Saucisson-Pinard cède,
en cette fin d'année, à la mode des bêtisiers dont nous abreuvent
les différentes chaînes de télévision.
Il est vrai que,
concernant ces dernières, leurs émissions diffusées tout au long
de l'année ne sont trop souvent que des ramassis de crétineries
animées par des crétins hanounaesques, ruquieristes et autres
yannbarthesistes, dans lesquelles il leur est facile d'extraire de
trop nombreux passages pour remplir ces fameux bêtisiers.
Saucisson-Pinard pour sa
part, se contentera de relever les bêtises les plus couramment lues,
entendues, dans la presse, à la télévision ou sur les réseaux
sociaux. Bien entendu, notre époque étant peu avare de ces
mensonges, propagandes grossières et stupidités diverses et
variées, cette liste n'a aucune vocation à être exhaustive.
Certaines de ces bêtises ne sont d'ailleurs pas spécifiques de
l'année 2017, mais elles sont reprises régulièrement avec
obstination par les acteurs mainstream du politiquement correct, ce
qui est, c'est vrai, le propre de la propagande : répéter
toujours et encore les mêmes inepties afin de tenter de les
transformer en vérités dans l'esprit du citoyen de base.
Par exemple, la bêtise
proclamant que « les races humaines n'existent pas » ne
date pas de 2017, mais elle est encore systématiquement répétée à
l'envi, en général par ceux-là mêmes qui sont toujours prompts à
voir partout du racisme. Dénoncer le racisme tout en niant
l'existence des races, c'est un peu affirmer ne pas croire aux
fantômes mais vouloir interdire leur chasse...
Autre bêtise
récurrente : « l'avortement est une avancée sociale car
elle permet à la femme de disposer librement de son corps. »
Etant entendu qu'elle se fout comme d'une guigne de celui d'un bébé
qui n'a rien demandé à personne, et qui évidemment ne protestera
jamais contre le sort qu'elle lui réserve.
Macreux-l'Oreillette nous
aura gâté, cette année, en matière de bêtises, surtout avec ses
déclarations péremptoires et arrogantes. Parmi celles-ci, figure en
bonne place son « Dans les gares, se croisent ceux qui
réussissent et ceux qui ne sont rien ! »
Ou encore : « D'ici
février, NOUS aurons gagné la guerre contre Daesh... ». Il
faudrait juste rappeler à ce prétentieux blanc-bec que si Poutine
ne s'était pas délibérément engagé contre les Islamistes alors
que l'Occident demeurait placide devant leur avancée en Irak et
Syrie, la situation serait bien différente de ce qu'elle est
aujourd'hui.
La France, en
particulier, s'est montrée bien timorée, se contentant de lancer
des anathèmes à l'égard de Bachar El Assad, sans aucun sens
pragmatique de la situation, et livrant accessoirement des armes à
des « gentils » opposants au leader syrien qui, selon
Fabius, « faisaient du bon boulot », armes qui
finissaient par tomber dans l'arsenal de groupes islamiques plus ou
moins inféodés à Daesh... Macreux qui dit « NOUS »
pour évoquer une victoire contre l'Etat Islamique, c'est un peu la
souris qui court à côté d'un éléphant, se retourne et dit à
l'éléphant : « t'as vu la poussière qu'ON soulève ? »
Macreux, toujours lui,
tient décidément une place de choix dans ce bêtisier en ayant
aussi affirmé que « la principale cause du terrorisme, ce
n'est pas l'islamisme, c'est le réchauffement climatique ! »
A propos de ce
réchauffement climatique, accordons à nos merdias mainstream
toujours soucieux de relayer l'arnaque du GIEC, la paternité d'une
belle bêtise, le mot bêtise étant utilisé pour rester correct:
« si le Canada et le nord des Etats-Unis connaissent en ce
moment une vague de froid historique, c'est à cause du réchauffement
climatique » nous assènent-ils. Donc, à les en croire, quand
il y a canicule, c'est bien la preuve d'un réchauffement, mais quand
il y a glaciation, c'en est une autre preuve... Le faux médecin du Malade Imaginaire diagnostiquait:
« le poumon, vous dis-je » à l'énoncé de n'importe quel
symptôme. Nos merdias sont au réchauffement climatique ce qu'est la Toinette de Molière à la médecine.
Puisqu'on en est à
parler spectacle, évoquons une grotesque bêtise de Netflix et de la
BBC qui accordent à un acteur négroïde, David Gyazi, le rôle
d'Achille, le fameux guerrier de la Guerre de Troie, dans une série
télévisée péplum à venir. Homère, qui évoque dans l'Illiade la
blondeur de ses personnages dont tout porte à croire qu'il
s'agissait de guerriers celtes, doit se retourner dans sa tombe.
