Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

vendredi 27 octobre 2023

Incursion dans la tête de Macreux.

 


- Vous êtes formidable, monsieur le Président ! Quelle réussite !

- Oui, je dois dire que je suis plutôt fier de moi !

- Vous les avez littéralement bluffés, aussi bien Benyamin Netanyahou que Mahmoud Abbas!

- Non, pas « bluffés », monsieur le Conseiller, juste « convaincus ». Ils ont été sensibles à mes arguments, voilà tout.

- Oui monsieur le Président, vous avez su, comme d'habitude, trouver les mots justes.

- Vous savez, quand je parle aux Français, ils m'écoutent, et savent reconnaître la justesse de mes propos. Comment pourrions-nous expliquer autrement ma popularité légendaire dans le peuple français ?

- En tous cas, monsieur le Président, les Palestiniens et les Israéliens vous doivent une fière chandelle : Les premiers ont désormais un pays bien à eux, et les seconds vont pouvoir vivre en paix, sans aucune menace de ce nouveau voisin. Peut-être même que les uns et les autres vont pouvoir commencer à avoir des échanges économiques entre eux, non ?

- Bien sûr ! Le leader de l'Autorité Palestinienne était à côté de Ismaïl Haniyeh, le leader du Hamas, quand il m'a dit qu'il allait, dès mon départ, contacter « Bibi » pour entamer les premières démarches dans ce sens. Bon, maintenant, je dois me concentrer sur mon dossier suivant. Quand devons-nous atterrir à Pyongyang ?

- Dans une heure et demi, monsieur le Président.

- Bien. C'est largement suffisant pour préparer mon entrevue avec Kim Jong Un et le Président sud-coréen, Yoon Suk-yeol.

- Ah ça, monsieur le Président, le monde entier est fasciné par votre prestation coréenne!

- Oui, je ne suis pas mécontent de cette conférence de presse que j'ai animée avec les deux leaders Coréens. Vous avez vu ? L'un à ma droite et l'autre à ma gauche ! Ça avait de la gueule, hein ?

- Surtout avec cette accolade qu'ils se sont donnée au terme de cette conférence !

- Vous savez, monsieur le Conseiller, elle n'était juste que l'illustration physique de l'accord de réunification des deux Corées que je venais de leur faire signer, après l'entretien auquel je les avais conviés tous les deux. Ils ont entendu ma vibrante plaidoirie et ont dû admettre la justesse de mon jugement sur cette situation précaire qui n'a que trop duré entre leurs deux pays. La Corée ne fait désormais plus qu'une.

- Grâce à vous, monsieur le Président ! Les Coréens chantent déjà, m'a-t-on dit, vos louanges ! Votre nom est sur toutes les lèvres !

- Oui, bien sûr, c'est satisfaisant, quoique cela heurte quelque peu mon humilité naturelle... Me plonger dans mon dossier suivant va me permettre de surmonter ce léger malaise. Combien de temps avant d'atterrir à Pékin, monsieur le Conseiller ?

- Vous avez deux bonnes heures devant vous, monsieur le Président. Le Président Xi Jinping vous attend avec impatience. Il se fait une joie de vous accueillir en Chine. Il s'est dit très honoré de votre visite. Honoré mais aussi assez surpris que vous lui ayez demandé d'avoir le Dalaï-lama à ses côtés pour vous recevoir. Mais il est tellement impressionné par votre stature internationale qu'il s'est plié bien volontiers à votre demande !

- Bravo, monsieur le Président, grâce à vous, la planète Terre connaît désormais un nouveau pays : le Tibet !

- Ça n'a pas été facile, monsieur le Conseiller, mais c'est fait : la Chine a officiellement accepté l'indépendance du Tibet.

- Mais comment faites-vous, monsieur le Président, pour être aussi persuasif ? Vous subjuguez littéralement vos interlocuteurs, et ils finissent toujours par épouser vos convictions !

