de personnel, manque de lits, manque de matériel. La Recherche est au point mort. De plus en plus de gens zappent leur suivi médical et dentaire pour raisons économiques. La France avait le secteur de la Santé le plus performant du monde il y a encore quelques années...

- La France, naguère leader dans le domaine de l'énergie nucléaire et exportatrice d'électricité, est aujourd'hui dépendante de l'étranger et désormais en retard dans cette technologie.

- L'éducation nationale est devenue une usine à crétins, le pays plonge dans les profondeurs du classement PISA mondial. De surcroît, son ministre s'occupe aujourd'hui davantage de ce que les enfants ont dans la culotte que de ce qu'ils ont dans leur tête.

- La délinquance est à la hausse sur tous les plans : vols, cambriolages, agressions, meurtres, viols, squats, dégradations de biens publics. La part des affaires non résolues est vertigineuse, par manque de moyens et de personnel et tout simplement parce que ces affaires se multiplient.

- La Justice, vérolée par l'idéologie gauchiste, joue allègrement avec la règle du deux poids deux mesures selon que le coupable est français de souche ou immigré: sévère ou peut-être juste dans le premier cas, mais laxiste dans le second. Elle est désormais décrédibilisée aux yeux des Français qui ne lui font plus confiance.

- Le patrimoine national part en lambeaux, à la fois pour des raisons idéologiques de désintérêt et des raisons économiques (les deux étant liées, d'ailleurs.). Des monuments historiques ne sont pas entretenus, des églises sont détruites, du mobilier historique est bradé.

- Une immigration débridée sans aucun contrôle. Les frontières sont des passoires, les OQTF de simples bouts de papier sans valeur ni conséquence.

- La liberté d'expression n'existe plus. La censure est partout, les merdias mainstream, les privés comme ceux du service public, sont à la solde du gouvernement. Des médias étrangers sont désormais carrément interdits, exactement comme en Corée du Nord...

Il est clair que ce bilan interne n'est pas de nature à enjoliver l'image de la France dans le monde. 

Mais regardons maintenant notre politique étrangère, celle qui concerne directement les pays étrangers, partenaires politiques et/ou commerciaux. La question est d'ailleurs « la France a-t-elle encore une politique étrangère qui lui est propre ? » La réponse à l'évidence est non. Encore une chose que la France avait, ou plus exactement, a eu, du temps de de Gaulle et même de Chirac, et qu'elle n'a plus. La France ne se distingue plus de la politique à vocation hégémonique de l'OTAN, donc de celle des USA. Le suivisme de la France à l'égard de l'UE(RSS) qui fait elle-même preuve de suivisme à l'égard de l'Amérique, résume ce qu'on pourrait appeler « les Affaires Etrangères » de la France.

En conséquence, la voix de la France n'existe plus. Il est inutile de se demander pourquoi Macron fait un discours à l'ONU en septembre dernier devant une assistance quasiment vide, ce qui n'arrivait jamais jusque là.

Les mésaventures de la France en Afrique est d'ailleurs un autre symptôme de sa disparition progressive de la scène diplomatique mondiale. 

Elle est chassée politiquement du Mali et du Burkina Faso, mais elle est déconsidérée partout. Des pays pourtant francophones demandent leur adhésion au Commonwealth britannique. 

Elle est chassée économiquement de partout. La Chine et la Russie la remplacent, y compris dans l'Afrique de l'Ouest où la France avait naguère une place prépondérante. Et ce n'est pas le dernier voyage catastrophique de Macreux en Afrique qui changera quelque chose, si ce n'est en pire.

Le bilan affligeant de ce président est donc sans appel. Il serait vain de trouver un seul domaine où la France a trouvé le moindre bénéfice à l'avoir à l'Elysée.


Attardons-nous maintenant sur sa personnalité, non pas en tant que gestionnaire de pays, mais en tant qu'individu.

Passons rapidement sur le fait que le locataire de l'Elysée a une sexualité qu'on qualifiera, pour être gentil, d'ambigüe, qui l'a conduit à doter le pays d'une « première dame » qui n'est jamais qu'un travelo. Ceux qui seront les plus lucides mais néanmoins utilisateurs de novlangue l'appelleront « trans », mais en bon français, Jean-Michel Trogneux est juste un travelo.

