Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

vendredi 23 février 2018

Evolution du discours immigrationniste.


Voici l'évolution du discours immigrationniste et des réalités de l'immigration, sur ce presque demi-siècle passé, vue à travers 10 rubriques :

Rubrique Déni :
1970 : De l'immigration ? Quelle immigration ?
1989 : « Distinguons : Il y a plusieurs catégories d'immigrés : les clandestins..., les immigrés qu'on a accepté, puis les immigrés qui ne le sont plus parce qu'ils ont été naturalisés, un autre problème. Et puis il y a les enfants d'immigrés qui sont français mais qui posent des problèmes aux yeux des Français... » (Mitterrand)

Rubrique Intégration :
1981 : Il y a un peu d'immigration, mais elle va s'intégrer sans problème !
Février 2014 : un rapport est remis à Jean-Marc Ayrault, rédigé par des experts nommés et approuvés par l’ensemble de son gouvernement, afin de favoriser l’intégration des immigrés. Ce qu’ils préconisaient a été ressenti comme une injonction adressée au peuple français de s’adapter aux mœurs et coutumes des immigrés et non l’inverse. (France Culture)
Janvier 2017 : « Il n'y a pas de deuxième ou troisième génération d'immigrés à qui il appartiendrait de devoir s'intégrer. » (Peillon)

Rubrique Espoir Déçu :
1992 : « L' immigration est une chance pour la France ». (Bernard Stasi)
2014 : Le taux de chômage des immigrés (venant hors d'Europe) est de 30,4%. Celui des Français de souche : 9,1%.
2018 : 15 000 places de prisons occupées par des étrangers (soit une sur cinq). Et la moitié de la population carcérale est de culture ou de religion musulmane.

Rubrique Assimilation :
Janv 2008 : Toute personne qui immigre en France doit signer un Contrat d'accueil et d'intégration (le CAI) qui les incite à apprendre le Français.
Mai 2016 : « L'enseignement de l'arabe comme langue vivante se fera dès le CP...». (Belkacem)

Rubrique Religion :
Septembre 2008 : « La France est un des pays les plus strictement laïcs au monde ». (La Dépêche)
Octobre 2016 : « Il n'y a aucune religion en France qui soit un problème . » (Macron)
Juin 2017 : « Les Français doivent accepter l'Islam ». (Macron)

Rubrique Regroupement Familial :
1975 : Les travailleurs immigrés doivent pouvoir faire venir, pour des raisons humanitaires, leurs femmes et leurs enfants. (Giscard)
2018 : « Les mineurs isolés (clandestins) doivent pouvoir faire venir leurs parents. Et leurs frères et sœurs. Cela nous semble normal ». (Collomb). (Regroupement familial à l'envers.)

Rubrique Immigration Clandestine :
1981 et 1989: « L'immigration clandestine ne doit pas être tolérée. Donc les clandestins doivent justement s'attendre à être rapatriés.» (Mitterrand).
Mai 2017 : Les migrants clandestins auront désormais droit au RSA.

Rubrique Médiatique:
2011 : Il n'y a plus de clandestins, il n'y a que des « migrants ».
2017 : Il n'y a pas de migrants, il y a des « réfugiés ».
2018 : Les réfugiés deviennent des « exilés ».

Rubrique Déni (2e) :
2013 : « Le Grand Remplacement est un fantasme inventé par Renaud Camus et repris par l'extrême-droite. » (Le Monde)
2018 : « Il y a de quinze à vingt millions de musulmans en France et non pas cinq, comme on le dit depuis quarante ans. » (Azouz Begag)
Février 2018 : « Jusqu'en 2050, on sait que l'Europe va s'africaniser, les jeunes sont là, ils sont déjà nés, il n'y a rien à faire ! » (Stephen Smith, journaliste spécialiste de l'Afrique, sur RMC)

Rubrique Humour (involontaire) :
Janvier 2018 : « Il y a à Calais des Afghans qui connaissent Victor Hugo sur le bout des doigts ! » (Yann Moix)




lundi 12 février 2018

Macreux et l'Islam, le Daladier d'aujourd'hui.



L'histoire ne se répète pas, elle bégaie...
Voilà notre Macreux qui exprime sa volonté de « structurer » un « Islam de France ». L'Islam est une religion/politique vieille de 1300 ans, née dans des contrées qui sont à des années-lumières de la philosophie occidentale. Il n'a d'ailleurs pas évolué d'un iota pendant ces 1300 ans. C'est une religion à la doctrine fossilisée.
Mais Macreux se donne pour mission de le réformer avec ses petits bras musclés, en un quinquennat. Même pas peur.
On ne sait pas ce qui est le plus sidérant: sa naïveté, sa prétention mégalomaniaque ou son ignorance encyclopédique de ce qu'est l'Islam. Les trois donnent en tous cas le vertige.

Il lui suffirait pourtant de s'informer sur l'Histoire de l'Islam pour s'apercevoir que cette religion est d'abord et surtout une politique habillée en religion, à côté de laquelle le nazisme est une aimable plaisanterie. Vous diriez que l'Histoire n'est pas la tasse de thé de Macreux, comme on a déjà pu le constater à maintes reprises. C'est vrai.
Mais il doit savoir lire autre chose que les chiffres quand même.
Qu'il lise donc le Coran, qu'il regarde l'impérialisme systématique brutal que l'Islam a cherché de tous temps et en tous lieux, à appliquer.
Qu'il cherche une quelconque avancée sociétale que l'Islam aurait pu entraîner dans les pays où il a sévi.
Qu'il constate que l'Islam a toujours été un boulet qui a maintenu les pays sur lesquels il a maintenu son joug, dans un état de sous-développement permanent.
Qu'il cherche UN pays islamique, un seul, qui soit évolué, qui ait participé un tant soit peu à l'élévation de l'homme et de la femme au dessus de la barbarie.
Qu'il pointe les points communs que l'Islam pourrait bien avoir avec les principes de la République, s'il en trouve.
Et il comprendrait que sa mission est d'avance vouée à l'échec, qu'elle est empreinte d'une prétention folle. Il comprendrait que la seule façon de gérer cette religion qui ne raisonne qu'en termes de soumission de l'Homme, est précisément de la soumettre, elle, sans faiblir, à nos principes occidentaux riches de 2000 ans d'évolution continue.
L'Islam ne connaît que le rapport de force. Il n'y a pas de composition possible avec cette politique arriérée, il n'y en a jamais eu. L'Islam est un cancer. On ne cherche pas de compromis avec le cancer. On l'éradique ou on en crève.
En cherchant à « structurer un Islam (prétendument) de France » avec l'aide de représentants muzz, Macreux est juste le Daladier serrant la main d'Hitler aux accords de Munich. On connaît la suite.

Macreux a affirmé lors d'un de ses meetings de la campagne présidentielle que les Français doivent accepter l'Islam, et a ajouté, avec son art consommé de la formule creuse, que « le refus du multiculturalisme était une trahison ». Trahison de qui, de quoi ? Mystère !
On lui rétorquera facilement que si trahison il y a, c'est celle dont le multiculturalisme se rend coupable, et avec lui, tous les responsables politiques qui le défendent, Macreux en tête de liste: trahison de tant de générations de Français qui se sont battus, qui ont perdu la vie sur les champs de bataille ou dans le fond de tranchées, pour défendre les frontières de leur pays, leur culture, leur façon de vivre, leur indépendance, et aussi leur religion.

Comment aurait réagi le Poilu de Verdun ou du Chemin des Dames au moment de se lancer à l'assaut de l'ennemi si un extra-lucide lui avait glissé à l'oreille qu'un freluquet de banquier allait quelques décennies plus tard, brader l'indépendance de la France dans les mains d'une oligarchie sans foi ni humanité, allait se rendre complice de l'invasion du pays par des hordes d'étrangers hors-la-loi n'ayant même pas la culture européenne en commun avec les Français, allait promouvoir l'islamisme aux dépens de notre culture chrétienne multi-centenaire ? N'aurait-il pas balancé son fusil à baïonnette par dessus son épaule, tourné les talons en disant : « Tout ça pour ça ? Allez vous faire foutre ! »
Alors, Macreux, qui trahit qui?

mardi 6 février 2018

Un point, c'est tout!


Pédégère de télévision publique et épouse de Président: entre copines.

Il en a fallu deux.
Deux agences. Oui, il a fallu deux agences de pub, pas moins, pour pondre ce summum de la créativité, ce chef d'oeuvre de l'identification visuelle qui fait se pâmer les « spécialistes » de la communication graphique.

Une première agence s'est chargée de l'audit et de la réflexion de la marque. Il fallait en effet l'équipe d'une agence au grand complet pour se prendre la tête entre les mains et se demander : que veut notre annonceur, quel message veut-il transmettre à ses clients, quelle identité désire-t-il présenter ?
On imagine sans peine le nombre de réunions nécessaires entre la direction générale de l'annonceur, son département marketing et les têtes pensantes de l'agence, les allers et retours des deux équipes, et les échanges de mails innombrables, pour l'établissement du bon diagnostic.

Une fois cet immense effort de concentration accompli, cette première agence, probablement exténuée, a transmis le résultat de ses cogitations à une seconde, chargée de transformer le fruit de cette profonde réflexion en produit graphique concret.

Et voilà à quoi ressemble en 2018 le résultat créatif né du brainstorming de deux agences publicitaires sollicitées par une entreprise publique de premier plan :
 N'importe quel entrepreneur soucieux de l'utilisation des fonds de son entreprise, aurait envoyé valser à grands coups de pied au cul les chargés de clientèle de ces agences avec leurs projets graphiques, juste pour leur apprendre à ne pas prendre leurs clients pour des imbéciles. Mais pas la pédégère de France-Télévision.

Une pastille de couleur et un chiffre. Un point, un chiffre. Pas facile de faire plus concis. Si le chiffre de la chaîne est basique, celui de la facture l'est beaucoup moins. La plaisanterie aura coûté selon le Canard Enchaîné pas moins de 240 000 euros. Ça fait cher la pastille.

Au passage, on remarquera que le mot « France » aura disparu du logo. Preuve s'il en est besoin, que nos « élites » poussent insidieusement à la mort de la nation, au profit d'un mondialisme anonyme et sans racine.

Saucisson-Pinard reprend les commentaires des professionnels qui ont salué la sortie de cette révolution graphique: « Derrière ce changement d'identité, on sent la fin d'un monde, celui de la télévision au milieu du salon. »
« La fin d'un monde... » Ça ne vous rappelle rien ? La fin d'un ancien monde, l'émergence d'un nouveau monde... Il y a du macronisme à peine voilé là-dessous... Les baratineurs des agences qui ont vendu leur camelote au prix fort à la pédégère de l'entreprise publique annonceur, savaient à qui ils s'adressaient. En l'occurrence, à une grande copine de Mamie Trogneux, l'épouse-mère adoptive de Macreux. Delphine Ernotte a donc accepté sans sourciller de faire raquer France-Télévision pour cette gigantesque fumisterie.

Si ça vous fait rire, Saucisson-Pinard vous rappelle que cette escroquerie se fait avec votre argent, puisque, que vous regardiez la télé ou pas, vous serez désormais assujetti cette année à la redevance audiovisuelle.

On sait que la pédégère doit sa nomination à la tête de France-Télévision davantage à d'occultes manipulations au sein du CSA qu'à de quelconques compétences. Elle a, de fait, réussi, depuis son entrée en fonction, la remarquable performance de se mettre à dos ses journalistes, d'accumuler les échecs d'audience, de jouer la tyran politiquement correct en licenciant le responsable météo qui avait eu l'outrecuidance dans un de ses livres, d'émettre des réserves sur la théorie du Réchauffement Climatique, à la veille de la COP 21.
Elle a aussi fait preuve d'un racisme anti-blanc et anti-vieux propre à caresser dans le sens du poil notre société schizophrène : « On a une télévision d'hommes blancs de plus de cinquante ans, et ça, il va falloir que ça change! »
En fait, elle n'a fait que mettre en pratique le contenu d'un de ses propos tenu en 2012 :« Les femmes se demandent toujours si elles sont capables, il faut que ça change ! »
Effectivement, elle ne s'est pas demandé si elle était capable... Dommage, elle aurait dû.

Car aujourd'hui, son incompétence caractérisée éclate au grand jour, au point que même Macreux se met à la dénoncer. Les chances sont grandes qu'on ne lui permette pas de finir son mandat. Ce ridicule et coûteux re-styling du logo risque bien d'être son chant du cygne.

Peut-être finalement que Macreux a raison ; nous sommes bien dans un nouveau monde : celui de la médiocratie vendue au prix d'un produit de luxe.