Aurait-il pu imaginer que son œuvre allait être ainsi dévoyée en
outil de propagande en faveur de la destruction de la civilisation
européenne et du Grand Remplacement ? C'est peu probable.
Saucisson-Pinard se
demande si un cinéaste ayant un projet de film sur Mandela avec Jean
Dujardin dans le rôle principal trouverait un producteur pour le
financer...
Les médias politiquement
corrects se livrent une guerre acharnée pour savoir lequel sortira
la plus grosse bêtise de l'année. Comme il faut bien faire un
choix, Saucisson-Pinard désigne cette année Médiapart. Plenel
étant hors concours dans la course aux plus belles âneries,
distinguons un de ses chroniqueurs, qui a osé affirmer
textuellement: « On peut débloquer la démocratie en tabassant
des flics ». Il y a des dérangés mentaux qui inspirent plus
de crainte que de compassion; ce chroniqueur, dont Saucisson-Pinard
taira le nom par respect pour sa famille, qui doit déjà être bien
chagrine de compter un tel taré parmi ses membres, fait partie de
ceux-là.
En restant dans le
registre de la haine des flics, récurrente chez nos gauchiards ayant
pignon sur rue, évoquons le cas de Mathieu Kassowitz qui traite dans
un de ses tweets, les flics de « bâtards » et de « bons
à rien », pour témoigner d'une intervention policière sur un
deal de drogue. La bêtise de cet embourgeoisé blanc qui joue à la
racaille basanée de quartier tout en vivant dans un des endroits les
plus chics et chers de Paris, est à la hauteur du mépris qu'il
inspire : Immense.
Dans le même genre,
Hamon ajoute sa contribution dans ce bêtisier 2017, en vantant « les
traditions françaises de solidarité et d'hospitalité des élus et
citoyens français » auxquelles dérogerait le ministre de
l'Intérieur en menant une politique anti-migrant. Saucisson-Pinard
serait d'ailleurs curieux de savoir ce que peut bien être cette
politique ; quelque chose a dû lui échapper. Mais ce propos
venant d'un député de Trappes, ville qu'il n'a jamais habitée, qui
vit dans une grande maison bourgeoise et qui a ses filles en école
privée à l'abri des racailles et des migrants, méritait de figurer
dans ce bêtisier, ne serait-ce qu'à titre de consolation pour ses
cuisants échecs électoraux répétés.
La bêtise de certaines
féministes auto-proclamées présente l'avantage de donner une idée
assez précise de ce que doit être l'Infini. Saucisson-Pinard évoque
celles qui désirent censurer La Belle au Bois Dormant et
Blanche-Neige au motif que ces Princesses reçoivent d'un Prince un
baiser non consenti...
Notre Pape François
semble plus concerné par les clandestins musulmans que par le sort
que réservent leurs co-religionnaires aux Chrétiens d'Orient.
Il n'a d'ailleurs eu dans
son homélie de Noël aucune pensée pour ces derniers. En revanche,
il a osé une curieuse évocation de Joseph et Marie qui auraient été
des « migrants » de leur époque, appelant ainsi le
Croyant chrétien à plus de compassion pour ses envahisseurs. C'est
une bêtise digne de figurer dans notre palmarès, bien qu'elle soit
particulièrement affligeante venant d'un clérical supposé
connaître l'Evangile. Il y est en effet écrit que si Joseph et
Marie rejoignent Béthléem, c'est précisément parce que c'est là
qu'ils doivent se faire recenser, étant de la maison de David,
originaire de cette région. Ils ne sont donc en rien des migrants,
encore moins des sans-papiers. C'est même tout l'inverse. Ou le Pape
François a une méconnaissance de l'Evangile, et c'est grave, ou il
agit en toute connaissance de cause comme agent de propagande
mondialiste, et c'est gravissime.
La liste des bêtises de
l'année est sans fin, mais ce post doit en avoir une.
Aussi Saucisson-Pinard
finira avec La Bêtise de l'année, avec un B majuscule, que nous
devons bien évidemment à notre inénarrable orfèvre en la matière,
notre Hollande Ouille, qui s'auto-congratula ainsi sans rougir:
« J'ai été un président honnête, courageux, et j'ai
toujours mis l'intérêt général au dessus de tout. J'ai laissé le
pays dans un meilleur état que celui dans lequel je l'ai trouvé. »
Ainsi s'achève en
apothéose notre bêtisier de l'année 2017.