Cette sexualité équivoque se manifeste aussi par cette manie honteuse à tripoter sans cesse et en tous lieux, publiquement et sans retenue, ceux qui passent à sa portée, avec une légère préférence manifeste, pour les épidermes à forte pigmentation... On rétorquera à Saucisson-Pinard, à raison, qu'il s'agit là de sa vie privée. Mais quand on est un personnage public qui représente aux yeux du monde, la France, et donc les Français, la frontière entre vie privée et vie publique est ténue, et l'aspect privé doit être irréprochable et ne pas être l'objet de quolibets et moqueries.

Rappelons-nous de la mise en scène qu'il s'est concoctée lors de son intronisation comme président après sa première élection en 2017. Apparaissant seul dans un halo de lumière, avec la pyramide du Louvre en arrière-plan (sans aucun doute en clin d'oeil à la franc-maçonnerie qui l'a fait roi) : ce fut le premier indice d'un narcissisme qui n'a fait que se confirmer et se multiplier par la suite.

Cette propension à se mettre en avant est probablement la raison pour laquelle il serait vain de trouver dans son entourage une personnalité digne d'intérêt et prometteuse pour l'avenir. Ce narcissisme l'a poussé à mettre beaucoup de soin à ne s'entourer que de branquignols peu susceptibles de lui faire de l'ombre. Dans l'histoire de la Ve République, Saucisson-Pinard ne se souvient pas avoir vu un tel défilé de nullités autour de ses présidents. Evoquer des noms comme ceux de Schiappa, Darmanin, Le Maire, Dupont-Moretti, Véran, pour ne citer que ceux-là, donne déjà une idée de la catastrophe. On ne citera pas les noms de tous les hurluberlus noyés dans l'anonymat de leur médiocrité. Si Macreux a un seul talent, c'est bien celui de se dégoter des clampins qui brillent, si l'on peut dire, par leur incompétence, leur fadeur, quand ce n'est pas, à titre accessoire, par leur totale absence d'honnêteté morale.

Rappelons-nous aussi ce président qui, tel Néron jouissant de voir Rome en flammes, s'est mis à rire sous cape devant l'incendie de Notre-Dame de Paris, alors que la population était, à juste titre, profondément émue devant ce désastre ! (A propos, elle en est où, cette enquête judiciaire? Où sont les journalistes d'investigation qui pourraient se demander comment on met le feu à des poutres d'un demi-millénaire avec un mégot de cigarette?)

Rappelons-nous ce président qui « a une grosse envie d'emmerder » des citoyens simplement désireux de décider ce qui est bon pour leur santé, et donc de refuser un vaccin expérimental.

Rappelons-nous ce président disant à son ministre de la Santé « tiens bon, on les aura, ces connards » en parlant toujours de ces non-vaccinés.

Rappelons-nous ce président refusant encore et toujours de ré-intégrer les soignants et pompiers non-vaccinés, parce que, évidemment, ça serait l'aveu implicite que ses décisions dans la politique anti-Covid étaient imbéciles. Notons que la France est désormais le seul pays du monde à ne pas l'avoir fait !

Rappelons-nous les gaffes diplomatiques dont s'est rendu coupable ce clown arrogant et méprisant, comme par exemple, se moquer en pleine conférence de presse, du président burkinabé qui l'avait invité, en prétendant qu'il était sorti de la salle "pour aller réparer la climatisation". Ou comme souligner en public, également en conférence de presse lors de son dernier déplacement africain, les ratés de gestion du président de la République Démocratique du Congo; ce qui est quand même l'hôpital qui se fout de la charité quand on songe à ce qu'est son propre bilan présidentiel !

Rappelons-nous les annonces de Macreux, suivies d'autres annonces et d'actions en parfaite contradiction avec les premières susdites. Comment avoir la moindre confiance dans un individu capable de dire tout et son contraire sans sourciller, sans jamais reconnaître d'erreurs de jugement ou d'action ?

Rappelons-nous cette propension à émailler ses discours de mots creux, dénués de sens, qui témoignent juste de l'immense vacuité du personnage et de son inculture crasse.

Dans « les milieux autorisés », tout le monde sait que Macreux est un cocaïnomane avéré. L'affaire Palmade, autre amateur de poudre blanche, devrait faire prendre conscience de ce à quoi la consommation de stupéfiant peut mener. Et si Macreux n'a pas à conduire un véhicule la plupart du temps, il a le bouton de l'arme nucléaire à portée de main...


