Pas étonnant que le PS
se trouve en harmonie avec l'Islam. Car si l'Islam est, selon les
dires socialistes, une religion d'amour, de paix et de tolérance,
c'est probablement parce que les mots ont un sens qui leur est à
tous deux propre. Mais un sens qui n'a que très peu de rapport avec
celui qu'on peut trouver dans le Petit Robert ou le Larousse. Le mot
« tolérance », par exemple. Si la tolérance islamique à
l'égard de ceux qui ne partagent pas cette religion est identique à
la tolérance socialiste à l'égard des autres partis politiques et
de leurs électeurs, cela explique bien des choses et n'est peut-être
pas un hasard.
Il n'est pas besoin de
revenir sur les déclarations de notre petit
Caudillo-aux-mâchoires-serrées demandant la stigmatisation du FN,
seul vrai parti d'opposition.
Le dernier exemple en
date concerne Jean Roucas. Il y a quelques mois déjà que
l'humoriste n'a pas fait mystère de sa sympathie pour le parti de
Marine Le Pen. Et depuis, comme par hasard, Jean Roucas n'est plus
jamais visible sur aucun plateau télé. Une de ses représentations
sur scène a même été supprimée, censurée, à Gardanne.
Dès lors, sa
discrimination professionnelle était en marche. Pendant que les
Bedos père et fils, les Deux Bouses (humour fin emprunté au
registre de la petite racaille manchote), les Ruquier, les Porte, les
Dahan et autres bobos gauchiards monopolisent le petit écran, Jean
Roucas payait son orientation politique par un boycott délibéré de
ceux qui tiennent les rênes du showbizz en France.
Aujourd'hui c'est Jacques
Mailhot, directeur du Théâtre des 2 Anes dont Jean Roucas faisait
partie de la troupe, qui le lâche. Est-ce parce que Mailhot anime
une émission sur Paris Première qu'il a des comptes à rendre ?
Ou est-ce parce qu'il a des gages à donner au pouvoir socialiste
après avoir vu, en septembre 2013, sa campagne d'affichage de la
promotion de son spectacle « Flamby le Magnifique »
interdite sur les panneaux de la RATP ? Il connaît
donc la censure socialiste. Aujourd'hui, c'est Mailhot, militant UMP
à titre personnel, qui participe à la fatwa socialiste lancée
contre Roucas : peut-on mieux résumer la symbiose UMPS ?
De son propre aveu,
Mailhot n'avait pas apprécié que Jean Roucas écrive: « Coulibaly
avait bien un complice, comme l'annonce Valls : une certaine
Taubira qui l'a aidé à sortir prématurément de prison ».
Ce qui est pourtant l'exacte vérité. Une vérité pas bonne à
entendre par l'intéressée, on peut le comprendre, mais une vérité
quand même. Et Mailhot d'admettre, en parlant de Jean Roucas :
« je lui avais fait une remarque à l'époque ! ».
Pourtant, cette pique de Jean Roucas avait été faite en son nom
propre, sur twitter et non pas au nom du Théâtre des 2 Anes. On ne
voit donc pas vraiment à quel titre Mailhot s'était permis de lui
faire cette « remarque ».
C'est le dernier tweet de
Jean Roucas qui a décidé Mailhot de se séparer de son humoriste
fidèle depuis 18 ans. Toujours un tweet privé, en aucune façon lié
au Théâtre des 2 Anes. Ce tweet se voulait illustrer l'attitude
fascisante du PS et de ses leaders à l'égard du FN.
Il semble que sur les
réseaux qu'on s'obstine à appeler « sociaux », ça soit
ces 4 lettres, le « Heil », qui froissent nos vierges
effarouchées du couvent de Notre-Dame des Oiseaux en Socialie de la
Pruderie. Et obligent Jacques Mailhot, désormais collabo dûment
estampillé, à sacrifier l'engagement de Jean Roucas. Sans doute
pourra-t-il le remplacer par un autre membre de sa famille, car après
avoir fait de son neveu, Régis Mailhot, un chansonnier du Théâtre
des 2 Anes complètement dépourvu de talent, il a démontré qu'il
n'avait rien contre le népotisme.
