Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

dimanche 31 décembre 2023

Voeu de Macreux pour 2024.

 


Macreux, à l'Elysée, dans sa salle de travail, est entouré d'une kyrielle de conseillers :

- Messieurs, je dois adresser mes vœux aux Français dans 24 heures. Ça m'emmerde à un point que vous ne pouvez pas imaginer ! Comme si j'avais quelque chose à foutre, des Français et de ce qui pourrait leur arriver de bien ! Mais il paraît que ça se fait, il faut donc que je m'y coltine. Après tout, c'est au moins une nouvelle bonne occasion de remontrer ma bobine aux gueux sur tous les écrans et monopoliser mes merdias qui vont disserter à n'en plus finir sur ma brillante intervention. Mais je n'ai aucune idée de ce que je pourrais bien leur dire. J'attends de vous des suggestions.

(Silence de mort.)

- Bon, continue Macreux. Je pourrais manier un de ces grands concepts creux dont je suis coutumier. Comme sur « l'Unité du pays », par exemple? Ça claque, ça, « l'Unité du pays », non ?

Un conseiller lève la main :

- C'est ce que vous avez souhaité fin 2022 pour 2023. Et on a vu au cours de cette année, des émeutes encore pire que celles de 2005. Alors... pour ce qui est de l'unité du pays, c'est plutôt raté.

Macreux fait la moue et ajoute :

- Bon, bah, je pourrais leur souhaiter une bonne réussite financière pour cette nouvelle année ?

Un autre conseiller intervient :

- La dette du pays devient abyssale : 3 000 milliards d'euros. Cette dette sera à rembourser, et du coup, c'est plusieurs générations à venir qui seront impactées par elle. Si vous ajoutez à cela, l'inflation en cours, et les déficits commerciaux de la France qui n'ont jamais atteint un tel niveau, le niveau astronomique des prélèvements fiscaux qui place la France en tête des pays de l'OCDE les plus imposés, ça me paraît hasardeux de leur faire miroiter des jours heureux sur le plan financier pour 2024. Ou pour les années suivantes d'ailleurs !

Macreux, agacé, reprend la parole :

- Et si je leur disais qu'ils peuvent être fier d'être Français ? C'est bon, ça, non ? Exalter la fierté de ces Gaulois réfractaires !

Un troisième conseiller intervient :

- Fier, monsieur le Président ? Mais fier de quoi, au juste ? L'image de la France à l'étranger n'a jamais été si déplorable ! Sa parole n'est respectée nulle part. Faut dire qu'elle est inaudible. Ou vous vous exprimez comme un simple écho du gouvernement américain, ou vos tentatives de propos originaux à base de « en même temps » sont tellement ridicules qu'elles ne font que lever les yeux au ciel de vos interlocuteurs à l'étranger, dans le meilleur des cas, ou font rire sous cape dans le pire !

Macreux commence à s'énerver vraiment :

- Mais je vous paye pour quoi, au juste, si vous êtes incapables d'être un tant soit peu positifs, et ne faites que critiquer !!!

Un conseiller se hasarde :

- Mais Monsieur le Président, sans être méchant, force est de constater que le bilan de vos 6 ans de présidence est un fiasco complet sur tous les plans. La France est exsangue sur le plan financier, sur le plan commercial, les services publics sont de plus en plus mal remplis, l'Education Nationale est à la dérive avec un plongeon dans le classement PISA international, le pays ne compte plus au niveau diplomatique, et le fait que vous n'ayez rien trouvé de mieux que de défaire le Corps Diplomatique, n'arrangera rien. La délinquance explose, et jamais les Français n'ont ressenti, à juste titre, autant d'insécurité. La démocratie est devenue une gigantesque farce, avec vos recours systématique au 49.3, et vos basses manœuvres de manipulation de la Chambre Haute. Votre dissolution de l'ONG Anticor qui avait pour mission de déceler et dénoncer la corruption, en dit long sur la république bananière que devient le pays. Les Français commencent à voir clair dans l'avenir que, avec votre soutien, l'UE réserve à la France : être un vague Land à la mode allemande, en soumission totale à un Etat fédéral européen qui piétine allègrement le principe même de la démocratie : « le gouvernement du Peuple, par le Peuple, pour le Peuple ». Avec le délire européiste soigneusement entretenu par vous et vos représentants à l'UE, comme Thierry Breton, la France aura à peu près le même pouvoir et la même souveraineté que l'Ohio aux Etats-unis... Comment voulez-vous, dans ces conditions, monsieur le Président, que les Français aient un quelconque espoir pour leur propre avenir et celui de leur pays ?

- Ça suffit ! Vous êtes réunis pour trouver des solutions, pas pour énumérer d'éventuels problèmes !

- Mais Monsieur le Président, rendez-vous compte : on assiste aujourd'hui, comme symbole même de la déconfiture du pays, à une démarche inédite d'un fameux hôpital comme l'hôpital Georges Pompidou, obligé de faire la manche sur internet pour pouvoir financer l'acquisition d'un nouveau scanner à 1,4 million d'euros, quand dans le même temps, un budget AME de 1,2 milliard d'euros est alloué pour offrir à des clandestins qui n'ont cotisé à rien, des services médicaux que les Français de souche doivent, eux, payer de leur poche... D'ailleurs, c'est tout le service hospitalier qui sombre, avec de plus en plus de personnels administratifs et de moins en moins de médecins, de lits et de matériel.

Macreux, soudain extatique, affiche un grand sourire :

- Ah bah voilà ! Si le secteur de la Santé est aussi en perdition que vous le dites,  le vœu que je peux faire aux Français est tout trouvé ! « Bonne année, bonne santé ! » « Françaises, Français, je vous souhaite pour 2024, la meilleure santé possible, afin que vous n'ayez pas à avoir recours à ce secteur médical à l'agonie ! » Pas mal, non ?

Un conseiller suggère, en levant les yeux au ciel :

- Ce vœu ne brille pas par son originalité, mais ne mange pas de pain, en effet. Cependant, vous n'êtes peut-être pas obligé de le justifier ainsi !

Macreux, ravi de sa conclusion, se dresse de son fauteuil:

- Merci Messieurs, de votre précieuse aide ! La séance est levée.

Bien entendu, cette réunion est une pure fiction : Comment peut-on croire à l'existence de conseillers aussi lucides et aussi francs sur la situation de la France, alors que Macreux ne s'entoure que de courtisans lèche-bottes sans égard pour l'intérêt national et dont le carriérisme personnel est la seule obsession?

 

 

 

Pour bien vous faire comprendre et accepter qu'à l'avenir, la société occidentale devra impérativement être métissée et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper.



 En réponse modeste à ce matraquage, Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur.

 

mercredi 13 décembre 2023

"Réchauffement climatique", arme de totalitarisme.

 


La rengaine de catastrophisme sur le « réchauffement climatique » est déclinée sur tous les tons et à toutes occasions.

L'autre jour, Arte diffusait un banal documentaire sur les forêts sèches et les forêts d'altitude du Costa Rica. Une allusion sur ce prétendu réchauffement revenait toutes les cinq minutes, et parfois de façon assez grotesque. La voix lugubre de la commentatrice annonçait qu'à cause du réchauffement climatique, les singes-araignées devaient descendre de leurs arbres et se mettre à déambuler sur le sol alors que leur configuration physique, avec leurs très longs bras et très longues jambes, ne se prête pas du tout à ce mode de déplacement. Ainsi donc, si on comprend bien le discours, le singe-araignée se verrait contraint de quitter son arbre à cause d'une élévation d'un degré et demi de l'atmosphère au cours du siècle écoulé ! Avouez que ce singe-araignée fait preuve là d'une extraordinaire fragilité et d'une intolérance phénoménale au changement ! D'autant plus en comparaison de n'importe quel mammifère normand de base, qui se coltine, sans moufter, une différence de température de 25 à 30 degrés entre janvier et août chaque année !

Le lendemain, Saucisson-Pinard allume à nouveau sa télé sur la chaîne Arte, sur un nouveau documentaire au sujet, cette fois, des forêts du Canada. Il ne s'était pas passé trente secondes de commentaire que déjà le « réchauffement climatique » était évoqué. « Les forêts du Canada n'ont jamais été autant en danger qu'en ce moment, à cause du réchauffement climatique » nous avertissait la voix off! C'est à peine si l'exploitation de pétrole a été mentionnée comme vecteur de dégradation ponctuelle de l'environnement. Un peu plus loin dans le déroulé du documentaire, il fut quand même mentionné que les températures dans ces forêts pouvaient parfois avoisiner les – 50 degrés... Et ce, malgré « ce réchauffement climatique » dont ont disait quelques minutes plus tôt qu'il menaçait l'équilibre naturel de ces forêts!