Bref, Macreux ajoute à son incompétence universelle, une personnalité malade, pétrie d'arrogance, de narcissisme, d'absence de tout scrupule, de mépris pour les Français envers lesquels il ment en permanence, ne défendant jamais l'intérêt national mais toujours l'intérêt de l'oligarchie mondialiste, tout en se prévalant d'une supériorité intellectuelle dont on se demande sur quoi elle pourrait bien reposer, si ce n'est un ego surdimensionné mais sans fondation. Alors, la question se pose aux députés qui ont l'article N° 68 de la Constitution sur la destitution du président à portée de vote. (Cet article, rappelons-le, énonce que « Le Président de la République peut être destitué en cas de manquement à ses devoirs manifestement incompatible avec l'exercice de son mandat ».) Alors, mesdames, messieurs les députés, « Macron à l'Elysée, stop ou encore ? »


samedi 25 février 2023

La IIIe guerre mondiale pour les nuls.

 


Avant d'aborder ce sujet ô combien, sérieux, Saucisson-Pinard vous engage à vous abonner à son blog (cliquer sur "s'abonner" dans la colonne de droite ci-contre) afin de lutter contre les algorithmes de gogole qui ont pour vocation d'invisibiliser ses propos, qui sont, il est vrai, assez peu conformes à la doxa dominante. Merci !


L'état profond américain veut la 3e guerre mondiale. On peut espérer que c'est maintenant clair pour tout le monde. Il vient d'envoyer à Kiev son VRP gâteux, Biden The Cheater, donner au joueur-de- piano-avec-sa-bite ukrainien le crédit international qu'il attendait. Et par la même occasion, des promesses d'envoi de pognon et d'armes pour alimenter toujours davantage son armée de chair à canon.

A court terme, on comprend pourquoi l'état profond américain pousse toujours plus loin ses pions dans cette course à la guerre. Tout simplement parce qu'il est gagnant sur tous les tableaux. A court terme.

Primo, il gagne énormément d'argent par le biais de l'industrie de l'armement qui trouve un débouché inespéré dans ce conflit en Ukraine. L'Amérique se devait de trouver un nouveau théâtre d'opérations militaires d'importance après la débandade de son armée en Afghanistan, qui a dû prestement plier bagage en mai 2021. Pas tous ses bagages d'ailleurs, puisque un arsenal conséquent d'armes en tous genres a été laissé sur place, au grand bénéfice des talibans qui n'en attendaient pas tant de l'Oncle Sam. Donc, l'industrie de l'armement est relancée et c'est le premier bénéfice américain de ce conflit en Ukraine qui doit, coûte que coûte, se poursuivre. Et l'expression « coûte que coûte » prend ici tout son sens. « Coûte » en matériel de guerre, « coûte » en vies humaines ukrainiennes. Pas tant de vies civiles heureusement, car il faut reconnaître que Poutine tente de circonscrire, autant que faire se peut, ses frappes sur les forces militaires et les infrastructures qui peuvent leur servir. L'Etat-major des armées américaines n'avait pas de tels scrupules, faut-il le rappeler, que cela soit en Serbie, en Irak, au Vietnam ou en Afghanistan, où les bombardements se sont faits sans distinction sur cibles civiles et militaires. Mais il est clair que les soldats ukrainiens sont envoyés au front dans de vraies boucheries.

Donc l'état profond américain et son complexe militaro-industriel sont prêts, pour leurs motifs purement mercantiles, à se battre jusqu'au dernier... Ukrainien !


Secondo, l'Etat profond américain gagne sur le plan économique via les sanctions économiques qu'il fait prendre par ses toutous européens à l'égard de la Russie. Si ces sanctions ont finalement assez peu d'incidence sur la santé économique russe – les prévisions de l'OCDE reconnaissent que la croissance du PIB russe a toutes les chances en 2024 d'être supérieure à celle de l'UE- elles coûtent très cher à l'Europe. Notre éminent ministre de l'Economie Bruno Le Maire avait annoncé « vouloir mettre l'économie russe à genoux ». Sa prédiction se réalise, mais à moitié seulement. Une économie est mise effectivement à genoux, mais c'est l'économie de l'UE, et en particulier celle de la France, pas la russe. On reconnaît bien là toute la clairvoyance de ce sinistre clampin, qui enchaîne balourdise sur balourdise depuis que Macreux lui a donné l'occasion d'occuper les premiers rôles sur la scène du théâtre économique.


Et si l'Europe perd, c'est que l'Amérique gagne. Il en a toujours été ainsi depuis la seconde moitié du XXe siècle. S'il fallait illustrer ce principe de base par un micro-épisode récent, on pourrait prendre l'histoire de la commande pour 56 milliards d'euros de sous-marins français par l'Australie, finalement annulée sur pression américaine puis transformée en commande de sous-marins américains. L'Europe perd, l'Amérique gagne.

