Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

jeudi 12 décembre 2024

M. Mouton et sa belle voiture électrique.

 


Monsieur Mouton est joyeux. Il a écouté les écolos sur les terribles dangers de la voiture thermique sur le climat et il a compris. Il lui faut une voiture électrique. D'ailleurs, Monsieur Mouton est un bon européen. Et il a entendu sa bonne fée Ursula qui lui a dit qu'à partir de 2035, il n'y aurait plus de voiture à moteur thermique neuve à la vente. Alors Monsieur Mouton est tout joyeux parce qu'il vient de recevoir sa nouvelle voiture électrique et il se sent une âme écolo.

Bon, en fait, non. Il espère surtout faire une grosse économie sur le coût de ses trajets habituels, en ne payant plus cette essence au prix exorbitant.

Certes, sa belle voiture va lui coûter un bras, mais Monsieur Mouton espère s'y retrouver avec le temps. Et puis, au moins il profite encore de « la prime à la conversion » offerte sur les voitures électriques. S'il avait attendu que cette prime soit supprimée, c'est-à-dire, au 1er janvier 2025, son achat lui aurait coûté deux bras.

Sa voiture flambant neuve est là, en bas de son appartement, sur le parking de sa résidence. Monsieur Mouton est très fier de son acquisition. Bon, évidemment, pour la recharge de sa belle voiture électrique, c'est un peu compliqué. Il n'y a pas de borne de recharge sur le parking de sa résidence. Et ses voisins du dessous lui ont fait comprendre qu'ils n'aimaient pas trop voir pendre sa rallonge électrique de 80 mètres devant leurs fenêtres. Même son voisin du rez-de-jardin lui a dit que cette rallonge traînant dans son jardinet le gênait quand il tondait sa pelouse... Faut dire que ses voisins sont vraiment des mauvais coucheurs!

Monsieur Mouton va donc recharger sa belle voiture en centre-ville, à 5 mn de son domicile. 5 mn en voiture, un quart d'heure à pied. Et il prend rapidement l'habitude d'aller la recharger le soir, quand il rentre du travail. Enfin... quand il peut. Parce que souvent, il n'y a pas de place disponible sur l'emplacement de recharge, déjà occupée par Monsieur Pigeon, un autre amateur de voiture électrique. Ou par quelqu'un d'autre. Donc, dans ce cas, Monsieur Mouton revient chez lui. Il retournera voir si la place est libre, plus tard en soirée, vers 22 heures. Ou vers 23 heures, après le film à la télé qui est entrecoupé de pubs qui lui disent comme c'est formidable d'avoir une voiture électrique.

Quand sa belle auto a enfin trouvé une borne de recharge disponible, Monsieur Mouton attend patiemment qu'elle se charge, derrière son volant, avec un bon livre qu'il a pris soin de laisser dans sa boîte à gants, pour meubler ses heures d'attente à venir. Parfois, il préfère rentrer à pied chez lui, le temps que la recharge se fasse. Après tout, une bonne demi-heure de marche aller-retour, le soir, en pleine nuit, c'est bon pour la santé. Quand Monsieur Mouton se sent une grosse flemme, et n'a plus très envie de lire, il préfère aller dans un bar proche, consommer une bonne bière pour tuer le temps. Une bonne bière dont le coût se rajoutera à celui de la recharge proprement dite.

Bref, Monsieur Mouton, qui revenait habituellement, à bord de son véhicule à moteur thermique, de son bureau, le soir vers 18 heures pour profiter pleinement de sa soirée cocooning au fond de son fauteuil du salon, a désormais quelques occupations nocturnes. Et plusieurs fois par mois, il ne peut profiter de ce confortable fauteuil qu'à partir de 19 heures, dans le meilleur des cas. Ou devoir se faire une petite sortie de nuit avant de se coucher vers minuit, dans le pire.

Que voulez-vous, on n'a jamais dit qu'être écolo ne demandait pas quelques efforts !

Tout ceci n'est pas bien grave. Et Monsieur Mouton se fait une joie de bien profiter de sa belle auto électrique, lors de la petite virée qu'il a prévue de s'offrir avec Madame Mouton pour le week-end prolongé qui s'annonce. En effet, Monsieur et Madame Mouton vont partir de Rennes pour aller au Touquet-Paris-Plage, voir leurs amis, Monsieur et Madame Normie. Ces derniers sont des macronistes convaincus. Ils se sont félicités, la dernière fois que Monsieur et Madame Mouton les ont vus, d'habiter un bord de mer sans avoir une forêt d'éoliennes devant leur baie vitrée, grâce à l'intervention de leur Président adoré, qui, ayant également un pied à terre dans cette localité, partage le même souci d'éviter cette nuisance. Aussi, Monsieur Mouton se fait une joie de montrer à Monsieur et Madame Normie, comme il est un bon écolo, avec sa belle voiture électrique.