Bref, le matraquage insidieux sur la théorie d'un changement catastrophique du climat, est omniprésent dans les médias. Il est distillé en permanence à dose filée, pour mieux imprégner l'inconscient du spectateur, à son insu.

Montée des eaux?
Pour des raisons de pratique d'un hobby très dépendant des conditions climatiques, Saucisson-Pinard se doit d'observer de très près les prévisions météo, au jour le jour. Or, après des années et des années d'observations attentives, il en est arrivé à la conclusion que ces prévisions, même à très court terme, étaient très mauvaises dans l'ensemble. Les prévisions de force et direction des vents se sont avérées dans l'ensemble très aléatoires, et leur fiabilité très problématique. C'est à peine si les prévisions basiques de ciel ensoleillé ou de pluie se sont révélées exactes. Aussi, on peut se demander comment on peut montrer autant d'imprécision dans les prévisions à très court terme et autant de certitude dans le très long terme.

Saucisson-Pinard connaît par cœur le fameux contre-argument : « il ne faut pas confondre la météorologie et la climatologie ». Il observe cependant que France 2, média du service public toujours prompt à relayer la doxa dominante, a désormais baptisé son bulletin météo quotidien du titre « météo-climat ». Y aurait-il un lien entre climat et météo, finalement, quand le conditionnement du public le nécessite ? Pour sa part, Saucisson-Pinard ne souhaiterait pas confier la réparation du moteur de son véhicule à un garagiste qui s'avèrerait incapable de changer une roue... De la même façon, rien n'oblige à croire les prévisions catastrophiques du climat à trente ou cinquante ans, annoncées par ceux qui ne savent pas dire avec exactitude le temps qu'il fera le lendemain.

Il ne faut pas s'y tromper. La manipulation médiatique sur une prétendue urgence climatique n'a qu'un but : imposer un sentiment de peur dans la population. Cette peur indispensable à l'instauration d'un régime dictatorial. Peut-on encore en 2023 douter de cette dictature qui s'impose petit à petit ?

Regardons plutôt objectivement ce qui se passe depuis le début du siècle :

  • Médias à la botte du pouvoir, qui oublient leur devoir d'indépendance, qui couvrent les méfaits économiques et sociétaux de la politique d'invasion migratoire, qui s'abstiennent de dénoncer la corruption des politiques, qui masquent cette république des juges de gauche pratiquant le deux poids deux mesures selon où se situent les mis en cause sur l'échiquier politique, qui regardent ailleurs quand la commission de l'UE rogne petit à petit les prérogatives du pouvoir national.

  • Censure de plus en plus présente. Juste un exemple : Thierry Breton, commissaire européen représentant la France (son nom mais pas ses intérêts...) demande à ce que la remise en cause de la doxa climatique officielle soit censurée. Contester le bien-fondé d'un réchauffement climatique d'origine anthropique ? Verboten !

  • Surveillance de la population via le confinement. Confinement sanitaire Covid d'abord, à titre d'essai. Confinement à l'occasion des JO de Paris, avec QR codes pour la circulation, juste pour bien habituer le citoyen à ces contraintes qui se multiplieront à l'avenir, n'en doutons pas. Aucun pays n'était volontaire pour accueillir les prochains JO d'hiver. Trop chers à organiser. Aucun pays, sauf la France, qui nage dans l'opulence, comme chacun sait. C'est toute la région des Alpes qui sera alors sous régime de QR code.

  • Le confinement à motif climatique sera la prochaine étape de la surveillance de la population.

  • Police de la Pensée : pas moins de 36 associations ont été dissoutes sous l'ère Macreux. Seulement 2 sous l'ère Sarko, 10 sous l'ère de Hollandouille, mais 36 sur ces six dernières années avec le Darma nain à la manoeuvre : de quoi apprécier l'accélération de cette mise au pas de ceux qui ne pensent pas comme il faut ! Ces dissolutions ne concernent pas les Frères Musulmans bien sûr, ni l'association Soulèvement de la Terre, ces idiots utiles et violents de la propagande écolo, ni les antifas, ces SturmAbteilung (SA) du régime Macreux. Non, seules ont été visées des associations nationalistes et identitaires, pacifiques mais portant un autre message que la doxa officielle.

  • La Réforme des traités de l'UE actuellement en discussion à Bruxelles, si elle est adoptée, enterrera définitivement la souveraineté et l'indépendance de la France, avec la formation d'une Europe fédérale totalitaire que n'aurait pas renié le IIIe Reich, à la différence près qu'elle sera, cette fois-ci, sous la coupe des Etats-Unis. La France ne sera alors plus qu'un « Land » à la mode germanique, de l'Europe.

C'est vrai que cette propagande omniprésente sur ce prétendu « dérèglement » d'un climat qui n'a jamais été, de toute l'histoire de la planète, « réglé », peut paraître anecdotique. Mais prendre conscience de son existence, permet de prendre le recul nécessaire pour avoir une vue d'ensemble de ce qui se passe pour la mise en place sournoise d'un authentique totalitarisme ("totalitarisme sans goulag", comme l'écrit fort justement Mathieu Bock-Côté dans son dernier ouvrage). Totalitarisme à la solde d'une oligarchie financière made in Forum Economique Mondial de Schwab et Open Society Foundations de Soros.


(Pour mieux comprendre cette arnaque du « réchauffement climatique » dû à une surproduction de CO2, Saucisson-Pinard vous invite à lire ou relire son post du 8 juin 2023 intitulé « Un peu de math à propos du CO2 » : https://saucisson-pinard.blogspot.com/2023/06/un-peu-de-maths-propos-du-co2.html )

 

 

 

Pour bien vous faire comprendre et accepter qu'à l'avenir, la société occidentale devra impérativement être métissée et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper.

 En réponse modeste à ce matraquage, Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur.

 

mardi 28 novembre 2023

Mélenchon s'indignait déjà, il y a 80 ans!

 


Romans sur Isère, le 27 novembre 1943.


Moi, Jean-Luc Mélenchon, je dénonce cette ignoble agression terroriste que vient de connaître notre belle ville de Romans.

Une bande de jeunes très probablement membres des FFI, est venue dans la nuit de samedi à dimanche dernier, envahir la Kommandantur du quartier de la Monnaie à Romans. Le préfet, Thierry Devimeux, sur ordre du gouvernement de Vichy, a heureusement dénoncé cette invasion et fait intervenir la Milice de Laval afin de mettre un terme à cette incursion dans les locaux de la Wehrmacht qui régente parfaitement tout ce quartier. Je ne suis en général pas en faveur des interventions de la Milice dans les quartiers gérés par la Wehrmacht, et je reconnais qu'elles y sont d'ailleurs plutôt rares. Je préfère quand elles visent exclusivement les terroristes FFI. Mais je salue cette fois la décision du préfet.

Fort opportunément, des membres de la Gestapo présente dans les locaux de la Kommandantur ont pu profiter de cette intervention de la Milice, pour isoler un des membres du groupe terroriste, et procéder à sa vigoureuse arrestation et à son interrogatoire poussé.

La Milice, de son côté, a signalé avoir effectué une vingtaine d'interpellations qui ont été suivies de 17 gardes à vue. Il faut maintenant que la Justice réponde avec beaucoup de fermeté à cette violation intolérable de ce quartier de notre population allemande et ne pas tenir compte des allégations des terroristes qui prétendent être venus sans arme pour une simple manifestation.

Ces dangereux terroristes des FFI ont motivé leur action en dénonciation, prétendent-ils, de la mort la semaine dernière, d'un citoyen de 16 ans dénommé Thomas. Thomas serait la malencontreuse victime collatérale lors d'une opération programmée de la Gestapo dans une fête de village aux alentours de Romans, à Crépol. La mission du commando gestapiste était officiellement et publiquement d'éliminer du terroriste et du juif.