- Je sais, je suis un négociateur hors pair. Que voulez-vous, mes capacités de gestionnaire n'auraient pas été suffisantes pour assurer la remarquable réussite de mon double quinquennat. Je suis un Mozart de la Finance, mais mon habileté de négociateur international est mon Stradivarius. Bon. Trêve de constats d'évidence et de banalités. Demandez au pilote de ne pas rentrer directement sur Paris. Dites-lui de faire une escale à Bakou, en Azerbaïdjan. J'ai deux mots à dire au président Ilham Aliev. Prévenez-le de ma visite, s'il vous plaît.

- Je viens de recevoir un message pour vous, monsieur le Président, de la part du président arménien Vahagn Khatchatourian. Il vous remercie chaleureusement de votre intervention auprès de son homologue azéri ! Ce dernier l'a contacté et lui a promis de cesser toute intervention armée à l'encontre de l'Arménie. Il s'est même engagé à lui restituer le Haut-Karabagh. Khatchatourian et Aliev vont entreprendre un certain nombre de rencontres afin de mettre en place une nouvelle coopération économique entre les deux pays !

- Oui, c'est ce que j'ai demandé à Ilham de faire, pendant la demi-heure de notre entrevue. Il s'est engagé à contacter le président arménien au plus tôt. Il a dû le faire pendant que nous décollions de Bakou. Combien d'heures de vol avant que nous atterrissions à Paris ?

- Encore trois heures, monsieur le Président.

- Bien, apportez-moi ma liste de contacts. Je vais régler le problème de la faim dans le monde avant d'arriver à l'Elysée. Pour ça, j'ai quelques coups de fil à donner.


- "sident... Président... Monsieur le Président !! Monsieur le Président !!

- Hein ? Euh... Quoi ? Qu'est-ce que... ?

- Excusez-moi de vous réveiller, monsieur le Président ! Mais nous sommes en train d'atterrir à Tel Aviv ! Vous avez bien dormi, monsieur le Président ? Excusez-moi, mais vous avez un peu de bave au coin des lèvres, tenez, voilà un mouchoir. Je dois vous prévenir, Monsieur Netanyahou ne sera pas présent à votre descente d'avion. Aucun de ses proches collaborateurs non plus d'ailleurs. Ils sont un peu occupés en ce moment, paraît-il. Mais ne vous en faites pas, quelques fonctionnaires seront là pour vous guider à votre arrivée..."

mercredi 11 octobre 2023

Recadrage à LFI.

 


Au siège de LFI, un certain soir récent...


Un cadre de LFI - Camarade Jean-Luc, on est quelques camarades à se poser des questions.

Jean-Luc - Quelles questions ?

Un cadre de LFI - Ben, où va-t-on exactement avec cette histoire de l'attaque du Hamas sur Israël ?

Jean-Luc - Tout va bien camarade ! On ramasse des voix comme jamais avec cette histoire !

Un cadre de LFI - Mais...

Jean-Luc - Y a pas de « mais ». Je travaille pour mon... euh... notre avenir !

Un cadre de LFI - Comment ça ?

Jean-Luc - Regarde-moi. Ça fait des décennies que j'en ai pas branlé une ! J'ai jamais travaillé de ma vie et regarde le patrimoine que je me suis fait !

Un militant, à voix basse, à son voisin :

- Tu parles, il n'a jamais accepté d'être filmé chez lui pour des interviews un peu intimistes. Il a toujours fallu que ça se déroule dans des lieux publics ou à des domiciles privés, mais jamais chez lui. Sans doute par crainte de montrer un intérieur trop luxueux pour un représentant des classes laborieuses !

Jean-Luc - Crois-tu que j'en serais là où j'en suis, en termes de notoriété par exemple, si j'étais resté le petit militant socialiste que j'étais il y a quinze ans ? Non ! Je me suis fait un nom incontournable sur la scène politique parce que je n'ai pas couru les chemins tout tracés de la gauche d'hier !

Le même militant en conciliabule avec son voisin :

- C'est sûr, il est plein aux as ! Comment crois-tu qu'il s'est mis la camarade Chikirou qui a 28 ans de moins que lui, dans son lit ? Avec son physique de jeune premier et son sourire enjôleur ?

