Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

lundi 27 avril 2015

PDG de l'INA: Hep taxi!



On en apprend parfois de bonnes sur les dérives de ces sociétés hors sol, en tous cas hors du système privé et déconnectées des principes économiques qui prévalent dans le monde réel; on parle ici de ces établissements publics ou para-publics qui gravitent hors de toute concurrence, et à l'abri de tout contrôle de la part de ceux qui pourtant les financent, à savoir, les contribuables.

Le dernier exemple en date de gabegie d'un tel « machin » parasite, concerne l'INA, cet établissement de statut public créé en 1974, de l'initiative de Giscard. Preuve supplémentaire s'il en était besoin, que la dérive socialisante de ce pays date bien de cette époque.
La PDG en place depuis dix mois, Agnès Saal, se voit accusée par une lettre anonyme d'avoir une note de frais de taxi dépassant les 40 000 euros. Soit 4 000 euros de taxi par mois en moyenne... Excusez du peu.

Cette lettre anonyme a été adressée aux administrateurs de l'INA la veille du conseil d'administration du 23 avril dernier. Beau panier de crabes? Semble bien. En tous cas, un ou des crabes bien renseignés; parce que notre pédégère ne nie pas les faits. Son excuse ? Son chauffeur – oui, parce que Madame a évidemment une voiture de fonction avec chauffeur- ne peut pas travailler 12 ou 15 heures par jour ni les week-ends, n'est-ce pas... Et puis l'abonnement à la société de taxi G7 existait déjà à l'INA avant sa nomination, alors pourquoi s'en priver ?

On en déduit donc que Madame Saal est supposée être sur la route pour raisons professionnelles 12 à 15 heures chaque jour, et les week-ends aussi.
Alors, de deux choses l'une : ou Madame Saal n'est pas PDG à l'INA, mais VRP stakhanoviste, et il serait intéressant de voir si ses émoluments sont ceux d'une VRP ; ou cette pédégère est si mal organisée qu'elle ne peut pas s'arranger pour établir son agenda de déplacement dans le cadre des horaires normaux du travail de son chauffeur. Dans l'un ou l'autre de ces cas, il y a quand même un gros problème.

On remarquera par ailleurs que, quand bien même un seul chauffeur n'aurait pas suffi, un second aurait pu être embauché plein temps, charges sociales et frais inclus pour moins de 4 000 euros par mois. Dans tous les cas de figure, la faute de gestion est patente.

L'autre excuse avancée par la pédégère incriminée est qu'elle ne possède pas de permis de conduire ! Mais une question se pose alors : quel est le fieffé crétin qui a bien pu embaucher pour ce poste exigeant, apparemment, de nombreux déplacements, une candidate dépourvue de permis de conduire? Pourquoi avoir justement jeté son dévolu sur cette alien anachronique n'affichant pas de permis B sur son CV en 2014 ? Cette grossière lacune n'aurait-elle pas dû ipso facto l'éliminer dans la sélection des candidat(e)s potentiel(le)s? Imagine-t-on dans le privé, une telle erreur de recrutement?

Le fieffé crétin en question est en fait pluriel, car le choix du président du l'INA en 2014 revenait au conseil des ministres. Comme quoi, il n'y a pas de surprise, quand une connerie est manifeste, le gouvernement de Hollande Ouille n'est jamais très loin.
En l'occurence, la candidature de Saal à ce poste était chaudement défendue par Filipetti, sinistre de la culture et de la communication de l'époque, son argument principal étant que Saal ne s'habille pas au rayon Homme de Zadig et Voltaire et ne pisse pas debout... On ne dira jamais assez tout l'intérêt que représente la parité pour les postes à responsabilité dans les hautes sphères de l'Etat: il est en effet essentiel d'y avoir autant de tocardes que de tocards.

