Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

vendredi 22 septembre 2023

Macreux en pleine introspection.

 


"Voyons voyons... Comment je pourrais foirer encore un peu plus mon second quinquennat ?

L'Afrique, par exemple.

Bien, le Mali, c'est fait. La France s'est fait foutre dehors comme une malpropre après avoir sacrifié certains de ses soldats sur le terrain pour préserver le gouvernement malien et sa population des menaces des islamistes du Sahel. Sans parler évidemment du pognon que ça a coûté au contribuable français.

Le Burkina Faso ? Pareil ! Foutu à la porte ! Si on ne peut plus rigoler maintenant, en se moquant en public, du président de ce pays en imaginant comme excuse à son départ prématuré d'une conférence de presse qu'il « serait parti réparer la clim », franchement, où va-t-on ? Bon, d'accord, je ne me permettrais pas ce genre de familiarité potache à l'égard du sénile Biden. Mais, enfin, c'est pas pareil ! Ce gâteux, ou plutôt l'Etat Profond qui le manipule comme Jeff Panacloc manipule Jean-Marc, est mon boss, alors, quand même, un peu de retenue, que diable !

Le Niger ? Banco ! Les autorités nigériennes du moment, légitimes ou pas, peu importe, puisque ce sont elles qui sont aux manettes pour le moment, demandent le départ de mon ambassadeur. Ce n'est quand même pas aux Nigériens qui laissent sans moufter un coup d'état se produire, dans leur propre pays, avec des milliers de militants en soutien, qui vont décider si un ambassadeur peut ou ne peut pas rester sur leur sol, sans blague ! Si on commence à laisser les Nigériens décider de ce que doit faire ou ne pas faire le Niger, c'est la porte ouverte à... euh... à... Hein ? À quoi ? Ben oui, c'est la porte ouverte en grand pour que la France dégage!

Comment ? Que dites-vous ? Le président de la République Populaire du Congo m'avait prévenu que mon attitude vis à vis des pays africains commençait à courir sur le haricot de tout le monde sur le continent ? Et alors ? C'est quand même pas un négrillon qui va donner des leçons de conduite à Jupiter, non ?

Bon. Ils ne veulent pas de la Françafrique ? Ben, tant pis, ils auront la France africaine ! De quoi se plaignent-ils ? Des milliers d'Africains se précipitent à Lampedusa avec la bénédiction de ma patronne par délégation, Ursula.

Bon, la politique étrangère de la France en Afrique, comme dans le reste du monde d'ailleurs, est bien foirée dans les grandes largeurs. Ça c'est fait. Il me reste encore à foirer nos relations avec le Sénégal et la Côte d'Ivoire. Je vais m'y atteler.

Voyons l'Ukraine maintenant. La grande contre-offensive promise par mon copain de papouille Volodymyr « n'est pas un échec, elle n'a juste pas fonctionné ». Du coup, ses alliés, à commencer par les Etats-Unis, commencent à rechigner à cracher au bassinet sans fond de l'approvisionnement en pognon et en armes. On sent bien qu'un revirement de l'attitude occidentale envers ce conflit est à l'étude. Et moi, je choisis avec ma lucidité légendaire, ce moment pour promettre à Kiev l'envoi de Mirages 2000. Histoire de mettre la France hors-jeu quand l'Occident lâchera mon petit copain nazi pour entreprendre des démarches de recherche de paix avec Poutine.


Je ferais peut-être mieux de me concentrer sur la politique intérieure. Tiens, ma soumission au marché européen de l'électricité, par exemple : en voilà une trouvaille géniale qui tape bien sur le citoyen français ! Ce marché, concocté par mon Union Européenne chérie, base le prix de l'électricité sur celui, ô combien spéculatif, du gaz. Et de la spéculation, il y en a ! Surtout depuis les sanctions que l'Oncle Sam nous a demandées d'administrer à la Russie, avec d'autant plus de décontraction que, lui, Sam, ne dépend absolument pas du gaz russe ! Et pour être sûr que ces sanctions soient assurées, mon donneur d'ordre Sam a fait sauter Nord Stream 2, ces conduites d'approvisionnement en gaz russe en mer du Nord. Bref, le coût de l'électricité explose. Et comme j'ai plus ou moins abandonné la filière nucléaire, (en suivant en cela la politique initiée par mon prédécesseur sur pression de mon autre copine, l'Allemagne), filière où la France excellait et qui lui permettait naguère de vendre sa surproduction, les Français aujourd'hui peinent à payer leur facture d'électricité. Ils sont même parfois contraints, tout bonnement, de fermer boutique quand celle-ci dépend trop de cette énergie, comme les boulangers par exemple.

Puisque je pense à l'énergie, l'essence, en voilà une autre énergie sur laquelle j'ai bien niqué les Français ! L'essence a vu aussi son prix exploser, un peu pour les mêmes raisons. Du coup, l'Etat se frottent les mains de voir les taxes qui représentent plus de 60% du prix du litre d'essence, ramener une manne inespérée pour mon budget toujours loin de l'équilibre. Les gilets jaunes avaient commencer à tiquer quand le litre était à 1,70€. Il est maintenant, au mieux, à 1,99€, dépassant largement les 2 euros en certains endroits.

C'est vraiment pas le moment que ces gueux de gilets jaunes se réveillent. Alors c'est là que j'ai une idée géniale ! Je ne vais sûrement pas tuer cette poule aux œufs d'or qu'est l'essence, en imaginant baisser ses taxes. L'essence est quand même le petit paradis fiscal qui se permet de mettre une taxe, en l'occurrence, la TVA, sur d'autres taxes ! Taxer les taxes, il fallait quand même oser ! Bref, je ne vais pas, ne serait-ce qu'égratigner l'avalanche de taxes qui grèvent ce produit indispensable au citoyen. Non, je vais demander aux grandes surfaces de vendre leur essence à perte, pour faire plaisir au consommateur sans que ça ne coûte rien à l'Etat. Pas bête hein ? Je vais passer pour celui qui fait un cadeau au gueux, mais c'est pas moi qui le paye !

Hein ? Comment ? Les petites stations, dont l'essence est la quasi-unique source de revenus, ne pourront pas se permettre de suivre cette politique de vente à perte ? Heu... attendez, laissez-moi réfléchir... Bon bah, y a qu'à leur promettre des aides ! Comme ça, le consommateur contribuable paiera d'une main, le cadeau que je lui fais dans l'autre main. Qu'est-ce que vous voulez, quand on est un Mozart de la Finance, il n'y a pas de problème qu'on ne peut résoudre !

Hein ? Qu'est-ce que j'apprends ? Les grandes surfaces refusent ce deal de vente à perte du carburant ? Ah les ingrats !! Après tous les cadeaux que je leur ai faits !!!

Bon, je ferais mieux de me concentrer sur autre chose!

Résumons-nous. La politique étrangère de la France est un fiasco complet. J'ai beau venir tripoter n'importe quelle personnalité étrangère qu'il m'arrive de croiser, comme si elle était un pote avec lequel j'aurais fait les quatre cents coups dans notre prime jeunesse, personne ne m'écoute vraiment et je passe pour un moins que rien. C'est pas grave. Je continue de faire la une des merdias possédés par mes copains oligarques français. J'adore être pris en photo auprès de gens connus. Et c'est vraiment ça le plus important. Ça me permet d'oublier les foirades de mon quinquennat dans tous les autres domaines :

Foirade sociétale, avec une insécurité explosive que même Dupont-Maserati n'ose plus qualifier de simple « sentiment », avec des émeutes à répétition, en Seine-St Denis, ma Silicon Voilée à moi, ou ailleurs. Avec des déserts médicaux qui gagnent du terrain, avec des hôpitaux débordés, sous-équipés.

Foirade économique, avec un déficit de la balance commerciale qui devient abyssal, avec des faillites d'entreprises qui se multiplient comme jamais.

Foirade militaire, avec une Armée aujourd'hui sous-équipée, au matériel entretenu avec des bouts de ficelle, une Armée en panne de personnel qui oblige à des campagnes publicitaires de recrutement incessantes qui ne cachent plus le fait que personne ne veut plus s'enrôler pour défendre un pays qui n'est plus vanté par personne, et en tous cas, ni par moi ni par mes sbires européistes.

Foirade judiciaire où le citoyen de base comprend que la Justice est corrompue idéologiquement par l'extrême-gauche en voyant le Syndicat de la Magistrature, naguère à l'initiative du mur des cons qui insultaient délibérément des victimes de délinquance, participer à la Fête de l'Huma communiste, et à une manifestation dirigée contre les Forces de l'Ordre. Le citoyen ne s'étonne alors plus du laxisme de la Justice à l'égard des délinquants, surtout quand ils sont un tantinet basanés...

Foirade financière avec un record de pression fiscale concomitant avec une dégringolade de la qualité des services publics.

Bref, mon quinquennat continue de foirer complètement et tranquillement. Oui, tranquillement. Car c'est ça qui m'étonne le plus. Comment se fait-il que ce moment n'est pas encore arrivé ? Ce moment que je sais pourtant inévitable, où je devrai m'enfuir avec mon trans Jean-Michel sous des cieux plus cléments pour profiter, le reste de notre vie, de mon pognon de toutes origines, soigneusement mis de côté anonymement dans des paradis fiscaux. Ce "pognon de dingue" accumulé me permettra de compenser alors, cette future frustration de ne plus occuper l'espace médiatique, occupation qui, je dois le reconnaître, est un peu la cocaïne de mon narcissisme pathologique. Et Dieu sait si la cocaïne, je connais et en apprécie les effets !!"



mardi 5 septembre 2023

Histoires parallèles.