Son voisin, en réponse :

- Ah bah elle, elle a les dents qui rayent le parquet aussi ! Tu sais qu'elle se fait plus de dix mille euros par mois, et pas toujours en accord avec les règles légales, à ce qu'on dit... Pas mal pour une représentante des milieux défavorisés !

Jean-Luc - Crois-tu qu'on pourrait encore miser sur les voix des travailleurs pour exister et prospérer ? Il n'y a plus de travailleurs ! Les industries ont foutu le camp ! Alors, ils sont où, les ouvriers ? D'ailleurs, ceux qui sont encore là, ils votent RN, ces connards ! Faut dire qu'ils ont dû quitter leurs quartiers envahis par des populations qui ne leur ressemblent pas. En plus, ils ont vu leurs revenus tirés par le bas, justement à cause de ces populations qui travaillent – quand elles travaillent - pour des salaires de misère ! Bref, il n'y a plus rien à tirer des classes dites populaires. D'ailleurs, regarde où en est Roussel : le camarade communiste rame comme un malade. Ses conventions, il les fait dans des cabines téléphoniques. Plus personne ne l'écoute ! Alors que moi, enfin, je veux dire, nous, on pèse sur l'échiquier politique du pays !

Un cadre de LFI - Oui, mais quand même... de là à soutenir le Hamas qui massacre des juifs...

Jean-Luc - Ne dis pas « juifs ». Parler de juifs, ça fait raciste ! Parle de « sionistes ».

Un cadre de LFI - Oui, mais bon...

Jean-Luc - Combien y-a-t-il de juifs en France d'après toi ?

Un cadre de LFI - Euh... dans les 600 000 ?

Jean-Luc - Exactement. Et combien de musulmans selon toi ?

Un cadre de LFI - Plus de 5 millions, je crois...

Jean-Luc - Bingo ! 5 millions 400 000 ! Alors ? 600 000 d'un côté, bientôt presque dix fois plus, de l'autre. Quelle population faut-il se mettre dans la poche, d'après toi ?

Un cadre de LFI - Et tu crois que ça suffira pour faire ta VI e République ?

Jean-Luc - Ben tu rajoutes les quelques minorités qu'on drague à mort, les minorités des pédés, gouines et déglingos à cheveux bleus, et ça finira par le faire.

Le militant du conciliabule :

- « Pédés » ? Il se lâche un peu, là, non ?

- Non, il se retient plutôt, figure-toi. Sa copine Chikirou parle, elle, de « tafioles de merde » !

Un cadre de LFI - Mais tu crois qu'il y a moyen de trouver une cause commune entre les arabes muzz et ces minorités ? Je me demande si les muzz sont vraiment compatibles avec les militants wokes...

Jean-Luc - Bien sûr que non, ils ne le sont pas. Mais chaque chose en son temps. D'abord on gagne le pouvoir, je deviens le nouveau Robespierre de ce début de XXI e siècle, et après, il sera toujours temps de voir les malades en psychiatrie du cul se faire lapider par les lecteurs du Coran. Au moins, on sera au Pouvoir. Et on n'aura même pas à changer de logo : LFI voudra dire La France Islamique, et voilà tout !

Un cadre de LFI - Ben oui, mais quand on connaît le sort de Robespierre, je me demande si l'histoire de se répéterait pas ! Robespierre guillotiné par les révolutionnaires qu'il a créés, encouragés...

Jean-Luc - T'inquiète, je gère. En attendant, comme tu l'as compris, en soutenant le Hamas, et en étant le seul parti politique à le faire, on se fait bien voir de toute la clientèle immigrée, de toutes les banlieues, et ça fait du monde ! On peut bien se mettre à dos les sionistes, le jeu en vaut la chandelle !

Un cadre de LFI - Mais t'as pas peur qu'on se fasse traiter d'antisémite ?