L'Amérique gagne donc, ne serait-ce que sur le plan énergétique. L'UE se voit contrainte d'acheter du pétrole et du gaz de schiste auprès de la gentille Amérique puisqu'elle s'interdit d'en acheter auprès de la méchante Russie. Malheureusement pour elle, ce gaz et ce pétrole de la gentille Amérique sont bien plus chers. Et la gentille Amérique se frotte les mains. Et comme ce gaz est plus cher à acheter en Europe qu'il n'est vendu aux Américains en Amérique, les industriels allemands (surtout les Allemands, puisque de toutes façons il n'y a plus guère d'industriels français, après l'incurie de nos politiques de ces dernières décennies) commencent à se demander s'il n'est pas plus malin de déménager aux Etats-unis pour continuer leur business. Et à répondre « oui » à cette question pour nombre d'entre eux. C'est le deuxième effet kiss-cool de ces sanctions imbéciles que l'Amérique fait prendre à ses toutous européens dociles et obéissants.

Comme si ces sanctions n'avaient pas été suffisantes, l'Etat profond américain a fait couper physiquement l'approvisionnement de l'Allemagne en gaz russe en faisant exploser les conduites sous-marines NordStream en mer baltique. La culpabilité américaine dans cet épisode est un secret de polichinelle soigneusement conservé par les merdias occidentaux, et c'est bien naturel puisque ces merdias sont eux-mêmes possédés et contrôlés par cette même oligarchie de l'Etat profond.

Pour se résumer, le conflit ukrainien est une formidable opportunité à court terme – insistons sur ce détail sémantique - pour l'état profond américain : il éloigne les toutous européens qui seraient tentés par un rapprochement économico-civilisationnel avec la Russie, il effondre l'économie européenne et notamment l'industrie allemande qui commençait sérieusement à faire de l'ombre à l'américaine, il satellise politiquement toujours davantage cette Europe vassalisée autour des intérêts spécifiquement américains. Au passage, l'oligarchie mondialiste n'oublie pas de défendre ses laboratoires de mise au point d'armes biologiques qu'elle possède en Ukraine, et de défendre les terres agricoles qu'elle possède massivement dans ce pays ; tout cela en engrangeant d'énormes bénéfices sur les armes livrées à la marionnette en kaki, mais payées par les contribuables américains et européens.


L'arrière-pensée de l'état profond mondialiste en jouant la carte d'une 3e guerre mondiale est évidemment d'ériger, une fois le monde plongé dans le chaos et la destruction, un gouvernement mondial avec à sa tête une élite auto-proclamée, en conformité avec les vœux avoués publiquement du Forum Economique Mondial de Schwab.


Le « hic » de ce plan, est qu'il suppose évidemment, comme préalable, que l'Occident sorte vainqueur de cette guerre.

Or, comme a pris le soin de le préciser Saucisson-Pinard tout au long de ce propos, cette marche forcée vers la 3e guerre mondiale est de la politique à court terme. Car la perspective d'une victoire de l'Occident est extrêmement douteuse.

Inutile de se voiler la face : l'Occident est clairement en décadence avancée. L'Europe est submergée par une immigration de civilisation étrangère, davantage intéressée par l'aisance financière qu'elle y trouve que par des valeurs civilisationnelles qu'elle méprise et refuse de toutes ses forces. Cette immigration sera donc peu encline à se battre pour la défendre.

L'état profond a d'ailleurs pris un soin tout particulier à détruire la notion même de sentiment patriotique, en diffusant son idéologie basée sur le seul intérêt vénal et matérialiste.

Les Poilus de 14-18 étaient motivés par un sens aigu de la défense de la Patrie qui leur permettait d'endurer les pires horreurs. Les peuples européens d'aujourd'hui ne se battront pas dans les tranchées pour défendre les intérêts de quelques banques, de quelques multinationales et de quelques oligarques du monde capitalistique.