 


    Histoire qui se passe en prison.

    Un leader auto-proclamé : - Chers détenus, chers prisonniers, j'ai un projet pour vous !

    Les prisonniers : - Ah oui ? Quel projet ?

    Un leader auto-proclamé : - Voulez-vous plus de liberté ?

    Les prisonniers : - Bah ça, ce n'est pas de refus !

    Un leader auto-proclamé : - Voulez-vous ne plus voir votre cellule envahie de nouveaux arrivants qui réduisent votre surface à vivre ?

    Les prisonniers : - Oui, bien sûr, on est contre la surpopulation carcérale !

    Un leader auto-proclamé : - Voulez-vous avoir accès à plus de lectures, plus d'accès à internet ?

    Les prisonniers : - Ouiiiiiiii !!

    Un leader auto-proclamé : - Voulez-vous pouvoir circuler où bon vous semble, et à tous moments ?

    Les prisonniers : - Ouiiiiiii !!

    Un leader auto-proclamé : - Voulez-vous que les gardiens lâchent un peu la surveillance qu'ils exercent sur vous ?

    Les prisonniers : - Oh ben oui alors !!

    Un leader auto-proclamé : - Voulez-vous une meilleure rémunération pour les petits boulots que vous faites dans la journée ?

    Les prisonniers : - Oui, on en a marre de bosser pour des queues de cerises !

    Un leader auto-proclamé : - Voulez-vous plus de temps de promenade ?

    Les prisonniers : - Oui, et pouvoir faire du sport avec les équipements nécessaires !

    Un leader auto-proclamé : - Voulez-vous de meilleurs repas, avec des produits sains ?

    Les prisonniers : - Oui, on en a marre des produits bas de gamme qui nous empoisonnent !

    Un leader auto-proclamé : - Eh bien, je m'engage à vous apporter tout ça ! Plus de liberté, l'arrêt d'arrivée de nouveaux entrants qui encombrent votre espace à vivre, un accès plus ouvert à l'information et à la culture, moins de surveillance, une meilleure rémunération, plus de liberté de circulation, et une nourriture saine avec des produits naturels !

    Les prisonniers : - Super !! Merci !! Alors, dis-nous, quand sortons-nous de prison ?

    Un leader auto-proclamé : - Euh... quand sortons-nous de quoi ?

    Les prisonniers : - De prison !

    Un leader auto-proclamé : - Ah mais nous ne sortons pas de prison. Nous y restons !!

    Les prisonniers : - Bah ? Si on ne sort pas de prison, qui va limiter la surpopulation carcérale ? Qui va décider de permettre l'accès à plus de livres, revues, magazines, documents internet ? Qui va demander aux gardiens de nous lâcher la grappe ? Qui va décider d'augmenter notre rémunération pour les petits boulots, qui va décider d'avoir recours à une alimentation équilibrée à base de produits naturels et sains ?

    Un leader auto-proclamé : - Euh... bah... le directeur de la prison ?

    Les prisonniers : 🙄


Fin de cette histoire.



Nouvelle histoire.


Zemmour : - Françaises, Français, j'ai un projet pour vous !

Les Françaises et les Français : - Ah oui ? Quel projet ?

Zemmour : - Voulez-vous la limitation de l'immigration ?

Les Françaises et les Français : - Oui, ras-le-bol de cette invasion !

Zemmour : - Voulez-vous plus de liberté d'expression, plus de liberté d'information ?

Les Françaises et les Français : - Oui, marre du politiquement correct !

Zemmour : - Voulez-vous une meilleure rémunération grâce à une baisse des charges sociales ?

Les Françaises et les Français : - Absolument !

Zemmour : - Voulez-vous favoriser l'agriculture française aux dépens d'une invasion de produits importés qui ne respectent pas les contraintes de qualité des produits français ?

Les Françaises et les Français : - Oui aux produits de nos terroirs !

Zemmour : - Eh bien, Françaises, Français, je vous propose tout ça ! Fin de l'immigration invasive, rétablissement des frontières, préférence nationale pour les aides, subventions et allocations diverses et variées, préférence nationale pour les produits de consommation courantes et notamment alimentaires, fin de la censure médiatique, liberté de pensée et d'expression, liberté de se soigner comme on le veut, baisse des impôts et des charges sociales pour un meilleur pouvoir d'achat !

Les Françaises et les Français : - Super !! Merci !!! Alors, dis-nous, quand sortons-nous de l'UE ?

Zemmour : - Euh... quand sortons-nous de quoi ?

Les Françaises et les Français : - De l'UE !

Zemmour : - Ah mais nous ne sortons pas de l'UE ! Nous y restons !

Les Françaises et les Français : - Bah, si on ne sort pas de l'UE, comment limiter l'immigration puisque c'est l'UE qui l'encourage, l'impose, la favorise, abolit les frontières nationales et ouvre en grand l'espace Schengen ? Comment favoriser la production nationale puisque c'est l'UE qui favorise l'importation de produits provenant de la planète entière, sans aucun respect des normes qu'elle exige par ailleurs pour les produits nationaux ? Comment baisser les impôts et charges puisque l'UE dépense sans compter l'argent de la contribution nationale à son budget, notamment pour des projets et objectifs supra-nationaux comme la défense de l'Ukraine, sans jamais que la population nationale ait été consultée pour ces dits-projets et objectifs supra-nationaux ? Comment garantir la liberté d'expression alors même que l'UE vient d'adopter le DSA (Digital Services Act, voir l'article du 29 août sur ce sujet) qui prévoit précisément de limiter cette liberté et de promouvoir la censure ? Comment se prévaloir d'une souveraineté nationale alors que tous les enjeux de l'UE résident justement dans son abolition, au prétexte d'une souveraineté européenne qui est, elle-même, un leurre, puisque l'UE est une marionnette aux mains des intérêts américains ? Comment garantir le développement du pouvoir d'achat des Françaises-Français quand la France ne maîtrise plus les grandes lignes de son budget qui dépendent de la politique économique décidée par l'UE ? Et comment pourrait-elle le faire sans monnaie nationale, puisque l'euro a été mis en place dans l'intérêt allemand et qu'une monnaie nationale est justement une variable d'ajustement qui permet une maîtrise de la politique économique nationale? Comment préserver ce pouvoir d'achat avec la soumission à la politique énergétique décidée par l'UE, responsable de l'inflation qu'on subit aujourd'hui ?

Zemmour : 🤔


Fin de l'histoire.


 

mardi 29 août 2023

Les infos que le DSA cherche à faire disparaître.

 


Ainsi donc, Thierry Breton, le commissaire européen au marché intérieur, et accessoirement nouveau Goebbels de l'UE, est à l'origine de cette (déjà fameuse) loi DSA (Digital Services Act) qui s'applique à dater de ce 25 août et qui, sous couvert de « protection et régulation d'internet » s'annonce n'être, ni plus ni moins, qu'une opération de censure sur les sites, plate-formes en ligne et moteurs de recherche. D'ailleurs, aux détours d'interviews sur le sujet, notre Goebbels européiste et macroniste, dévoile la réalité de ses intentions en annonçant que « lorsqu'il y aura des contenus haineux, des contenus qui appellent par exemple à la révolte, ils ( sites et les réseaux sociaux) auront l'obligation dans l'instant de les effacer. Les interventions vont être extrêmement rapides. »


Rappelons, pour mémoire, et afin que le contribuable-lecteur sache à qui il a affaire, le traitement mensuel de ce fonctionnaire non élu: 23 200 € mensuels auxquels se rajoutent des indemnités diverses dont celle de résidence, à hauteur de plus de 4 000 € par mois. Ces revenus sont uniquement ceux qu'il perçoit au titre de son poste de commissaire européen. Mais en 2016, ses revenus globaux pour l'année se sont élevés à plus de 3 millions d'euros, moitié en fixe, moitié en variable.

Ce petit détail est une belle illustration de l'intrusion de l'Oligarchie dans les rouages de l'Union Européenne.


Autre petit détail qui pourrait faire rire s'il ne s'agissait pas d'un renforcement de la dictature européiste, nous avons Ursula La Hyène qui affirme qu'elle « veut avec ce DSA plus de transparence sur les réseaux sociaux » ; cette même Hyène qui refuse de dévoiler ses SMS avec Bourla, PDG de Pfizer, lors de ses commandes de vaccins contre la Covid, et qui a supprimé en Allemagne ses SMS avec le cabinet McKinsey !


Lors donc, puisque désormais les allégations non politiquement correctes sont visées par cette opération de censure qui s'imposera aux 19 géants de la tech, Saucisson-Pinard se doit d'en rappeler les principales. Nombre d'entre elles, initialement qualifiées d'affabulations ou de constructions « complotistes », se sont d'ores et déjà révélées avec le temps être des réalités. Les autres le seront plus tard. Le but de cette censure DSA est justement de différer autant que faire se peut, cette issue inéluctable. La Vérité finit toujours par triompher, mais elle prend souvent son temps.


Cette énumération vous est proposée bien évidemment, chers amis lecteurs, dans le seul but de vous informer, factuellement, de ce qui devrait désormais disparaître des réseaux sociaux et des sites grâce à cette DSA.


Evoquons donc par exemple les assertions « complotistes » suivantes :

  • Le virus Covid n'est pas apparu d'une infection venant d'une chauve-souris ou d'un pangolin.

