Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

mardi 22 octobre 2013

Ecoeurements.



On ne reviendra pas dans le détail sur la comedia del arte burlesque de cette petite Léonarda italo-kosovare dont l'expulsion fait pleurer dans les chaumières médiatico-écolo-gauchistes. En guise de cerise sur l'apothéose, d'une affaire dont le grotesque le dispute au dérisoire, le guignol qui fait office de Président se croit obligé de mettre son grain de sel en émettant un jugement de Salomon du pauvre (d'esprit), ménageant la chèvre et le chou (la chèvre étant la susceptibilité des gauchos immigrationnistes de tous poils, et le chou l'application sans faille d'une procédure légale) : la famille reste expulsée mais la gamine peut revenir à l'école ! Fallait quand même la trouver, cette conclusion!

On croit, après chaque bévue de Hollande Ouille, qu'en termes d'incompétence caractérisée, on a touché le fond. Et soudain, il ouvre la bouche ou promène sa petite silhouette rondouillarde de notaire satisfait quelque part sur une scène internationale quelconque et on constate que , eh bien, non, le fond n'est pas atteint. Il trouve encore et toujours le moyen de se ridiculiser davantage, et hélas, avec lui, notre pays qu'il représente aux yeux d'un monde éberlué et rigolard.
La Grande Bretagne a son Mr Bean. La France a le sien. Manque de chance pour nous, notre Mr Bean préside réellement aux destinées du pays... Rowan Atkinson joue un rôle de composition, Hollande joue le sien vrai. C'est à se demander qui inspire l'autre.

Au moins cette anecdote aura-t-elle servi de révélateur d'un exemple parmi certainement beaucoup d'autres, d'immigrés clandestins fraudeurs, menteurs, voleurs, mauvais élèves, à la scolarité subventionnée par la collectivité des contribuables associés, et néanmoins suivie avec un dilettantisme forcené, incapables d'entretenir correctement un logement social attribué par la même collectivité sus-dite, aux dépens d'un Français de souche nécessiteux.

C'est vrai, ce n'est vraiment pas de chance pour les militants collabos de la cause immigrationniste comme « France Terre d'Asile » ou « Education sans Frontières » : si la gamine avait été une élève modèle, trustant les premières places de sa classe (c'est vrai qu'aujourd'hui, on ne classe plus : trop « stigmatisant »), parlant un français impeccable, si sa famille avait été irréprochable (pour entendu que bafouer les loi d'immigration d'un pays puisse être considéré comme une faute vénielle...), si elle avait été parfaitement intégrée socialement, impliquée dans la participation citoyenne au point de dédaigner des soutiens sociaux au financement desquels elle n'a jamais participé, alors oui, peut-être que les arguments de ces associations collabos de l'envahisseur auraient été audibles. Vraiment pas de chance : pour une fois qu'une affaire d'immigration clandestine vient sur le devant de la scène avec tous ses détails, l'homme de la rue constate que le cas Léonarda est un vrai concentré de ce que dénoncent les opposants-patriotes au  laxisme qui sévit dans la gestion de l'immigration dans ce pays depuis des dizaines d'années.

Des lycéens parisiens dont la naïveté propre à leur âge est outrageusement exploitée par des manipulateurs gauchistes dénués de tout scrupule, prennent fait et cause pour la vedette médiatique du moment. Un acteur politique de premier plan, en l'occurrence, Jean-Vincent Placé, président du groupe des sénateurs Verts, n'hésite pas à encourager publiquement sur RTL ces gamins à continuer d'interrompre leur scolarité pour servir ses propres intérêts partisans : est-il possible d'être aussi cyniquement irresponsable ? Apparemment oui. Politique de caniveau est le vocable qui vient à l'esprit.

Si tout ceci n'était pas suffisant pour donner des hauts-le-coeur à l'observateur le plus endurci, on assiste dimanche matin sur télé-foot aux délires et injures menaçantes, dans un français approximatif, d'une racaille footeuse basse de plafond en la personne de Patrice Evra, à l'égard de consultants-chroniqueurs sportifs, issus d'ailleurs pour la plupart, du monde du foot, comme lui. Cette racaille s'était déjà illustrée comme leader des joueurs-voyous lors du fiasco de la dernière coupe du monde en Afrique du Sud. On s'est toujours demandé comment il était possible qu'un tel individu soit toujours en équipe de France quatre ans plus tard... Comme quoi, une racaille avec les poches pleines de pognon reste une racaille.

