Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

samedi 25 juillet 2015

Semaine ordinaire en France socialiste.




Tout commença aux premières heures d'une matinée qui allait s'avérer caniculaire sur la capitale. Hollande Ouille se leva de fort bonne humeur et se dit : « Je me sens particulièrement en forme en ce moment. Il y a "longtemps" que j'ai pas sorti une grosse connerie, il est temps que je rattrape le temps perdu. »
C'est là qu'on perçoit toute la relativité du sens des mots selon les individus, et notamment ici la subjectivité du mot « longtemps »...

Bref, Hollande Ouille se saisit opportunément de l'occasion d'un micro tendu, pour émettre l'idée d'un nouveau gouvernement et parlement européens tout spécialement dédiés à l'euro. Parlement qui viendrait bien évidemment se rajouter aux nombreuses instances européennes déjà existantes et non pas en remplacer une, bien sûr. Un nouveau gouvernement et parlement dotés, ça s'impose (c'est le cas de le dire) d'un budget propre. Et c'est là qu'on discerne ce sens de l'opportunisme politique qui est la marque de fabrique de notre Leader Eclairé, notre Astre de Lucidité, notre Génie politique du XXIe siècle et des suivants, notre Soleil de Compassion, notre Etoile guidant le Peuple. «Ce qui nous menace, ce n'est pas l'excès d'Europe, mais son insuffisance. » « Et la France se doit d'être à l'avant-garde de cette entreprise. »

Et c'est manifeste, un nouveau machin plein de technocrates élus et non élus, pouvant se goinfrer d'argent frais directement puisé dans la poche des contribuables, pour discutailler des mesures qui pourraient bien entraver avec encore un peu plus d'efficacité la marche économique cahotante des pays membres, est tout à fait ce que les Français attendent pour régler leurs problèmes.

Et d'ailleurs, une semaine à peine après les dernières négociations menées avec la Grèce à grands coups de pelle derrière les oreilles de son premier ministre, le fait que ce pays soit déjà à redemander une aide substantielle au FMI, ne doit pas distraire l'attention du bon peuple : Il n'y a pas assez d'Europe.
C'est un peu le leitmotiv des médecins de l'époque du Roi Soleil : si le malade ne recouvre pas la santé, ce n'est pas à cause des saignées qu'on lui administre, mais bien parce qu'on ne lui en colle pas assez. « Allez, je propose une nouvelle bonne grosse saignée bien trapue pour extirper le mal. » « Et UNE nouvelle dose d'Europe pour redonner une santé de fer à notre euro bien aimé-que-si-on -l'avait-pas,-on-se-demande-ce-qu'on-serait-devenu,-pauvres-de-nous. Une ! »

Satisfait de sa géniale trouvaille, Hollande Ouille s'en va frayer avec le brave peuple en assistant au passage du Tour de France en bord de route. Pas à l'arrivée de l'étape quand même, des fois que des esprits chagrins et ingrats en viennent à l'accueillir avec des sifflets et des huées. Mais, par surprise, au milieu d'une étape, là où quelques clampins sont trop dispersés pour se rassembler et sont bien plus faciles à circonvenir le cas échéant. Frayer avec le bas peuple, certes, mais surtout, pas de risque inutile, n'est-ce pas.

Puis, à peine le temps de savourer les effets sur le microcosme politico-médiatique de sa brillante idée européenne, voilà-t-il pas que les éleveurs commencent à se rebeller en Bretagne. Une nouvelle occasion pour Sa Majesté de la Clairvoyance de montrer son sens aigu de la réforme, avec une nouvelle application de sa prestigieuse méthode que le monde entier nous envie, la méthode du Yacaqueu.
« Les éleveurs n'arrivent pas à vivre de leur métier ? » Ne faisant ni une ni deux, Hollande Ouille nous sort son arme secrète :
  • Yakaqueu les éleveurs fassent de la qualité, et yakaqueu les Français mangent plus de viande française.
    Comment ça, la viande française est déjà la plus chère d'Europe ? Et alors ? Quel rapport ? De toutes façons, quand on est Sans-Dents, on ne peut déjà pas manger de viande, alors...