En effet, on remarque que les opérations de manifestation terroriste FFI se multiplient à l'encontre de la population allemande en uniforme qui vit en parfaite harmonie avec le reste de la population. Nos amis Allemands national-socialistes, qui sont une vraie chance pour la France, méritent tout notre respect, notre bienveillance, notre reconnaissance et notre collaboration pleine et entière. Et l'ostracisme qui est manifestée par ces terroristes à l'encontre de cette population, justifie pleinement ces interventions programmées par les Autorités en place depuis 1940.

Ces terroristes FFI font preuve depuis longtemps d'un racisme exacerbé à l'encontre de ces Allemands que nous a généreusement envoyés le Führer. Il est clair, comme le fait remarquer très opportunément mon camarade Roussel du PCF, que ces terroristes racistes sont « en train de nous mener sur l'autoroute de la guerre civile, pied au plancher ». En voulant sans cesse contrecarrer les efforts de nos chaleureux voisins d’outre-Rhin pour faire profiter notre pays des bienfaits de leur civilisation avancée, ces terroristes distillent un climat délétère. Ils doivent être combattus sans états d'âme et avec vigueur.

Seul notre parti, fervent soutien de cette population discriminée et ostracisée par ces dangereux racistes qui se prétendent résistants, est en mesure de garantir la paix sociale dans notre pays. Et en pleine union avec nos frères allemands qui doivent se sentir chez nous comme chez eux, nous disons : Deutchland über alles !



Bien sûr, il se pourrait que ce courrier de 1943 de Jean-Luc Mélenchon né en 1951 soit apocryphe. Mais ne dit-on pas : collabo un jour, collabo toujours ?

 

 

Pour bien vous faire comprendre et accepter qu'à l'avenir, la société occidentale devra impérativement être métissée et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper.

 En réponse modeste à ce matraquage, Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur.


 

mercredi 22 novembre 2023

Affaire Crépol: émoi en salle de rédaction.

 


Un matin dans la salle de rédaction de L'Aberration Libération.

Le rédacteur en chef s'adressant au comité de rédaction :

- Messieurs, je vous présente Jonathan, notre nouveau stagiaire, qui vient juste de sortir de son école de journalisme. Je vous demande de lui réserver le meilleur accueil et de participer activement au continuum de sa formation. 

Jonathan, tu vas faire tes premières armes sur un sujet de fait divers. Tiens, je te propose pour commencer, de traiter cette histoire de la salle des fêtes de Crépol dans la Drôme. Et puis il y a cette affaire du chat qui a été écrasé par un chauffard sur la Nationale 7, entre Montfroc et Le Fion de Chevenoz.

- Vous me confiez l'histoire de cette bande d'Arabes qui a agressé des Blancs à la sortie de la salle des fêtes de Crépol ? Oh, monsieur le directeur, vous me faites trop d'honneur ! C'est formidable, comme mise à l'étrier ! Vous pensez ! Un fait de société, comme premier article, c'est inespéré !!

- Euh... non, je ne veux pas doucher ton enthousiasme, mais c'est juste un fait divers, pas un fait de société. Et bon, déjà, sache qu'en France, il n'y a pas « d'Arabes ».

- Ah ! Il faut que je sois plus précis, c'est ça ? Je dis « maghrébins » ?

- Non !!! Ni Arabes, ni maghrébins. On parle plutôt de « jeunes ». Ce sont bien des personnes plutôt jeunes, non ?

- Ben oui, il semble bien !

- Donc, des jeunes. Ensuite, on ne parle pas d'une agression, mais d'une rixe entre jeunes ! Tiens, encore mieux que « rixe ». Parle de « trouble-fête ». En plus, c'est vrai que ces jeunes ont un peu troublé la fête, à Crépol, il faut le reconnaître !

- Ah ! Et s'il y a des étrangers dans la bande en question, on dit quoi ?

- Ben, si tu es sûr que certains d'entre eux ont la carte d'identité française, tu précises bien que ce sont des « jeunes Français ». S'il y a parmi eux des étrangers, tu ne dis rien. Juste des jeunes.

- Bon. Donc j'écris qu'il y a eu une « rixe » de « jeunes » à la sortie d'une salle des fêtes, au cours de laquelle des coups de couteau ont été donnés, et qu'un des jeunes, dénommé Thomas, a été égorgé et en est mort.

- Non, tu ne dis pas des coups de couteau « donnés », mais plutôt « ont été échangés ». Ça fait plus « rixe ». Et on ne dit jamais « égorgé ». Ça évoque trop l'origine tribale du coup de couteau. On dit « coup de couteau porté au cou ». C'est plus sympa. Et tu précises bien que la victime qui a malencontreusement eu une éraflure au cou, est morte lors de son transport à l'hôpital. Comme ça, tu pourras faire une digression dans ton récit, sur les déserts médicaux. Si la victime est décédée, c'est à cause de l'éloignement du centre de soins.

- Je peux préciser que le vigile a eu des doigts de coupés lors de l'attaque, pour avoir interdit l'accès de la salle aux « trouble-fêtes » ?

- Euh... oui, si tu veux. Mais seulement si le vigile en question est plutôt basané aux cheveux crépus. Renseigne-toi. Ça te permettrait de mentionner une victime immigrée.

- Je peux donner le prénom de certains « jeunes » qui sont venus pour se distraire avec un couteau en poche, histoire de rendre le récit plus intime et lui conférer une dimension d'enquête fouillée ?

- Bien sûr que non, malheureux !!! Mais qu'est-ce qu'on t'a appris à ton école de journalisme ? Non, surtout pas ! A moins bien sûr que tu ne trouves un Kevin ou un Matteo... Et si tu trouves un Christophe, c'est le jackpot. Mais ne rêve pas. Pour ton premier reportage, ça serait un miracle !

- Je peux donner le nom du quartier de Romans sur Isère rempli de logements HLM financés par le contribuable et qui vit essentiellement de la CAF, où habitent ces « jeunes » ?

- Tu veux discriminer tout un quartier défavorisé à cause d'une poignée de chahuteurs isolés, ou quoi ? Non, si jamais tu peux en identifier un qui habite en centre-ville, tu peux le dire. Centre-ville, c'est neutre.

- Je crois qu'il y aura une marche blanche d'organisée, en hommage de Thomas. Je peux l'évoquer ?

- Bien sûr ! Sur tout ce qui est marche blanche, bougies, peluches sur le trottoir, discours lénifiant, tu peux y aller, éclate-toi. Précise juste que les parents ont demandé que la marche blanche soit apolitique pour éviter toute récupération.

- Ils l'ont demandé ?

- On n'en sait rien et on s'en fout ! La préfecture le demande. C'est ce qui importe. Préfecture ou parents, on ne va pas pinailler sur ce genre de détail.

- Bon, je résume donc. Au lieu de dire : des racailles issues de l'immigration maghrébine du quartier de la Monnaie de Romans sur Isère sont venues en bande armée de couteaux pour tuer du Blanc à la sortie de la salle des fêtes du village tranquille de Crépol et ont égorgé un gamin Français de 16 ans appelé Thomas et fait d'autres victimes innocentes dont certaines ont leur pronostic vital engagé,

je dois raconter qu'une rixe à la sortie d'une salle de fête a éclaté, et qu'un des protagonistes est mort lors de son transfert à l'hôpital, trop éloigné de Crépol pour un secours rapide. J'ai bon ?

- Oui, c'est mieux, et surtout, c'est conforme à la politique de préservation de la paix sociale dans ce pays. Mais je constate que, si tu sembles comprendre vite, t'as encore beaucoup à apprendre si tu veux orienter ta carrière vers France Intox Inter, France Télévision ou BFM!

Une dernière chose. Dis bien qu'il est mort dans d'atroces souffrances.

- Thomas ?

- Non, le chat écrasé sur la RN7. Et précise bien que le chauffard est d'extrême-droite. On a trouvé un exemplaire de Valeurs Actuelles dans sa boîte à gants.



Pour bien vous faire comprendre et accepter qu'à l'avenir, la société occidentale devra impérativement être métissée et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper.

 En réponse modeste à ce matraquage, Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur. 


 

mercredi 15 novembre 2023

Quand un esclavagiste contemporain pérore sous les spots télé.

 


Il ne se passe plus de jours sans qu'une nouvelle, une information, un fait divers, ne nous démontre dans quelle profondeur abyssale le pays est tombé.

