Tableau: Les Romains de la décadence. |
Une demi-ministre
demi-française s'invite au premier mariage pédérastique français.
A titre personnel, prétend-elle. Pourquoi pas. Des journalistes
auront donc à cœur de vérifier qu'elle a bien fait le voyage à
Montpellier à ses frais. Et que les petits fours ne seront pas payés
par le contribuable montpelliérain...
Les médias aux ordres
obligent, de gré ou de force, les Français abrutis par des années
et des années de manipulations, à participer à l'évènement qui
est présenté comme un progrès de l'humanité.
L'intelligentsia au
pouvoir manipule, en pleine actualité de mariage homo, le festival
de Cannes pour servir sa cause, en faisant la promotion d'un vulgaire
film X sans queue (c'est vrai qu'il célèbre la pratique
lesbienne...) ni tête. Il faut en effet achever de convaincre le
brave peuple, après le lâche renoncement du Corps Médical à dire
la vérité, que l'homosexualité n'est certainement pas un désordre
psychique ou une perversité quelconque, ni un déséquilibre mental,
ni même une anomalie de la Nature mais bien au contraire, une
tendance terriblement « in ». L'hétérosexualité, pour
un peu, en deviendrait une ringardise insupportable et réactionnaire.
C'est vrai que, côté image, la schizophrénie ou la pédophilie,
par exemple, se sont moins bien débrouillés que l'homosexualité.
Ceux qui croyaient encore
naïvement qu'un festival devait célébrer le talent d'un
réalisateur, la beauté d'un film, en seront pour leurs frais. Le
festival de Cannes est juste un instrument de propagande aux mains
des « progressistes ».
Pendant que les
manipulateurs des consciences se vautrent dans la débauche et
l'apologie des déglingos de la Nature, les ennemis de l'intérieur
avancent leurs pions.
A Londres, un militaire
est sauvagement assassiné en pleine rue, de jour, devant des témoins
médusés, par deux musulmans. L'homme de la rue est tellement
conditionné à accepter l'envahissement musulman et sa violence,
qu'il n'est même plus besoin pour le terroriste de se cacher et de
chercher à s'enfuir. Au contraire, il convient désormais de
rechercher la plus grande publicité, de se laisser filmer et
photographier dans l'horreur absolue et de se laisser ensuite
appréhender. C'est dire le peu de cas que font ces terroristes de la
Justice occidentale à leur encontre. Elle n'est absolument pas
considérée comme un instrument de répression à craindre mais bien
comme une opportune tribune pour y provoquer l'opinion publique
autochtone. Et ça, ça vaut bien quelques années de prison dans un
certain confort, aux frais du contribuable (c'est pour ce dernier, ce
qu'on appelle la double peine : il subit la violence et paie
ensuite) avec l'assurance d'être libéré avant d'être trop vieux.
Et s'il le faut, on se
fera procurer des armes et un peu d'explosifs pour faire sauter
quelques portes et on s'échappera au nez et à la barbe du personnel
pénitentiaire, comme à la maison d'arrêt de Sequedin. D'ailleurs,
c'est une ministre de la Justice comme Taubira qui le dit elle-même,
tout ça serait possible sans même qu'il y ait besoin d'une
défaillance du système judiciaire. Donc, aucune raison de
s'inquiéter ! C'est vrai, quoi ! S'il y avait eu, dans le
cas de l'évasion de Faïd Redoine, une défaillance, on pourrait
craindre que cette défaillance ne soit corrigée et qu'une évasion
future soit désormais impossible. Mais à partir du moment où
Taubira ne trouve rien à redire (!) dans les circonstances de cette
évasion, tout espoir de rééditer l'évènement est permis...
A Paris, un autre
militaire est agressé, également par un musulman, que les médias
n'osaient même pas, avant son arrestation, désigner autrement que
par des périphrases du type : « un homme en djellaba qui
aurait fait une prière avant de perpétrer son acte ». Vals
attend encore les résultats de l'enquête pour se prononcer sur les
motivations du coupable. En priant sans doute pour que des
« experts » le déclare fou et donc irresponsable. Ça
serait plus pratique que s'il s'agissait, une fois de plus, d'un
terroriste islamique...