Alors, en route ! Voyons, Rennes-Le Touquet, c'est à la louche 500 km. Soit 4H45 selon l'application Michelin. Sa belle auto toute neuve a, d'après le constructeur, une autonomie de 450 km. Donc, en partant avec une batterie chargée à mort, normalement, une seule recharge sur le parcours devrait suffire. C'est parti !

Tout en conduisant sur l'autoroute, Monsieur Mouton se souvient avoir lu dans le magazine Que Choisir que les données constructeurs sur l'autonomie de leurs véhicules électriques sont réalisées à partir de conditions très encadrées et restrictives de roulage. Et donc très optimistes. Et qu'il convient de les corriger de 10 à 33% en moins, selon les constructeurs.

« Bigre ! » se dit Monsieur Mouton, les yeux rivés sur la jauge de la charge batterie. Mais restons positif, et diminuons cette autonomie de la moyenne entre 10 et 33%, c'est-dire, de 15%. Après un rapide calcul de tête, Monsieur Mouton arrive à une autonomie théorique de 380 km. Ça va. Un seul arrêt-recharge suffira donc encore.

Mais il consulte sa jauge, et constate que les petits voyants verts disparaissent à une allure suspecte. Il lui revient alors à l'esprit que nous sommes en décembre. Et en décembre, il fait froid. Et le froid, la batterie n'aime pas trop. Son autonomie va en souffrir, c'est sûr ! Il lui semble avoir lu qu'une baisse de 30% d'autonomie du fait du froid est à envisager. A fortiori qu'il faut quand même mettre le chauffage dans la belle voiture électrique parce que Madame Mouton est frileuse. De 380 km d'autonomie, nous passons maintenant à 260 km ! « Re-bigre ! » s'exclame Monsieur Mouton dans son for intérieur. Comme il est hors de question de prendre le risque de tomber en panne à 10 km de chez les Normie, il va donc falloir prévoir un deuxième arrêt-recharge !

- « T'as vu ta jauge, chéri ? Il ne te reste qu'un petit voyant vert ! » remarque Madame Mouton. « Ne crois-tu pas bon de t'arrêter pour une recharge ? »

- « Oui, tu as raison. D'ailleurs, on vient de faire 200 km, on va bientôt arriver à la moitié du parcours. On s'arrête à la prochaine station. »

Mais ! Mais ! Qu'est-ce que dit ce panneau, là, sur le bord de l'autoroute ? La prochaine station, à 10 km, a sa borne électrique fermée !!

Monsieur Mouton pâlit.

Il est indiqué que la station suivante est à... 50 km ! Ouf, ça va être juste ! Monsieur Mouton, instinctivement, lève le pied de l'accélérateur. Il serre les fesses et Madame Mouton croise les doigts pour qu'il n'y ait pas d'autre mauvaise surprise. La moyenne tombe. Et fesses serrées et doigts crispés, le voyage n'est pas des plus confortables...

- « Ouf, voilà la station en vue ! Ça va le faire ! » se rassure Monsieur Mouton. Et effectivement, si la jauge est maintenant dans le rouge, la voiture peut prendre la sortie en direction de la station service et se dirige vers les bornes électriques salvatrices. Monsieur et Madame Mouton en sont à deux heures et quarante cinq minutes de route depuis qu'ils ont quitté Rennes.

Mais qu'est-ce que cette file de voitures à la queue leu leu, devant eux ? Ne serait-ce pas la file d'attente pour les bornes électriques !!

Bon, il va falloir prendre son mal en patience.

Une demi-heure plus tard, une place se libère enfin à la borne électrique. Monsieur Mouton choisit l'option recharge rapide, afin d'écourter au maximum l'arrêt. Ça ne remplira pas la batterie au maximum, mais de toutes façons, quitte à devoir faire un deuxième arrêt-recharge d'ici Le Touquet...

Monsieur Mouton est stupéfait du coût de cette recharge rapide. Il ne s'attendait pas à un tel montant. De toute évidence, il l'avait largement sous-estimé, voire carrément négligé.

Et trois heures et demi après le départ de Rennes, la belle voiture électrique reprend la route... jusqu'au prochain arrêt-recharge. Cette fois, histoire de ne pas se refaire une frayeur, Monsieur Mouton s'arrêtera à une station située 160 km plus loin, pour se donner une marge de sécurité. Et il y passera à nouveau près d'une heure, attente dans la file et temps de recharge compris.

C'est avec un soulagement certain que Monsieur et Madame Mouton arrivent enfin chez les Normie au Touquet, au terme de plus de 7 heures de trajet. Soit 50% de temps de plus qu'une voiture à moteur thermique. Monsieur Mouton cogitera tout le week-end sur son aventure et appréhendera le voyage-retour.

Sa décision est prise. Une fois rentré à la maison, c'est sûr, il tentera de vendre sa belle voiture électrique. D'autant qu'en y réfléchissant, il se dit que l'Etat ne va évidemment pas se priver de la manne financière colossale que représente la consommation d'une essence et d'un gasoil taxés à 80%. Et que bien évidemment, à moyen terme, il se refera la santé en taxant à mort l'électricité dispensée dans les bornes électriques privées et publiques de recharge pour automobile. Et le gain économique disparaîtra. Ne resteront plus que les inconvénients.