L'émission « L'évènement » sur France 2, chaîne du sévisse public, le 9 novembre dernier, est un avatar tout récent de cette dégringolade.

Nous avons sur le plateau de l'émission un chef de restaurant réputé, accessoirement président de l'Association Française des Maîtres Restaurateurs, en l'occurrence Alain Fontaine, à la tête du Mesturet, qui vient tranquillement déclarer qu'il emploie dans son personnel de cuisine, des clandestins. Et pour justifier son choix parfaitement illégal, il vient nous expliquer qu'il faut comprendre les bonnes raisons qu'ont les clandestins de violer les lois françaises : ils fuient la pauvreté, le manque d'infrastructure sanitaire, la délinquance etc etc. Bref, ces « pauvres hères » ont des bonnes raisons de fuir leur pays d'origine et de venir se réfugier en France. Ce dont on ne doute pas une seconde.

Bien évidemment, l'animatrice de cette chaîne de propagande se garde bien de lui faire remarquer que le braqueur de banque aussi, a « de bonnes raisons » de se faire ouvrir les coffres d'une banque sous la menace de ses armes. Comprenez-le, il n'a pas de revenu régulier, a des maîtresses à entretenir, un train de vie dans le milieu à mener.

Fontaine nous expose donc doctement les raisons pour lesquelles ses employés clandestins, violeurs de frontière sans papier, sont venus travailler chez lui. Mais il se garde bien de nous donner ses propres raisons personnelles de violer ouvertement la loi du pays dans lequel il exerce son petit business lucratif. Bien évidemment, il paye ses esclaves sans papier au lance-pierre, ce qui lui permet de se faire une marge confortable. Le Mesturet n'est pas à proprement parler un fast-food. A sa table, le client s'en tire, tout compris, pour pas moins d'une bonne centaine d'euros par tête. Pratiquer l'esclavagisme contemporain en toute décontraction ne laisse pas, manifestement, à notre bienfaiteur du migrant en détresse, trop de scrupule. Bien sûr, cet esclavagisme n'est pas celui de l'époque d'Autant en Emporte le Vent, mais payer son employé clandestin avec une poignée de figues plutôt que d'assurer un salaire décent à un Français de souche reste une forme d'esclavagisme.

Cela étant, cet épisode n'est pas le fait le plus scandaleux. Il y a toujours eu des margoulins, des proxénètes et autres exploiteurs de la misère d'autrui, et autres salopards, et il y en aura toujours. Ce qui témoigne de la profonde décadence du pays, est dans le fait qu'un tel individu puisse, de nos jours, en toute impunité, venir publiquement sur un plateau de télévision, à visage découvert, déclarer qu'il viole la loi française, faire un bras d'honneur à ses compatriotes en recherche d'emploi dans la restauration, et se faire, au passage, un petit coup de pub. Combien de restaurateurs aimeraient que le nom de leur établissement soit nommé à l'écran devant des centaines de milliers de téléspectateurs, et ce, sans aucun esprit de polémique de la part de l'interviewer ?

On aurait compris qu'un reporter de France Télévision aille chercher le témoignage d'un restaurateur esclavagiste avouant son forfait, afin d'apporter une preuve de ce fait de société qui n'a sûrement rien d'exceptionnel. On l'aurait compris si cet interview de délinquant se donnait discrètement sur un parking anonyme, dans un véhicule, avec une image floutée de l'individu et avec une voix déformée. Bref, on l'aurait accepté si cela avait été un vrai travail de journaliste enquêteur de terrain. Mais aujourd'hui, ce délinquant à toque blanche vient pérorer sous les spots d'un plateau de télévision à une heure de grande écoute. Bravo et merci à la télévision financée par nos impôts.

Dans un pays normalement géré, une escouade de flics aurait dû attendre Alain Fontaine à sa sortie des studios de France 2, le mettre en garde à vue avant que la Justice ne le mette en taule. Un contrôle d'identité des employés du Mesturet aurait été mené et les clandestins auraient été mis dans le premier avion en direction de leurs pays d'origine. Aux frais du restaurateur bien entendu.

« Dans un pays normalement géré ». On en est loin.

En attendant qu'un gouvernement honnête et volontaire émerge et travaille dans l'intérêt de la population dont il a la charge, le citoyen impuissant ne doit pas oublier qu'il est aussi un consommateur. Et en tant que tel, il retrouve un moyen d'action: le boycott. Notez bien ce restaurant parisien à éviter : Le Mesturet, rue de Richelieu, dans le 2e arrondissement, entre l'Opéra et le musée du Louvre.



Pour bien vous faire comprendre et accepter qu'à l'avenir, la société occidentale devra impérativement être métissée et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper.

 En réponse modeste à ce matraquage, Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur.


vendredi 10 novembre 2023

Marche contre l'antisémitisme: le mot qui la souligne le mieux.

 


Une marche de dénonciation de l'antisémitisme est organisée ce dimanche par tous les guignols bien-pensants du théâtre politique, aux premiers rangs desquels Larcher et Braun-Pivet.

Devinez quel est le mot sous-jacent de cette marche.

Hollande, Macron, Sarkozy et toutes les « élites » politiques ayant soutenu ces traîtres immigrationnistes, sont-ils vraiment habilités à participer à la marche contre l'antisémitisme ?

Y a-t-il cohérence entre manifester contre une dérive sociétale et avoir délibérément créé cette dérive sociétale ?

Peut-on, en toute sincérité, s'ériger en dénonciateur scandalisé des conséquences de ses propres actes ?

On feint d'ignorer que l'immigration musulmane encouragée et facilitée est directement liée à la vague de haine du juif que connaît la France aujourd'hui.

Comment peut-on être faire semblant d'être outré de la conséquence directe de la politique qu'on a consciencieusement menée pendant des décennies à l'encontre des désirs d'une majorité de Français ?

Reconnaître sa responsabilité directe dans le pic d'antisémitisme auquel on assiste en France devrait être, pour tous ces politiques ayant été au pouvoir sur les quarante dernières années, le préalable à toute organisation de manifestation.

Il serait, de la même façon, inadmissible qu'un patron de BTP ayant négligé pour des motifs de réduction de coûts, des mesures de protection de ses ouvriers, s'érige en dénonciateur virulent d'un accident arrivé à l'un d'eux.

Serait-il acceptable qu'un paysan ayant laissé ses terres à l'abandon, se mue en organisateur d'une manifestation pour dénoncer l'invasion de ses champs par des insectes ravageurs ?

Indécent est l'adjectif qui décrit le mieux ces politiques responsables de cette immigration sauvage qui osent refuser aux politiques de l'opposition, et donc à ce titre parfaitement innocents du carnage sociétal issu de cette immigration d'invasion, de participer à cette marche contre l'antisémitisme.

Et ces politiques coupables ne doivent pas oublier qu'ils seront un jour, inévitablement, comptables devant les Français patriotes, de leur trahison.



Pour bien vous faire comprendre et accepter qu'à l'avenir, la société occidentale devra impérativement être métissée et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper.

 En réponse modeste à ce matraquage, Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur. 


 



samedi 4 novembre 2023

Discussion de palier.

 


- Hé bonjour Hervé! Ça me fait plaisir de te revoir !

- Bonjour Caroline, et bienvenue! A moi aussi, ça me fait plaisir ! Je t'en prie, entre !

- Bienvenue, bienvenue... il faut le dire vite, ah ah ah ah ah ah 😄! Y a un de ces boucans dans ton immeuble !

- M'en parle pas ! Ça a repris de plus belle !

- Qu'est-ce qui a repris ?

- Oh tu sais, c'est toujours les voisins du 4e. Ils n'arrêtent pas de se chamailler depuis des lustres ! Mais là, ils ont encore monté le ton et ça emmerde tout l'immeuble !

- Qu'est-ce qu'il se passe au juste ?

- Ben, ce sont des cousins, qui sont censés partager l'appartement du 4e, mais ils se disputent ce partage sans arrêt.

- Mais pourquoi ? Ils n'ont pas le sens de la famille ?

- Absolument pas ! Faut dire que tu as un des cousins qui est un feignant fini. Il ne branle rien, si ce n'est chaparder ici ou là. Il vandalise les boîtes aux lettres de l'immeuble, fait des tags sur les murs, défèque sur les paillassons des appartements. Bref, il fait chier tous les résidents qu'il lui arrive de côtoyer, à tous les étages.