Jean-Luc - Mais non ! Le racisme et l'antisémitisme ne peuvent se trouver qu'à droite et l'extrême-droite! C'est un fait bien établi dans toute la sphère politico-médiatique ! La gauche par définition, ne peut pas être raciste, quoiqu'elle dise ou fasse ! Regarde, Zemmour est juif, ça n'empêche pas tous ceux qui ne lui veulent pas que du bien, de dire qu'il est raciste. Parce qu'il est à droite. Et quand on n'est pas de gauche, c'est qu'on est d'extrême-droite. Donc raciste. Staline avait bien compris qu'il faut toujours accuser ses opposants de ses propres travers, à titre préventif et pour empêcher justement l'opposition de dénoncer ces travers. C'est pour cela qu'il faut continuer à toujours crier au racisme chez ceux qui ne sont pas LFI. Ça va, vous êtes rassurés ? Donc, gardez cela en tête : le mot « terrorisme » est banni, le Hamas, c'est les gentils qui ne font rien que se défendre contre les sionistes, et il faut bien sûr « chercher la paix » et patati et patalère... Pigé ? Allez, au boulot !


vendredi 6 octobre 2023

P comme Punaise... ou comme Pape.

 


On vit une époque formidable ! Le pays fonce à vitesse accélérée contre tous les murs devant lui. Mur social, mur économique, mur financier, mur sociétal, mur diplomatique, mur dictatorial. Et surtout mur civilisationnel. Mais quel est le sujet politique de la semaine ? Les punaises de lit !


Une obèse de LFI interpelle le gouvernement en pleine session parlementaire, sur le sujet avec, à la main, une petite fiole supposément remplie de punaises de lit (mortes ? Ou est-ce que ce tube ne pourrait pas être une arme de désertion massive du Parlement?), mimant ainsi la célèbre manipulation de Colin Powell brandissant une fiole prétendument remplie d'anthrax pour justifier l'intervention américaine en Irak.

Bref, le Titanic coule, mais la passagère Madame Elléfi fait un esclandre parce qu'un tableau au mur de sa cabine est un peu de travers.


Evidemment, quand on en est à faire du climat, donnée ô combien naturelle, une cause de mobilisation générale, on peut très bien faire de la punaise de lit une cause politique nationale. On n'est plus à une crétinerie près.

D'ailleurs, quand il y a une crétinerie à proclamer, LFI répond toujours présent. Et Véran, pour ne pas être en reste, est là pour y mettre son grain de sel, histoire de donner à la crétinerie en question un peu plus de saveur. Notre expert en parasites (et sa présence depuis plus de 3 ans aux côtés de Macreux confirme sans contestation possible cette expertise) déclare que l'infestation de punaises de lit que connaît Paris est bel et bien « la démonstration du réchauffement climatique ». Fallait oser. Véran l'a fait. Ces pauvres Poilus de 14-18, confinés dans les conditions d'insalubrité et d'absence d'hygiène des tranchées, ignoraient qu'ils subissaient, via les parasites de lit infestant leurs couvertures, vêtements et toiles de lits de camp, les conséquences du réchauffement climatique... durant les durs hivers de ce début du XXe siècle !!


En revanche, émettre l'hypothèse d'un parallèle entre l'invasion de ces insectes parasites et celle des humains parasites est interdite. Aurélien Rousseau, sinistre de la Santé, convient du bout des lèvres, lors d'un passage sur France Intox, que l'infestation des parasites de lits est bien liée à la mobilité humaine sur la planète. Mais bien sûr, il s'agit ici, dans son esprit, de la mobilité des cadres supérieurs avec leurs valises Vuitton en 1ère classe des avions intercontinentaux. En aucun cas, de la mobilité de migrants provenant de pays aux conditions de salubrité un tantinet différentes de celles que connaît (connaissait?) l'Europe, et voyageant dans des conditions d'hygiène qui ne sont pas forcément une priorité chez les mafias des passeurs et des ONG immigrationistes.

Cela fait des mois que les gestionnaires du centre de rétention des migrants à l'aéroport de Roissy alertent sur cette invasion de punaises de lit qui font de ce centre un enfer, mais c'est juste une coïncidence... à moins que ces gestionnaires soient d'infâmes complotistes d'extrême-drouâââte.