Puisque le football de nos jours sert, hélas, faute de mieux, de vitrine pour un pays aux yeux du reste du monde, il faut bien reconnaître que des joueurs hors de contrôle comme Evra ou Ribéry sont des taches sur notre drapeau. De quelle nature sont ces taches, demanderez-vous ? Cette « œuvre d'art » contemporaine doit pouvoir vous donner une idée...

 Il serait largement temps que Didier Deschamp ou son successeur use du fameux karcher, naguère promis mais jamais utilisé, et cette fois, avec une bonne dose de détergent.


mardi 15 octobre 2013

L'avenir de la France





Beaucoup de Français se demandent de quoi l’avenir du pays sera fait. A tort. 

En effet, il n’y a aucune question à se poser. Pas de recours nécessaire à un Nostradamus contemporain. L’avenir de la France est tout tracé. Il suffit juste de savoir lire, en l’occurrence les journaux. Même pas de savoir lire entre les lignes. Et surtout pas les commentaires des journalistes qui s’arrogent le droit, voire le devoir de nous livrer leur interprétation bien-pensante des faits. Juste lire. Lire les faits divers, c’est regarder l’avenir de la France dans une boule de cristal, en clair, sans besoin de décodeur ni de don surnaturel.

Aujourd’hui par exemple, on apprend que notre premier ministre est sorti de sa léthargie comateuse pour participer ce mardi matin, flanqué de Vals, notre dhimmi de l’Intérieur, à la célébration de l’Aïd à la grande Mosquée de Paris. Probable leçon de laïcité socialiste. On s’attend donc à ce que nos deux représentants de l’Etat participent à la prochaine Messe de Noël, devant les micros et les caméras de nos chers médias.  Nan, j’rigole…

Les propos de Jean-Marc Z’Ayrault à l’occasion de cette célébration de l’Aïd musulman, valent leur pesant de cacahouètes. « Je salue une grande religion de France. Je mesure la place qui est la sienne dans notre pays et dans notre Histoire. » Dans notre Histoire ? Evoque-t-il par hasard le début du VIIIe siècle et Charles Martel repoussant l’invasion sarrasine, ou bien les razzias barbaresques des côtes françaises des XVIIe et XVIIIe siècles avec enlèvements de catholiques à fin d’esclavage et de traite de blanches ?
Notre grand comique poursuit, en s’adressant au recteur de la Mosquée Bourbakeur : « J’entends la parole que vous portez pour rassembler les femmes et les hommes autour d’un message de paix ». Mais peut-être avons-nous mal compris. Peut-être voulait-il dire « J’attends » au lieu de « J’entends »… ?

Car le même jour, nous apprenons que des armes et des munitions ont été saisies chez les trois islamistes arrêtés dans le cadre du démantèlement d’une cellule terroriste. Cette cellule terroriste s’est déjà livrée à une agression de policiers, un attentat contre un commerce juif de Sarcelles, et la mise en place d’une filière djihadiste. Un attentat contre un juge anti-terroriste et contre une chaîne de restauration rapide étaient aussi prévus. Bref, la vie normale d’une religion de Paix, d’Amour et de Concorde.

Est-ce que la lecture de ces deux nouvelles du jour est de nature à éclairer le candide français sur l’avenir de son pays ? Non ? toujours pas ?
Alors continuons de parcourir les nouvelles de la semaine.

Roubaix subit une invasion de rats. Les plaignants qui signent des pétitions pour demander à la Mairie d’agir, dénoncent le comportement de « certains habitants » qui déversent leurs ordures n’importe où. Ils constatent que certaines rues sont des décharges à ciel ouvert, avec sacs d’ordures éventrés, pigeons morts, vieux vêtements jonchant le sol, qui attirent les rats. Bref, on assiste à Roubaix à des scènes jamais vues depuis plus d’un siècle, en tous cas sous nos latitudes… 

Or, quelle est la particularité de Roubaix ? Celle d’être à 75% classée « zone sensible »… Un autre détail, pour les lecteurs qui n’auraient pas compris : la ville est peuplée à hauteur de 30% d’immigrés et enfants d’immigrés (quasi record national).  Pour les plus récalcitrants de la comprenette, voici ce qu’est aujourd’hui le marché de Roubaix :



Et quelle est l’histoire municipale de Roubaix ? Depuis 1977, les maires sont PS, et quand ils ne sont pas PS, ils viennent, à l’image de Vandierendonck, de l’UDF pour se convertir PS en cours de mandat… Ajoutons, pour faire bonne mesure que ce renégat UDF était membre du Haut Conseil à Intégration… C’est dire si l’Intégration à la française, il connaît !