- Et l'autre cousin ?

- L'autre, c'est celui qui a réussi. Il est plein aux as. Autant la partie de l'appartement occupée par son cousin est un bouge, autant la sienne est correctement aménagée et meublée. Mais il méprise souverainement son cousin. A vrai dire, il méprise aussi le reste des résidents, mais c'est une autre affaire. Le problème, c'est qu'il n'arrête pas de repousser son cousin toujours plus au fond de l'appartement qu'ils sont censés partager tous deux, en accaparant petit à petit les pièces de son cousin. Il chercherait à le reléguer au fond de la cave que ça ne m'étonnerait pas.

- Mais ce partage n'a pas été officialisé un jour d'une façon ou d'une autre ?

- Si, bien sûr! Un notaire avait enregistré ce partage il y a longtemps, mais le riche cousin s'en tape. Tu sais, c'est toujours celui qui a du fric qui fait ce qu'il veut ! L'autre est supposé s'écraser. C'est comme ça. C'est vrai aussi que celui-là ne s'est jamais vraiment donné le mal de s'en sortir financièrement non plus... Il préfère faire des jérémiades à longueur de temps, tout en affichant son asociabilité.

- Si je comprends bien, le cousin riche vole au pauvre sa partie d'appartement en quelque sorte !

- Exactement ! Même famille, même travers, je te dis ! Bref, ce sont des chamailleries à n'en plus finir.

- Mais j'ai aussi croisé, en montant, un type qui avait l'air de vouloir se mêler de la dispute.

- Ah oui ! Ben lui, c'est autre chose ! Il faut qu'il se mêle toujours de ce qui ne le regarde pas ! Dès qu'il y a une dispute ici ou là dans l'immeuble, il faut qu'il y mette son grain de sel ! Il se prend pour le concierge de l'immeuble, alors que personne ne lui en a donné la charge.

- Mais il s'en mêle pour apaiser la dispute, ou quoi ?

- Absolument pas ! Au contraire ! C'est toujours pour envenimer les choses ! Là, en l'occurrence, il prend parti pour le riche cousin, contre l'autre. Comme si on lui avait demandé quelque chose !!

- Ça doit foutre une sacrée ambiance dans l'immeuble !

- Tu penses ! Tout le monde en a ras le bol ! Tiens, un autre exemple : au 3e étage, t'as aussi une querelle de famille. T'as un mec, un clown de cirque reconverti, je crois, qui a maltraité ses propres enfants. Du coup, t'as l'oncle de ces gosses, qui habite à côté, qui est intervenu pour protéger ses neveux. Eh bien, t'as encore Monsieur-qui-se-mêle-de-tout-ce-qui-ne-le-regarde-pas, qui est arrivé pour intervenir dans cette histoire de famille. En plus, il prend parti pour le maltraitant des gosses ! J'te jure, parfois, on aimerait qu'il s'occupe davantage de ses fesses... qui ne sont pas bien propres, d'ailleurs, si tu veux mon avis ! Mais bon, c'est son problème. Bref, il y a une ambiance de merde dans cet immeuble, et c'est toujours à cause des mêmes ! Enfin... parlons d'autre chose... Alors, ça fait combien de temps qu'on s'est pas vu ?....


(Toute ressemblance avec des situations existantes ou ayant existé, serait, bien évidemment, purement fortuite.)

 

Pour bien vous faire comprendre et accepter qu'à l'avenir, la société occidentale devra impérativement être métissée et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper.

 En réponse modeste à ce matraquage, Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur.



 

vendredi 27 octobre 2023

Incursion dans la tête de Macreux.

 


- Vous êtes formidable, monsieur le Président ! Quelle réussite !

- Oui, je dois dire que je suis plutôt fier de moi !

- Vous les avez littéralement bluffés, aussi bien Benyamin Netanyahou que Mahmoud Abbas!

- Non, pas « bluffés », monsieur le Conseiller, juste « convaincus ». Ils ont été sensibles à mes arguments, voilà tout.

- Oui monsieur le Président, vous avez su, comme d'habitude, trouver les mots justes.

- Vous savez, quand je parle aux Français, ils m'écoutent, et savent reconnaître la justesse de mes propos. Comment pourrions-nous expliquer autrement ma popularité légendaire dans le peuple français ?

- En tous cas, monsieur le Président, les Palestiniens et les Israéliens vous doivent une fière chandelle : Les premiers ont désormais un pays bien à eux, et les seconds vont pouvoir vivre en paix, sans aucune menace de ce nouveau voisin. Peut-être même que les uns et les autres vont pouvoir commencer à avoir des échanges économiques entre eux, non ?

- Bien sûr ! Le leader de l'Autorité Palestinienne était à côté de Ismaïl Haniyeh, le leader du Hamas, quand il m'a dit qu'il allait, dès mon départ, contacter « Bibi » pour entamer les premières démarches dans ce sens. Bon, maintenant, je dois me concentrer sur mon dossier suivant. Quand devons-nous atterrir à Pyongyang ?

- Dans une heure et demi, monsieur le Président.

- Bien. C'est largement suffisant pour préparer mon entrevue avec Kim Jong Un et le Président sud-coréen, Yoon Suk-yeol.

- Ah ça, monsieur le Président, le monde entier est fasciné par votre prestation coréenne!

- Oui, je ne suis pas mécontent de cette conférence de presse que j'ai animée avec les deux leaders Coréens. Vous avez vu ? L'un à ma droite et l'autre à ma gauche ! Ça avait de la gueule, hein ?

- Surtout avec cette accolade qu'ils se sont donnée au terme de cette conférence !

- Vous savez, monsieur le Conseiller, elle n'était juste que l'illustration physique de l'accord de réunification des deux Corées que je venais de leur faire signer, après l'entretien auquel je les avais conviés tous les deux. Ils ont entendu ma vibrante plaidoirie et ont dû admettre la justesse de mon jugement sur cette situation précaire qui n'a que trop duré entre leurs deux pays. La Corée ne fait désormais plus qu'une.

- Grâce à vous, monsieur le Président ! Les Coréens chantent déjà, m'a-t-on dit, vos louanges ! Votre nom est sur toutes les lèvres !

- Oui, bien sûr, c'est satisfaisant, quoique cela heurte quelque peu mon humilité naturelle... Me plonger dans mon dossier suivant va me permettre de surmonter ce léger malaise. Combien de temps avant d'atterrir à Pékin, monsieur le Conseiller ?

- Vous avez deux bonnes heures devant vous, monsieur le Président. Le Président Xi Jinping vous attend avec impatience. Il se fait une joie de vous accueillir en Chine. Il s'est dit très honoré de votre visite. Honoré mais aussi assez surpris que vous lui ayez demandé d'avoir le Dalaï-lama à ses côtés pour vous recevoir. Mais il est tellement impressionné par votre stature internationale qu'il s'est plié bien volontiers à votre demande !

- Bravo, monsieur le Président, grâce à vous, la planète Terre connaît désormais un nouveau pays : le Tibet !

- Ça n'a pas été facile, monsieur le Conseiller, mais c'est fait : la Chine a officiellement accepté l'indépendance du Tibet.

- Mais comment faites-vous, monsieur le Président, pour être aussi persuasif ? Vous subjuguez littéralement vos interlocuteurs, et ils finissent toujours par épouser vos convictions !

- Je sais, je suis un négociateur hors pair. Que voulez-vous, mes capacités de gestionnaire n'auraient pas été suffisantes pour assurer la remarquable réussite de mon double quinquennat. Je suis un Mozart de la Finance, mais mon habileté de négociateur international est mon Stradivarius. Bon. Trêve de constats d'évidence et de banalités. Demandez au pilote de ne pas rentrer directement sur Paris. Dites-lui de faire une escale à Bakou, en Azerbaïdjan. J'ai deux mots à dire au président Ilham Aliev. Prévenez-le de ma visite, s'il vous plaît.

- Je viens de recevoir un message pour vous, monsieur le Président, de la part du président arménien Vahagn Khatchatourian. Il vous remercie chaleureusement de votre intervention auprès de son homologue azéri ! Ce dernier l'a contacté et lui a promis de cesser toute intervention armée à l'encontre de l'Arménie. Il s'est même engagé à lui restituer le Haut-Karabagh. Khatchatourian et Aliev vont entreprendre un certain nombre de rencontres afin de mettre en place une nouvelle coopération économique entre les deux pays !