Alors Madame Saal, reniflant quand même, suite à cette fuite inopportune, une forte odeur de roussi autour de sa personne, a déclaré rembourser sur ses deniers personnels une partie de ces 40 000 euros de taxi. D'abord parce qu'elle reconnaît que son fils en est responsable pour une part (ben voyons, pourquoi se gêner, comme dit Hollande Ouille, c'est pas cher, c'est l'Etat qui paye...) et parce qu'une partie des factures de taxi de week-ends « pourrait » (on s'amuse du conditionnel employé) concerner des déplacements privés « bien que ça soit difficile parfois de faire la différence entre déplacement privé et déplacement professionnel » (sic !)

- Non, non Madame, on vous assure, pas si difficile que ça. La prochaine fois que l'ambiguïté se présente, demandez à Saucisson-Pinard, il vous renseignera...

Cela dit, c'est bien qu'elle rembourse, non ? Bon, évidemment, un esprit persiffleur, ce que n'est pas Saucisson-Pinard bien évidemment, se demanderait ce qu'il serait advenu de cette intention de remboursement si cet abus de bien social caractérisé n'était pas devenu public ...

Et si l'INA avait été une société privée ? L'hypothèse soulèverait quand même beaucoup de questions : Par exemple, comment une entreprise privée ne faisant que 41 millions d'euros de chiffre d'affaire pourrait-elle se permettre d'avoir près de 1 000 salariés ? Faisons le ratio CA/employé : 41 000 euros par an et par tête de pipe, pour une entreprise de service ! Edifiant, non ?
Le PDG d'une entreprise au si petit chiffre d'affaire avec autant de charges salariales pourrait-il se permettre d'avoir une voiture avec chauffeur et, en surplus, une telle note de frais de taxi sans se faire débarquer illico par ses actionnaires, avec un bon coup de pied où on pense ?

Dans le cas d'une entreprise privée, une telle gabegie ne pénaliserait, du reste, que les actionnaires qui ont été délibérément volontaires pour participer au risque de l'entreprise. Ce qui n'est pas le cas des contribuables sollicités pour cracher au bassinet d'un établissement public pour la création duquel ils n'ont pas été consultés, et dont ils sont privés de tout droit de regard sur la gestion.

Fait amusant, enfin... amusant seulement si on est d'humeur badine évidemment, on remarque que la pédégère Saal a succédé à un autre pédégé qui se fait remarquer aujourd'hui pour ses extravagances pécuniaires : un dénommé Mathieu Gallet qui est en train de faire profiter Radio France, un autre monstre para-étatique, de sa folie dépensière.

Cette partie de chaise musicale que se joue une faune complètement étrangère au monde économique réel, avec Saal qui passe du Musée Beaubourg à l'INA, Gallet de l'INA à Radio France, laisse entrevoir un monde parallèle qui vit en parasite aux dépens du contribuable et autre cochon de payant. « Entrevoir » seulement, parce que pour une INA (qui perçoit une partie de votre redevance, merci pour elle), combien d'autres entreprises publiques fonctionnant selon les mêmes règles de gâchis financier, d'incompétence professionnelle comme principe préalable à toute nomination, et copinage érigé en mode de recrutement ?
Et la référence à la partie émergée de l'iceberg qui laisse imaginer celle, monstrueuse, immergée, fait frémir.

Ce monde qui vit grassement en marge du bas peuple mais néanmoins exclusivement à ses crochets, n'est pas sans évoquer la noblesse qui sévissait à la cour de Louis XVI et qui finalement a réussi à déclencher la colère des gueux avec les conséquences que l'on sait.

Puissent les gueux d'aujourd'hui suivre l'exemple de leurs ancêtres et avoir le courage de prendre leurs fourches, leurs faux, aller débusquer cette noblesse contemporaine et l'amener manu militari aux lanternes les plus proches... Ça ira, ça ira, ça ira...


mercredi 22 avril 2015

Réaction à chaud et poisson pourri...