Même le monde politique actuel est incapable, par sa fulgurante médiocrité, de susciter le respect qui pourrait galvaniser les citoyens de base pour encaisser les duretés de la guerre. Qui voudra, en France, se battre et souffrir pour l'honneur (?) d'un président camé qui a épousé un Jean-Michel déguisé en femme ? Qui courra le risque de mourir pour les pédocriminels, les corrompus, les profiteurs, les tricheurs, les opportunistes complètement étrangers au bien commun, les violeurs, les menteurs, qui sont au pouvoir ? (Chacun saura mettre un nom et un portrait sur ces différents profils!) Qui voudra défendre un monde en décrépitude, pourri par le wokisme, qui va jusqu'à contester l'évidence de l'existence universelle de deux genres, et seulement deux, chez les humains comme chez les animaux ? Qui se battra pour défendre une société où sont mis en valeur des humains au psychisme déglingué qui ne savent plus très bien de quel genre ils relèvent ?


L'oligarchie mondialiste a voulu « déconstruire » (comme dirait le psychopathe cocaïnomane de l'Elysée) l'Histoire des pays et des hommes pour mieux étendre son pouvoir et substituer le matérialisme aux valeurs autrement plus élevées qui régissaient autrefois l'Occident: le sens de l'honneur, l'amour de son pays, le sentiment d'appartenance, la famille.

Le revers de la médaille de cette déconstruction est limpide : qui donc sera prêt aujourd'hui à se battre pour un territoire sans âme ni histoire ? Dans l'Antiquité, Rome la décadente, la Rome livrée aux politiques vautrés dans les orgies délirantes, a été incapable de résister à l'invasion de barbares aux techniques pourtant bien moins avancées que celles qui équipaient l'Armée romaine. Et cette Rome a disparu. Pour les mêmes raisons, l'Occident décadent n'a aucune chance de gagner une guerre mondiale qui le verra s'opposer à des pays qui tiennent encore la route en termes de valeurs humaines, de convictions profondes, bref à des civilisations encore dignes de ce nom. Et constatons que depuis 1945, l'Amérique a perdu toutes les guerres dont elle a pris l'initiative, sans exception.


Saucisson-Pinard n'évoque même pas l'état lamentable, en France, dans lequel les gouvernements successifs de ces dernières décennies ont mis l'Armée. Il n'évoque pas non plus l'incompétence qu'aurait Macreux à mener une guerre : quand on voit son incompétence stratosphérique dans tous les domaines, on a peine à croire qu'il puisse se révéler un grand chef de guerre...


L'issue d'une guerre dépend surtout, au delà de ces considérations matérielles et de compétences, d'une question de foi partagée, ou pas, dans les populations concernées. Or, il est clair que dans cette société occidentale en errance, qui ne sait plus qui elle est ni où elle va, la foi permettant de se transcender dans l'adversité pour vaincre, n'est pas là.

Il n'y a qu'à considérer la perception qu'ont les peuples des politiques qu'ils ont à leur tête. Biden comme Macreux battent des records d'impopularité dans leurs pays respectifs. Scholz, pourtant fraîchement nommé chancelier, vient déjà de se prendre un désaveu flagrant lors d'une élection récente à Berlin. En face, Poutine est soutenu par 66 à 75% de sa population. Non sans raison quand on constate la spectaculaire évolution économique et géopolitique de la Russie sur les vingt dernières années.


Que l'état profond belliciste le veuille ou pas, le monde est multipolaire. Mais ses manœuvres grossières et son arrogance à vouloir imposer son pouvoir sur toute la planète sont en train de changer cette multipolarité en bipolarité, avec d'un côté l'Occident qui se voudrait représenter une « opinion internationale » fantasmée, et de l'autre, le reste du monde. L'établissement des BRICS dans un nombre croissant de pays pour échapper à la domination du dollar, en est une belle illustration. (Les BRICS rassemblent maintenant une population de 3,2 milliards de personnes, le G7 seulement 777 millions.)


En conclusion, le citoyen occidental ferait bien de se demander quel serait son avenir au terme d'une guerre qui opposerait d'un côté, une Amérique hyper-endettée au niveau économique, aux valeurs en déshérence au niveau sociétal, entourée de ses roquets européens appauvris et désarmés, et de l'autre, une Russie aux convictions fortes, flanquée de pays émergents enthousiastes à l'idée de s'affranchir enfin de la domination américaine, et soutenue par l'Empire du Milieu qui a à la fois le pouvoir économique, la technologie, et une population pléthorique et d'une obéissance aveugle envers ses gouvernants.

Et si ce citoyen occidental a un minimum de lucidité, il ferait bien de se dresser par tous les moyens possibles (manifestations dans les rues, désobéissance civile, boycott des entreprises complices de cet état profond et de ses médias) contre les politiques et leaders d'opinion qui relaient et font leurs, les objectifs funestes de cette oligarchie mondialiste.





vendredi 27 janvier 2023

Dialogue au sein du "couple franco-allemand".