  • Il provient directement d'un laboratoire situé à Wuhan en Chine, mais sponsorisé par les Américains, et spécialisé dans la recherche d'augmentation de moyens de virus. Bref, d'un laboratoire de recherche en arme biologique. Cette fuite de virus pourrait cependant être accidentelle. Ou pas.

  • Le vaccin anti-Covid a été mis au point dans un délai historiquement record, lequel peut laisser penser qu'il a été conçu avant même que la pandémie soit officiellement apparue. Il s'avère avoir été opportunément une source de profits gigantesques pour Big Pharma.

  • Tous les décideurs politiques et les relais médiatiques qui ont encouragé, voire souvent, imposé par la contrainte, la vaccination anti-Covid, sont des corrompus en puissance. Big Pharma a des moyens de corruption dont on a du mal à percevoir l'ampleur, vu la hauteur des enjeux financiers générés par cette vaccination.

  • Ce vaccin anti-Covid a eu une efficacité très relative sur le traitement de l'infection par le virus initial, (et très hypothétique sur les variants qui ont suivi), et complètement nulle contre sa transmission.

  • Mystérieusement, alors que les victimes présumées de ce terrible virus étaient soigneusement dénombrées chaque jour avec gourmandise par nos élites médiatico-politiques, celles de la grippe « normale » n'existaient plus...

  • En revanche, ce vaccin est à l'origine d'une liste impressionnante d'effets secondaires touchant surtout, mais non exhaustivement, la fonction cardiaque, et le système reproducteur féminin. Il est à l'origine d'une explosion des cas de cancer et d'une surmortalité flagrante, jamais vue jusque là, notamment sur les tranches d'âge les plus jeunes.

  • Toute la politique anti-Covid menée dans les pays dits développés, semble avoir été un test général, directement inspiré par les délires du Grand Reset promulgué par le Forum Economique Mondial de Klaus Schwab, ce nazi fils d'officier nazi conseiller d'Hitler, sur le potentiel de soumission dont peut faire preuve le bas-peuple. Confinements, restrictions de circulation, censure de l'information objective, propagande grossière, mesures coercitives avec suspensions d'emplois salariés sans indemnités, fermetures autoritaires de certains commerces sont quelques uns des faits marquants de cette politique. Et ce test de soumission a été, il faut le reconnaître, très concluant. Les peuples occidentaux se sont effectivement montrés très moutonniers. Nul doute que ce potentiel de soumission sera à nouveau exploité dans un futur proche pour un prétexte, cette fois-ci, climatique...

  • En bref, toute l'affaire Covid se résume à une étape-test de guerre bactériologique visant à asservir les peuples tout en assurant leur réduction en nombre, le tout au seul profit d'une ébauche de gouvernement mondial dont l'Oligarchie veut s'octroyer la direction.

     

  • La guerre en Ukraine délibérément voulue par l'Occident, est l'autre manette de cette Oligarchie visant l'instauration d'un gouvernement mondial. La Russie, partisane quant à elle, d'un monde multipolaire, s'inscrit donc naturellement contre cette volonté d'hégémonie oligarchique. Elle s'oppose donc à toutes les manœuvres de « l'Etat profond occidental» qui cherche à multiplier les divisions, en conformité avec l'adage connu « diviser pour régner » : fracturer l'unité de la civilisation occidentale en facilitant les immigrations de cultures antagonistes par essence, encourager une guerre des sexes en inventant des sexes biologiques imaginaires (politique LGBT, wokisme...), favoriser le matérialisme et le substituer aux valeurs spirituelles, affaiblir la religion chrétienne en instillant l'émergence de l'islam, avec l'idée qu'une fois que ces religions se seront mutuellement détruites dans une guerre fratricide, l'Oligarchie pourra faire table rase de l'idée même de toute religion autre que celle de l'Argent.

  • Au passage, ce conflit ukrainien sert directement les profits immédiats de l'oligarchie de l'Armement, et ceux, à moyen terme, de l'oligarchie agricole avec la main-mise sur les terres agricoles riches de l'Ukraine par des oligarques comme Bill Gates. Big Pharma n'est pas non plus complètement désintéressé, puisqu'on sait que l'Ukraine est au cœur des trafics d'organes humains, et de la recherche bactériologique. Les premiers à payer l'addition au prix fort sont évidemment les Ukrainiens civils et militaires.

     

  • La pédophilie règne en maître parmi les élites américano-européennes. Dans l'entourage notamment des Biden et Macreux, on ne compte plus les détraqués du sexe qui ont pignon sur rue.

  • Puisqu'on évoque Biden, rappelons que l'élection de ce pédophile sénile et corrompu à la présidence américaine est le produit d'une authentique fraude électorale ayant utilisé tous les moyens possibles et imaginables : machines à compter trafiquées, ajouts de sacs de bulletins de vote, vote de non-inscrits sur listes électorales. Autant de manoeuvres qui font que le nombre de voix exprimées au total dépasse largement celui des votants légaux.

  • L'élection de Macreux n'est pas non plus indemne de suspicions légitimes. D'autant qu'il a décroché la timbale du pire président de la Ve République, et que personne de bonne foi peut désormais le contester. Les Chirac, Sarko et surtout Hollande avaient pourtant mis la barre assez haut, mais Macreux a relevé le défi avec brio. Ses échecs sont cinglants dans tous les domaines : économique, financier, sociétal, diplomatique. Avec en prime, l'affichage d'une conduite en tous lieux et toutes circonstances où l'odieux le dispute au ridicule. La France de Macreux n'est plus au bord du gouffre ; elle y est plongée résolument. Un procès en Haute Trahison mené à son encontre croulerait sous les arguments. Un verdict de prison à perpétuité comme issue à un tel procès ressemblerait à de la mansuétude et ferait regretter qu'on n'ait pas songé au préalable à rétablir la peine capitale.

  • Puisqu'on parle de Macreux, on n'oubliera pas de rappeler que, oui, Brigitte Macron est bel et bien un travelo dont le nom d'origine est Jean-Michel Trogneux. On attend toujours que ce Jean-Michel Trogneux de l'état civil apparaisse publiquement pour contredire cette thèse. Il en est de même pour Michèle Obama qui s'appelait, quand il était jeune et déjà copain de Barack homosexuel, Mickael Robinson.


    Et on attend toujours des photos authentifiées de Michèle enceinte, qui mettrait à mal cette version. Une prime conséquente a pourtant été promise par un Américain pour la parution de telles photos. Il n'y a encore eu personne pour en réclamer le versement...

  • Et puisqu'on parle d'Obama, rappelons que Barack n'aurait jamais dû prétendre à la présidence des Etats-Unis puisqu'il n'est pas né à Honolulu comme le prétend sa biographie officielle, mais en Afrique, au Kenya. Détail de naissance qui invaliderait sa candidature. Sans doute l'Etat profond avait-il eu un intérêt tout particulier à mettre cette marionnette de couleur au pouvoir, et pour cela, a pu fabriquer cette naissance hawaïenne...

     

  • Le réchauffement climatique anthropique est l'arnaque du siècle. Le CO2, traité comme un polluant alors qu'il est un des éléments indispensables à la croissance végétale, est la cerise sur la gâteau de cette entourloupe mondiale qui se pare de vertus écologiques. L'escroquerie intellectuelle va jusqu'à l'utilisation de terme inapproprié ; on parle de « dérèglement climatique ». Or, pour qu'il y ait dérèglement, il faudrait qu'il y ait, originellement, une règle. Or, aucun climatologue sérieux, même parmi les plus corrompus du GIEC, peut prétendre que le climat de la planète Terre a jamais été « réglé ». Il a toujours varié. Il y eut de tous temps, des périodes glaciaires et des périodes de chaleur, alternativement. Et s'il devait y avoir un rapport entre taux de CO2 dans l'atmosphère et température, ça serait, selon les dernières études sur des carottes de glace puisées dans la banquise arctique, le suivant : une augmentation de la température de la planète Terre serait suivie chronologiquement d'une augmentation du CO2, et non pas l'inverse. Bref, s'il y a effectivement réchauffement de l'atmosphère terrestre, il est très relatif, puisque pas ressenti de façon uniforme sur toutes les parties du globe, certaines connaissant au contraire des records de froid. Il ne s'observerait d'ailleurs plus depuis maintenant une quinzaine d'années, et pourrait être davantage dû à une légère modification de l'angle d'orientation du Soleil par rapport à la Terre. Vu la taille des acteurs planétaires en question, cette explication semble plus logique que d'évoquer l'influence d'un gaz (le CO2) qui représente 0,04% de l'atmosphère; cette part de 0,04% étant celle du CO2 total, alors que le CO2 créé par l'activité humaine ne fait que 3,225% de ces 0,04% de l'atmosphère. L'homme, de par son existence et activité, n'est donc responsable qu'à hauteur de 0,00129% de la composition de l'atmosphère. Et ça serait, selon les apôtres du réchauffement anthropique de la Terre, ces 0,00129% qui modifieraient le climat ? On comprend avec l'évocation de ces chiffres, l'aberration scientifique du raisonnement réchauffiste contemporain. (Voir l'article de juin 2023 « Un peu de maths à propos du CO2 »).

    Là encore, on devine que la propagande faisant la promotion de cette arnaque n'est pas dénuée d'arrières-pensées ni de motivations. Le politique a pour sa part, tout intérêt à instaurer la peur. Un peuple qui a peur est un peuple soumis et malléable. Les druides gaulois l'avaient bien compris, qui brandissaient déjà la menace d'un ciel qui pouvait tomber sur la tête. Et l'Oligarchie, quant à elle, y trouve également son compte, avec des changements de consommation obligatoires et la création de nouveaux débouchés économico-financiers (éoliennes, augmentation des prix de l'énergie, voitures électriques etc etc...)