- Oui, c'est ce que j'ai demandé à Ilham de faire, pendant la demi-heure de notre entrevue. Il s'est engagé à contacter le président arménien au plus tôt. Il a dû le faire pendant que nous décollions de Bakou. Combien d'heures de vol avant que nous atterrissions à Paris ?

- Encore trois heures, monsieur le Président.

- Bien, apportez-moi ma liste de contacts. Je vais régler le problème de la faim dans le monde avant d'arriver à l'Elysée. Pour ça, j'ai quelques coups de fil à donner.


- "sident... Président... Monsieur le Président !! Monsieur le Président !!

- Hein ? Euh... Quoi ? Qu'est-ce que... ?

- Excusez-moi de vous réveiller, monsieur le Président ! Mais nous sommes en train d'atterrir à Tel Aviv ! Vous avez bien dormi, monsieur le Président ? Excusez-moi, mais vous avez un peu de bave au coin des lèvres, tenez, voilà un mouchoir. Je dois vous prévenir, Monsieur Netanyahou ne sera pas présent à votre descente d'avion. Aucun de ses proches collaborateurs non plus d'ailleurs. Ils sont un peu occupés en ce moment, paraît-il. Mais ne vous en faites pas, quelques fonctionnaires seront là pour vous guider à votre arrivée..."

mercredi 11 octobre 2023

Recadrage à LFI.

 


Au siège de LFI, un certain soir récent...


Un cadre de LFI - Camarade Jean-Luc, on est quelques camarades à se poser des questions.

Jean-Luc - Quelles questions ?

Un cadre de LFI - Ben, où va-t-on exactement avec cette histoire de l'attaque du Hamas sur Israël ?

Jean-Luc - Tout va bien camarade ! On ramasse des voix comme jamais avec cette histoire !

Un cadre de LFI - Mais...

Jean-Luc - Y a pas de « mais ». Je travaille pour mon... euh... notre avenir !

Un cadre de LFI - Comment ça ?

Jean-Luc - Regarde-moi. Ça fait des décennies que j'en ai pas branlé une ! J'ai jamais travaillé de ma vie et regarde le patrimoine que je me suis fait !

Un militant, à voix basse, à son voisin :

- Tu parles, il n'a jamais accepté d'être filmé chez lui pour des interviews un peu intimistes. Il a toujours fallu que ça se déroule dans des lieux publics ou à des domiciles privés, mais jamais chez lui. Sans doute par crainte de montrer un intérieur trop luxueux pour un représentant des classes laborieuses !

Jean-Luc - Crois-tu que j'en serais là où j'en suis, en termes de notoriété par exemple, si j'étais resté le petit militant socialiste que j'étais il y a quinze ans ? Non ! Je me suis fait un nom incontournable sur la scène politique parce que je n'ai pas couru les chemins tout tracés de la gauche d'hier !

Le même militant en conciliabule avec son voisin :

- C'est sûr, il est plein aux as ! Comment crois-tu qu'il s'est mis la camarade Chikirou qui a 28 ans de moins que lui, dans son lit ? Avec son physique de jeune premier et son sourire enjôleur ?

Son voisin, en réponse :

- Ah bah elle, elle a les dents qui rayent le parquet aussi ! Tu sais qu'elle se fait plus de dix mille euros par mois, et pas toujours en accord avec les règles légales, à ce qu'on dit... Pas mal pour une représentante des milieux défavorisés !

Jean-Luc - Crois-tu qu'on pourrait encore miser sur les voix des travailleurs pour exister et prospérer ? Il n'y a plus de travailleurs ! Les industries ont foutu le camp ! Alors, ils sont où, les ouvriers ? D'ailleurs, ceux qui sont encore là, ils votent RN, ces connards ! Faut dire qu'ils ont dû quitter leurs quartiers envahis par des populations qui ne leur ressemblent pas. En plus, ils ont vu leurs revenus tirés par le bas, justement à cause de ces populations qui travaillent – quand elles travaillent - pour des salaires de misère ! Bref, il n'y a plus rien à tirer des classes dites populaires. D'ailleurs, regarde où en est Roussel : le camarade communiste rame comme un malade. Ses conventions, il les fait dans des cabines téléphoniques. Plus personne ne l'écoute ! Alors que moi, enfin, je veux dire, nous, on pèse sur l'échiquier politique du pays !

Un cadre de LFI - Oui, mais quand même... de là à soutenir le Hamas qui massacre des juifs...

Jean-Luc - Ne dis pas « juifs ». Parler de juifs, ça fait raciste ! Parle de « sionistes ».

Un cadre de LFI - Oui, mais bon...

Jean-Luc - Combien y-a-t-il de juifs en France d'après toi ?

Un cadre de LFI - Euh... dans les 600 000 ?

Jean-Luc - Exactement. Et combien de musulmans selon toi ?

Un cadre de LFI - Plus de 5 millions, je crois...

Jean-Luc - Bingo ! 5 millions 400 000 ! Alors ? 600 000 d'un côté, bientôt presque dix fois plus, de l'autre. Quelle population faut-il se mettre dans la poche, d'après toi ?

Un cadre de LFI - Et tu crois que ça suffira pour faire ta VI e République ?

Jean-Luc - Ben tu rajoutes les quelques minorités qu'on drague à mort, les minorités des pédés, gouines et déglingos à cheveux bleus, et ça finira par le faire.

Le militant du conciliabule :

- « Pédés » ? Il se lâche un peu, là, non ?

- Non, il se retient plutôt, figure-toi. Sa copine Chikirou parle, elle, de « tafioles de merde » !

Un cadre de LFI - Mais tu crois qu'il y a moyen de trouver une cause commune entre les arabes muzz et ces minorités ? Je me demande si les muzz sont vraiment compatibles avec les militants wokes...

Jean-Luc - Bien sûr que non, ils ne le sont pas. Mais chaque chose en son temps. D'abord on gagne le pouvoir, je deviens le nouveau Robespierre de ce début de XXI e siècle, et après, il sera toujours temps de voir les malades en psychiatrie du cul se faire lapider par les lecteurs du Coran. Au moins, on sera au Pouvoir. Et on n'aura même pas à changer de logo : LFI voudra dire La France Islamique, et voilà tout !

Un cadre de LFI - Ben oui, mais quand on connaît le sort de Robespierre, je me demande si l'histoire de se répéterait pas ! Robespierre guillotiné par les révolutionnaires qu'il a créés, encouragés...

Jean-Luc - T'inquiète, je gère. En attendant, comme tu l'as compris, en soutenant le Hamas, et en étant le seul parti politique à le faire, on se fait bien voir de toute la clientèle immigrée, de toutes les banlieues, et ça fait du monde ! On peut bien se mettre à dos les sionistes, le jeu en vaut la chandelle !

Un cadre de LFI - Mais t'as pas peur qu'on se fasse traiter d'antisémite ?

Jean-Luc - Mais non ! Le racisme et l'antisémitisme ne peuvent se trouver qu'à droite et l'extrême-droite! C'est un fait bien établi dans toute la sphère politico-médiatique ! La gauche par définition, ne peut pas être raciste, quoiqu'elle dise ou fasse ! Regarde, Zemmour est juif, ça n'empêche pas tous ceux qui ne lui veulent pas que du bien, de dire qu'il est raciste. Parce qu'il est à droite. Et quand on n'est pas de gauche, c'est qu'on est d'extrême-droite. Donc raciste. Staline avait bien compris qu'il faut toujours accuser ses opposants de ses propres travers, à titre préventif et pour empêcher justement l'opposition de dénoncer ces travers. C'est pour cela qu'il faut continuer à toujours crier au racisme chez ceux qui ne sont pas LFI. Ça va, vous êtes rassurés ? Donc, gardez cela en tête : le mot « terrorisme » est banni, le Hamas, c'est les gentils qui ne font rien que se défendre contre les sionistes, et il faut bien sûr « chercher la paix » et patati et patalère... Pigé ? Allez, au boulot !


vendredi 6 octobre 2023

P comme Punaise... ou comme Pape.

 


On vit une époque formidable ! Le pays fonce à vitesse accélérée contre tous les murs devant lui. Mur social, mur économique, mur financier, mur sociétal, mur diplomatique, mur dictatorial. Et surtout mur civilisationnel. Mais quel est le sujet politique de la semaine ? Les punaises de lit !