Un petit groupe de roubaisiens, peu soucieux de voir leur ville devenir le théâtre d’une version locale de la Peste de Camus, (dont l’histoire se passe à Oran, Algérie – précision à l’intention des éventuels lecteurs de ce blog dont la culture littéraire aurait été assurée par notre si performante Education Nationale…) s’est donc dirigé vers la Mairie afin de savoir ce que la Ville comptait faire pour détruire les nids de rats qui infestent les égouts de la ville et les caves de l’école Gambetta. Le Maire PS, Pierre Dubois, n’a pas daigné le recevoir : Circulez, manants, j’ai une énième mosquée à construire avec vos impôts, et je dois donner une interview dans lequel je dis tout le bien que je pense du futur droit de vote des étrangers, de préférence à partir de 16 ans…

Ah qu’il est joli,
l’avenir de mon pays,
lai lai lai lai lai lai lai lai lai
Oui, qu’il est joli,
L’avenir de mon pays,
lai lai lai lai lai lai lai lai lai

mardi 8 octobre 2013

Considérations écologiques




Frelon asiatique à l'assaut d'abeilles
Une fois n’est pas coutume, Saucisson-Pinard va aborder un sujet d’écologie. Car, n’en déplaise aux Verts-Pastèques, l’écologie n’est pas un enjeu politique réservé aux gauchistes qui ne se sont pas remis de l’effondrement du Mur de Berlin, et avec lui, de celui des expériences communistes à grande échelle, et qui ont eu besoin urgent d’un combat de substitution contre le libéralisme. L’écologie est juste l’affaire de tout citoyen, quel que soit son bord politique, un tant soit peu concerné par le milieu dans lequel il entend vivre avec sa descendance.

Mais rassurez-vous, il n’est pas question ici de vous bassiner avec des histoires de prétendu réchauffement climatique provoqué par l’unique inconséquence humaine. Ni avec cette gigantesque escroquerie scientifico-intellectuelle du GIECC incriminant ce pauvre CO2 qui n’en peut mais.

Non, il s’agit aborder le problème des espèces animales invasives. Une espèce animale invasive est une espèce originellement étrangère à un milieu, qui le colonise et, par un effet de masse, y induit un déséquilibre. Au problème de nuisance écologique, s’ajoutent des problèmes économiques et sanitaires.
L’Homme est la plupart du temps le responsable direct ou indirect de ces transferts contre-nature d’espèces animales. 

Ainsi, le frelon asiatique, dont il a beaucoup été question cet été. Originaire d'Asie du Sud-Est, Vespa velutina est un frelon de grande taille qui a vraisemblablement été introduit en France en 2004 à l’occasion de transport de marchandises.
Aujourd'hui, il est présent dans plus de 25 départements où il menace sérieusement la survie de l'abeille, déjà mise en péril par l’utilisation de certains pesticides.
Le frelon asiatique s'attaque en effet à l’abeille à l'entrée des ruches pour nourrir ses larves.

Le ragondin, originaire d'Amérique du Sud, a été délibérément introduit en France en 1870 pour le commerce de la fourrure. Parfaitement adapté au climat tempéré, il s'est toutefois très vite répandu dans la nature et sa population a connu une croissance exponentielle en raison d'une absence de prédateur.

Autre exemple : l’écrevisse de Louisiane. Elle a été importée dans différents pays européens à des fins commerciales dans les années 1970. Malheureusement, elle a très vite colonisé les cours d'eau et les étangs grâce à un taux de reproduction exceptionnel, provoquant des ravages : porteuse d'un champignon, elle décime en effet les populations d'écrevisses indigènes.
En outre, elle dégrade les berges en creusant des galeries de près de 2 mètres.

Tout comme l'écrevisse de Louisiane, la grenouille-taureau vient des Etats-Unis.
Elle est de grande taille (jusqu'à 30 cm pour 1 kg), possède un appétit vorace, et se reproduit très rapidement. Résultat : partout où elle a été introduite (Europe, Asie, Amérique latine), elle détruit les écosystèmes.
Elle attaque en effet les autres espèces de grenouille, mais également les tortues, et même les oiseaux !

La fourmi d’Argentine : C'est le commerce international qui a répandu la fourmi d'Argentine un peu partout dans le monde durant les 19ème et 20ème siècles.
Elle est très agressive avec les autres espèces de fourmis, menaçant parfois leur survie, et se montre particulièrement destructrice avec la flore.
Sans compter qu'elle envahit fréquemment les habitations humaines.

La tortue de Floride fut massivement importée en Europe dans les années 1970 pour être vendue comme animal de compagnie.
Les animaleries expliquaient rarement aux acheteurs que cette tortue qui ne mesurait pas plus de 2 cm au moment de la vente allait rapidement atteindre 30 à 40 cm à l'âge adulte.
De nombreux propriétaires décidèrent de les abandonner dans la nature quelques mois plus tard, ce qui provoquera une véritable invasion dans les cours d'eau et les étangs, au détriment, entre autre, des tortues locales.

Le cas du lapin de garenne est édifiant quant aux conséquences écologiques découlant d’une intervention humaine. En 1859, l'Australie décida d'introduire 12 couples de lapins de garenne pour la chasse.
Ne rencontrant aucun prédateur, la population du rongeur se développa à une vitesse hallucinante, et, 50 ans plus tard, elle comptait 600 millions d'individus répartis sur 60 % du territoire !
Or en dévorant la végétation et les récoltes, le lapin contribue à la désertification et provoque une importante crise écologique et agricole.

Plus connu sous le nom de rat d'égout, le rat brun originaire d'Asie est aujourd'hui présent dans le monde entier.
Il atteint sa maturité sexuelle 50 jours après sa naissance, accouche en moyenne de 6 à 12 petits par portée, et peut avoir 4 à 7 portées par an ! Il est de plus très vorace, il consomme l'équivalent d'environ 6 % de son poids par jour !

Mais le cas le plus impressionnant et le plus dommageable pour l’Europe en général et la France en particulier, est …

… l’invasion arabe.

L’arabe s’est introduit en France il y a des siècles. Repoussé par Charles Martel en 732, il a été réintroduit massivement au cours de la seconde moitié du XXe siècle et début du XXI e, par l’inconscience de beaucoup de politiques de tous bords, mais aussi sciemment et délibérément par d’autres, notamment par l’entremise d’associations et groupes de pression criminels de gauche.

Tout comme le lapin de garenne, le rat brun,  et le ragondin, l’arabe se reproduit à vitesse hallucinante.
Tout comme l’écrevisse de Louisiane ou la tortue de Floride, il est très agressif avec les espèces autochtones.
Tout comme le frelon asiatique, il vit aux crochets des espèces dont il squatte le milieu.

En 1968 la population française était de 49.700.000 habitants.
Les arabes en France étaient 610.000 soit 1,23% de la population.
 En 1988 la population française était de 56.000.000 d'habitants. Les musulmans en France étaient 2.000.000 soit 3,6% de la population.
En 2011, la population française est de 67.000.000 d'habitants. Les musulmans en France sont près de cinq millions soit 7,5% de la population ! (chiffre officiel, mais nous le savons tous, en réalité le chiffre est bien plus important).
 Il est probable qu'en 2030, sur la tendance actuelle,  la population française sera de l’ordre de 70.000 000 d'habitants. Et que les musulmans en France seront environ 8 millions soit une croissance de 60% en moins de 20 ans  (données de l’institut américain Pew Research Center, car la France préfère quant à elle, fermer les yeux sur ces statistiques « stigmatisantes »)! 

Donc, dans 20 ans seulement, si rien n’est fait pour endiguer le phénomène, la France sera le premier pays musulman d’Europe avec plus d’un musulman sur 10 « Français », avec une aggravation des conséquences déjà visibles aujourd’hui : insécurité, remise en cause des libertés individuelles, notamment celle des femmes,  dégradation des conditions d’hygiène alimentaire, entorses au principe de laïcité, communautarismes exacerbés, ruine des régimes sociaux, augmentation de la pression fiscale sur les Français qui font tourner le pays, pression des lobbies islamiques sur les politiques.

A noter que  les autres «invasions » (d’Europe de l’est, Roms, Noirs…)  ne sont pas évoquées dans ce décompte.

Une chose est évidente :
La France de 2030 ne ressemblera pas à la France de 2010... Elle sera bien pire !  tant au niveau sociétal qu’économique ! Faudra-t-il d’ailleurs continuer à l’appeler « France » ?