Voilà donc là, en résumé, un certain nombre d'idées qui sont directement visées par la censure de la DSA. Elles ont circulé, non pas dans les merdias mainstream subventionnés et asservis par le pouvoir en place bien sûr, mais sur des sites rebelles, indépendants et bien  informés ainsi que sur les réseaux sociaux qui ont relayé ces sites. Des idées dont il faut impérativement éradiquer la diffusion puisqu'elles contrarient les intérêts de l'Oligarchie et ceux du pouvoir politique à sa botte.


Et puisque Thierry Breton-Goebbels se donne pour mission, via ce DSA, d'imposer aux sites et réseaux sociaux la suppression illico presto des contenus « qui appellent par exemple, à la révolte », Saucisson-Pinard se doit de conclure son propos avec un tel contenu :


« Aux armes, citoyens !
 Formez vos bataillons !
 Marchons, marchons !
 Qu'un sang impur...
 Abreuve nos sillons ! 

Contre nous de la tyrannie,
 L'étendard sanglant est levé !

Tremblez, tyrans et vous, perfides,
 L'opprobre de tous les partis !
 Tremblez ! Vos projets parricides
 Vont enfin recevoir leur prix.
 Tout est soldat pour vous combattre.
 S'ils tombent, nos jeunes héros,
 La terre en produit de nouveaux
 Contre vous tout prêts à se battre.»


Profitez-donc encore, amis lecteurs, très vite de ce blog, tant qu'il est encore temps, avant qu'il ne soit visé par la censure DSA de notre Goebbels-Breton.

Si vous ne trouvez plus dans un avenir proche le blog de Saucisson-Pinard, vous pourrez en conclure que Gogole s'est plié aux ordres de cette caste dictatoriale européiste, ennemie de la liberté d'expression.

lundi 17 juillet 2023

Dernière en date des "Couillardises"du gouvernement.

 

Portrait de promotrice de couillardise coûteuse.

Dans son dernier article, Saucisson-Pinard évoquait Caligula, empereur romain atteint de folie, qui avait affublé du titre de Consul son cheval Incitatus (voir l'article du 11 juillet « Décadence romaine, décadence occidentale : des similitudes frappantes »).

Et il voyait une analogie criante avec le fait que Macreux avait, lui, le chic pour propulser des tocards de première catégorie au rang de ministres et secrétaires d'état.

Il n'a pas fallu à Saucisson-Pinard plus d'une semaine pour trouver dans l'actualité politique, une parfaite illustration de son propos.

Prenez Bérangère Couillard, actuelle secrétaire d'état chargée de l'écologie, ex-députée du parti Renuisance, ex-porte-parole de l'ex-parti La République En Marche Arrière. Savez-vous quelle est la dernière sortie de cette parasite gouvernementale? Elle va « accompagner les consommateurs dans la réparation de leurs vêtements et chaussures » !!! (sic)

Oui, vous avez bien lu. Notre cher gouvernement (cher dans le sens de coûteux, bien sûr) se préoccupe de l'usure des pantalons, jupes, chaussettes et chaussures des Français. Elle n'est pas belle, la « start-up nation » de notre psychopathe élyséen ?

Quand Macreux se préoccupe de reprise, c'est donc à celle des chaussettes qu'il pense. Un fonds de 154 millions d'euros va être créé par notre Couillard pour son couillon de projet. Concrètement, une aide comprise entre 6 et 25 euros sera donnée au Français pour faire réparer l'accroc de son pantalon, combler le trou dans sa semelle de chaussure, ou réparer la déchirure de sa chemise. Et les ateliers de couture et cordonniers sont invités, à cette fin, à se faire « labelliser ». La machine technocratique tourne à plein régime et s'emballe.

On entrevoit sans mal l'usine à gaz qui va devoir être mise en place pour gérer cette Couillardise, entre la gestion des labellisations des artisans concernés, les nombreux formulaires qui découleront des demandes, et la surveillance des subventions versées. Bien entendu, on devine en filigrane les profondes pensées de la Bérangère écolo: trop de vêtements usés sont jetés à la décharge, c'est-pas-bien-pour-la-planète. Et puis l'industrie-textile-est-une-des-industries-les-plus-polluantes-de-la-planète. Moi-qui-suis-en-charge-de-l'-écologie-au-gouvernement-de-notre-président-soleil-de-la-pensée-céleste-je-vais-sauver-la-planète-avec-mes-subventions-pour-la-réparation-d'accrocs-vestimentaires. Voilà voilà.

Evidemment, pour Macreux et pour les parasites qui gravitent autour, le Français est trop stupide pour juger quand il doit se séparer d'un vêtement trop usé ; on ne lui concède pas non plus le désir de temps en temps de se chausser de neuf.

On se fout de savoir que des pays du Tiers-Monde ont besoin de fabriquer des vêtements pour que leurs populations ne crèvent pas de faim.

Au secrétariat d'Etat de l'écologie, on n'imagine pas comment on pourrait faciliter la distribution de vêtements usagés aux SDF qui n'ont pas les moyens de s'en acheter des neufs ou d'occasion.

Non. On n'imagine pas.

On n'imagine pas que le recyclage de tissus pourrait être une filière industrielle à développer davantage.

Non. On n'imagine pas.

On n'imagine pas non plus que donner des cours de couture à l'école, dans le cadre de travaux pratiques, serait plus utile qu'enseigner à des gamins de onze ans ce qu'est une sodomie, un cunnilingus ou une fellation. Non, ce dégénéré de Ndiaye, autre cheval Incitatus de Caligula, propulsé, lui, à un ministère supposément en charge de l'Education Nationale, semble plus préoccupé par ce que les élèves de CP ont dans le slip que de ce qu'ils ont dans la tête.

On n'imagine pas que si on voulait relancer la production industrielle textile française pour que les Français puissent acquérir de la qualité plutôt de se vêtir de haillons rapiécés, peut-être y aurait-il d'autres mesures à prendre : baisse de charges sociales pour les emplois de production, baisse de TVA sur les produits fabriqués en France, facilitation d'obtention de crédits pour les entrepreneurs, protection douanière, entre autres exemples.

Non. On n'imagine pas.

Peut-être trouve-t-on au Ministère de l'Economie où sévit le cheval Incitatus Le Maire, que le déficit commercial du pays n'est pas encore suffisamment abyssal ?

On n'imagine pas, si on voulait vraiment dynamiser la filière artisanale des couturières et des cordonniers, qu'on pourrait baisser les charges sociales de ces travailleurs qui sont contraints de facturer leurs prestations 30 euros pour en récolter au final 10 malheureux euros de reste à vivre.

Non, on n'imagine pas.

Pour tous ces chevaux Incitatus de Caligula que Macreux a propulsé aux rangs, jadis prestigieux, de ministre ou de secrétariat d'Etat, c'est bien plus facile de faire payer le Français pour donner à ce même Français l'illusion que le gouvernement lui fait un cadeau. Tout est question de statut : contribuable ou consommateur. Le Français contribuable offre au Français consommateur le cadeau financier qui lui permettra de réparer sa chaussette trouée. Bref, le Français se prend dans la poche droite ce qu'il met dans la poche gauche. Merci la Couillard! C'est quand même beau l'écologie quand une péronnelle, bête comme une jument, est propulsée à un rang de haut fonctionnaire. Aussi beau que lorsque un cheval d'empereur romain est nommé Consul.

Aussi beau mais beaucoup plus cher. Après tout, une fois l'écurie de marbre et la mangeoire en ivoire financées, les dommages pour le contribuable romain de la promotion d'Incitatus au rang de Consul, s'arrêtaient là. Le cheval-consul ne prenait pas de décisions aussi stupides que coûteuses. Dans le cas de la Couillard, hélas, sa nomination a des répercussions financières qui n'en finissent pas. Non seulement le Français doit pourvoir aux émoluments de la jument Couillard qui sont hors de proportion avec ses qualités professionnelles, mais il doit en outre passer à la caisse pour financer l'application de ses idées couillonnes. Double peine.

Mais le plus pénible pour le Français spectateur de cette décadence institutionnelle, est probablement de comprendre qu'il est à la fois le cochon de payant et la victime d'une politique qui le consume à petit feu.



mardi 11 juillet 2023

Décadence romaine, décadence occidentale: des similitudes frappantes.

 

Les Romains de la décadence, par Thomas Couture, 1847.

Saucisson-Pinard, témoin atterré de la déliquescence de son pays, et plus globalement, de celle de la civilisation occidentale, se demande souvent comment l'Histoire jugera notre époque.

Et, en modeste compensation de sa tristesse, il pense avec ironie malicieuse que les générations à venir se gausseront des épisodes politico-sociétaux que nous sommes en train de vivre, comme, d'une certaine façon, nous évoquons aujourd'hui ceux qui ont vu l'effondrement de l'empire romain.

Et c'est vrai que les analogies ne manquent pas.

Prenons par exemple Caligula, empereur romain de l'an 37 à 41, qui nomma Consul son cheval Incitatus. Cette nomination peut être interprétée de façons différentes selon les historiens. Certains la considère comme un symptôme de la folie de l'empereur, d'autres, au contraire, comme un geste symbolique et ingénieux de son mépris pour les sénateurs et autres élites politiques qu'il considérait comme incompétents et inefficaces.

Aujourd'hui, Macreux élève au rang de ministres une palanquée d'individus d'une rare incompétence, quand ils ne sont pas, de surcroît, de fieffés coquins.