Saucisson-Pinard n'a pas pour habitude de réagir à chaud sur l'actualité, mais cette fois-ci, trop c'est trop : un « étudiant » « franco-algérien » vient encore faire l'actualité. Un dénommé Sid Ahmed Ghlam, vient de se faire arrêter, sur le point de lancer des attentats terroristes sur des églises de la région parisienne. Si certains Français doutaient encore que notre pays est en guerre, que les Chrétiens sont délibérément visés, et que nos ennemis sont sur notre sol, j'aurais une proposition à faire à ces bisounours. J'ai une tour métallique en face du Trocadéro à Paris à leur vendre pour une somme très modique...

A l'heure où ces lignes sont écrites, on sait encore peu de choses sur l'affaire, mais le peu que l'on sait est déjà édifiant.
Première remarque : cette petite raclure est un étudiant. Donc ses « études » sont financées par nos impôts. Il réside en logement universitaire, également financé par nos impôts, et prend donc la place d'un vrai étudiant français qui étudie. Ses parents vivent dans une cité HLM en région parisienne. Eux aussi profitent de logements sociaux à la charge des contribuables et prennent la place de Français qui auraient bien besoin d'un logement social à bas prix. La sœur de la dite-raclure est en garde-à-vue, car reconnue islamique radicale. Voilà donc, pour se résumer, une petite famille arabe qui vit aux crochets de notre société et ne cherche qu'à mordre la main qui la nourrit avec générosité.

Deuxième remarque : le plan n'a été déjoué que par un formidable coup de chance. La raclure est assez couillonne pour s'être tirée une balle dans la hanche ce qui a conduit la police, après ses explications vaseuses, à perquisitionner son véhicule puis son appartement pour y trouver armes et plans d'attentats. Cerise sur le loukoum, le salopard pourrait être impliqué dans le meurtre récent à Villejuif d'une jeune Française, qui pourrait avoir été une témoin gênante... Il est clair que la police n'aura pas toujours autant de chance, et vu le nombre d'islamo-dingos disséminés dans le pays, Saucisson-Pinard vous parie une paire de gants contre une paire de claques que des attentats frapperont dans un peu moins que pas longtemps des Chrétiens français. Ce qui ne serait qu'une étape supplémentaire après la multitude de profanations de cimetières chrétiens que la presse nous cache avec zèle et obstination.

Saucisson-Pinard ne jette pas la pierre à la police dont le travail est quand même assez souvent remarquable, en dépit des entraves d'une Justice pourrie jusqu'à l'os. Mais combien de temps encore la police sera-t-elle performante ? Quand on constate la médiocrité de notre ministre de l'Intérieur, on peut penser que les services de l'Etat sont comme les poissons, ils commencent à pourrir par la tête. Il n'y a qu'à voir le ministère de la justice. Sa tête est déjà en état de décomposition avancée depuis longtemps et on en voit tous les jours les conséquences. Ce n'est pas les parents de la petite Chloé qui diront le contraire.

Quand on voit nos trois guignols, Hollande Ouille, le petit Caudillo-aux-mâchoires-serrées et Cazevide, plastronner sur le perron de l'Elysée et tenter de récupérer la réussite de la police dans cet attentat déjoué, on ne peut que penser que le bateau France avance encore sur son erre, comme un porte-conteneur qui continue à avancer longtemps après que ses machines aient été stoppées. Mais il arrivera forcément un moment où le bâtiment s'arrêtera complètement et deviendra non-manoeuvrable. En attendant, nos trois officiers de pacotille assurent que le pays est confronté à une menace d'un niveau encore jamais vu, alors qu'ils ont eux-même largement participé, par idéologie imbécile, à l'élever. Ne serait-ce qu'en laissant croire à nos immigrés qu'ils étaient ici chez eux et libres de reproduire la société qu'ils ont fuie, alors qu'ils sont chez nous et censés s'adapter à notre façon de vivre... ou rentrer chez eux.

Naguère, l'urgence d'un arrêt de l'immigration était évidente. Faute d'en avoir eu conscience et d'avoir pris les mesures nécessaires à temps, c'est aujourd'hui la question de la re-migration qui s'impose. Question de vie ou de mort.

mardi 14 avril 2015

Les Envahisseurs: idée de série télévisée.