Et c'est vrai qu'avec les Socialos, l'économie est d'une simplicité biblique. Regardez La Poste par exemple. Les Français écrivent moins et la rentabilité de la branche courrier est problématique. Yakaqueu les Français payent leurs timbres plus cher, et puis voilà. C'est tout. Pas plus compliqué que ça, l'économie en Socialie. Et puis payer 76 centimes (+15% par rapport à 2014, vlan !) pour acheminer une banale lettre de Mulhouse à Nice en cinq jours pleins, voilà qui va décider définitivement Monsieur Macheprot d'utiliser davantage les services de La Poste.

Donc, pour en revenir au problème des éleveurs, l'Europe, encore elle, écrasant les entreprises du secteur de règlementations diverses et variées, et la France, ne voulant pas être en reste, en rajoutant une couche avec ses charges salariales bien grasses, le remède tombe littéralement sous le sens : Yakaqueu les Français consomment français !
- Mais alors, Msieur, les collectivités aussi doivent manger français ?
- Euh... bah oui, bien sûr, les collectivités, les cantines d'école, les restos d'administrations doivent privilégier les approvisionnements en viande française (plus chère. Ça tombe bien, les dotations aux collectivités vont diminuer !)
  • Mais Msieur, c'est interdit par l'Europe, cette préférence nationale !
  • Euh….

Plus d'Europe, en effet. C'est vraiment LA solution. C'est tout à fait évident.

Pour ne pas faire de peine aux éleveurs, on tâchera de ne pas leur évoquer cette croyance purement capitaliste qui veut que lorsque les stocks non écoulés d'un produit sont importants, cela fait baisser mécaniquement son prix.
Et si les prix de la viande sur le marché international stagnent, c'est juste une coïncidence si dans le même temps, il y en a des stocks importants. Et si il y a des stocks importants, ça n'a évidemment rien à voir, en économie socialiste, avec le fait que la Russie a décidé un embargo sur la viande d'origine européenne en réponse aux tracasseries politiques que se croit obligée de lui infliger... l'Europe. Plus d'Europe, plus d'Europe, encore plus d'Europe. C'est aveuglant d'évidence.

L'ambition de Hollande Ouille de régler, avec ses petites mains et sa petite tête creuse, les problèmes du monde finit par déteindre sur ses ministres. Ainsi Marie-Sotte Touraine a déclaré vouloir oeuvrer pour un monde sans tabac. Le monde entier. Carrément. Dommage qu'elle n'ait pas accompagné son présidenticule lors de sa visite au Leader Maximo pour demander l'avis de ce dernier. Ça aurait peut-être fait rire l'ex-dictateur cacochyme de l'île dont l'économie essoufflée repose en grande partie sur l'exportation de cigares. Mais peut-être que le rire est contre-indiqué médicalement, pour son cœur fragile...

C'est curieux cette manie chez les socialos de vouloir imposer au monde entier- et de se croire capable de le faire- ce qu'ils ne savent déjà pas faire à leur petit niveau local.

Mais ne soyons pas mesquin, l'idée du paquet de cigarettes neutre qui met en transe extatique notre sinistre de la Santé est géniale. Elle est une véritable aubaine pour les contrefacteurs et pour les entrepreneurs en manque d'idée de nouveaux produits. En Australie où le paquet neutre a été introduit voici deux ans, le marché noir des cigarettes a littéralement explosé.
Et pour un auto-entrepreneur à la recherche de produit nouveau, Saucisson-Pinard donne cette idée. C'est cadeau : Proposer aux buralistes (ou sur internet) de vendre un étui à paquet de cigarettes. Une sorte de « sur-paquet » en carton rigide, revêtu d'illustrations diverses et variées, humoristiques ou personnalisées. Pour quelques centimes d'euro, le fumeur habillerait son paquet de façon ludique.
Mais ne dites pas que l'idée d'un étui à paquet de cigarettes avec l'illustration d'un bras d'honneur à destination de Marie-Sotte Touraine vient de Saucisson-Pinard, car c'est faux. Saucisson-Pinard a bien trop de respect pour les idées géniales dont notre gouvernemaman nous couvre littéralement depuis trois ans.