Ce que n'a pas encore anticipé, à ce stade, Monsieur Mouton, c'est que les voitures électriques d'occasion se vendent fort mal. Et donc à vil prix. Il le comprendra bientôt.

Il lui faudra alors juste espérer qu'avant de pouvoir vendre sa belle voiture électrique, il ne lui arrive pas un gros choc. Parce que souvent, les batteries électriques faisant partie intégrale de la structure du véhicule, une voiture salement amochée est alors irréparable et juste bonne à être envoyée à la casse.

Monsieur Mouton croisera à nouveau les doigts.



Pour bien vous faire comprendre et accepter qu'à l'avenir, la société occidentale devra impérativement être métissée et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper. 








En réponse modeste à ce matraquage, Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur.

lundi 9 décembre 2024

Heil La Hyène!

 


Le IVe Reich allemand continue son expansion. La Fürher La Hyène troque l'écroulement de l'agriculture française contre l'exportation de véhicules allemands en Amérique du Sud avec les accords Mercosur. Heil La Hyène !

Son caniche Macreux émet un petit jappement de circonstance pour manifester son opposition sa vive désapprobation son désaccord son peu d'enthousiasme sa timide divergence sa légère disconvenance, puis retourne à sa gamelle du moment : la réouverture de la cathédrale Notre-Dame. Nous y reviendrons plus loin. « Epidabord, le Mercosur, c'est pas ma faute, c'est la faute des irresponsables qui ont censuré le gouvernement ! » ose dire celui qui a assisté sans bouger depuis des mois aux déclarations de La Hyène annonçant que la signature de ces accords étaient en bonne voie. Heil La Hyène !

La Hyène aurait pu être distraite par le procès qui lui est intenté au sujet de ses entretiens très discrets avec le PDG de Pfizer ayant pour sujet l'achat des pseudo-vaccins Covid. Qu'à cela ne tienne : le procureur devant assister au procès a eu probablement piscine et ne s'est pas présenté.

Heil La Hyène !

Le procès est donc remis sine die. En français, cela signifie « La Fürher a autre chose à faire que de répondre aux doléances des gueux qui peuvent bien aller se faire foutre ! Heil La Hyène ! ».

C'est la démocratie, revue et corrigée par l'UErss. Une sorte d'euro-démocratie. La « démocratie », vous savez, cette valeur occidentale pour laquelle les contribuables de l'UErss déversent des tombereaux de pognon à l'Ukraine pour la défendre. Il faut comprendre les règles de cette euro-démocratie : Poutine qui est élu au suffrage direct, est un dictateur. Mais le joueur-de-piano-avec-sa-bite qui n'est plus élu depuis 7 mois et est toujours cramponné à son trône, est un héros pétri d'humanisme. Bon, il enrôle certes de force sa jeunesse ukrainienne pour l'envoyer au casse-pipe dans un conflit qu'il n'a aucune chance de gagner, mais, comprenez-vous, c'est l'effort nécessaire pour défendre cet humanisme. Heil La Hyène !

Et toujours en euro-démocratie, le vote, c'est important. Mais il faut « voter bien », évidemment. En Roumanie, quand on vote mal, l'UErss pèse de tout son poids sur le Conseil Constitutionnel roumain pour annuler l'élection prévisible de Georgescu, candidat anti-UE revendiqué. Pour cela, il lui suffit d'évoquer une « ingérence étrangère », suivez son regard : celle de la Russie, bien sûr. Car quand l'UErss se mêle des élections en Roumanie, ou en Georgie, qui ne fait pas (encore) partie de ce IVe Reich, ce n'est pas de l'ingérence ; c'est du soutien bienveillant. Nuance ! Et aujourd'hui, on tente d'intimider Georgescu en le privant d'électricité et d'internet !! Voilà à quoi en sont réduites les forces européistes démocratiques!! Heil La Hyène !

Et étant donné le nombre de bases militaires de l'OTAN installées sur le territoire roumain, il ne s'agirait pas qu'un candidat ayant peu de sympathie pour l'UErss et plutôt compréhensif des intérêts de la population roumaine qui a pour voisin une Russie en guerre, accède au pouvoir. Heil La Hyène !

Cette « ingérence étrangère » s'exercerait par le réseau social Tik Tok (réseau social chinois et non pas russe, mais passons, ne nous laissons pas distraire par ce détail). Que le citoyen ne se laisse plus manipuler par la Presse aux ordres de l'oligarchie et aille chercher ses informations sur les réseaux sociaux, est inconcevable, bien entendu. Quand 100% des médias mainstream français, possédés par une petite mais toute puissante oligarchie de 9 milliardaires, soutenaient unanimement la candidature de Macreux en 2017, ça n'a rien à voir avec une ingérence, bien sûr. C'était de l'information civique.