Saucisson-Pinard a une brillante idée (en toute modestie, bien sûr) de série télévisée qu'il propose à tous producteurs à la recherche de concept nouveau, pour ne pas dire avant-gardiste. Les personnes intéressées peuvent se faire connaître par le biais des commentaires en laissant leurs coordonnées afin d'être rappelées* et pour que les discussions sur les droits d'auteur puissent s'amorcer...


Voici les grandes lignes de cette innovante série télévisée:


Les Envahisseurs : ces êtres étranges venus d'un autre monde. Leur destination : l'Europe. Leur but : en faire leur univers. David Vincent les a vus. Pour lui, tout a commencé par une nuit sombre, le long d'une rue dans le quartier Barbès, alors qu'il cherchait un raccourci que jamais il ne trouva. Cela a commencé par une liberté de pensée confisquée et par des politiques devenus trop lâches pour défendre leurs vraies valeurs. Cela a commencé par l'arrivée de nombreux immigrés fuyant leur monde à l'agonie. Maintenant, David Vincent sait que les Envahisseurs sont là, qu'ils ont pris forme pacifique pour mieux se dissimuler, et qu'il lui faut convaincre un monde incrédule que le cauchemar a déjà commencé…


Synopsis

Un soir, alors qu'il vient de perdre son emploi, David Vincent est témoin de l'arrivée de nombreux bateaux et avions venant de l'autre côté de la Méditerranée. Depuis ce jour-là, il n'a de cesse de convaincre ses semblables de combattre ces Envahisseurs qui sous une apparence pacifique infiltrent insidieusement la France afin de la coloniser.


Thématique

La série s'inscrit dans la mode de la télé-réalité. Les Envahisseurs en sont peut-être le genre le plus abouti, le plus charpenté et le plus réaliste. Car il développe parallèlement une critique sociale pessimiste d'une société en totale décomposition. La géographie dans laquelle se déroulent les épisodes tient, comme dans le western, une importance particulière: dans le cas des Envahisseurs, ce sont des cités HLM jadis coquettes et accueillantes et désormais sinistres, taguées, et servant de camps retranchés à des bandes de racailles sans foi ni loi, des usines abandonnées, des environnements urbains délabrés. Ces paysages ont été choisis parce qu'à moins de 10 minutes en métro de la Tour Eiffel.
Les relations entre les hommes sont également dégradées : couples en séparation, familles décomposées sous les coups de butoir répétés de politiques décadents érigeant l'amoralité en dogme, prônant l'avortement libre et facile, le mariage homosexuel, la théorie farfelue dite du genre. Mais c'est sans doute au bout du compte la solitude du héros et le combat sans cesse à reprendre, qui imprime dans l'esprit du téléspectateur le plus fort sentiment d'angoisse.


Au cours des épisodes, la série dévoile cette société dégradée et masochiste, dont les Envahisseurs utilisent notamment les faiblesses pour s'insinuer dans le corps social et le pervertir : les Envahisseurs ont non seulement, au départ, une apparence pacifique, mais ils utilisent aussi les failles psychologiques et morales des Français pour les tromper. Le héros, David Vincent, devenu un « paria », est rejeté par la société politico-médiatique qui le prend pour un faciste raciste, bien que son détachement et sa posture de combattant de l'ombre lui donnent des valeurs hautement humaines dont sont dépourvus la plupart de ses congénères.

 

Les Envahisseurs

Les Envahisseurs se reconnaissent grâce à des particularités physiques: les hommes portent une barbe non soignée, des vêtements d'un autre âge, les femmes sont cachées par tous les temps, sous des sortes de tristes couvertures, un peu à l'image de celles qu'on utilise généralement pour protéger de la poussière les lampadaires dans les maisons inhabitées. Mais c'est dans leurs croyances qu'ils se reconnaissent le plus: ils adorent un dieu sanguinaire qui ne prône que soumission humiliante, violence, massacres, et asservissement des femmes. Il est au total opposé du Dieu Chrétien qui n'est que pardon, amour et compassion. Les envahisseurs croient dur comme fer que s'ils obéissent aveuglément aux ordres tyranniques de ce dieu, véritable père fouettard, ils seront récompensés dans l'autre monde par l'attribution de jeunes vierges vouées à leur totale soumission ! Ils ne mangent de la viande qu'à la condition expresse que l'animal sacrifié ait réellement souffert avant de mourir, ce qui en dit long sur leur mentalité. Leur mode de vie, qu'ils essaient d'imposer aux sociétés qu'ils parasitent, a plus de 1000 ans de retard sur le monde occidental.