 



Voilà ce que pourrait donner un dialogue-résumé du fameux « couple franco-allemand » sur ces dernières années. Imaginez la voix de Macreux pour les propos de la France, celle de Merkel/Scholz pour ceux de l'Allemagne.


    La France : - Dis, Allemagne de mon cœur, tu m'aimes, hein ?

    L'Allemagne : - Was ? Ach ! Ya, ya... Tis-moi, ton énerchie est fraiment trop pon marché ! Afec tes Zentrales nukléaires, tu me fais ein konkurence fûr mein Industrie. Za ne peut pas turer comme ça !

    - Mais qu'est-ce que tu proposes, mon Allemagne chérie ?

    - Ach, tu pourrais fermer kelkes zentrales nukléaires. Moi, ch'ai fermé les miennes parce ke mes ékolos m'ont mis la pression für za. Et ch'ai mis plein d'éoliennes partout pour kompenser. Ça fait de peaux champs de fentilateurs, et c'est très choli !

    - Fermer mes centrales nucléaires ? Mais c'est là que je suis la meilleure ! Comment je vais faire, moi, sans centrale nucléaire pour avoir de l'électricité ?

    - Ach, tu fas faire comme moi ! Plein de fentilateurs partout !

    - Ah bon, t'es sûre ?

    - Farpaitement ! Il le faut, parce gue c'est pon pour l'Europe !

    - Ah bah si c'est bon pour l'Europe, alors d'accord. Et puis après tout, c'est ça, la vie de couple. Il faut savoir faire des concessions !

    - Was? La fie de koi ?

    - Ben, la vie de couple ! Nous sommes un couple, non ? Nous sommes le couple franco-allemand que le monde entier envie, non ?

    - Ach, za !? Ya, ya... le couple franco-allemand... wonderbar ! Ha ha ha ha ha !

    - Ben, pour quoi tu ris ? Nous ne sommes pas un couple ?

    - Yawohl, zi tu le tis, nous zommes un couple. Enfin, zurtout tôa !

    - Bon, mon amour, c'est d'accord, je vais fermer les centrales nucléaires, puisque tu me le demandes. Et je vais acheter plein d'éoliennes aux chinois pour compenser.

    - Zuper, fais comme za !

    - Mais dis moi, mon Allemagne chérie, quand il n'y a pas de vent, je fais comment pour avoir de l'électricité ?

    - Z'est ton proplème, za ! T'as qu'à mettre des panneaux zolaires partout.

    - Je veux bien, mon Amour, mais je me demande où je vais bien pouvoir en mettre. Je n'ai pas forcément la place...

    - Tu n'as k'a prûler quelques kilomètres-carrés en Chironde cet été. Tu n'auras k'à tire que c'est à kause du réchauffement klimatique, et puis tu l'auras, ta place pour mettre tes panneaux zolaires !

    - Bonne idée, chérie. Je vais acheter plein de panneaux solaires aux chinois.

    - T'as k'à faire za. C'est pon pour l'Europe.

    - Ah bah si c'est bon pour l'Europe, c'est que tu as raison... Bon, mais dis-moi, mon Allemagne chérie, s'il n'y a pas de soleil et pas de vent, je fais comment pour faire de l'électricité pour mon industrie et pour mes citoyens dans leur vie de tous les jours ?

    - Tu kommences à m'emmerter, afec tes kestions ! Komment che fais, moi, pour mein Intustrie, tu krois ? Che fais chercher tu charpon tans mes mines, et puis z'est tout !

    - Ben, mon Allemagne chérie, c'est que des mines de charbon, je n'en ai pas beaucoup ! Et celles que j'ai, il y a longtemps que je les ai fermées !

    - Ach so ! Tu n'as k'à les rouvrir. Et puis, moi, je peux t'en fendre, du charbon, s'il t'en manque !

    - Oh comme c'est gentil, ça ! Comment je ferais si tu n'étais pas là ? Mais tu es sûre que c'est bon pour l'Europe, ça ?

    - Ach, za, c'est très pon pour l'Europe ! C'est même l'Europe qui te le temande !

    - Ah bah si c'est l'Europe que me le demande, alors c'est d'accord, évidemment ! … Mais dis-moi, mon Allemagne chérie, ça fait de l'électricité un peu chère pour mon industrie et elle est un peu polluante, non ?

    - Peut-être, mais za, z'est la fie, fois-tu ? Et puis komme za, mon intustrie n'est pas désafantagée par rapport à la tienne, z'est l'essentiel, nein ?