Pour rester dans le domaine des parasites, évoquons celui dont souffre l'Eglise Catholique. Le pape nous en a sorti de bien bonnes cette semaine. Son passage à Marseille a fait le bonheur de l'extrême gauche, ce qui en dit long sur la déviance de François. Il s'est en effet, à nouveau, ouvertement prononcé en faveur de la migration du Sud vers le Nord, donnant des leçons d'humanisme à l'Europe qui n'en peut mais. Les pays arabes, africains, musulmans, sont à l'évidence, exemptés de toute générosité. Evidemment, on pourra remarquer, avec mauvais esprit, que le Vatican a accueilli seulement une douzaine de « réfugiés » en transition à Lesbos, (petite précision accessoire : des « réfugiés » musulmans... !) en 2016 et, en 2021, 46 migrants et pas un de plus. Ils ont donc été dûment comptés, et on ne peut donc pas dire que le Vatican ait ouvert en grand ses bras à « cette demande d'humanité des plus humbles. » Il faut, en outre préciser qu'un immigré officiel du Vatican sera, en réalité et par la convention des Accords de Latran, pris en charge par l'Italie, le Vatican n'ayant ni Sécurité Sociale ni politique d'immigration. En d'autres termes, le Vatican sait être généreux, avec prudence certes, mais néanmoins généreux... avec l'argent du contribuable italien.


Sans doute trop préoccupé à distiller sa bonne parole à Marseille pour s'attirer les bonnes grâces des merdias gauchistes qui se sont brutalement montrés oublieux de leurs obsessions laïcardes, François n'a pas trouvé le temps d'évoquer l'enfer que sont en train de subir les Chrétiens du Haut-Karabagh arménien. On rétorquera évidemment que ce n'est quand même pas la faute du pape si ces réfugiés arméniens n'ont pas la Méditerranée à traverser pour trouver refuge. Ce n'est pas non plus sa faute si ce refuge n'est pas d'ordre économique mais tout simplement l'enjeu de rester en vie...ou pas.


Il faut reconnaître à cet égard la surprenante « conversion » de François. En effet, François, à l'époque où il était un dénommé Jorge Mario Borgoglio de l'Eglise, à Buenos Aires, n'était pas si « bobo » qu'aujourd'hui. Volontiers politiquement péroniste, il a été un témoin complaisant et silencieux de la dictature sanglante qui a fait plus de 30 000 « disparus » pour raisons politiques entre 1976 et 1983.


Et comme si ces déclarations purement politiques n'étaient pas suffisantes pour occuper l'espace médiatique cette semaine, notre pape se fait l'avocat de cette grande cause inventée et orchestrée par l'oligarchie du Forum Economique Mondial : le fameux « réchauffement climatique ». Réchauffement climatique qui, il n'est même plus nécessaire de le préciser quand on évoque ces deux mots, est forcément d'origine anthropique. Ça va de soi, et ne perdons plus de temps à utiliser cette précision qui ne doit pas s'encombrer d'une justification scientifique introuvable.

Le « monde s'écroule » selon François qui dénonce « l'irresponsabilité des pays riches ». La formule trouverait, aux yeux de Saucisson-Pinard, une belle justesse si le mot « catholique » s'intercalait entre « monde » et « s'écroule », avec ce pape progressiste au Vatican.

Ce pape demande, à deux mois de l'ouverture de la COP 28 à Dubaï – mais c'est un hasard-, que des mesures « contraignantes » de transition énergétique soient prises. Et par la même occasion, il fustige les climatosceptiques aux « opinions déraisonnables et méprisantes ».


Aussi quelques questions se posent aujourd'hui :

- Les climatosceptiques doivent-ils être qualifiés d'hérétiques et, à ce titre, être soumis à un autodafé qui les verrait être brûlés en place publique, devant François en tant que Grand Inquisiteur ?

- Combien Soros et Schwab ont-ils donné à François pour sa mission de fidèle porte-parole ?

- EELV doit-il craindre l'émergence d'un parti politique concurrent déloyal en provenance du Vatican, financé par le Trésor de l'Eglise et les grands oligarques mondiaux ?

- Les Catholiques ne devraient-ils pas juste demander au pape François de, enfin, s'occuper de ses messes ?


MIN. Euh... FIN!