Les thèmes réels de la série, c'est la décomposition de l'Occident qui entretient une repentance aussi mortifère qu'injustifiée par rapport à son histoire et le haut niveau de sa culture, et c'est aussi la frustration de sociétés étrangères de ne pas avoir connu le même développement. C'est dans les interstices de cette désagrégation morale de l'Occident que les Envahisseurs peuvent s'épanouir. Et c'est une culpabilité soigneusement cultivée et entretenue par des forces pas forcément désintéressées qui rend les Occidentaux vulnérables.




* Saucisson-Pinard ne doute pas de l'enthousiasme que va déclencher la description de ce concept de série chez les producteurs français. Aussi, les propositions seront examinées dans l'ordre d'arrivée dans les commentaires... !-D

mardi 7 avril 2015

LE dossier.




Saucisson-Pinard a croisé un article de presse qui lui a semblé de prime abord assez loufoque pour être un gag. Un hoax. Rigolo mais sans mériter plus d'attention que cela. Vous savez, ce genre d'idée gouvernementale qui, de par son excès, vous ferait dire : « non, quand même, ils n'oseraient pas ! » Et puis lui est revenu en tête la répartie de Michel Audiard : «  Les cons, ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnait ! »
Du coup, l'information véhiculée par cet article, pour n'en avoir pas été confirmée, en devient néanmoins carrément terrifiante. Aussi, Saucisson-Pinard vous la relaie sous toute réserve.

Il y aurait sur le bureau du petit Caudillo-aux-mâchoires-serrées un dossier. Le dossier.
Le dossier qui se voudrait être une première réponse au concept « d'apartheid social » que ce qui nous sert de premier ministre a laissé récemment en pâture aux journalopes bien en cour, toujours friands de formules creuses aussi longtemps qu'elles peuvent avoir une résonance suffisante pour trouver quelque écho dans leur crâne vide.

Le contenu de ce dossier, le voici. Il s'agirait d'une proposition émanant d'un député socialo du Cher tendance gauche forte, un dénommé Yann Galut, et d'une sénatrice écolo vert-pastèque/bleu-étoile de David, Esther Benbassa. La proposition défendue dans ce dossier est la suivante ; accrochez-vous, c'est du lourd :
Nos chers muzz, pratiquant comme chacun sait, une religion d'amour, de paix et surtout de tolérance, ne toléreraient plus d'habiter dans des communes rappelant un peu trop ostensiblement leur historique chrétien dans leur patronyme. Ils ressentiraient même comme une insulte d'être les résidents de villes ou villages portant comme étendard un nom de saint ou n'importe quelle allusion à notre histoire catholique commune.
D'où l'idée géniale de nos deux gauchiards de débaptiser les dites communes. Plus de Sainte Marie (de la mer ou d'ailleurs), plus de Saint-Jean, de Saint-Martin (en Ré ou d'ailleurs), plus de Saint-Quentin, plus de Mont-Saint-Michel, plus de Saint-Etienne, plus de Sainte-Colombe, plus de Pont-L'Abbé, plus de Saint-Nazaire (les syndicalistes de chantiers navals, il est vrai, ont donné les premiers coups) et plus de, vous pensez bien, Sainte-Croix... Trop anti-vivrensemblesque tout ça. (Et plus de Cinzano non plus, bien sûr, même avec modération...)


Cela permettrait, selon l'expression du rapport rédigé par nos deux cervelles dhimmis de « relaïciser en profondeur la République ».
Votre première réaction, Saucisson-Pinard l'imagine, est de penser : « impossible que ce dossier existe! »
En admettant qu'il soit néanmoins réel, on peut aussi considérer que ce dossier pourrait être classé sans suite par notre premier sinistre.
Mais.
Il y a un « Mais » à ne pas perdre de vue. Et même plusieurs.
A la question : se pourrait-il que des représentants du peuple (ou supposés tels), soient capables, ne serait-ce que pour faire parler d'eux, d'émettre une proposition aussi farfelue ? Quand on regarde dans le passé récent les délires proposés par certains d'entre eux, on est bien obligé d'admettre que : oui, c'est effectivement possible ! Et quand on constate que certains de ces délires ont trouvé une application, on se dit : ben oui, c'est foutrement possible !
Donc l'éventualité que le dossier contenant cette proposition puisse exister sur le coin du bureau du petit Caudillo est à prendre au sérieux.

Cela étant, direz-vous, il peut y avoir loin entre une proposition émise et sa mise en application.
Loin ? Si loin que ça ? Pas si sûr. Il suffit de considérer l'impasse économique dans laquelle se trouve le gouvernement et son besoin impérieux de faire diversion en occupant son temps de présence médiatique sur - outre les commémorations que notre Grand Commemorator enchaîne à tour de bras et auxquelles il consacre désormais la quasi-totalité de son temps- des mesures à portée purement sociale. On peut estimer alors que le petit Caudillo pourrait être tenté de prêter une oreille très attentive à cette proposition démente. D'autant qu'il s'agirait d'un geste qui trouverait vraisemblablement un accueil positif dans ce qui lui reste de socle électoral : les muzz. Après tout, clientèle populaire traditionnelle perdue pour perdue, autant faire le forcing en faveur des immigris de tous poils. Et puis cette mesure aurait une allure terriblement révolutionnaire, susceptible de séduire (enfin!), cette frange socialo parlementaire des frondeurs si rétive aux frétillements de ce gouvernement accusé de droitisme macronien... Bref, pour le petit Caudillo, de quoi redorer son blason « d'homme de gauche »...

Après tout, pendant la Convention, en 1793, la chasse avait déjà été faite aux dénominations qui n'étaient pas révolutionnairement correctes. Pendant une vingtaine d'années, jusqu'à ce que la Restauration mette fin à ce délire, plus de trois mille communes avaient changé de nom. C'est ainsi qu'avaient fleuri en France des villages perdant leur patronyme en Saint pour être baptisés (si on peut utiliser ce terme) sous des appellations république-compatibles comme "Sans-Culotte-en-Manche".
Vous imaginez Saint-Joseph-en-Manche rebaptisé en Valls-Siprend-Commun-Manche au nom du « vivrensemble » républicain ? Après tout, pourquoi pas, cela aurait au moins le mérite de la vérité historique...

Vous pensez aussi peut-être que jamais une telle mesure ne serait acceptée par les Français. Mais figurez-vous qu'un groupe intitulé « Laïcité et République Moderne » a pensé à tout. Il suggèrerait dans le rapport en question, que ce changement de nom de quelques 5 000 communes concernées devrait se faire en 2016, année libre de toute élection. Le calendrier, entre date de recensement des communes à noms « discriminants » et date de parution des nouveaux noms au Journal officiel, est précisé, au jour près.
En outre, il est dûment mentionné que cette mesure ne pourrait faire en aucun cas l'objet d'un recours consultatif du peuple pour la raison que « des référendums locaux, s'ils sont généralement des éléments de revitalisation de la démocratie, seraient ici inopportuns voire même néfastes, car ils libèreraient une parole réactionnaire qui ne saurait s'exprimer en dehors des édifices cultuels ».
Ce déni de démocratie parfaitement assumé est un autre indice qui laisse penser que cette information pourrait ne pas être un canular. Car il rappelle bigrement des épisodes récents de notre démocratie cuisinée façon socialo-umpéiste.