Quand le réseau Twitter défendait mordicus la politique sanitaire de défense des intérêts de Bigpharma et censurait toute voie discordante, ce n'était pas non plus de l'ingérence par réseau social. C'était de l'information scientifique à portée du gueux ignorant. Ne pas confondre.

Quand le premier ministre slovaque Fico ne fait pas montre d'un grand enthousiasme pour la politique anti-Poutine de l'UErss de La Hyène, il fait l'objet d'une tentative d'assassinat. Un hasard, certainement. D'ailleurs, ça serait faire preuve de mauvais esprit de remarquer que seuls les ennemis, ou supposés tels, du IVe Reich de La Hyène, sont menacés de mort : Fico en Europe, Trump aux USA. A propos, comment va Orban ? Toujours serein pour sa sécurité ? Heil La Hyène !

Bref, le projet du III e Reich d'Hitler de régime dictatorial sur le continent européen est en bonne voie. C'est vrai qu'il connaît, depuis 1945, l'appui non négligeable, des Etats-Unis. Ou plutôt de l'oligarchie mondialiste qui manipule ce pays.

Il va être intéressant de voir si l'arrivée de Trump au pouvoir à Washington va changer la donne. L'oligarchie mondialiste orchestrant tous les rouages de l'état profond américain a évidemment peu de sympathie pour Trump. Ce dernier pourrait bien être le grain de sable qui viendrait gâcher le bon déroulement de l'installation de ce IVe Reich européen. On n'est pas la cible de trois tentatives d'assassinat juste parce qu'on ne parle pas le langage feutré et aseptisé du politicard moyen.


Mais revenons à la gamelle du moment du caniche de La Hyène: la réouverture de Notre-Dame. Après avoir mis le pays dans la mouise sur tous les plans, s'être montré incapable de nommer un premier ministre compétent pour former un gouvernement à même de tenir la route après une dissolution du Parlement qui relève du caprice du moutard contrarié, il ne reste plus à ce tocard qu'à inaugurer les chrysanthèmes. Le chrysanthème idéal étant aujourd'hui la cérémonie de ré-ouverture de la cathédrale, après un incendie d'origine hautement suspecte. Tellement suspecte que l'enquête qui devait en identifier les causes est classée « secret défense » !! La présentation, immédiatement après les faits, de la théorie fumeuse – c'est le cas d'employer ce terme- du mégot de cigarette mal éteint, laissait évidemment peu de doute sur l'intention, en haut-lieu, de faire croire à une cause accidentelle. Et la récupération politique de cette reconstruction et de la réouverture des lieux, récupération ô combien opportune en ces temps orageux, par le psychopathe élyséen, laisse grande ouverte l'hypothèse d'un attentat délibéré organisé à un très haut niveau étatique... D'où le classement secret défense. (Voir les articles des 16 et 27 avril 2019 de ce blog, traitant de cet incendie.)

Toujours est-il que celui qui a toujours nié l'existence d'une culture française d'essence chrétienne, se complaît à se servir aujourd'hui de ce symbole national patrimonial d'excellence pour tenter de redorer son blason. Et pour cela, il n'a pas hésité à braver l'avis épiscopal (et la loi !) qui s'opposait à ce qu'il se serve de ces lieux sacrés pour y discourir. Ce qu'aucun roi ni empereur ne s'est autorisé à faire, le plus minable et malfaisant président de la république que la France ait connu, l'a fait. C'est dire le niveau stratosphérique de l'ego du personnage.

Bien entendu, cette cérémonie d'ouverture a été à l'image du saltimbanque raté reconverti en politique. Le caractère sacré des lieux a été complètement effacé. Passons rapidement sur le mobilier qui évoque davantage les cuisines Ikéa que le trésor des Templiers. Passons tout aussi rapidement sur la tenue bariolée de l'archevêque Ulrich déguisé en réclame pour Google Chrome, et qui a permis à un « créateur catholique » (dixit Le Parisien), connu pour ses œuvres de pop art, de se faire une petite publicité à bon compte. On évaluera au passage le degré de soumission de cet archevêque à la caste politico-artistique du moment, pour s'être laissé ainsi affubler de cet accoutrement par un prétendu artiste qui affirme sans rire qu' « on ne peut acquérir mes habits liturgiques que par son âme » ! Gageons que cet éminent artiste n'a pas été payé uniquement par des prières du Clergé pour le salut de son âme !

En outre, on ne peut pas dire que les artistes conviés à animer cette soirée étaient connus pour leur engagement religieux... Non, Notre-Dame a été, le temps de cette cérémonie où s'est pressée une foule de politicards et de pseudo-élites sans foi (ni loi), une vulgaire salle de spectacle pour le gratin occidental malfaisant. Saucisson-Pinard s'est d'ailleurs pris à penser qu'un missile hypersonique venu de l'est, nous aurait débarrassé d'une seul coup d'un seul, d'une clique malfaisante. Comme quoi, Poutine n'est pas forcément aussi pragmatique qu'on veut bien le croire. Et puis, Saucisson-Pinard s'est ravisé en se rappelant que Trump était là et que La Hyène n'y était pas. Et qu'il s'agit de Notre-Dame, quand même ! Non, il faudra penser à une autre occasion...

Trêve de rêverie, on constate que comme tout ce que touche Macreux, le résultat a été pitoyable.


Jusqu'à quand acceptera-t-on de subir ces fossoyeurs de liberté, ces contrefacteurs des valeurs occidentales, ces suppôts de régime totalitaire, ces petits pions, conscients ou pas, de l'oligarchie mondialiste, ces disciples de Soros, de Schwab, ces exploiteurs de crédulité et d'ingénuité, ces guignols incompétents ? En bref, quand sortira-t-on de cet enfer d'Union Européenne ?

 

 

Pour bien vous faire comprendre et accepter qu'à l'avenir, la société occidentale devra impérativement être métissée et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper. 






En réponse modeste à ce matraquage, Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur.

 

jeudi 28 novembre 2024

Macreux rend des comptes...

                                 


           

Ce jour-là, dans la grande salle du Forum Economique Mondial, à Davos...

- Emmanuel, tu es aujourd'hui face à nous, membres du Bureau du WEF car nous t'avons convoqué en raison de la situation en France qui commence à nous inquiéter sérieusement. Tu remarqueras la présence très attentive, parmi nos membres, de Larry Fink, PDG de Black Rock. C'est dire si nous nous interrogeons sérieusement sur ta capacité à répondre à la mission dont nous t'avons chargé depuis ton entrée dans le monde politique en France.

- Klaus, je suis...

- « Monsieur Schwab », si tu veux bien, tu sembles oublier le respect que tu dois à ceux qui t'ont fait !

- Oui, excusez-moi, Monsieur Schwab ! Je disais que j'étais heureux d'être ici aujourd'hui pour vous faire le compte-rendu de tout ce que j'ai fait pour votre... euh, je veux dire, pour notre cause !

- Nous t'écoutons.

- Eh bien, vous pouvez constater que j'ai quand même bien bradé la plupart de nos fleurons industriels au bénéfice de groupes américains. La part de l'industrie dans le PIB total n'a jamais été aussi bas.

- Nous lisons dans la presse française que ton pays est dit « attractif pour les investisseurs étrangers ».

- Oui, bien sûr, j'ai su attirer ces investisseurs qui peuvent ainsi s'accaparer nos brevets, nos savoir-faire, et acheter nos entreprises pour ensuite, les délocaliser chez eux où dans d'autres pays au bas coût de main d'oeuvre ! Vous remarquerez d'ailleurs que, si les médias sont aussi conciliants sur mes actions, c'est parce que j'ai su, via les oligarques liés à votre... à notre cause, les acheter. Des milliards d'euros de nos contribuables arrosent nos organes de presse, aussi bien dans le service public que dans le privé. Et pourtant, la Presse sait pertinemment que la production manufacturière n'est plus que de 9% du PIB, alors qu'elle était encore à 11% en 2017. Elle sait que la France produit cette année 700 000 véhicules de moins qu'il y a 7 ans. Et il n'y a pas que les grosses entreprises qui réduisent leur production ou ferment. Il y a chaque année deux fois plus de fermetures de PME qu'il y a 7 ans à mon arrivée à l'Elysée !

- Qu'as-tu fait d'autre pour mettre ton pays à la botte de notre cause mondialiste ?

- La liste serait longue, Monsieur Schwab ! Vous savez comme j'ai en horreur le concept de nation. Et je fais tout pour discréditer la France en tant que nation. Regardez par exemple comme sur le plan diplomatique, je fais de mon mieux pour rendre la France parfaitement inaudible. J'ai bien compris qu'un gouvernement mondial ne pourra s'installer à terme qu'après une dissolution des peuples d'origine. Et vous ne contesterez pas mes efforts pour favoriser l'invasion migratoire.

- Certes, certes, Emmanuel, mais la destruction de la France sera forcément la résultante d'actions multiples et concomitantes !

- J'en suis parfaitement conscient, Monsieur Schwab. J'en parlais encore récemment avec le fils Soros, Alexander, que j'ai reçu à l'Elysée. Et il a tenu à me remercier de mes efforts à appliquer les recommandations de son père pour détruire les fondations de la société française. Messieurs, vous ne pouvez pas nier que je suis en train de ruiner littéralement le pays qui sera bientôt à la merci de ses créanciers. Vous savez que j'ai augmenté la dette publique de la France de plus de mille milliard d'euros en moins de 7 ans. Le déficit public, en pourcentage du PIB, a été triplé dans le même temps. Donc l'état dépense toujours plus, tout en diminuant la qualité des prestations qu'il dispense: j'ai réussi à diminuer le nombre de lits d'hôpitaux dans ce pays vieillissant où la demande de soins est donc, de ce fait même, en augmentation. D'une façon générale, les services publics sont toujours plus dispendieux et inefficaces. L'Education Nationale, par exemple, est un désastre avec une chute vertigineuse de notre classement PISA. La Justice est un naufrage, la délinquance explose.



La balance commerciale de la France est aujourd'hui 50% plus déficitaire qu'elle n'était lorsque vous m'avez mis au pouvoir en 2017. Les conséquences de ma politique est que le nombre de pauvres a dépassé les 9 millions. Cela a une conséquence directe sur le taux de natalité qui est en chute libre : les Français n'arrivent plus à joindre les deux bouts et sont pessimistes sur l'avenir, et donc ne font plus d'enfant. Par exemple, j'ai réussi, avec l'aide de l'Union Européenne, à leur rendre l'électricité hors de prix, en la rendant 75% plus chère qu'en 2017 alors qu'à l'époque, nous étions autonome dans sa fabrication et qu'on pouvait même en exporter à l'étranger.

- Comme tu le dis toi-même, l'UE est pour beaucoup dans le déclassement de ton pays qui va nous permettre de le soumettre à nos intérêts ! Mais elle est notre création ! Tu ne fais que profiter de sa nuisance.

- Oui, Monsieur Schwab, mais vous reconnaîtrez que je ne ménage pas mes efforts pour engager la France toujours plus avant dans sa soumission à l'UE. D'ailleurs, sa contribution financière n'en finit plus d'augmenter : + 36% en 7 ans ! Plus rien d'important ne peut maintenant se décider sans l'aval de la Commission Européenne. Monsieur Schwab, si j'osais une image, je dirais que je suis en train de vous livrer la France pieds et poings liés à notre cause mondialiste. En outre, si je ne réclame pas la paternité du wokisme qui vous sert à anéantir les fondations mêmes de la société occidentale, vous reconnaîtrez que rien dans mes actes et propos n'entrave son travail de sape des valeurs originelles de la France. Vous aurez ainsi apprécié, je n'en doute pas, les cérémonies d'ouverture et de clôture des JO de Paris, dans lesquelles je me suis tant investi. Sur un autre sujet, vous ne pouvez pas me reprocher de ne pas participer à la propagande climatique que vous avez lancée au niveau mondial pour, à la fois, servir les intérêts financiers de l'oligarchie mondialiste et imposer l'asservissement des peuples aux politiques en instillant la peur !

- Oui, Emmanuel, nous entendons bien tout ceci. Mais ce qui motive ton audition aujourd'hui dans nos bureaux, c'est la situation politique dans laquelle tu es aujourd'hui. Tu as pris cette décision irréfléchie et capricieuse d'enfant frustré, de dissolution du Parlement après la raclée que ton parti a prise aux élections européennes, alors que tu avais encore un gouvernement à ta botte. Du coup, aujourd'hui, tu ne maîtrises plus rien, tu as un gouvernement qui ne t'est pas soumis mais qui n'a pas non plus les mains libres pour faire quoi que ce soit. Bref, tu es sur la touche, et à part faire des tweets sur des sujets complètement anodins, comme sur une victoire de pongistes français par exemple, ou aller faire un discours à Notre-Dame devant des caméras, tu ne sais plus quoi faire. Et ça ne sert pas trop nos intérêts, tout ça.

- Excusez-moi, Monsieur Schwab, mais mon Premier Ministre Barnier est un petit pion européiste très fidèle, et à ce titre, peut continuer à nuire aux intérêts et à la souveraineté de la France aussi bien que moi. Quant à ma prestation prévue dans Notre-Dame, elle a deux buts. D'abord tenter de redorer auprès du gueux de base mon blason, qui, je vous l'accorde, en a bien besoin. Mais aussi, je dois dire qu'investir un haut-lieu du catholicisme- alors que je suis délibérément à tendance sataniste- et une pièce maîtresse du patrimoine culturel historique français que j'abhorre, est une satisfaction toute personnelle. Pensez que jamais aucun roi n'a jamais osé se servir de Notre-Dame pour y discourir au profit de sa cause. Mais, moi, je vais le faire ! Et ce, en bravant les articles de loi interdisant tout discours politique dans les édifices religieux. Je me dois de montrer au bas-peuple que je suis ici le maître et que je peux me dispenser de respecter les lois. Et enfin, chers membres du WEF, vous n'êtes évidemment pas sans savoir que cet incendie de Notre-Dame n'a rien à voir avec un mégot de cigarette malencontreusement tombé sur une poutre. Et que l'enquête en charge d'en trouver les causes est restée sous le boisseau, avec la disparition aussi opportune que suspecte d'un haut responsable chargé de cette enquête... Il est donc normal que, cinq ans plus tard, je récolte les fruits de ce que j'ai semé avec mes services occultes.

- Fort bien, Emmanuel, mais à part satisfaire ton narcissisme, que comptes-tu faire pour servir nos intérêts ?