    - Ah bon, si tu le dis... Et puis si c'est l'Europe qui le veut aussi, c'est que c'est bon, non ?

    - Ya, ya... Autre choze : ton EDF, elle est un peu trop performante, nein ? Z'est un peu chênant pour moi...

    - Ah oui ? Et alors ?

    - Pen, che foutrais créer des zociétés, enfin... che feux tire, l'Europe foutrait créer des zociétés ki achèteraient l'électricité d'EDF à bas prix pour la refentre plus chère afec une belle marche à tous ceux qui en ont pesoin.

    - Mais ces sociétés, elles feraient quoi au juste ?

    - Zuste za. Acheter pour refentre. Ni production, ni acheminement, rien tu tout. Elles seraient zuste des intermédiaires...

    - Ah ? Et c'est bon pour l'Europe, ça ?

    - Très très bon fûr mich... euh... che feux tire, très très pon pour l'Europe, pien zûr !

    - Bon bah d'accord, alors. On est vraiment un bon couple, hein, mon Allemagne chérie ! On travaille bien ensemble, n'est-ce pas ? C'est un vrai bonheur !

    - Ya, ya... un frai ponheur ! Tiens, pendant que ch'y suis. Je penche, enfin, je feux tire, l'Europe penche que za zerait ein ponne itée d'aligner le prix de l'électricité sur zelui du gaz.

    - Et pourquoi donc ?

    - Parze ke, tu zais, avec cette histoire de l'Ukraine et nos zanktions contre la Russie, za serait nécessaire, pour l'équilibre du marché.

    - Mais ça ne va pas rendre l'électricité encore plus chère, ça ?

    - Za n'est bas imbossible, aber c'est le brix à payer pour l'équilibre du marché, fois-tu ?

    - Mais dis-moi, l'Espagne et le Portugal, ils ne font pas ça, et du coup leur électricité est quatre fois moins chère que la nôtre !

    - Ya, ya. Mais Spanien und Portukal, ze ne sont pas des pons européens. Toi, tu feus être un pon européen, nein ?

    - Si si bien sûr !! Natürlich, comme on dit chez toi ! Je suis un très bon européen. Nous sommes, nous le couple franco-allemand, d'excellents européens, sans doute les meilleurs de toute l'Europe, non ?

    - Ya, ya... tu as raisson, continue comme za, z'est très pien. On te tonneras un tiplôme de pon-européen, tu le mérites tellement... Pon, z'est pas tout za, mais ch'ai une intustrie à faire marcher, môa. Auf Wiedersehen mein naiver Diener!

    - Au revoir, mon Allemagne chérie. A très bientôt. Tu me manques déjà...

mercredi 18 janvier 2023

2023: à vos souhaits!

 


Janvier est la période des vœux. Saucisson-Pinard n'échappera pas à cette coutume et vous propose ses deux principaux souhaits pour cette nouvelle année.

Le premier de ces vœux demande un timing assez précis, puisqu'il devra se réaliser dans cette semaine en cours.

Saucisson-Pinard souhaite qu'un astéroïde vienne s'écraser sur le grand auditorium où se déroule actuellement le grand rendez-vous du Forum Economique Mondial, ou WEF, à Davos.

Le Tout-Puissant n'a pas d'astéroïde sous la main actuellement ? Bon, un missile de croisière hypersonique pourrait peut-être faire l'affaire, non ? Que ce missile vienne de Russie ou de Pétaouchnok n'a guère d'importance. L'essentiel est que soient rayées de la planète toutes ces « élites » de la nuisance mondiale, au premier rang desquelles, évidemment, Klaus Schwab et son lieutenant Harari. Ça serait ce qu'on appelle en langage policier, un beau coup de filet. Le monde entier ne s'en porterait que mieux.

Ça fait près de 80 ans qu'on nous rabat les oreilles avec la période honnie du nazisme et du fascisme, 80 ans qu'on maudit, à juste titre, leurs acteurs principaux Hitler et Mussolini. Les bonnes âmes sionistes ne cessent depuis plus d'un demi-siècle, de nous rabâcher les terribles épisodes de cette vieille histoire passée et dépassée. Ce rabâchage est quasiment devenu leur fonds de commerce. L'une de ces bonnes âmes, Patrick Benguigui, plus connu sous le nom moins connoté de Bruel, est allé jusqu'à faire bannir l'usage du prénom Adolphe au prétexte que c'était celui d'Hitler, dans sa pièce de théâtre « Le prénom ». Ce qui est d'un ridicule achevé, à moins évidemment que le même sort soit réservé aux prénoms Charles, Joseph, Benoît, Vladimir, Mao, Kim, Paul (Pol), Auguste, Fidel et de beaucoup d'autres, au motif que Marx, Staline, Mussolini, Lénine, Tse-Toung, Jong, Pot, Pinochet et Castro n'étaient pas franchement de braves types...