Considérons aussi le profil des deux gauchistes qui auraient commis ce dossier, les Galut et Benbassa. La consultation de leur CV politique sur Wikipedia laisse assez peu de doute sur leur potentiel de nuisance. On relèvera d'ailleurs, pour ce qui est de la sénatrice juive écolo, l'ironie de la situation : dénoncer la supposée provocation à l'égard des muzz, que représente un nom de commune rappelant un Saint chrétien, et s'appeler à titre personnel Benbassa, est assez fort de café. Saucisson-Pinard suggère que si Saint-Nom la Bretèche devait être débaptisée, Esther Benbassa abandonne également son patronyme bien trop empreint de juiverie et donc excessivement provocateur à l'égard des muzz, pour s'appeler..., on ne sait pas... Macheprot ? Esther Macheprot. Encore que Esther... On doit pouvoir trouver plus neutre...

Si l'existence de ce dossier devait s'avérer, et s'il devait voir dans un futur plus ou moins proche une application de son contenu, Saucisson-Pinard ose espérer que cela reviendrait pour nos socialos en panique totale, à jongler allègrement avec des torches allumées dans une poudrière. Et que ce dossier soit l'étincelle qui déclencherait enfin cette révolte qui couve, parmi les forces de bon sens de ce pays. Même au prix d'une guerre civile. Une fois les charlots qui ont osé écrire de telles propositions, mis hors jeu, il conviendrait, afin de satisfaire leur besoin de références historiques révolutionnaires auxquelles ils semblent tenir tant, qu'ils soient exécutés en place publique. On pourrait, Saucisson-Pinard suggère, juste aménager le mode d'exécution, à titre de mansuétude compréhensive. Et en choisir un plus en harmonie avec leur dhimmitude revendiquée : plutôt que la guillotine aux relents bien trop franchouillards, on pourrait proposer au Galut un égorgement sur l'échafaud et à la Benbassa une lapidation en règle.



Et si ce dossier n'était en fait qu'un fantasme, une coquecigrue, une pure invention médiatique « nauséabonde » et paranoïaque, eh bien, au moins aura-t-il donné le prétexte à Saucisson-Pinard d'un article appelant à la vigilance. Car, comme disait sa grand mère: « Méfie té, méfie té quand même ! »...

jeudi 2 avril 2015

Esprit du 11 Janvier, es-tu là?




Pas étonnant que le PS se trouve en harmonie avec l'Islam. Car si l'Islam est, selon les dires socialistes, une religion d'amour, de paix et de tolérance, c'est probablement parce que les mots ont un sens qui leur est à tous deux propre. Mais un sens qui n'a que très peu de rapport avec celui qu'on peut trouver dans le Petit Robert ou le Larousse. Le mot « tolérance », par exemple. Si la tolérance islamique à l'égard de ceux qui ne partagent pas cette religion est identique à la tolérance socialiste à l'égard des autres partis politiques et de leurs électeurs, cela explique bien des choses et n'est peut-être pas un hasard.

Il n'est pas besoin de revenir sur les déclarations de notre petit Caudillo-aux-mâchoires-serrées demandant la stigmatisation du FN, seul vrai parti d'opposition.
Le dernier exemple en date concerne Jean Roucas. Il y a quelques mois déjà que l'humoriste n'a pas fait mystère de sa sympathie pour le parti de Marine Le Pen. Et depuis, comme par hasard, Jean Roucas n'est plus jamais visible sur aucun plateau télé. Une de ses représentations sur scène a même été supprimée, censurée, à Gardanne.
Dès lors, sa discrimination professionnelle était en marche. Pendant que les Bedos père et fils, les Deux Bouses (humour fin emprunté au registre de la petite racaille manchote), les Ruquier, les Porte, les Dahan et autres bobos gauchiards monopolisent le petit écran, Jean Roucas payait son orientation politique par un boycott délibéré de ceux qui tiennent les rênes du showbizz en France.

