Décadence hier, décadence aujourd'hui. |
La foire aux déglingos et terminée. Ces JO de Paris 2024, avec ce parcours de flamme olympique, et ces cérémonies d'ouverture et de clôture, scellent définitivement le spectacle de la décadence de l'Occident aux yeux du monde entier. Et c'est la France qui aura été le théâtre de ce spectacle, avec, en plus, la célébration de sa soumission à sa nouvelle religion, le satanisme.
Alors que les Jeux Olympiques auraient dû être la célébration de la performance sportive, le culte de la beauté physique du corps humain, on nous a présenté, en guise d'apéritif, un défilé de détraqués mentaux, de pervers sexuels, d'obèses pathologiques élevant la dégénérescence en règle de vie. Et comme si ça ne suffisait pas, les organisateurs satanistes de l'évènement se sont offert le luxe d'imposer aux Français encore conscients de leur héritage judéo-chrétien de 2 000 ans d'Histoire, des scènes blasphématoires. Bien entendu, l'argument de la laïcité républicaine a été avancé pour les justifier, mais curieusement, cette laïcité a été oubliée lors du passage de la flamme olympique dans une mosquée. Quant au droit au blasphème, trophée d'insolence de notre « république laïcarde », remarquons que les organisateurs ont, pour l'exercer, joué la carte de la prudence, pour ne pas dire de la lâcheté, en ne le pratiquant qu'aux dépens de la chrétienté et non pas de l'islam.
Bien évidemment, il s'agit là de l'aboutissement d'un long processus qui ne date pas du lancement de ces Jeux Paris 2024.
Cela fait maintenant quelques décennies que la France voit son déclin économique s'aggraver. Industrie en fuite, agriculture en perdition, fracassée par les règles imposées du mondialisme, la France ne vit plus que par le sursis offert par son opulence passée. Le pays est comme un navire au moteur en panne qui n'avance plus que sur son erre, de plus en plus lentement jusqu'à son arrêt total, balancé par les flots du mondialisme.
Il n'y a pas qu'au niveau économique que le pays plonge. Il assiste aussi à l'effondrement de sa culture artistique, littéraire, musicale. Qu'est-ce que la France de ce début de siècle laissera à la postérité? L'art « comptant pour rien », avec un plug anal sur la place Vendôme en guise de symbole? Quel monument contemporain fera la fierté de la France pour les générations à venir ? Les tuyaux du musée Beaubourg ? Les colonnes Buren ? Saucisson-Pinard s'est souvent demandé quel monument ou architecture il pourrait désigner avec fierté s'il avait à témoigner devant un collège d'aliens extraterrestres, comme représentatif de son époque et de son origine terrestre. Il cherche encore.
Et enfin, la France assiste à la dégringolade de la transmission de son savoir ancestral avec une Education Nationale en perdition, véritable usine à analphabètes et à crétins.
Le tout dans une renonciation assumée, voire encouragée par ses politiques, à son identité dans une invasion migratoire ininterrompue.
Cet affligeant constat n'est jamais que la triste apothéose d'un déclin largement entamé depuis quelques décennies. Il est aussi la conclusion éloquente du quinquennat et demi présidentiel d'un pédéraste refoulé qui a épousé son prédateur pédophile déguisé en femme. Pouvait-on imaginer plus éloquente et symbolique image de la décadence du pays ?
Tout le monde a quelques clichés stéréotypés en tête quand on évoque le déclin de la Rome Antique : invasion par des hordes de barbares et scènes orgiaques chez les élites romaines.
Mais l'Histoire retiendra que l'invasion de la France par des barbares africains, menant à son effondrement, ne s'est pas faite par les armes. Elle n'est pas due à une défaite militaire mais est la conséquence de la seule collaboration active de traîtres : traîtres politiques assurant l'ouverture des frontières et le financement de l'installation de ses envahisseurs, légaux ou illégaux, ONG traîtresses participant objectivement à leur venue sous le fallacieux prétexte de raisons humanitaires, Justice traîtresse affichant sans complexe sa préférence pour l'envahisseur aux dépens de l'autochtone.
Et pour faire le pendant aux scènes orgiaques de la Rome sombrant dans la décadence, l'Histoire pourra illustrer la chute de la France avec ces cérémonies des JO de Paris 2024 où les déglingos se sont vautrés complaisamment à la vue de milliards de téléspectateurs médusés : hommes se faisant passer pour des femmes, femmes se faisant passer pour des hommes, et ce, jusque dans les épreuves olympiques elles-mêmes, où un Algérien a pu apporter une médaille d'or – enfin!- à son pays en battant des femmes sur un ring de boxe. Qui aurait pu imaginer il y a une vingtaine d'années seulement, que le féminisme, ce combat idéologique que portait l'Occident comme un étendard, allait se faire cocufier aux yeux du monde entier, de façon aussi spectaculaire ?
Si la foire aux déglingos est effectivement terminée, le processus de désagrégation politique, lui, va se poursuivre, s'intensifier dans les semaines, les mois à venir. La grenade dégoupillée qu'a voulu lancer, par dépit, Macreux suite à sa double raclée électorale, est en train de lui exploser au visage. La destitution, ou même simplement la menace d'une destitution, pourrait bien être une nouvelle étape. Reste à savoir si cette étape sera une accélération ou un coup de frein à la décadence du pays. Cette seconde hypothèse ne peut être envisagée qu'avec une overdose d'optimisme.
Pour bien vous faire comprendre et accepter qu'à l'avenir, la société occidentale devra impérativement être métissée et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper.
En réponse modeste à ce matraquage, Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur.