Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

lundi 17 juillet 2023

Dernière en date des "Couillardises"du gouvernement.

 

Portrait de promotrice de couillardise coûteuse.

Dans son dernier article, Saucisson-Pinard évoquait Caligula, empereur romain atteint de folie, qui avait affublé du titre de Consul son cheval Incitatus (voir l'article du 11 juillet « Décadence romaine, décadence occidentale : des similitudes frappantes »).

Et il voyait une analogie criante avec le fait que Macreux avait, lui, le chic pour propulser des tocards de première catégorie au rang de ministres et secrétaires d'état.

Il n'a pas fallu à Saucisson-Pinard plus d'une semaine pour trouver dans l'actualité politique, une parfaite illustration de son propos.

Prenez Bérangère Couillard, actuelle secrétaire d'état chargée de l'écologie, ex-députée du parti Renuisance, ex-porte-parole de l'ex-parti La République En Marche Arrière. Savez-vous quelle est la dernière sortie de cette parasite gouvernementale? Elle va « accompagner les consommateurs dans la réparation de leurs vêtements et chaussures » !!! (sic)

Oui, vous avez bien lu. Notre cher gouvernement (cher dans le sens de coûteux, bien sûr) se préoccupe de l'usure des pantalons, jupes, chaussettes et chaussures des Français. Elle n'est pas belle, la « start-up nation » de notre psychopathe élyséen ?

Quand Macreux se préoccupe de reprise, c'est donc à celle des chaussettes qu'il pense. Un fonds de 154 millions d'euros va être créé par notre Couillard pour son couillon de projet. Concrètement, une aide comprise entre 6 et 25 euros sera donnée au Français pour faire réparer l'accroc de son pantalon, combler le trou dans sa semelle de chaussure, ou réparer la déchirure de sa chemise. Et les ateliers de couture et cordonniers sont invités, à cette fin, à se faire « labelliser ». La machine technocratique tourne à plein régime et s'emballe.

On entrevoit sans mal l'usine à gaz qui va devoir être mise en place pour gérer cette Couillardise, entre la gestion des labellisations des artisans concernés, les nombreux formulaires qui découleront des demandes, et la surveillance des subventions versées. Bien entendu, on devine en filigrane les profondes pensées de la Bérangère écolo: trop de vêtements usés sont jetés à la décharge, c'est-pas-bien-pour-la-planète. Et puis l'industrie-textile-est-une-des-industries-les-plus-polluantes-de-la-planète. Moi-qui-suis-en-charge-de-l'-écologie-au-gouvernement-de-notre-président-soleil-de-la-pensée-céleste-je-vais-sauver-la-planète-avec-mes-subventions-pour-la-réparation-d'accrocs-vestimentaires. Voilà voilà.

Evidemment, pour Macreux et pour les parasites qui gravitent autour, le Français est trop stupide pour juger quand il doit se séparer d'un vêtement trop usé ; on ne lui concède pas non plus le désir de temps en temps de se chausser de neuf.

On se fout de savoir que des pays du Tiers-Monde ont besoin de fabriquer des vêtements pour que leurs populations ne crèvent pas de faim.

Au secrétariat d'Etat de l'écologie, on n'imagine pas comment on pourrait faciliter la distribution de vêtements usagés aux SDF qui n'ont pas les moyens de s'en acheter des neufs ou d'occasion.

Non. On n'imagine pas.

On n'imagine pas que le recyclage de tissus pourrait être une filière industrielle à développer davantage.

Non. On n'imagine pas.

On n'imagine pas non plus que donner des cours de couture à l'école, dans le cadre de travaux pratiques, serait plus utile qu'enseigner à des gamins de onze ans ce qu'est une sodomie, un cunnilingus ou une fellation. Non, ce dégénéré de Ndiaye, autre cheval Incitatus de Caligula, propulsé, lui, à un ministère supposément en charge de l'Education Nationale, semble plus préoccupé par ce que les élèves de CP ont dans le slip que de ce qu'ils ont dans la tête.

On n'imagine pas que si on voulait relancer la production industrielle textile française pour que les Français puissent acquérir de la qualité plutôt de se vêtir de haillons rapiécés, peut-être y aurait-il d'autres mesures à prendre : baisse de charges sociales pour les emplois de production, baisse de TVA sur les produits fabriqués en France, facilitation d'obtention de crédits pour les entrepreneurs, protection douanière, entre autres exemples.

Non. On n'imagine pas.

Peut-être trouve-t-on au Ministère de l'Economie où sévit le cheval Incitatus Le Maire, que le déficit commercial du pays n'est pas encore suffisamment abyssal ?

On n'imagine pas, si on voulait vraiment dynamiser la filière artisanale des couturières et des cordonniers, qu'on pourrait baisser les charges sociales de ces travailleurs qui sont contraints de facturer leurs prestations 30 euros pour en récolter au final 10 malheureux euros de reste à vivre.

Non, on n'imagine pas.

Pour tous ces chevaux Incitatus de Caligula que Macreux a propulsé aux rangs, jadis prestigieux, de ministre ou de secrétariat d'Etat, c'est bien plus facile de faire payer le Français pour donner à ce même Français l'illusion que le gouvernement lui fait un cadeau. Tout est question de statut : contribuable ou consommateur. Le Français contribuable offre au Français consommateur le cadeau financier qui lui permettra de réparer sa chaussette trouée. Bref, le Français se prend dans la poche droite ce qu'il met dans la poche gauche. Merci la Couillard! C'est quand même beau l'écologie quand une péronnelle, bête comme une jument, est propulsée à un rang de haut fonctionnaire. Aussi beau que lorsque un cheval d'empereur romain est nommé Consul.

Aussi beau mais beaucoup plus cher. Après tout, une fois l'écurie de marbre et la mangeoire en ivoire financées, les dommages pour le contribuable romain de la promotion d'Incitatus au rang de Consul, s'arrêtaient là. Le cheval-consul ne prenait pas de décisions aussi stupides que coûteuses. Dans le cas de la Couillard, hélas, sa nomination a des répercussions financières qui n'en finissent pas. Non seulement le Français doit pourvoir aux émoluments de la jument Couillard qui sont hors de proportion avec ses qualités professionnelles, mais il doit en outre passer à la caisse pour financer l'application de ses idées couillonnes. Double peine.

Mais le plus pénible pour le Français spectateur de cette décadence institutionnelle, est probablement de comprendre qu'il est à la fois le cochon de payant et la victime d'une politique qui le consume à petit feu.



mardi 11 juillet 2023

Décadence romaine, décadence occidentale: des similitudes frappantes.

 

Les Romains de la décadence, par Thomas Couture, 1847.

Saucisson-Pinard, témoin atterré de la déliquescence de son pays, et plus globalement, de celle de la civilisation occidentale, se demande souvent comment l'Histoire jugera notre époque.

Et, en modeste compensation de sa tristesse, il pense avec ironie malicieuse que les générations à venir se gausseront des épisodes politico-sociétaux que nous sommes en train de vivre, comme, d'une certaine façon, nous évoquons aujourd'hui ceux qui ont vu l'effondrement de l'empire romain.

Et c'est vrai que les analogies ne manquent pas.

Prenons par exemple Caligula, empereur romain de l'an 37 à 41, qui nomma Consul son cheval Incitatus. Cette nomination peut être interprétée de façons différentes selon les historiens. Certains la considère comme un symptôme de la folie de l'empereur, d'autres, au contraire, comme un geste symbolique et ingénieux de son mépris pour les sénateurs et autres élites politiques qu'il considérait comme incompétents et inefficaces.

Aujourd'hui, Macreux élève au rang de ministres une palanquée d'individus d'une rare incompétence, quand ils ne sont pas, de surcroît, de fieffés coquins.

Caligula faisant de son cheval un consul ou Macreux faisant de Darma nain un ministre de l'Intérieur, de Bruno Le Maire (deux) un ministre des Finances, ou d'une péronnelle insignifiante comme Schiappa une secrétaire d'Etat, où est la différence ? On pourrait multiplier les exemples. Pour ne rester qu'au rang des ministres, Ndiaye au ministère de l'Education Nationale, Pannier-Runacher ministre de la « Transition énergétique », de Montchalin ministre de la « Cohésion des Territoires » (rien que le titre pourrait faire rire...), et tous les autres pantins du gouvernement Borne, ne sont-ils pas tous autant qu'ils sont les Incitatus consuls de Macreux-Caligula ? La Borne émargeant à, au bas mot, 15 000 euros par mois sous les lambris dorés de Matignon et se baladant en voiture de fonction avec chauffeur, n'est-elle pas, en regard de son incompétence, de son inculture et de sa totale absence d'envergure, le cheval consul Incitatus de Caligula, dans son écurie en marbre et broutant dans une mangeoire en ivoire ?

Caligula est décrit comme un despote mégalomane sombrant dans la folie, ce qui rappelle le comportement de Macreux, pétri d'arrogance et d'autoritarisme, que de moins en moins d'observateurs indépendants peuvent ignorer aujourd'hui. Et la principale différence entre les deux tyrans réside dans le fait que Caligula était, lui, proche du peuple, avait réduit les impôts et avait organisé des distributions de nourriture. Cela ne l'empêcha cependant pas d'être assassiné. Ce sort sera-t-il une autre différence avec Macreux ? Si on entend la colère montante des Français à son encontre, à l'image des propos de Izïa Higelin lors de son dernier concert à Beaulieu qui évoquait le délice à participer à un lynchage du psychopathe élyséen, cette différence de sort n'est pas encore écrite...


Néron est un autre empereur romain que l'Histoire considérera comme fou authentique. En l'an 64, un incendie ravagea Rome. Pline l'Ancien, tout comme Tacite, en attribue, à tort ou à raison, la responsabilité à Néron qualifié d'Antéchrist. A tout le moins, d'autres sources contemporaines de l'époque attestent que Néron aurait été vu déclamer des vers et pris d'hilarité devant le spectacle de Rome en flammes. Cet épisode n'est pas sans évoquer la scène connue de Macreux accompagné de son premier ministre de l'époque, Edouard Philippe, se rendant sur les lieux de l'incendie de Notre-Dame en réprimant difficilement leurs rires,



alors que l'émotion était grande dans le peuple. On ne connaît pas officiellement les causes ni les responsables de l'incendie de Rome, et, de la même façon, on est en train d'assister en France, à la mise sous le tapis, de toute recherche sérieuse des causes de l'incendie de Notre-Dame. Et les Français devront vraisemblablement en rester avec l'explication... fumeuse (!) d'un mégot de cigarette qui aurait embrasé des poutres vieilles de huit siècles ! (voir les deux articles que SP a consacré à ce sujet en avril 2019.)


Rome en feu, Paris (mais pas seulement) en flammes pendant les émeutes des racailles de banlieue, voilà une autre analogie qu'on ne peut pas s'interdire de faire. Si Néron avait incriminé les Chrétiens, Macreux, lui, n'en accusera pas les vrais responsables, à savoir une population immigrée ou descendante d'immigrés au penchant de délinquance violente sans cesse démontré. Il en accuse indirectement les Forces de l'Ordre, celles-là même à qui il doit sa sécurité, de plus en plus menacée, en évoquant, sans preuve, et avant même toute enquête officielle, une conduite « inexcusable et inacceptable » chez le flic qui a descendu la petite racaille de Nanterre à la suite de refus réitérés d'obtempérer.


La décadence romaine est couramment illustrée par la description des orgies, luxures et dépravations qui avaient cours chez les élites politiques de l'époque. Les générations futures ne pourront pas s'empêcher de faire un parallèle avec les scandales de notre époque.

Avec un président français, à la sexualité ambigüe, qui a épousé un travelo,

avec un président qui s'affiche ostensiblement collé à des petites frappes noires torse nu et suantes,

avec un président qui organise des fêtes à l'Elysée où se trémoussent des pédérastes africains aux tenues provocantes et conduites indécentes,

avec le scandale d'un humoriste camé ayant ses entrées dans le monde des Bien-pensants qui détruit une famille sur la route en sortant d'une chemsex party,

avec les rumeurs d'autres chemsex party orgiaques qui se tiendraient dans le pavillon de la Lanterne, seconde résidence présidentielle,

avec les histoires délirantes, mais prouvées, du fils du président de la première puissance mondiale se noyant dans des orgies sexuelles sans limites,

avec le scandale de l'île d'Epstein où se pressaient les élites du monde occidental pour y consommer le service de prostituées acheminées là comme du bétail,

avec le film « The sound of Freedom », basé sur une histoire vraie, qui dénonce les crimes pédophiles d'une élite parfaitement organisée, ayant pignon sur rue, et protégée par de puissantes organisations institutionnelles comme le FBI,

le monde occidental sombre dans la même décadence morale que celle que l'empire romain a connue avant de s'écrouler définitivement au Ve siècle après JC.



Dès le début de ce Ve siècle, l'historien romain Végèce pose son diagnostic : l'Empire romain décline à cause de son contact croissant avec les barbares, entraînant une « barbarisation », moteur de dégradation. La léthargie, la complaisance et la mauvaise discipline qui affectent les légions aggravent la fragilisation de l'empire face à l'invasion barbare, ce qui précipite sa chute.

Comment ne pas y voir une ressemblance frappante avec le phénomène de Grand Remplacement auquel nous assistons depuis un demi-siècle ? L'immigration maghrébine et subsaharienne qui n'est pas juste incontrôlée mais clairement planifiée, organisée, et encouragée, est de toute évidence, la barbarisation contemporaine de la France, voire plus globalement de l'Europe. La quasi non-réponse policière et des services de la Justice qu'essaient vainement de camoufler le gouvernement et ses assistants médiatiques, à la suite des émeutes que la France vient de connaître, s'assimile à la démission des légions romaines évoquée par Végèce. Idem avec la destruction voulue par l'UE des frontières nationales.


L'Occident est la proie d'une anarcho-tyrannie qui sévit partout.

« Anarcho » parce que ce régime entretient le plus grand désordre sur bien des plans de la société : laxisme à l'égard de l'immigration, des délinquants, des minorités en tous genres qui veulent s'imposer par la force aux majorités.

Et « tyrannie » parce que sur d'autres plans, c'est bel et bien la contrainte qui s'abat sur le citoyen neutre ou récalcitrant.

Il y a l'expression « il ne sait plus où il habite » pour résumer l'attitude de désarroi d'un individu qui a perdu tous ses repères. Mais il y a pire : l'individu qui ne sait plus de quel genre il est. Et force est de constater qu'avec le phénomène woke et Les Gogos Bêtifiés Timbrés Quelconques (traduction libre de Saucisson-Pinard de l'acronyme LGBTQ), la société est tellement en déliquescence qu'elle ne sait plus reconnaître ses genres. Pire, elle est prête à en inventer de nouveaux, au plus grand mépris des règles biologiques universelles. Et elle érige des déviances d'ordre psychiatrique en normalités prétendument bafouées.

Ne nous y trompons pas. Au-delà d'une dérive complètement inopinée d'une société en décadence, ces phénomènes sont sciemment créés et dirigés en sous-main par des forces oligarchiques mondialistes ayant pour objectif la destruction de la société telle qu'elle existe depuis des siècles et des siècles et l’assujettissement de la planète à leur domination par tous les moyens.

Pendant un demi-siècle, on nous a seriné un sempiternel « plus jamais ça » après les délires dévastateurs hitlériens. Mais aujourd'hui, on assiste benoîtement et sans moufter aux prétentions hégémoniques d'un Forum Economique Mondial avec à sa tête des Schwab, père et fils, aussi dangereux, voire davantage, qu'un Hitler associé à un Staline.

Immigration, wokisme, émergence des Black Lives Matter, manipulation d'un impérialisme islamique, prétexte de politique sanitaire coercitive, aujourd'hui prétexte de politique écologique avec manipulation d'inquiétude exacerbée sur un prétendu réchauffement climatique d'origine anthropique, ne sont rien d'autres que quelques uns des outils mis en place par les Schwab, les Soros et toutes les forces oligarchiques rothschildiennes et autres qui les soutiennent.

Et dans le concept d'anarcho-tyrannie, il y a bel et bien aussi la face « tyrannie ». Les libertés individuelles sont remises en question. Nous sommes, en France, bien placés pour le constater. La liberté de manifestation, quand celle-ci n'a pas pour but de manipuler la population dans le sens voulu, disparait petit à petit. La liberté d'expression est désormais bannie, la censure du politiquement correct devient systématique, les GAFAM, autre outil de répression de cette oligarchie, n'étant pas les derniers à l'appliquer. La liberté de mouvement est désormais menacée sous le prétexte écologique évoqué ci-dessus. Des galops d'essai d'interdiction de circulation ont été menés pendant la crise covidienne, lorsque le citoyen était contraint de s'écrire une auto-permission de sortie d'une heure une fois par jour ! N'évoquons même pas la liberté de la Presse qui n'est plus, en France, qu'un presque lointain souvenir depuis que cette Presse est concentrée dans les mains d'une poignée d'oligarques et pratiquée par des collabos serviles.


Des marionnettes, au vu et au sus de tous, mettent en place cette politique de domination de l'oligarchie. Une Von der Leyen, corrompue jusqu'à l'os, outrepasse sans complexe ses droits et devoirs de non-élue. Un Biden, vieillard complètement sénile, est installé au mépris des règles d'honnêteté démocratique, aux commandes d'un pays dominateur et donneur de leçons. L'une et l'autre mènent contre l'avis de leurs populations réciproques une guerre par proxy contre la Russie, qui tente de résister à cet impérialisme financier mondial et à ses dérives sociétales. Ils prennent fait et cause en faveur de l'Ukraine, au prétexte fallacieux de la défense de « valeurs communes», sans d'ailleurs préciser lesquelles. Il vaut mieux, dans un sens, puisque l'Ukraine est objectivement le prototype européen de pays rongé par la corruption et le berceau de trafics humains, de commerces d'organes et de pédophilie, le tout avec un héritage nazi assumé par son élite politique.

On ne peut évidemment pas parler de marionnettes de l'oligarchie, sans mentionner notre psychopathe élyséen qui met tous ses efforts à dissoudre la Nation dans un magma européen, première étape avant une dissolution à visée mondiale.


Bref, les élèves du futur qui se verront enseigner l'Histoire de ce début du XXIe siècle, n'en reviendront sans doute pas de l'incroyable apathie et naïveté des peuples occidentaux devant cette décadence voulue, commanditée, organisée par les puissances financières pour asseoir leur dictature. Ils riront en lisant que les contemporains de ce début de siècle craignaient de cuire dans le réchauffement climatique comme nous rions aujourd'hui de ces Gaulois qui craignaient que le ciel ne leur tombe sur la tête.

Puissent-ils en tirer des leçons pour leur propre avenir. Mais, comme le disait le tyran avéré d'une autre époque, Karl Marx, qui était lucide sur le sujet, l'Histoire ne se répète pas, elle bégaie. On peut donc en douter.