Caligula faisant de son cheval un consul ou Macreux faisant de Darma nain un ministre de l'Intérieur, de Bruno Le Maire (deux) un ministre des Finances, ou d'une péronnelle insignifiante comme Schiappa une secrétaire d'Etat, où est la différence ? On pourrait multiplier les exemples. Pour ne rester qu'au rang des ministres, Ndiaye au ministère de l'Education Nationale, Pannier-Runacher ministre de la « Transition énergétique », de Montchalin ministre de la « Cohésion des Territoires » (rien que le titre pourrait faire rire...), et tous les autres pantins du gouvernement Borne, ne sont-ils pas tous autant qu'ils sont les Incitatus consuls de Macreux-Caligula ? La Borne émargeant à, au bas mot, 15 000 euros par mois sous les lambris dorés de Matignon et se baladant en voiture de fonction avec chauffeur, n'est-elle pas, en regard de son incompétence, de son inculture et de sa totale absence d'envergure, le cheval consul Incitatus de Caligula, dans son écurie en marbre et broutant dans une mangeoire en ivoire ?

Caligula est décrit comme un despote mégalomane sombrant dans la folie, ce qui rappelle le comportement de Macreux, pétri d'arrogance et d'autoritarisme, que de moins en moins d'observateurs indépendants peuvent ignorer aujourd'hui. Et la principale différence entre les deux tyrans réside dans le fait que Caligula était, lui, proche du peuple, avait réduit les impôts et avait organisé des distributions de nourriture. Cela ne l'empêcha cependant pas d'être assassiné. Ce sort sera-t-il une autre différence avec Macreux ? Si on entend la colère montante des Français à son encontre, à l'image des propos de Izïa Higelin lors de son dernier concert à Beaulieu qui évoquait le délice à participer à un lynchage du psychopathe élyséen, cette différence de sort n'est pas encore écrite...


Néron est un autre empereur romain que l'Histoire considérera comme fou authentique. En l'an 64, un incendie ravagea Rome. Pline l'Ancien, tout comme Tacite, en attribue, à tort ou à raison, la responsabilité à Néron qualifié d'Antéchrist. A tout le moins, d'autres sources contemporaines de l'époque attestent que Néron aurait été vu déclamer des vers et pris d'hilarité devant le spectacle de Rome en flammes. Cet épisode n'est pas sans évoquer la scène connue de Macreux accompagné de son premier ministre de l'époque, Edouard Philippe, se rendant sur les lieux de l'incendie de Notre-Dame en réprimant difficilement leurs rires,



alors que l'émotion était grande dans le peuple. On ne connaît pas officiellement les causes ni les responsables de l'incendie de Rome, et, de la même façon, on est en train d'assister en France, à la mise sous le tapis, de toute recherche sérieuse des causes de l'incendie de Notre-Dame. Et les Français devront vraisemblablement en rester avec l'explication... fumeuse (!) d'un mégot de cigarette qui aurait embrasé des poutres vieilles de huit siècles ! (voir les deux articles que SP a consacré à ce sujet en avril 2019.)


Rome en feu, Paris (mais pas seulement) en flammes pendant les émeutes des racailles de banlieue, voilà une autre analogie qu'on ne peut pas s'interdire de faire. Si Néron avait incriminé les Chrétiens, Macreux, lui, n'en accusera pas les vrais responsables, à savoir une population immigrée ou descendante d'immigrés au penchant de délinquance violente sans cesse démontré. Il en accuse indirectement les Forces de l'Ordre, celles-là même à qui il doit sa sécurité, de plus en plus menacée, en évoquant, sans preuve, et avant même toute enquête officielle, une conduite « inexcusable et inacceptable » chez le flic qui a descendu la petite racaille de Nanterre à la suite de refus réitérés d'obtempérer.


La décadence romaine est couramment illustrée par la description des orgies, luxures et dépravations qui avaient cours chez les élites politiques de l'époque. Les générations futures ne pourront pas s'empêcher de faire un parallèle avec les scandales de notre époque.

Avec un président français, à la sexualité ambigüe, qui a épousé un travelo,

avec un président qui s'affiche ostensiblement collé à des petites frappes noires torse nu et suantes,

avec un président qui organise des fêtes à l'Elysée où se trémoussent des pédérastes africains aux tenues provocantes et conduites indécentes,

avec le scandale d'un humoriste camé ayant ses entrées dans le monde des Bien-pensants qui détruit une famille sur la route en sortant d'une chemsex party,

avec les rumeurs d'autres chemsex party orgiaques qui se tiendraient dans le pavillon de la Lanterne, seconde résidence présidentielle,

avec les histoires délirantes, mais prouvées, du fils du président de la première puissance mondiale se noyant dans des orgies sexuelles sans limites,

avec le scandale de l'île d'Epstein où se pressaient les élites du monde occidental pour y consommer le service de prostituées acheminées là comme du bétail,

avec le film « The sound of Freedom », basé sur une histoire vraie, qui dénonce les crimes pédophiles d'une élite parfaitement organisée, ayant pignon sur rue, et protégée par de puissantes organisations institutionnelles comme le FBI,

le monde occidental sombre dans la même décadence morale que celle que l'empire romain a connue avant de s'écrouler définitivement au Ve siècle après JC.



Dès le début de ce Ve siècle, l'historien romain Végèce pose son diagnostic : l'Empire romain décline à cause de son contact croissant avec les barbares, entraînant une « barbarisation », moteur de dégradation. La léthargie, la complaisance et la mauvaise discipline qui affectent les légions aggravent la fragilisation de l'empire face à l'invasion barbare, ce qui précipite sa chute.

Comment ne pas y voir une ressemblance frappante avec le phénomène de Grand Remplacement auquel nous assistons depuis un demi-siècle ? L'immigration maghrébine et subsaharienne qui n'est pas juste incontrôlée mais clairement planifiée, organisée, et encouragée, est de toute évidence, la barbarisation contemporaine de la France, voire plus globalement de l'Europe. La quasi non-réponse policière et des services de la Justice qu'essaient vainement de camoufler le gouvernement et ses assistants médiatiques, à la suite des émeutes que la France vient de connaître, s'assimile à la démission des légions romaines évoquée par Végèce. Idem avec la destruction voulue par l'UE des frontières nationales.


L'Occident est la proie d'une anarcho-tyrannie qui sévit partout.

« Anarcho » parce que ce régime entretient le plus grand désordre sur bien des plans de la société : laxisme à l'égard de l'immigration, des délinquants, des minorités en tous genres qui veulent s'imposer par la force aux majorités.

Et « tyrannie » parce que sur d'autres plans, c'est bel et bien la contrainte qui s'abat sur le citoyen neutre ou récalcitrant.

Il y a l'expression « il ne sait plus où il habite » pour résumer l'attitude de désarroi d'un individu qui a perdu tous ses repères. Mais il y a pire : l'individu qui ne sait plus de quel genre il est. Et force est de constater qu'avec le phénomène woke et Les Gogos Bêtifiés Timbrés Quelconques (traduction libre de Saucisson-Pinard de l'acronyme LGBTQ), la société est tellement en déliquescence qu'elle ne sait plus reconnaître ses genres. Pire, elle est prête à en inventer de nouveaux, au plus grand mépris des règles biologiques universelles. Et elle érige des déviances d'ordre psychiatrique en normalités prétendument bafouées.

Ne nous y trompons pas. Au-delà d'une dérive complètement inopinée d'une société en décadence, ces phénomènes sont sciemment créés et dirigés en sous-main par des forces oligarchiques mondialistes ayant pour objectif la destruction de la société telle qu'elle existe depuis des siècles et des siècles et l’assujettissement de la planète à leur domination par tous les moyens.

Pendant un demi-siècle, on nous a seriné un sempiternel « plus jamais ça » après les délires dévastateurs hitlériens. Mais aujourd'hui, on assiste benoîtement et sans moufter aux prétentions hégémoniques d'un Forum Economique Mondial avec à sa tête des Schwab, père et fils, aussi dangereux, voire davantage, qu'un Hitler associé à un Staline.

Immigration, wokisme, émergence des Black Lives Matter, manipulation d'un impérialisme islamique, prétexte de politique sanitaire coercitive, aujourd'hui prétexte de politique écologique avec manipulation d'inquiétude exacerbée sur un prétendu réchauffement climatique d'origine anthropique, ne sont rien d'autres que quelques uns des outils mis en place par les Schwab, les Soros et toutes les forces oligarchiques rothschildiennes et autres qui les soutiennent.

Et dans le concept d'anarcho-tyrannie, il y a bel et bien aussi la face « tyrannie ». Les libertés individuelles sont remises en question. Nous sommes, en France, bien placés pour le constater. La liberté de manifestation, quand celle-ci n'a pas pour but de manipuler la population dans le sens voulu, disparait petit à petit. La liberté d'expression est désormais bannie, la censure du politiquement correct devient systématique, les GAFAM, autre outil de répression de cette oligarchie, n'étant pas les derniers à l'appliquer. La liberté de mouvement est désormais menacée sous le prétexte écologique évoqué ci-dessus. Des galops d'essai d'interdiction de circulation ont été menés pendant la crise covidienne, lorsque le citoyen était contraint de s'écrire une auto-permission de sortie d'une heure une fois par jour ! N'évoquons même pas la liberté de la Presse qui n'est plus, en France, qu'un presque lointain souvenir depuis que cette Presse est concentrée dans les mains d'une poignée d'oligarques et pratiquée par des collabos serviles.