Bref, on nous bassine avec une histoire ancienne et ressassée alors que dans le même temps, nous avons


comme contemporains des raclures authentiques comme Schwab ou Soros qui sont de vrais psychopathes dépourvus de scrupules et prêts à toutes les horreurs pour imposer leur idéologie mortifère au monde entier : 

- Réduction programmée de la population mondiale à 500 millions d'habitants, en commençant par les populations blanches occidentales, pour ne conserver qu'une majorité d'humains japonais et chinois « parce qu'ils sont plus dociles vis à vis d'une Autorité », ce qui ressemble quand même terriblement à un génocide, non ?

- Mise en place d'un gouvernement mondial composé d'élites régnant sur le reste de l'humanité réduite en esclavage (« Vous ne posséderez rien et serez heureux »).

Ce programme n'est pas dans « Mein Kampf », mais noir sur blanc dans «The Great Reset», la Bible selon Klaus Schwab.

Les ravages d'Hitler étaient finalement circonscrits à l'Europe, alors que les délires de Schwab menacent toute la planète. En cela, Schwab est le digne fils de son père, Eugen Schwab, (Eugen qui a donné naissance au terme eugénisme...), le plus proche pote de Hitler. Tel père, tel fils.

Et cela dans l'indifférence générale des merdias et des politiques contemporains, quand ce n'est pas avec la complicité objective de certains d'entre eux, les fameux « young leaders », petits pions serviles du FEM, dont Macreux fait partie.



Cet astéroïde salvateur pour le monde, s'écrasant sur le Forum Economique Mondial à Davos, est donc le premier souhait de Saucisson-Pinard pour 2023.

L'idéal évidemment, serait que d'autres plaies mondiales soient aussi présentes dans cet auditorium de Davos au moment de l'impact : Bill Gates, Fauci, Zelensky, Bourla, La Hyène, Zuckerberg, pour ne citer que quelques uns.

Avouez que, une fois débarrassé de toutes ces crapules, le monde respirerait mieux.


Le second vœu de Saucisson-Pinard est qu'au « Grand Reset » en cours, succède le « Grand Réveil ».

Grand Réveil des populations occidentales sur les manipulations en cours :

- La peur de la Covid pour l'imposition d'un pseudo-vaccin qui enrichit l'oligarchie pharmaceutique et participe à la démarche génocidaire voulue par le Forum Economique Mondial. (Comme on se retrouve !...). Heureusement, cette manipulation commence à se révéler au grand jour, petit à petit. Mais on est encore loin d'un grand procès façon Nuremberg qui devrait mettre au banc des accusés les représentants de Bigpharma, les politiques ayant relayé leurs intérêts, les journaleux corrompus et médecins de plateaux ayant participé à cette gigantesque manipulation. Y aurait du monde ! Sans aucun doute davantage qu'au Procès de Nuremberg !

- La peur d'un prétendu « changement climatique » provoqué par l'Homme, cette arnaque du siècle, qui sert, elle aussi, les intérêts d'une oligarchie financière, participante de la mise en place de ce Grand Reset. (Décidément, on n'en sort pas !)

- Le phénomène woke, ce courant de dégénérescence de l'Humain, avec ses corolaires : le transhumanisme, la destruction de la cellule familiale, l'eugénisme etc...

Ces peurs et propagandes distillées dans une population béate devant des médias corrompus jusqu'à la moelle (Merci Soros, grand corrupteur de médias), n'ont qu'un seul but : consolider le pouvoir entre les mains de politiques foulant au pied les intérêts de cette même population qu'ils sont censés représenter et défendre, au profit d'une poignée d'élites auto-proclamées et dictatoriales.


Bon. D'accord. Saucisson-Pinard le sait. Ses souhaits ont peu de chances de se voir exaucés. En tous cas, pas immédiatement. Et pas forcément exactement de la façon suggérée. Mais après tout, les souhaits sont comme les demandes d'augmentation de salaire; si vous ne demandez pas beaucoup, vous n'aurez que très peu. Ou rien.