mercredi 15 juillet 2015

L'Union Européenne: une Cosa Nostra.




Le squatteur de l'Elysée se gargarise de l'accord obtenu pour le prétendu sauvetage de la Grèce. Sauvetage de la Grèce qui semble bien plutôt être le sauvetage de la zone euro, voire de l'Union Européenne. « C'est un accord historique », s'exclame le ravi de la crèche qui paraît décidément obsédé par l'Histoire et la place que sa misérable présidence y laissera. Obsession probablement née de la « Panthéonnade » (néologisme née de l'imagination fertile et taquine d'un blogueur ami à qui Saucisson-Pinard rend ici hommage) qu'il nous a servie naguère.

En réalité, cet accord en particulier n'a rien d'historique. Ce qui est historique, c'est cette succession de renflouements d'un pays en déroute financière, en échange de promesses de réformes sans cesse renouvelées. Historique également la survie de l'euro érigée en dogme chez nos technocrates européens dont Hollande Ouille est le valet zélé et imbécile, au mépris de la volonté des peuples et de leurs économies.

Tsipras fait voter, avec succès, le peuple grec contre les mesures d'austérité pour ensuite faire acte de reddition en rase campagne et les accepter. Si ce n'est pas une trahison, qu'est-ce qu'une trahison ? Elle n'est pas sans rappeler l'accord européen de Lisbonne mené par Sarko pour contourner le refus affiché par le peuple français lors du dernier référendum européen. La seule différence est que Sarko a eu la décence d'attendre quelques mois pour opérer sa trahison alors que Tsipras n'a attendu qu'une semaine.

« Acte courageux» a qualifié l'ahuri élyséen, toujours en verve d'incongruités, en parlant de la décision de se coucher du premier ministre d'extrême gauche grec. Décidément, il a un sens des valeurs bien étrange, notre rondouillard présidentiel : à ses yeux, celui qui renie ses engagements est un « courageux ». Hollande Ouille ne nous épargnera rien. Il n'y a guère que sa bassesse qui égale son incompétence.

Nos médias aux ordres de la technocratie européenne se sont hâtés de nous préciser que le « Non » grec au référendum n'était pas un « Non » à l'euro ou à l'Europe. Ils nous ont même avancé, sans rire, que les Grecs étaient 84% à demander de demeurer dans la zone euro ! Mais comment les croire après qu'ils nous aient assurés, deux jours avant le résultat du scrutin, que ces mêmes sondages donnaient une légère avance au « Oui » ? Le « Non » a en finalité obtenu une très confortable avance de 64% pour seulement 36% de « Oui » ! Enfumage, enfumage...

L'Union Européenne fédéraliste est prête à toutes les manipulations, à toutes les intimidations, pour conserver son emprise sur les nations. Tout comme la Cosa Nostra, on peut facilement en faire partie, mais il est hors de question de pouvoir la quitter impunément.

Le matraquage politico-médiatique promettait une catastrophe, si la sortie de la Grèce de la zone euro s'avérait, et ce, tant pour la Grèce que pour l'Europe toute entière. La Grèce (0,5% de l'économie mondiale), hors d'Europe, une catastrophe pour l'Europe ? Faut-il que celle-ci soit bien fragile pour être ainsi menacée par la défection d'un membre aussi modeste ! Ne serait-ce pas plutôt la crainte que le pays s'en sorte tout seul, à terme, au vu et au su du reste des autres pays européens, avec une monnaie nationale et sa maîtrise retrouvée de son économie ? Cela n'aurait pas été- on peut même écrire « cela ne sera pas... » sans une série de réformes profondes et non dénuées de douleurs, bien sûr – on ne peut pas vivre au-dessus de ses moyens indéfiniment sans un jour devoir se serrer sévèrement la ceinture.

