On ne reviendra pas dans
le détail sur la comedia del arte burlesque de cette petite Léonarda
italo-kosovare dont l'expulsion fait pleurer dans les chaumières
médiatico-écolo-gauchistes. En guise de cerise sur l'apothéose,
d'une affaire dont le grotesque le dispute au dérisoire, le guignol
qui fait office de Président se croit obligé de mettre son grain de
sel en émettant un jugement de Salomon du pauvre (d'esprit),
ménageant la chèvre et le chou (la chèvre étant la susceptibilité
des gauchos immigrationnistes de tous poils, et le chou l'application
sans faille d'une procédure légale) : la famille reste
expulsée mais la gamine peut revenir à l'école ! Fallait
quand même la trouver, cette conclusion!
On croit, après chaque
bévue de Hollande Ouille, qu'en termes d'incompétence caractérisée,
on a touché le fond. Et soudain, il ouvre la bouche ou promène sa
petite silhouette rondouillarde de notaire satisfait quelque part sur
une scène internationale quelconque et on constate que , eh bien,
non, le fond n'est pas atteint. Il trouve encore et toujours le moyen
de se ridiculiser davantage, et hélas, avec lui, notre pays qu'il
représente aux yeux d'un monde éberlué et rigolard.
La Grande Bretagne a son
Mr Bean. La France a le sien. Manque de chance pour nous, notre Mr
Bean préside réellement aux destinées du pays... Rowan Atkinson
joue un rôle de composition, Hollande joue le sien vrai. C'est à se
demander qui inspire l'autre.
Au moins cette anecdote
aura-t-elle servi de révélateur d'un exemple parmi certainement
beaucoup d'autres, d'immigrés clandestins fraudeurs, menteurs,
voleurs, mauvais élèves, à la scolarité subventionnée par la
collectivité des contribuables associés, et néanmoins suivie avec
un dilettantisme forcené, incapables d'entretenir correctement un
logement social attribué par la même collectivité sus-dite, aux
dépens d'un Français de souche nécessiteux.
C'est vrai, ce n'est
vraiment pas de chance pour les militants collabos de la cause
immigrationniste comme « France Terre d'Asile » ou
« Education sans Frontières » : si la gamine avait
été une élève modèle, trustant les premières places de sa
classe (c'est vrai qu'aujourd'hui, on ne classe plus : trop
« stigmatisant »), parlant un français impeccable, si sa
famille avait été irréprochable (pour entendu que bafouer les loi
d'immigration d'un pays puisse être considéré comme une faute
vénielle...), si elle avait été parfaitement intégrée
socialement, impliquée dans la participation citoyenne au point de
dédaigner des soutiens sociaux au financement desquels elle n'a
jamais participé, alors oui, peut-être que les arguments de ces
associations collabos de l'envahisseur auraient été audibles.
Vraiment pas de chance : pour une fois qu'une affaire
d'immigration clandestine vient sur le devant de la scène avec tous
ses détails, l'homme de la rue constate que le cas Léonarda est un
vrai concentré de ce que dénoncent les opposants-patriotes au
laxisme qui sévit dans la gestion de l'immigration dans ce pays
depuis des dizaines d'années.
Des lycéens parisiens
dont la naïveté propre à leur âge est outrageusement exploitée
par des manipulateurs gauchistes dénués de tout scrupule, prennent
fait et cause pour la vedette médiatique du moment. Un acteur
politique de premier plan, en l'occurrence, Jean-Vincent Placé,
président du groupe des sénateurs Verts, n'hésite pas à
encourager publiquement sur RTL ces gamins à continuer d'interrompre
leur scolarité pour servir ses propres intérêts partisans :
est-il possible d'être aussi cyniquement irresponsable ?
Apparemment oui. Politique de caniveau est le vocable qui vient à
l'esprit.
Si tout ceci n'était pas
suffisant pour donner des hauts-le-coeur à l'observateur le plus
endurci, on assiste dimanche matin sur télé-foot aux délires et
injures menaçantes, dans un français approximatif, d'une racaille footeuse basse de plafond en la
personne de Patrice Evra, à l'égard de consultants-chroniqueurs
sportifs, issus d'ailleurs pour la plupart, du monde du foot, comme
lui. Cette racaille s'était déjà illustrée comme leader des
joueurs-voyous lors du fiasco de la dernière coupe du monde en
Afrique du Sud. On s'est toujours demandé comment il était
possible qu'un tel individu soit toujours en équipe de France quatre
ans plus tard... Comme quoi, une racaille avec les poches pleines de
pognon reste une racaille.
Puisque le football de
nos jours sert, hélas, faute de mieux, de vitrine pour un pays aux
yeux du reste du monde, il faut bien reconnaître que des joueurs
hors de contrôle comme Evra ou Ribéry sont des taches sur notre
drapeau. De quelle nature sont ces taches, demanderez-vous ?
Cette « œuvre d'art » contemporaine doit pouvoir vous
donner une idée...
Il serait largement temps que Didier Deschamp ou
son successeur use du fameux karcher, naguère promis mais jamais
utilisé, et cette fois, avec une bonne dose de détergent.
Le Evra, pour le "sanctionner" de ses mauvaises paroles envers les consultants clochards et parasites, il est question de lui faire quitter Manchester United et de le faire rentrer en France.
RépondreSupprimerVous disiez poubelle ?
Moi ce qui m'a sidéré, c'est l'emballement naivo-esthétique des lycéens. Comme un seul homme au bruit d'un fatras d'opinions distillées, les voici dans la rue. Pas capables de penser par eux-mêmes, les voici inspirés par une morale humaniste qu'ils se mettront là ou je pense quand ils auront des responsabilité.
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