- Monsieur Schwab, messieurs, vous reconnaîtrez que je fais mon possible pour entraîner la France dans un conflit avec la Russie. Même dans ce gouvernement où vous avez dénoncé il y a quelques minutes ma supposée impuissance, il y a un ministre des Affaires Etrangères qui est un va-t-en-guerre forcené que je ne peux pas renier. Je suis en train, comme vous savez, de comploter avec mon alter-ego britannique pour envoyer des troupes en Ukraine et ainsi engager officiellement la France dans ce conflit, avec l'espoir d'être partie prenante dans une potentielle IIIe guerre mondiale. Et ce, sans jamais avoir consulté le Parlement, et encore moins le peuple. Monsieur Link de Black-Rock ici présent, qui possède les 2/3 des terres cultivables d'Ukraine, pourra reconnaître mes efforts pour lui assurer ainsi la préservation de ses intérêts là-bas.

- Bien, Emmanuel, nous t'avons entendu. Nous continuons de t'observer attentivement. Tu sais que notre cause est sérieusement menacée depuis l'élection de Trump. Nous avons deux mois avant son investiture officielle pour agir. Nous comptons sur toi pour accélérer cette implication de l'Europe dans ce conflit qui pourrait nous sortir cette épine-Trump du pied. Il va de soi que si tu échoues, nous te lâcherons et te remplacerons. Et je ne te promets pas que tu pourras juste partir profiter sous des cieux plus cléments, de ton pécule amassé dans les paradis fiscaux. Tu n'ignores pas qu'un accident est vite arrivé. Ou qu'avec tous les déséquilibrés psychiatriques qui circulent dans le monde, il n'y a plus d'endroit vraiment sûr, n'est-ce-pas ? Est-ce que nous nous sommes bien fait comprendre, Emmanuel ?

- Oui, Monsieur Schwab. Vous pouvez compter sur moi.

- Alors, va.

 

 

Pour bien vous faire comprendre et accepter qu'à l'avenir, la société occidentale devra impérativement être métissée et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper. 




En réponse modeste à ce matraquage, Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur.

 

jeudi 14 novembre 2024

Election de Trump: Joie et soulagement.

 


L'élection de Trump est pour Saucisson-Pinard le motif d'une double satisfaction. La première d'entre elles est bien évidemment de voir s'éloigner la perspective d'une troisième guerre mondiale, vers laquelle l'état profond des néo-conservateurs américains veut de toute évidence entraîner l'Europe, par proxy.

La seconde satisfaction a été, et est encore, de voir chaque jour la mine déconfite de toutes les personnalités médiatiques du monde de la Presse et du show-business. Elles ont oeuvré depuis des mois et des mois à nous faire croire que la Harris était ce qui pouvait arriver de mieux au monde entier et que Trump était un nouvel Hitler en pire. Pour ne rester qu'en France, goûter avec délice à l'amertume d'un Yann Barthès a été pour Saucisson-Pinard son unique motivation à regarder, pour une fois, son émission de bobos gauchos.

Entendre une Lapix, un Duhamel, une Lucet et tant d'autres, prendre un ton de deuil pour disserter sur cette victoire qu'ils n'ont pas vue venir, a été une sucrerie à savourer avec délice.

Imaginer la colère d'un de Niro aigri et la déconfiture de toutes ces stars et starlettes d'Hollywood qui ont soutenu, parfois, il faut le reconnaître, contre monnaie sonnante et trébuchante, la candidature de cette nullité hilare de Harris, est un élixir anti-déprime pour Saucisson-Pinard.

Et il attend avec impatience que « toutes-celles-zé-ceux » qui ont promis de s'exiler des Etats-Unis en cas d'élection de Trump, mettent leur promesse à exécution... pourvu que la France ne soit pas leur choix de nouvelle résidence, évidemment.


Se réjouir de la contrariété d'autrui n'est certes pas charitable. Mais Saucisson-Pinard assume parfaitement cette inconduite. Ces éternels donneurs de leçons qui cultivent l'entre-soi, qui participent à la diffusion d'une propagande mondialiste qui les dépassent souvent, qui sont parfois payés par le contribuable lorsqu'ils émargent dans le service public médiatique, ont été tellement odieux et insupportables d'arrogance et de mépris à l'égard des mal-pensants, que les voir pleurer et mâcher leur dépit aujourd'hui est une juste et jouissive revanche. Le positionnement politique de certaines personnalités du show-bizz permet également, pour Saucisson-Pinard, d'enrichir sa liste d'acteurs et actrices à boycotter, établie lors de l'épisode Covid, qui récapitule ceux qui ont milité ouvertement en faveur des mesures coercitives prises à l'époque.


Au-delà de cette satisfaction toute personnelle, ce vote américain est aussi le signe positif d'un changement majeur en Occident. Il y a eu ici et là, en Europe, d'autres signes avant-coureurs, avec notamment un virage à droite dans plusieurs pays. Il ne s'agissait pas encore, à l'évidence, d'une vague de fond ; au mieux quelques vaguelettes. L'élection de Trump est, en revanche, la preuve que l'état profond, cette machine d'une auto-destruction du monde occidental, n'est plus invincible. Il y a clairement une fissure dans le Système.