Il n'a rien non plus
contre les propos convenus. « Le théâtre a toujours respecté
les opinions politiques de chacun de ses pensionnaires, MAIS.... »
Eh oui : mais ! Le style : je suis tolérant,
mais... Ou : je ne suis pas raciste, mais... Ou : je ne
suis pas vénal, mais...
Le côté ironique de la
chose est que, en le censurant ainsi, nos socialos et collabos
confirment la véracité de ce que voulait dénoncer précisément
Jean Roucas !
-Moi, violent ?
Tiens, vlan, prends ça dans ta gueule, pour t'apprendre à dire que
je suis violent, alors que c'est même pas vrai !
Pour trouver une autre
illustration du penchant dictatorial de plus en plus prononcé de nos
chers gouvernants en complète panique, nul besoin de remonter bien loin dans
le temps : entre les deux tours des élections départementales,
Cazevide va à Poitiers, sur son temps de travail de ministre de
l'intérieur et bien sûr aux frais de la princesse contribuable,
pour soutenir le couple de candidats socialistes.
Donc jusque là rien que
de très normal...
Deux jeunes Identitaires
s'approchent de la sortie du meeting avec une innocente banderole
proclamant: « Je suis Charlie Martel ». Rien de plus.
Dans la fraction de seconde où elle est déployée, des policiers en
civil, qui se différencient des gestapistes en ne portant pas de
longs manteaux en cuir noir, se précipitent sur ses porteurs et
arrachent la banderole.
C'est ce qu'on appelle
« la Liberté d'expression à la mode socialiste ». Voilà
où en est la France d'aujourd'hui.
Messieurs les Censeurs,
nous vous saluons. En allemand : wir heilen Sie. Heil les
censeurs !
Et nous vous convions à
une session de spiritisme : « Esprit, Esprit de Liberté
d'Expression, Esprit Charlie, Esprit du 11 janvier, es-tu
lààààààààà ? »
Rien à changer, à ajouter, ou à retrancher, comme d'habitude très bonne analyse, avec bien évidemment les mots justes !
RépondreSupprimerLa chanson de DSK oui esprit est tu la au rendez vous des libertins car j'ai pris avec moi des femmes jusqu'au petit matin
RépondreSupprimerMais enfin, ils l'ont toujours dit, ça : "pas de liberté pour les ennemis de la liberté", ça ne date pas d'hier! Et qu'est-ce qui est plus ennemi de la liberté qu'un sympathisant du FN? Un Socialiste...ah, oui, peut être...
RépondreSupprimerAmitiés.
je me demandais sur un blog pourquoi les parents de victimes n'avaient pas porté plainte contre le ministre de l'injustice pour mise en danger de la vie d'autrui en laissant des vermines venimeuses sur la voix publique ...
RépondreSupprimerjean Roucas paie son bon sens comme beaucoup de Français!
l'esprit de charlie , je vous invite a aller ecouter ce qu'en pense un chanteur canadien
" mononc'serge" sur youtube ...et tant que vous y serez ecoutez et regardez ce qu'il produit sur la chanson l'état islamique....
en fwance il se-ait mort!
J'ai été voir. En effet, on est pas près de le voir chez le dinosaure Drucker! Celle-ci à été écrite pour Hollande Ouille: https://m.youtube.com/watch?v=F8B7YZMs_3g
SupprimerRoucas aurait du signer son tweet: "Eviv Ednallo!". Moins risqué.
RépondreSupprimerestula , estula ?
RépondreSupprimerdans ma lointaine enfance , j'avais étudié un conte médiéval qui jouait sur l'assonance du mot
un peu comme la fille zozotante qui dit "enfonce, enfonce" au lieu de "alphonse , alphonse !"
la réponse ne se fait pas attendre , comme vous pouvez le comprendre