A Stockholm, c'est
plusieurs jours d'émeutes menés par des immigrés arabes qui
réveillent les Suédois de la léthargie dans laquelle leur
gouvernement les a plongés pendant qu'il ouvrait en grand les vannes
d'une immigration débridée.
On connaît le syndrome
de la grenouille dans l'eau bouillante. Quand elle est y est plongée
d'un seul coup, elle a un réflexe qui la propulse en dehors du
récipient, et elle s'en tire sans trop de dommages. Quand elle est
plongée dans l'eau froide et qu'on fait monter la température
doucement jusqu'à l'ébullition, elle subit sans réagir et finit
ébouillantée. Il semblerait bien que la population européenne
grenouille commence à s'apercevoir que l'eau d'immigration dans
lequel elle baigne depuis les années soixante-dix est vraiment bien
chaude. Pas sûr qu'elle ait encore le réflexe de s'en extraire avec
force pour éviter d'être ébouillantée...
Sur le plan économique,
le tableau n'est pas plus réjouissant. La France est officiellement
en récession, le pouvoir d'achat des Français est carrément en
déclin.
Lors de l'affaire de la
viande chevaline qui a été distribuée en lieu et place de viande
bovine, le ministre Hamon a cru opportun d'occuper le devant de la
scène médiatique et de se faire mousser en dénonçant publiquement
la société Spanghero, victime de cette tromperie. Il s'avèrera
plus tard que c'est par dizaines que se comptent les sociétés de la
filière qui ont été ainsi trompées. Mais seule celle montrée du
doigt par ce ministre irresponsable, devra mettre la clé sous la
porte et licencier 240 personnes quelques semaines plus tard (comme
prédit dans le post « Vol au dessus d'un nid de cocus »
de février dernier). 240 nouveaux chômeurs qui peuvent dire à
Hamon: « Merci Monsieur le Ministre ! »
Le pays se vend, petit
bout par petit bout, à l'étranger. L'équipe de foot de sa capitale
est vendue au Qatar qui acquiert aussi certains de ses plus
prestigieux hôtels, certains de ses plus célèbres grands magasins
parisiens. Le fleuron de ses sociétés de loisirs, le Club Med, se
vend à la Chine, tout comme certains de ses grands vignobles les
plus renommés.
Les déficits se
creusent, le chômage touche de plus en plus de gens, et sa durée
augmente inexorablement. Hollande Ouille n'y oppose plus que des mots
vides de sens : il lance, devant la commission européenne,
« une grande offensive en faveur de l'emploi des jeunes ».
Comment ? Mystère. Avec quels moyens ? Mystère. Son
« objectif est d'agir en urgence ! » Mélangeant
ainsi allègrement les notions d'objectif et de manière, de but et
de moyen. Et les médias diffusent docilement ces envolées
pathétiques et creuses à un peuple apathique qui ne semble même
plus se rendre compte du vide sidéral qui fait office de réflexion
à son président.
Même l'opposition
politique est atone. A part Méchantcon du Front de Gauche qui dit
tout le mal qu'il pense du candidat qu'il a contribué à mettre là
où il est, sans jamais, néanmoins, lui demander de partir, il ne se
trouve personne pour vraiment sonner le tocsin devant la gravité de
la situation. Personne à l'UMP pour demander officiellement le
départ immédiat de ce président fantoche de son fauteuil élyséen.
Personne, dans ses rangs, pour proposer, au pire, mais vraiment au
pire, et juste pour respecter l'esprit des institutions, le
remplacement de Hollande Ouille par un autre socialiste doté d'un
peu de matière grise et de caractère.
L'UMP compose avec la
présence de ce pantin ridicule aux plus hautes fonctions, avec
l'espoir de recueillir les morceaux en 2017, mais sans imaginer qu'il
pourrait bien n'y avoir plus rien à recoller à ce moment là.