Des marionnettes, au vu et au sus de tous, mettent en place cette politique de domination de l'oligarchie. Une Von der Leyen, corrompue jusqu'à l'os, outrepasse sans complexe ses droits et devoirs de non-élue. Un Biden, vieillard complètement sénile, est installé au mépris des règles d'honnêteté démocratique, aux commandes d'un pays dominateur et donneur de leçons. L'une et l'autre mènent contre l'avis de leurs populations réciproques une guerre par proxy contre la Russie, qui tente de résister à cet impérialisme financier mondial et à ses dérives sociétales. Ils prennent fait et cause en faveur de l'Ukraine, au prétexte fallacieux de la défense de « valeurs communes», sans d'ailleurs préciser lesquelles. Il vaut mieux, dans un sens, puisque l'Ukraine est objectivement le prototype européen de pays rongé par la corruption et le berceau de trafics humains, de commerces d'organes et de pédophilie, le tout avec un héritage nazi assumé par son élite politique.

On ne peut évidemment pas parler de marionnettes de l'oligarchie, sans mentionner notre psychopathe élyséen qui met tous ses efforts à dissoudre la Nation dans un magma européen, première étape avant une dissolution à visée mondiale.


Bref, les élèves du futur qui se verront enseigner l'Histoire de ce début du XXIe siècle, n'en reviendront sans doute pas de l'incroyable apathie et naïveté des peuples occidentaux devant cette décadence voulue, commanditée, organisée par les puissances financières pour asseoir leur dictature. Ils riront en lisant que les contemporains de ce début de siècle craignaient de cuire dans le réchauffement climatique comme nous rions aujourd'hui de ces Gaulois qui craignaient que le ciel ne leur tombe sur la tête.

Puissent-ils en tirer des leçons pour leur propre avenir. Mais, comme le disait le tyran avéré d'une autre époque, Karl Marx, qui était lucide sur le sujet, l'Histoire ne se répète pas, elle bégaie. On peut donc en douter.

vendredi 30 juin 2023

Affaire de Nanterre: les responsables.

 

Permissivité, appel à l'émeute, tentative d'intimidation de la Justice: tout Méchantcon dans un seul tweet.

 Avant de prendre connaissance de la liste des principaux responsables de cette affaire de Nanterre, Saucisson-Pinard vous engage à vous abonner à son blog (cliquer sur "s'abonner" dans la colonne de droite ci-contre) afin de lutter contre les algorithmes de gogole qui ont pour vocation d'invisibiliser son propos, dérangeant pour l'establishment. Merci !

Une petite racaille se fait descendre par un gendarme, suite à un refus d'obtempérer. Bon. Toute la bien-pensance politique et la médiatico-gauchiste (donc en fait, celle de tous les merdias de grands chemins), qui criait il y a quelques jours à peine, à la "récupération politique indigne" par « l'esstrême-drouaaaate » de l'attaque au couteau par un migrant syrien sur des enfants en landau dans le jardin public d'Annecy, se lance à corps perdu dans celle de cette supposée bavure policière.

Saucisson-Pinard écrit « supposée » bavure, parce que si la vidéo qui a été largement relayée sur les réseaux sociaux pourrait effectivement poser question sur le bien-fondé du tir du gendarme, une autre vidéo, prise sous un autre angle, peut infléchir largement la conclusion première. Il semblerait que le policier incriminé ait été vraiment menacé d'être écrabouillé contre le mur en cas de démarrage brutal du véhicule avec un léger changement de trajectoire. Et comme par hasard, cette seconde vidéo est, elle, bien plus confidentielle.

Du reste, la première vidéo qui a déclenché l'affaire, débute étrangement par la mise en joue de la petite racaille maghrébine par le policier. (Saucisson-Pinard n'étant pas intime avec cette dernière, il ne la désignera pas, comme le fait la Presse avec attendrissement, par son prénom. D'ailleurs on remarquera que les merdias prendront bien soin de ne pas préciser son nom de famille, si ce n'est par son initiale M. On l'appellera donc dans la suite de cet article, Momo. Gageons que s'il s'était agi d'un Duchemin, les merdias auraient été moins précautionneux sur la préservation de l'anonymat de la victime. (Encore que dans ce cas, ces mêmes merdias auraient superbement ignoré l'incident.)

Bref, la vidéo commence avec le gendarme pointant Momo avec son pistolet. Saucisson-Pinard ne se souvient pas, lors d'un banal contrôle routier, avoir été aussitôt visé par un gendarme ou un policier arme au poing. Il y a donc eu vraisemblablement une raison qui a poussé le gendarme à sortir son arme. Et aucun journaleux ni aucun gauchiste en récupération politicienne de l'incident ne s'est posé la question de connaître cette raison. On pourrait, par exemple, évoquer la possibilité que la gendarme ait vu Momo ou un des deux autres protagonistes de la voiture jaune, exhiber une arme de poing. D'ailleurs, une fois la voiture encastrée dans un poteau, si l'un des trois passagers a été arrêté, un autre a cru bon, bizarrement, de prendre la poudre d'escampette. Aurait-il eu par hasard quelque chose à se reprocher, alors qu'il n'était même pas responsable de la conduite de la voiture ?

Bien sûr, l'enquête en cours finira par lever le voile sur cette étrangeté*, mais lorsque cela sera le cas, l'affaire n'intéressera plus grand monde, et nos gauchiards seront passés à vociférer sur une autre affaire d'injustice réelle ou fabriquée d'un pauvre ostracisé de couleur, victime d'un méchant Français de souche.

L'affaire se résume donc en quelques mots. Momo, 17 ans, déjà bien connu défavorablement des services de police, selon l'expression consacrée, tente de fuir un contrôle de police. L'avocat de la famille de Momo a beau jeu de prétendre que cette petite racaille a un casier judiciaire vierge, la raison en étant juste la lenteur bien connue de la Justice. Car Momo à 17 ans a déjà eu maille à partir quinze fois avec la police pour motifs divers et variés : drogue, trafic de fausses plaques d'immatriculation et déjà pour refus d'obtempérer (le dernier en date étant le week-end précédent l'affaire!) alors qu'il n'est même pas en âge de conduire... Bref, un palmarès à la sortie de l'adolescence qui fait paraître long le chemin pour qu'il devienne une vraie « chance pour la France » une fois adulte...

 

L'enquête promise sur cette affaire devra explorer toutes les responsabilités. Et afin qu'aucune ne soit oubliée, Saucisson-Pinard se propose d'en relever quelques-unes, essentielles.

Commençons par la responsabilité parentale. Car Momo ne semble pas avoir eu toutes les chances de son côté, au niveau de son éducation familiale. La Presse tente bien de nous attendrir en évoquant l'absence de père et en soulignant la tendresse supposée qui liait Momo avec sa mère. Mais le moins qu'on puisse dire est qu'avec le palmarès de délinquance de cette petite racaille, maman Momo ne devait pas être trop regardante sur le comportement du fiston. D'ailleurs, la conduite de maman Momo durant la marche blanche organisée sur son initiative, où on la voit monter sur une moto qu'elle fait joyeusement pétarader avec moultes gesticulations, laisse songeur sur sa notion de conduite en cas de deuil. Etait-ce une façon pour elle de fêter un joyeux Naël ? (Bon d'accord, elle était facile, celle-là...)

Maman Momo aurait donc eu plutôt intérêt à se faire oublier, plutôt que de s'afficher avec autant d'impudeur. Elle a certes perdu son unique enfant, mais sa responsabilité est sérieusement engagée dans son inconduite récurrente qui l'a amené à fréquenter les forces de police avec autant de régularité.

On en arrive à la deuxième responsable : la Justice. Car qu'est-ce qui a bien pu motiver Momo à récidiver aussi souvent dans sa délinquance et à résister ainsi à l'arrestation par des gendarmes armés si ce n'est un immense sentiment d'impunité généré par un laxisme systématique des juges à son égard ?

Ne peut-on pas imaginer que si la Justice avait frappé durement dès la première incartade, Momo aurait réfléchi à deux fois à ce qui allait lui arriver s'il récidivait ? Accessoirement, si maman Momo s'était vue privée des allocations diverses et variées (financées par nous, contribuables...) qu'elle ne doit pas manquer de percevoir, sans doute se serait-elle davantage mêlée de la vie citoyenne de sa progéniture.

Il n'y a pas qu'un sentiment d'impunité qui s'infiltre dans l'esprit de ces racailles d'origine immigrée. Il y a aussi chez elles la conviction qu'elles sont protégées. Et on en arrive aux troisième et quatrième responsables indirects de l'incident de Nanterre : Les politicards de gauche, citons entre autres les Jean-Luc Méchantcon, les Tondelier, les Autain, les Sardine Ruisseau, les Boyard et toute cette clique de la Nupes, ainsi que les merdias de grands chemins, qui sont toujours prompts à prendre fait et cause pour les délinquants à partir du moment où ils ne sont pas blancs de peau.

On est atterré d'entendre la présidente de l'Assemblée nationale du parti Renuisance, appeler les députés à une minute de silence « en hommage » à Momo, et de voir ces derniers s'exécuter, alors que ces minutes de silence ne s'appliquent généralement qu'en l'honneur d'actes d'héroïsme ou en hommage à des victimes particulièrement méritantes. On ne se souvient pas que cette présidente Renuisance ait appelé à une minute de silence en hommage à la petite Lola massacrée par une immigrée n'ayant pas respecté une OQTF...

Le refus par ces gauchiards de la Nupes d'appeler au calme les émeutiers qui détruisent, agressent, vandalisent depuis cet incident de Nanterre en dit long sur ce sentiment d'être défendue et protégée qui finit par convaincre cette racaille que tout lui est permis. Le slogan "la police tue" maintes fois proféré par Méchantcon et ses acolytes participe aussi à conforter les racailles dans leur comportement. Qu'attend le gouvernement pour dissoudre le parti LFI pour appel à la violence ?

On pourrait enfin évoquer le possible manque de formation des forces de police qui ne seraient pas suffisamment entraînées à gérer des situations conflictuelles compliquées. Le gouvernement serait alors concerné par cette responsabilité indirecte. Mais il semble que dans le cas présent, la compétence du gendarme incriminé ne puisse pas être remise en cause puisqu'il avait reçu plusieurs courriers de félicitations et s'était vu même décerner une médaille suite à ses interventions professionnelles récentes.

Responsabilité parentale, responsabilité d'une Justice complètement dépassée, responsabilité de politicards démagos et anti-France, responsabilité de merdias à la solde d'une oligarchie friande d'immigration-réservoir de main d'oeuvre bon marché : le gendarme incriminé et mis en prison à la Santé au titre d'une simple garde à vue (!) (chose inhabituelle qui en dit long sur la politique du deux poids deux mesures qui sévit dans les instances judiciaires), ne devrait pas se sentir seul !

L'incident de Nanterre et les émeutes qu'il provoque sont la parfaite synthèse de décennies d'incurie gouvernementale, d'idéologies permissives et de complaisance envers une immigration inassimilable et non maîtrisée. Merci Momo pour cette démonstration posthume ! Puissent les Français enfin comprendre la situation et en tirer les conséquences lors des prochaines consultations électorales !


* Alors que SP écrivait ces lignes, on apprend que les gendarmes coursaient Momo depuis plus d'une demi-heure. Cette petite frappe conduisait son bolide à vive allure, empruntait les couloirs de bus, brûlait des feux rouges, manquait de renverser un piéton puis un cycliste, et ne fut rattrapé par les gendarmes qu'à l'occasion d'un encombrement dans le trafic. On comprend donc la mise en joue du délinquant multirécidiviste. Combien de personnes innocentes auraient pu être blessées ou même perdre la vie si la course poursuite s'était prolongée indéfiniment ?

jeudi 8 juin 2023

Un peu de maths à propos du CO2.

 

Avant d'aborder ce cours de mathématique en écologie appliquée, Saucisson-Pinard vous engage à vous abonner à son blog (cliquer sur "s'abonner" dans la colonne de droite ci-contre) afin de lutter contre les algorithmes de gogole qui ont pour vocation d'invisibiliser son propos, dérangeant pour l'establishment. Merci ! 

Notre gouvernemaman, toujours à l'affût de ce qui pourrait bien emmerder toujours un peu plus les Français, au motif ô combien louable, bien sûr, de « prendre soin de la planète », lance une concertation avec des élus et des professionnels pour « envisager » d'interdire l'installation de chaudières à gaz neuves.

Alors évidemment, une petite traduction est ici requise. Quand le ministère de la Transition énergétique parle de « concertation » pour « envisager », il faut comprendre que la décision est d'ores et déjà prise : cette installation de chaudières à gaz neuves sera interdite. Il n'est donc pas question de se concerter avec quiconque, pas plus qu'il n'est question de seulement « envisager ». Il y aura interdiction, point barre.

Mais ce n'est pas tout. Quand on parle d'installation de chaudières neuves interdites, on connaît d'avance la suite. C'est juste un pied dans l’entrebâillement de la porte. On passera alors à l'étape suivante qui sera bien évidemment l'interdiction d'utilisation des chaudières à gaz les plus anciennes. Puis la date d'ancienneté qui périmera officiellement les chaudières concernées par ce démantèlement obligatoire, sera progressivement avancée jusqu'à l'interdiction totale de toutes les chaudières à gaz. Charge aux Français qui auraient l'outrecuidance de continuer à vouloir se chauffer en hiver et à avoir de l'eau chaude toute l'année, de trouver une alternative.

Cette alternative serait éventuellement l'électricité. C'est à la mode. Pas de l'électricité d'origine nucléaire, bien sûr, il ne faudrait pas fâcher les punks écolos qui votent (à gauche). Donc de l'électricité avec des panneaux solaires, ce qui, on l'imagine, sera bien pratique pour se chauffer en hiver quand les journées sont courtes et l'ensoleillement plutôt à tendance buissonnière. Ou de l'électricité produite par des éoliennes, vous savez, ces grands ventilateurs qui apportent cette petite note coquette dans nos paysages... Comment ? Que dites-vous ? Aujourd'hui, il n'y a pas de vent ? Pas grave, vous mettez un pull-over supplémentaire pour regarder BFMTV de votre salon et vous vous doucherez un autre jour.


Bref, la chaudière à gaz est la prochaine victime expiatoire à sacrifier sur l'autel de l'escrologie punitive ; ou est l'otage livré à la mafia oligarchique d'Al Carbone, comme l'appelle assez justement le site insolentiae.com (que Saucisson-Pinard vous recommande chaudement au passage).

On connaît l'antienne : c'est le vilain CO2 (dioxyde de carbone) qui provoque le réchauffement climatique. Pardon, le «dérèglement» climatique. Bah oui, tout le monde sait que jusqu'à une époque récente, le climat était « réglé » comme du papier à musique. Ou comme un thermostat de salon. Oublions la période quasi-tropicale du Moyen-âge, oublions qu'il y avait alors du vignoble en Angleterre, oublions les écrits du XVIIe siècle qui racontent que le vin (donc avec de l'alcool dedans) gelait en hiver sur les tables du château de Versailles et qu'on traversait la Seine à Paris à pied sec, en marchant sur la glace.

Bref, nous vivons en ce début du XXIe siècle une période affreuse où le climat se met à faire des siennes pour la première fois de son histoire. 

Bon, c'est vrai, il semble que les températures ne montent plus depuis une dizaine d'années, mais concentrons-nous, s'il vous plaît, sur cette augmentation de... 0,6 degré depuis la fin du XIXe siècle !! Insupportable ! Et à cause de quoi ? Du vilain CO2 qui augmente dans l'atmosphère ! Et pourquoi augmente-t-il ? A cause de l'homme, bien sûr : c'est le dioxyde de carbone anthropique qui cause cette catastrophe climatique.

Oublions ce détail que sans CO2, il n'y aurait juste pas de végétation possible. Oublions que plus il y a de CO2, meilleures sont les récoltes. Oublions que les observations les plus récentes démontreraient que, dans l'histoire de la planète, l'élévation de température ne suit pas une élévation du taux de C02, mais au contraire, que c'est l'élévation de la température qui serait suivie de celle du CO2, même si les raisons restent encore mal élucidées.

Oublions tout cela, et décrétons que le CO2 anthropique est une calamité et qu'il convient donc, à tous prix (au vrai sens de l'expression !), de tenter de faire baisser ce taux de dioxyde de carbone originaire de l'activité humaine. Par exemple – et on en revient là au début de cet article, en arrêtant d'équiper les foyers français en chaudières à gaz !


A ce stade, nous allons, une fois n'est pas coutume dans ce blog, faire un peu de mathématiques. Rassurez-vous, ça sera juste une question de règle de trois.

Et pour cela, rappelons quelques chiffres.

Le taux de CO2 dans l'atmosphère est de 0,04%. Bon. Ça calme déjà un peu l'affolement, non ?

Quelle est la part de ce dioxyde de carbone provoquée par l'activité humaine dans ce 0,04% ? La réponse est édifiante. L'homme est responsable de... 3,225% de la totalité du CO2 dans l'atmosphère! On comprendra donc que 96,775% du CO2 de l'atmosphère sont naturels !

Avec une simple règle de trois, on en déduit que l'activité humaine est la cause de 3,225% de 0,04% de l'atmosphère totale, soit (0,003225*0,0004=) 0,00129% de ce qui constitue l'atmosphère. Et ces 0,001% bouleverserait, selon la propagande pseudo-scientifique du moment, le climat de la planète entière ! Même en estimant que les petits effets produisent de grandes causes, la chose commence à devenir dure à avaler.

Mais poursuivons nos calculs. La France est responsable, à elle toute seule, de... 0,93% du CO2 anthropique de la totalité de la planète. Rapprochons donc ce pourcentage du CO2 provoqué par ces vandales de Français, des 3,225% du CO2 d'origine humaine dans le total du dioxyde de carbone de l'atmosphère. Toujours avec une simple règle de trois, on en déduit que ces 66 millions de Français sont les coupables de (0,0093*0,03225=) 0,03% du CO2 total de l'atmosphère. En conséquence, on comprend que si, dans un esprit de sacrifice suprême, les Français revenaient à l'âge de pierre et réduisaient leur production de CO2 à zéro (il faudrait aussi, bien sûr, pour arriver à ce résultat, qu'ils arrêtent de respirer et de péter, mais, que voulez-vous, on a l'esprit de sacrifice ou on ne l'a pas), il resterait 99,97% de vilain CO2 dans l'atmosphère. Le climat s'en trouverait-il changé ? Le pari ne semble pas gagné d'avance...

Mais bon. Restons raisonnable, et remettons cette exigence de zéro CO2 français à plus tard, et contentons-nous, comme le fait notre ministère de la transition énergétique, d'imposer aux Français de se passer de chaudière à gaz. Et calculons l'impact de cette décision charitable et bienveillante.