Mais ces réformes que l'Europe demande aujourd'hui en contrepartie de sommes colossales directement puisées dans la poche des contribuables européens seront de toutes manières indispensables. Ne nous y trompons pas : la Grèce devra sortir de l'euro, tôt ou tard. Plus tard cela sera, et plus élevée sera la note pour les cochons de payants que nous sommes. En attendant cette issue certaine, nous ne ferons finalement que payer l'idéologie dogmatique de l'euro qui obsède cette caste de hauts fonctionnaires non élus à la barre de ce bateau ivre qu'est devenue l'Union Européenne.



Dans un an, dans deux ans au plus, la même question se posera : faut-il continuer à verser dans ce puits sans fond grec pour maintenir coûte que coûte ce pays dans le club européen et sauver cette monnaie factice? Dans un an, dans deux ans, on nous assommera à nouveau avec des « réunions de la dernière chance », avec des sommets tragi-comiques d'avant-cataclysme économique supposé.
Mais l'issue est écrite d'avance : le Grexit. Et le domino européen s'écroulera, pièce après pièce. Enfin.

« Accord historique », qu'il a dit, notre présidenticule. Il n'y a que sa suffisance grotesque, tout au plus, qui soit historique. La seule question qui vaut désormais d'être posée, est : Est-ce que tous ces irresponsables « historiques » rendront un jour des comptes ?

lundi 6 juillet 2015

Non, surtout, pas d'amalgame!


 
Non! Surtout, pas d'amalgame!!

Comme annoncé dans un article précédent (article « Réaction à chaud et poisson pourri » du 22 avril dernier), une chance pour la France n'a pas tardé à montrer toute sa reconnaissance au pays qui l'a accueilli, financé, nourri, soigné, éduqué, en massacrant gentiment un honnête Français. Il est vrai que ce dernier lui avait montré au préalable, le fort sentiment de racisme qu'éprouve tout Français de souche à l'égard des maghrébins, en lui offrant un emploi, dans ce pays de cinq millions de chômeurs, dont beaucoup de Français.

Il y a fort à parier que d'ici quelques mois, ce fait divers qui défraie aujourd'hui la chronique, sera aussi banal que le sont devenus les règlements de compte à la kalachnikov dans les banlieues. Rappelez-vous, il y a quelques années seulement, nos médias faisaient leurs choux gras d'un assassinat en pleine rue d'un dealer maghrébin par un autre dealer maghrébin dans les banlieues nord de Marseille. Les journaux en parlaient pendant des jours et des jours. Aujourd'hui, c'est à peine si l'information fait un entrefilet dans le journal local. La presse nationale n'en fait même plus mention. Ainsi va la vie dans notre France riche de son immigration arabe.

Le premier réflexe de l’inénarrable Cambadélis, à l'annonce de ce fait divers, a été de se précipiter devant les micros tendus pour s'exclamer : «  surtout pas d'amalgame ! ».

Mais pourquoi donc y aurait-il lieu, ici, de faire un amalgame ? On se demande.