Une obèse de LFI interpelle le gouvernement en pleine session parlementaire, sur le sujet avec, à la main, une petite fiole supposément remplie de punaises de lit (mortes ? Ou est-ce que ce tube ne pourrait pas être une arme de désertion massive du Parlement?), mimant ainsi la célèbre manipulation de Colin Powell brandissant une fiole prétendument remplie d'anthrax pour justifier l'intervention américaine en Irak.

Bref, le Titanic coule, mais la passagère Madame Elléfi fait un esclandre parce qu'un tableau au mur de sa cabine est un peu de travers.


Evidemment, quand on en est à faire du climat, donnée ô combien naturelle, une cause de mobilisation générale, on peut très bien faire de la punaise de lit une cause politique nationale. On n'est plus à une crétinerie près.

D'ailleurs, quand il y a une crétinerie à proclamer, LFI répond toujours présent. Et Véran, pour ne pas être en reste, est là pour y mettre son grain de sel, histoire de donner à la crétinerie en question un peu plus de saveur. Notre expert en parasites (et sa présence depuis plus de 3 ans aux côtés de Macreux confirme sans contestation possible cette expertise) déclare que l'infestation de punaises de lit que connaît Paris est bel et bien « la démonstration du réchauffement climatique ». Fallait oser. Véran l'a fait. Ces pauvres Poilus de 14-18, confinés dans les conditions d'insalubrité et d'absence d'hygiène des tranchées, ignoraient qu'ils subissaient, via les parasites de lit infestant leurs couvertures, vêtements et toiles de lits de camp, les conséquences du réchauffement climatique... durant les durs hivers de ce début du XXe siècle !!


En revanche, émettre l'hypothèse d'un parallèle entre l'invasion de ces insectes parasites et celle des humains parasites est interdite. Aurélien Rousseau, sinistre de la Santé, convient du bout des lèvres, lors d'un passage sur France Intox, que l'infestation des parasites de lits est bien liée à la mobilité humaine sur la planète. Mais bien sûr, il s'agit ici, dans son esprit, de la mobilité des cadres supérieurs avec leurs valises Vuitton en 1ère classe des avions intercontinentaux. En aucun cas, de la mobilité de migrants provenant de pays aux conditions de salubrité un tantinet différentes de celles que connaît (connaissait?) l'Europe, et voyageant dans des conditions d'hygiène qui ne sont pas forcément une priorité chez les mafias des passeurs et des ONG immigrationistes.

Cela fait des mois que les gestionnaires du centre de rétention des migrants à l'aéroport de Roissy alertent sur cette invasion de punaises de lit qui font de ce centre un enfer, mais c'est juste une coïncidence... à moins que ces gestionnaires soient d'infâmes complotistes d'extrême-drouâââte.


Pour rester dans le domaine des parasites, évoquons celui dont souffre l'Eglise Catholique. Le pape nous en a sorti de bien bonnes cette semaine. Son passage à Marseille a fait le bonheur de l'extrême gauche, ce qui en dit long sur la déviance de François. Il s'est en effet, à nouveau, ouvertement prononcé en faveur de la migration du Sud vers le Nord, donnant des leçons d'humanisme à l'Europe qui n'en peut mais. Les pays arabes, africains, musulmans, sont à l'évidence, exemptés de toute générosité. Evidemment, on pourra remarquer, avec mauvais esprit, que le Vatican a accueilli seulement une douzaine de « réfugiés » en transition à Lesbos, (petite précision accessoire : des « réfugiés » musulmans... !) en 2016 et, en 2021, 46 migrants et pas un de plus. Ils ont donc été dûment comptés, et on ne peut donc pas dire que le Vatican ait ouvert en grand ses bras à « cette demande d'humanité des plus humbles. » Il faut, en outre préciser qu'un immigré officiel du Vatican sera, en réalité et par la convention des Accords de Latran, pris en charge par l'Italie, le Vatican n'ayant ni Sécurité Sociale ni politique d'immigration. En d'autres termes, le Vatican sait être généreux, avec prudence certes, mais néanmoins généreux... avec l'argent du contribuable italien.


Sans doute trop préoccupé à distiller sa bonne parole à Marseille pour s'attirer les bonnes grâces des merdias gauchistes qui se sont brutalement montrés oublieux de leurs obsessions laïcardes, François n'a pas trouvé le temps d'évoquer l'enfer que sont en train de subir les Chrétiens du Haut-Karabagh arménien. On rétorquera évidemment que ce n'est quand même pas la faute du pape si ces réfugiés arméniens n'ont pas la Méditerranée à traverser pour trouver refuge. Ce n'est pas non plus sa faute si ce refuge n'est pas d'ordre économique mais tout simplement l'enjeu de rester en vie...ou pas.


Il faut reconnaître à cet égard la surprenante « conversion » de François. En effet, François, à l'époque où il était un dénommé Jorge Mario Borgoglio de l'Eglise, à Buenos Aires, n'était pas si « bobo » qu'aujourd'hui. Volontiers politiquement péroniste, il a été un témoin complaisant et silencieux de la dictature sanglante qui a fait plus de 30 000 « disparus » pour raisons politiques entre 1976 et 1983.


Et comme si ces déclarations purement politiques n'étaient pas suffisantes pour occuper l'espace médiatique cette semaine, notre pape se fait l'avocat de cette grande cause inventée et orchestrée par l'oligarchie du Forum Economique Mondial : le fameux « réchauffement climatique ». Réchauffement climatique qui, il n'est même plus nécessaire de le préciser quand on évoque ces deux mots, est forcément d'origine anthropique. Ça va de soi, et ne perdons plus de temps à utiliser cette précision qui ne doit pas s'encombrer d'une justification scientifique introuvable.

Le « monde s'écroule » selon François qui dénonce « l'irresponsabilité des pays riches ». La formule trouverait, aux yeux de Saucisson-Pinard, une belle justesse si le mot « catholique » s'intercalait entre « monde » et « s'écroule », avec ce pape progressiste au Vatican.

Ce pape demande, à deux mois de l'ouverture de la COP 28 à Dubaï – mais c'est un hasard-, que des mesures « contraignantes » de transition énergétique soient prises. Et par la même occasion, il fustige les climatosceptiques aux « opinions déraisonnables et méprisantes ».


Aussi quelques questions se posent aujourd'hui :

- Les climatosceptiques doivent-ils être qualifiés d'hérétiques et, à ce titre, être soumis à un autodafé qui les verrait être brûlés en place publique, devant François en tant que Grand Inquisiteur ?

- Combien Soros et Schwab ont-ils donné à François pour sa mission de fidèle porte-parole ?

- EELV doit-il craindre l'émergence d'un parti politique concurrent déloyal en provenance du Vatican, financé par le Trésor de l'Eglise et les grands oligarques mondiaux ?

- Les Catholiques ne devraient-ils pas juste demander au pape François de, enfin, s'occuper de ses messes ?


MIN. Euh... FIN!

vendredi 22 septembre 2023

Macreux en pleine introspection.

 


"Voyons voyons... Comment je pourrais foirer encore un peu plus mon second quinquennat ?

L'Afrique, par exemple.

Bien, le Mali, c'est fait. La France s'est fait foutre dehors comme une malpropre après avoir sacrifié certains de ses soldats sur le terrain pour préserver le gouvernement malien et sa population des menaces des islamistes du Sahel. Sans parler évidemment du pognon que ça a coûté au contribuable français.

Le Burkina Faso ? Pareil ! Foutu à la porte ! Si on ne peut plus rigoler maintenant, en se moquant en public, du président de ce pays en imaginant comme excuse à son départ prématuré d'une conférence de presse qu'il « serait parti réparer la clim », franchement, où va-t-on ? Bon, d'accord, je ne me permettrais pas ce genre de familiarité potache à l'égard du sénile Biden. Mais, enfin, c'est pas pareil ! Ce gâteux, ou plutôt l'Etat Profond qui le manipule comme Jeff Panacloc manipule Jean-Marc, est mon boss, alors, quand même, un peu de retenue, que diable !