L'utilisation des bâtiments est responsable de 18% du CO2 d'origine humaine en France. Sur ces 18%, les chaudières à gaz y sont pour 60%. Ces chaudières à gaz sont donc à l'origine de (0,18*0,6=) 10,8% du CO2 anthropique français. Lequel CO2 anthropique français représente, rappelons-le, 0,93% du CO2 d'origine humaine sur la totalité de la planète. Les chaudières à gaz en France sont donc à l'origine de (10,8% de 0,93%=) 0,1% du dioxyde de carbone créé par l'activité humaine mondiale.


Alors une question devrait être posée à la sinistre de la transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher :

« Dis-nous, chère Agnès, de combien de degrés la température globale de la planète Terre baissera quand toutes les chaudières à gaz sur le territoire français auront été mises au rencart, et qu'il restera 99,9% du CO2 d'origine humaine ? Pourrais-tu nous signer de ta main une promesse chiffrée ? Et afin de conférer à cette signature une certaine valeur, tu t'engagerais, si par le plus grand des hasards, cette température ne baissait pas de plus de – soyons magnanime - la moitié de ton engagement écrit, à finir tes jours en prison pour escroquerie à l'égard de 66 millions de victimes.

Et en attendant, on te recommandera d'éviter d'éternuer : ça pourrait assourdir, à l'autre bout de la planète, par le même effet papillon, le papou de Port Moresby (Papouasie-Nouvelle-Guinée)... »

mardi 30 mai 2023

Conflit russo-ukrainien: et si...

 

Avant d'aborder ses élucubrations dans cet article, Saucisson-Pinard vous engage à vous abonner à son blog (cliquer sur "s'abonner" dans la colonne de droite ci-contre) afin de lutter contre les algorithmes de gogole. Ces derniers ont  justement pour vocation d'invisibiliser ces élucubrations qui ne font pas rire un establishment manquant cruellement d'humour. Merci ! 

Ça fait maintenant bien plus d'un an que le conflit russo-ukrainien a commencé. Bien plus d'un an que l'Occident s'inscrit de plus en plus assurément comme cobelligérant, en appui de l'Ukraine. Cette cobelligérance est évidemment médiatiquement non-dite, mais elle n'en est pas moins réelle. Quand on envoie massivement de l'argent et des armes en Ukraine au lieu de limiter son intervention à une aide humanitaire (ce qui serait concevable), quand on applique des sanctions à l'égard de la Russie et uniquement de la Russie, quand on invite le joueur-de-piano-avec-sa-bite qui fait office de président ukrainien au G7 (depuis quand l'Ukraine fait-elle partie du G7?), quand Macreux lui assure le transport à bord d'un avion aux couleurs de la France, il faut appeler un chat un chat, et un cobelligérant un cobelligérant.


Mais alors, une question se pose : quand a-t-on consulté les peuples pour s'assurer qu'ils étaient d'accord pour être entraînés dans ce conflit qui, objectivement, ne les concerne pas ?

Cette question se pose pour chacun de ces pays cobelligérants qui ne s'avouent pas l'être publiquement. Les Français, les Allemands, les Anglais, les Américains n'ont à aucun moment eut à répondre à la simple question : êtes-vous d'accord pour que votre pays entre en conflit ouvert contre la Russie, aux côtés de l'Ukraine dont vous ignoriez à peu près tout avant février 2022, si ce n'est quelques entrefilets médiatiques occasionnels qui qualifiaient ce pays de champion de la corruption ?

Or, le Droit est formel, en tous cas en France : pour que le pays entre en guerre, la question doit être posée au moins au Parlement et recevoir une réponse affirmative. N'évoquons même pas la solution d'un référendum auquel notre prétendue démocratie et notre République et ses fameuses « valeurs » sans cesse évoquées, semblent avoir définitivement renoncé à avoir recours.

Aussi, quand on dit « la France, l'Allemagne, le Royaume-Uni et l'Amérique sont en guerre non-dite contre la Russie » que veut-on dire réellement ? Veut-on dire « les Français, les Allemands, les Britanniques et les Américains veulent entrer en guerre contre la Russie » ou plus exactement, « Macreux, Scholz, Sunak et Biden veulent affronter Poutine ? ». La nuance sémantique entre ces deux façons de poser la question n'en est, en fait, pas une !


Pour tenter d'apporter une réponse claire à la question si cet engagement belliciste des dirigeants occidentaux sus-nommés est une décision personnelle de chacun d'eux (ou des états profonds qui les manipulent, mais peu importe, ne compliquons pas le débat...) ou si il est partagé par leurs peuples, imaginons l'hypothèse suivante :

Macreux est porteur d'un virus mortel. Ce virus, une fois implanté dans l'organisme, ne met que quelques heures à appliquer sa funeste besogne. Or, au cours de ce dernier G7, Macreux serre la main de Biden-the-cheater, de Rishi Sunak, et d'Olaf Scholz. D'ailleurs, il ne fait pas que leur serrer la main, il les papouille allègrement comme il a l'habitude de faire avec tous ses interlocuteurs. Pendant qu'il y est, il papouille aussi Zelensky et la Hyène (Tous les goûts sont dans la nature. A propos, à quel titre elle était au G7, celle-là? De quel pays est-elle la représentante ?).

Et pendant qu'on y est, et pour faire bonne mesure, imaginons que le Sunak infecté a l'occasion, à son retour à Londres, de serrer la main de Boris Johnson. Il n'y a pas de raison, après tout ; Johnson a été le premier à étouffer au début du conflit, toute tentative de négociation de paix.

Bref, le virus se répand comme la poudre dans l'organisme de ces « élites » et ces belligérants en puissance, à peine rentrés dans leurs pays respectifs, trépassent tous. Imaginons.

Bon, c'est vrai, Saucisson-Pinard vous l'accorde, cette hypothèse est assez capillo-tractée.

Imaginons alors une autre hypothèse. Imaginons qu'un tireur d'élite ou un drone, ou n'importe quel autre moyen que les technologies modernes doivent aujourd'hui permettre, (d'autant que la Russie semble être plutôt à la pointe en ces matières), vise personnellement Macreux, Sunak, Scholz et Biden. Quitte à rêver, ajoutons à cette liste de cibles, Zelensky et la Hyène, pour faire bonne mesure. Imaginons que chacun d'eux aille donc, enfin, faire quelque chose de positif de leur vie, pour changer, en allant nourrir les vers.

Dans cette hypothèse ou dans la première évoquée, la question en finalité reste la même : est-ce que le conflit russo-ukrainien ne trouverait pas d'un seul coup d'un seul une nouvelle destinée ? Est-ce que franchement, les peuples français, anglais, allemand et américain reprendraient à leur compte les intentions bellicistes de leurs leaders disparus ? Saucisson-Pinard en doute.

Etant donné l'impopularité de chacun de ces dirigeants dans leurs pays respectifs, est-ce que chaque peuple ne s'en avouerait pas, mezza voce, plutôt soulagé, et ce conflit ne s'éteindrait-il pas de lui-même, la Russie récupérant le Donbass, et le peuple ukrainien ne verrait-il pas son cauchemar se terminer enfin ?

Et franchement, qui regretterait la Hyène, à part son mari qui a bien bénéficié financièrement des largesses de l'UE à son égard grâce à la position de son épouse à la Commission européenne, et à part Bourla, PDG de Pfizer, qui aurait à trouver un autre fonctionnaire de l'UE à corrompre pour vendre ses poisons ?


On rétorquerait à Saucisson-Pinard que la disparition de Poutine pourrait aussi être évoquée. Certes, mais justement, cette hypothèse, au contraire des deux premières imaginées ci-dessus, ne changerait rien, sinon en pire, à la situation de la guerre actuelle. Car Poutine est, lui, soutenu par sa population, et s'il lui est reproché quelque chose, ça serait plutôt de ne pas vouloir régler le sort de l'Ukraine plus drastiquement. Et le successeur de Poutine, par exemple Medvedev, pourrait ne pas avoir les mêmes scrupules à épargner la population civile ukrainienne et à ne se concentrer que sur l'armée de Zelenski, ses milices nazies et ses mercenaires.

Les merdias occidentaux soutiennent largement l'agressivité à peine voilée des leaders américano-européens. Mais les citoyens, surtout européens, savent, eux, intuitivement qu'ils n'ont absolument rien à gagner objectivement dans une guerre avec la Russie. Ils souffrent déjà économiquement des sanctions imbéciles prises contre elle et qui leur reviennent en boomerang en pleine gueule. Ils pâtissent aussi sévèrement de l'explosion des prix de l'énergie. Ils ont aussi plus ou moins conscience que les sommes faramineuses qui sont envoyées à Zelenski, seront en temps voulu puisées dans leur bas de laine...

Malgré un battage médiatique quotidien qui confère au matraquage, ils savent qu'ils ne sont en rien concernés par ce qui arrive à l'Ukraine. Les mieux informés d'entre eux connaissent les raisons objectives que la Russie a eu à intervenir pour défendre les russophiles russophones du Donbass après huit années d'agression caractérisée du gouvernement de Kiev.

Et, enfin, si on disait aux boomers, la fraction électorale encore en soutien relatif de Macreux : « Etes-vous prêts à voir vos enfants quitter leurs familles et être envoyés au front pour défendre l'Ukraine ? », Saucisson-Pinard doute fortement de leur enthousiasme.


En conclusion, l'hypothèse d'une disparition de la scène géopolitique, due à Dame Nature ou à Dame FSB, de Macreux et de ses acolytes ne semblerait plus, tout bien pesée, présenter beaucoup d'inconvénients. De là à croiser les doigts...