D'un côté, nous avons 6 à 8 millions de muzz qui refusent de s'amalgamer avec le style de vie des Français, en cherchant à imposer leur langue arabe, leurs coutumes, leurs façons de s'habiller, leur conception de ce que doit être la vie de la femme, qui demandent à ce que les Français renoncent à leurs fêtes, religieuses ou pas, imposent leurs habitudes alimentaires, le mode d’abattage des animaux à viande, les viandes proscrites. Ces muzz réquisitionnent les rues pour s’adonner à leur pratique religieuse ou obtiennent de la part des communes des bâtiments à bas coût pour ce faire. Ils y psalmodient des litanies qui n’évoquent que violence, contraintes, soumission à un dieu croque-mitaine, châtiments, exécutions. Les entreprises qui les emploient sont priées de composer avec leurs rites religieux stupides et contre-productifs.
Bref, ils ne cherchent qu’à reproduire toutes les coutumes qui font que tous les pays, sans exception, où sévit à grande échelle cette facho-religion, sont des pays arriérés, moralement et socialement sous-développés. Ces pays n’échappent au sous-développement économique qu’à la condition que la Nature les ait dotés de réserves énergétiques qui leur apportent une richesse pour laquelle ils n’ont aucun mérite.


Alors que, d’un autre côté, qui sont les terroristes islamiques? Ben, en fait, fondamentalement, ce sont les mêmes. Ils ne font simplement qu’appliquer ce que leur recommande de faire leur religion, en prenant au pied de la lettre les incantations qu’ils ânonnent cinq fois par jour. Donc, c’est évident, il n’y a pas d’amalgame possible.
Et si on assiste à une explosion du nombre des muzz qui passent de la première catégorie dans la seconde, c’est par pure coïncidence, bien sûr.
En fait, un muzz terroriste islamique n’est jamais qu’un muzz pratiquant. Un catholique non pratiquant, c’est un catho qui a des valeurs de catholique mais qui ne va pas à la messe. Il en va de même pour les muzz: un muzz pratiquant, c’est un muzz qui tombe dans le terrorisme. Un muzz non pratiquant, c’est un muzz qui a des valeurs d’islamisme mais qui ne tombe pas (encore) dans le terrorisme, faute de temps, de conviction ou faute d'avoir rencontré les « bonnes » personnes....
Comment dans ces conditions, un amalgame serait-il possible, hein Camba? Cherche bien…

Entre ceux qui sont partis en Irak ou en Syrie, ceux qui veulent y aller, et ceux qui en reviennent, on a ainsi une palanquée de bombes muzz en liberté qui n’aspirent qu’à nous sauter à la gueule. Mais surtout, « pas d’amalgame ». C’est évidemment le maître-mot et le souci principal auquel doit faire face notre gouvernement.

Les plus inquiets, ou les plus lucides, de nos « zélites intellectuelles gaucho-compatibles » se contentent de s'interroger: « Mais quoi faire de ces terroristes en devenir dûment repérés par les services de renseignements? On ne peut pas surveiller chacun d’entre eux 7 jours sur 7, 24 heures sur 24 ? On ne peut pas les enfermer non plus aussi longtemps qu’ils ne sont pas passé à l’acte !» Certes.
Mais pas une seule fois une solution toute simple ne semble les effleurer: déchéance de la nationalité française de ces muzz qui, la plupart du temps, lorsqu'ils se sont vus attribués cette nationalité sans même l'avoir demandée, ont aussi gardé leur nationalité d’origine. Déchéance et évidemment, expulsion illico presto du territoire. Quant à ceux qui n’ont pas la nationalité française, a fortiori, l’expulsion immédiate semble la moindre des choses. Sous quel prétexte, demandez-vous? Sécurité d’état. Au nom de quelle lubie les Français de souche devraient-ils prendre le moindre risque?
Quant aux candidats volontaires pour aller se faire tuer au Moyen-Orient, qu’ils soient gaulois à la cervelle ramollie, français de papier, ou muzz d’importation , pourquoi les en empêcher? Pourquoi les priver de l’occasion de devenir martyr et de se voir récompenser d’une ribambelle de vierges, dans un autre monde? Ça serait bien cruel...

En revanche, une fois le territoire national quitté, suppression de leur passeport et interdiction de revenir, bien sûr. Une telle occasion de profiter de cette remigration volontaire ne devrait pas se rater.