Le Niger ? Banco ! Les autorités nigériennes du moment, légitimes ou pas, peu importe, puisque ce sont elles qui sont aux manettes pour le moment, demandent le départ de mon ambassadeur. Ce n'est quand même pas aux Nigériens qui laissent sans moufter un coup d'état se produire, dans leur propre pays, avec des milliers de militants en soutien, qui vont décider si un ambassadeur peut ou ne peut pas rester sur leur sol, sans blague ! Si on commence à laisser les Nigériens décider de ce que doit faire ou ne pas faire le Niger, c'est la porte ouverte à... euh... à... Hein ? À quoi ? Ben oui, c'est la porte ouverte en grand pour que la France dégage!

Comment ? Que dites-vous ? Le président de la République Populaire du Congo m'avait prévenu que mon attitude vis à vis des pays africains commençait à courir sur le haricot de tout le monde sur le continent ? Et alors ? C'est quand même pas un négrillon qui va donner des leçons de conduite à Jupiter, non ?

Bon. Ils ne veulent pas de la Françafrique ? Ben, tant pis, ils auront la France africaine ! De quoi se plaignent-ils ? Des milliers d'Africains se précipitent à Lampedusa avec la bénédiction de ma patronne par délégation, Ursula.

Bon, la politique étrangère de la France en Afrique, comme dans le reste du monde d'ailleurs, est bien foirée dans les grandes largeurs. Ça c'est fait. Il me reste encore à foirer nos relations avec le Sénégal et la Côte d'Ivoire. Je vais m'y atteler.

Voyons l'Ukraine maintenant. La grande contre-offensive promise par mon copain de papouille Volodymyr « n'est pas un échec, elle n'a juste pas fonctionné ». Du coup, ses alliés, à commencer par les Etats-Unis, commencent à rechigner à cracher au bassinet sans fond de l'approvisionnement en pognon et en armes. On sent bien qu'un revirement de l'attitude occidentale envers ce conflit est à l'étude. Et moi, je choisis avec ma lucidité légendaire, ce moment pour promettre à Kiev l'envoi de Mirages 2000. Histoire de mettre la France hors-jeu quand l'Occident lâchera mon petit copain nazi pour entreprendre des démarches de recherche de paix avec Poutine.


Je ferais peut-être mieux de me concentrer sur la politique intérieure. Tiens, ma soumission au marché européen de l'électricité, par exemple : en voilà une trouvaille géniale qui tape bien sur le citoyen français ! Ce marché, concocté par mon Union Européenne chérie, base le prix de l'électricité sur celui, ô combien spéculatif, du gaz. Et de la spéculation, il y en a ! Surtout depuis les sanctions que l'Oncle Sam nous a demandées d'administrer à la Russie, avec d'autant plus de décontraction que, lui, Sam, ne dépend absolument pas du gaz russe ! Et pour être sûr que ces sanctions soient assurées, mon donneur d'ordre Sam a fait sauter Nord Stream 2, ces conduites d'approvisionnement en gaz russe en mer du Nord. Bref, le coût de l'électricité explose. Et comme j'ai plus ou moins abandonné la filière nucléaire, (en suivant en cela la politique initiée par mon prédécesseur sur pression de mon autre copine, l'Allemagne), filière où la France excellait et qui lui permettait naguère de vendre sa surproduction, les Français aujourd'hui peinent à payer leur facture d'électricité. Ils sont même parfois contraints, tout bonnement, de fermer boutique quand celle-ci dépend trop de cette énergie, comme les boulangers par exemple.

Puisque je pense à l'énergie, l'essence, en voilà une autre énergie sur laquelle j'ai bien niqué les Français ! L'essence a vu aussi son prix exploser, un peu pour les mêmes raisons. Du coup, l'Etat se frottent les mains de voir les taxes qui représentent plus de 60% du prix du litre d'essence, ramener une manne inespérée pour mon budget toujours loin de l'équilibre. Les gilets jaunes avaient commencer à tiquer quand le litre était à 1,70€. Il est maintenant, au mieux, à 1,99€, dépassant largement les 2 euros en certains endroits.

C'est vraiment pas le moment que ces gueux de gilets jaunes se réveillent. Alors c'est là que j'ai une idée géniale ! Je ne vais sûrement pas tuer cette poule aux œufs d'or qu'est l'essence, en imaginant baisser ses taxes. L'essence est quand même le petit paradis fiscal qui se permet de mettre une taxe, en l'occurrence, la TVA, sur d'autres taxes ! Taxer les taxes, il fallait quand même oser ! Bref, je ne vais pas, ne serait-ce qu'égratigner l'avalanche de taxes qui grèvent ce produit indispensable au citoyen. Non, je vais demander aux grandes surfaces de vendre leur essence à perte, pour faire plaisir au consommateur sans que ça ne coûte rien à l'Etat. Pas bête hein ? Je vais passer pour celui qui fait un cadeau au gueux, mais c'est pas moi qui le paye !

Hein ? Comment ? Les petites stations, dont l'essence est la quasi-unique source de revenus, ne pourront pas se permettre de suivre cette politique de vente à perte ? Heu... attendez, laissez-moi réfléchir... Bon bah, y a qu'à leur promettre des aides ! Comme ça, le consommateur contribuable paiera d'une main, le cadeau que je lui fais dans l'autre main. Qu'est-ce que vous voulez, quand on est un Mozart de la Finance, il n'y a pas de problème qu'on ne peut résoudre !

Hein ? Qu'est-ce que j'apprends ? Les grandes surfaces refusent ce deal de vente à perte du carburant ? Ah les ingrats !! Après tous les cadeaux que je leur ai faits !!!

Bon, je ferais mieux de me concentrer sur autre chose!

Résumons-nous. La politique étrangère de la France est un fiasco complet. J'ai beau venir tripoter n'importe quelle personnalité étrangère qu'il m'arrive de croiser, comme si elle était un pote avec lequel j'aurais fait les quatre cents coups dans notre prime jeunesse, personne ne m'écoute vraiment et je passe pour un moins que rien. C'est pas grave. Je continue de faire la une des merdias possédés par mes copains oligarques français. J'adore être pris en photo auprès de gens connus. Et c'est vraiment ça le plus important. Ça me permet d'oublier les foirades de mon quinquennat dans tous les autres domaines :

Foirade sociétale, avec une insécurité explosive que même Dupont-Maserati n'ose plus qualifier de simple « sentiment », avec des émeutes à répétition, en Seine-St Denis, ma Silicon Voilée à moi, ou ailleurs. Avec des déserts médicaux qui gagnent du terrain, avec des hôpitaux débordés, sous-équipés.

Foirade économique, avec un déficit de la balance commerciale qui devient abyssal, avec des faillites d'entreprises qui se multiplient comme jamais.

Foirade militaire, avec une Armée aujourd'hui sous-équipée, au matériel entretenu avec des bouts de ficelle, une Armée en panne de personnel qui oblige à des campagnes publicitaires de recrutement incessantes qui ne cachent plus le fait que personne ne veut plus s'enrôler pour défendre un pays qui n'est plus vanté par personne, et en tous cas, ni par moi ni par mes sbires européistes.

Foirade judiciaire où le citoyen de base comprend que la Justice est corrompue idéologiquement par l'extrême-gauche en voyant le Syndicat de la Magistrature, naguère à l'initiative du mur des cons qui insultaient délibérément des victimes de délinquance, participer à la Fête de l'Huma communiste, et à une manifestation dirigée contre les Forces de l'Ordre. Le citoyen ne s'étonne alors plus du laxisme de la Justice à l'égard des délinquants, surtout quand ils sont un tantinet basanés...

Foirade financière avec un record de pression fiscale concomitant avec une dégringolade de la qualité des services publics.

Bref, mon quinquennat continue de foirer complètement et tranquillement. Oui, tranquillement. Car c'est ça qui m'étonne le plus. Comment se fait-il que ce moment n'est pas encore arrivé ? Ce moment que je sais pourtant inévitable, où je devrai m'enfuir avec mon trans Jean-Michel sous des cieux plus cléments pour profiter, le reste de notre vie, de mon pognon de toutes origines, soigneusement mis de côté anonymement dans des paradis fiscaux. Ce "pognon de dingue" accumulé me permettra de compenser alors, cette future frustration de ne plus occuper l'espace médiatique, occupation qui, je dois le reconnaître, est un peu la cocaïne de mon narcissisme pathologique. Et Dieu sait si la cocaïne, je connais et en apprécie les effets !!"