Aujourd'hui c'est Jacques Mailhot, directeur du Théâtre des 2 Anes dont Jean Roucas faisait partie de la troupe, qui le lâche. Est-ce parce que Mailhot anime une émission sur Paris Première qu'il a des comptes à rendre ? Ou est-ce parce qu'il a des gages à donner au pouvoir socialiste après avoir vu, en septembre 2013, sa campagne d'affichage de la promotion de son spectacle « Flamby le Magnifique » interdite sur les panneaux de la RATP ? Il connaît donc la censure socialiste. Aujourd'hui, c'est Mailhot, militant UMP à titre personnel, qui participe à la fatwa socialiste lancée contre Roucas : peut-on mieux résumer la symbiose UMPS ?

De son propre aveu, Mailhot n'avait pas apprécié que Jean Roucas écrive: « Coulibaly avait bien un complice, comme l'annonce Valls : une certaine Taubira qui l'a aidé à sortir prématurément de prison ». Ce qui est pourtant l'exacte vérité. Une vérité pas bonne à entendre par l'intéressée, on peut le comprendre, mais une vérité quand même. Et Mailhot d'admettre, en parlant de Jean Roucas : « je lui avais fait une remarque à l'époque ! ». Pourtant, cette pique de Jean Roucas avait été faite en son nom propre, sur twitter et non pas au nom du Théâtre des 2 Anes. On ne voit donc pas vraiment à quel titre Mailhot s'était permis de lui faire cette « remarque ».

C'est le dernier tweet de Jean Roucas qui a décidé Mailhot de se séparer de son humoriste fidèle depuis 18 ans. Toujours un tweet privé, en aucune façon lié au Théâtre des 2 Anes. Ce tweet se voulait illustrer l'attitude fascisante du PS et de ses leaders à l'égard du FN.


Il semble que sur les réseaux qu'on s'obstine à appeler « sociaux », ça soit ces 4 lettres, le « Heil », qui froissent nos vierges effarouchées du couvent de Notre-Dame des Oiseaux en Socialie de la Pruderie. Et obligent Jacques Mailhot, désormais collabo dûment estampillé, à sacrifier l'engagement de Jean Roucas. Sans doute pourra-t-il le remplacer par un autre membre de sa famille, car après avoir fait de son neveu, Régis Mailhot, un chansonnier du Théâtre des 2 Anes complètement dépourvu de talent, il a démontré qu'il n'avait rien contre le népotisme.

Il n'a rien non plus contre les propos convenus. « Le théâtre a toujours respecté les opinions politiques de chacun de ses pensionnaires, MAIS.... » Eh oui : mais ! Le style : je suis tolérant, mais... Ou : je ne suis pas raciste, mais... Ou : je ne suis pas vénal, mais...

Le côté ironique de la chose est que, en le censurant ainsi, nos socialos et collabos confirment la véracité de ce que voulait dénoncer précisément Jean Roucas !

-Moi, violent ? Tiens, vlan, prends ça dans ta gueule, pour t'apprendre à dire que je suis violent, alors que c'est même pas vrai !

Pour trouver une autre illustration du penchant dictatorial de plus en plus prononcé de nos chers gouvernants en complète panique, nul besoin de remonter bien loin dans le temps : entre les deux tours des élections départementales, Cazevide va à Poitiers, sur son temps de travail de ministre de l'intérieur et bien sûr aux frais de la princesse contribuable, pour soutenir le couple de candidats socialistes.
Donc jusque là rien que de très normal...
Deux jeunes Identitaires s'approchent de la sortie du meeting avec une innocente banderole proclamant: « Je suis Charlie Martel ». Rien de plus. Dans la fraction de seconde où elle est déployée, des policiers en civil, qui se différencient des gestapistes en ne portant pas de longs manteaux en cuir noir, se précipitent sur ses porteurs et arrachent la banderole.


C'est ce qu'on appelle « la Liberté d'expression à la mode socialiste ». Voilà où en est la France d'aujourd'hui.

Messieurs les Censeurs, nous vous saluons. En allemand : wir heilen Sie. Heil les censeurs !

Et nous vous convions à une session de spiritisme : « Esprit, Esprit de Liberté d'Expression, Esprit Charlie, Esprit du 11 janvier, es-tu lààààààààà ? »