On constate ainsi que le peuple américain, matraqué par les médias de grands chemins tous acquis à la cause de l'oligarchie mondialiste, a pris ses distances vis à vis d'eux, et se réfugie de plus en plus dans les médias dits alternatifs, plus indépendants, plus diversifiés dans leurs positionnements politiques. C'est une tendance, moins marquée en France, mais néanmoins en développement, et c'est une bonne chose pour la liberté d'expression, qui est actuellement sérieusement mise à mal en Occident et particulièrement en France.

On dit que tout ce qui arrive aux Etats-Unis finit par arriver en Europe avec quelques années de retard. C'est historiquement assez vrai et on peut donc voir poindre un petit peu d'optimisme à l'horizon.

Si Trump s'attaque vraiment à la bureaucratie dévoreuse de crédits et source d'inefficacité, cela pourrait être une belle leçon à suivre pour la France.

Si Trump rétablit la paix en Ukraine, ça serait une fessée à cul nu pour tous les va-t-en-guerre européens, à commencer par Macreux. Ça pourrait aussi être le début de la fin de cette UErss et de sa dictateur La Hyène.

Si Trump remet le nationalisme au goût du jour, ça serait une bonne chose économiquement pour les Etats-Unis, mais, dans un premier temps, une pilule dure à avaler pour les économies européennes trop ouvertes et trop dépendantes de l'économie américaine. Elles seront alors contraintes, avec un temps de retard, à retrouver souveraineté, protection, et le sens des priorités nationales. Et cela aussi contribuera à l'écroulement de cette institution parasite qu'est l'Union Européenne.

Si Trump met en place, comme promis, une politique efficace contre l'immigration, cela pourrait, enfin !, donner des idées aux gouvernants européens.

Si Trump s'attaque à Bigpharma, il y aura de quoi se réjouir pour la santé des Américains. Mais il faudra veiller à ce que ce pan de l'oligarchie mondialiste ne se retourne pas sur l'Europe pour se refaire... une santé !

En bref, avec l'évolution rapide des BRICS et l'arrivée de Trump au pouvoir, le monde est en train de changer à toute allure. Et, à de nombreux points de vue, il change plutôt favorablement. Mais pour la France, complètement sclérosée depuis des décennies, ce changement se fera dans la douleur. Ça sera un peu la douleur d'un accouchement, avec la fin heureuse d'un enfantement.

 

 

Pour bien vous faire comprendre et accepter qu'à l'avenir, la société occidentale devra impérativement être métissée et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper. 


En réponse modeste à ce matraquage, Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur.

 

samedi 26 octobre 2024

Lettre N°2 à Michel Barnier: La Justice

 


Très très cher * Monsieur Barnier,

Comme je m'y suis engagé dans mon précédent courrier (voir post du 16 octobre 2024), je vais poursuivre mes propositions d'idées de réformes, puisque, décidément, vous me paraissez être bien démuni d'initiatives.

L'objet de ce courrier N°2 est la Justice. Et tout comme les mesures proposées pour régler le problème de l'immigration dans mon courrier précédent nécessitaient un certain nombre de préalables, là aussi, une réforme de la Justice va requérir des décisions initiales.


La première d'entre elles demandera la suppression, ou à tout le moins, la refonte du Conseil Constitutionnel. Cette institution prévue par le Général de Gaulle a été complètement dévoyée par le politique. Elle est devenue un fourre-tout de personnel politique sorti de l'arc démocratique, pour recaser des copains quipeuvent y exercer un pouvoir, non de surveillance de compatibilité avec le texte de la Constitution, mais d'ingérence du pouvoir de l'état profond manipulé par l'oligarchie mondialiste, pour court-circuiter les initiatives de représentants du peuple. Il faudra donc virer les crapules qui y siègent, à commencer par Fabius, dont le passif entaché, entre autres, du scandale du sang contaminé aurait dû l'envoyer directement en prison purger sa peine, plutôt que de lui confier un poste honorifique où il peut continuer à exercer sa nuisance.

Si on estime que le Conseil Constitutionnel doit continuer à exister, il faut qu'il soit exclusivement aux mains de purs juristes professionnels, apolitiques, avec pour mission de veiller à ce que la Constitution soit respectée dans ses textes, et non pas dans des interprétations idéologiques.

Il en va de même du Conseil d'état. Ce Conseil est en théorie une institution de défense des citoyens face à l'Administration. C'est un organe purement juridique qui ne devrait donc n'avoir pour seul moteur de fonctionnement, des arguments de juristes. Or les membres du Conseil d'Etat sont choisis par le président de la République, ce qui entache du fait même, leur objectivité dans leurs décisions. Au passage, on remarquera le niveau particulièrement élevé du salaire d'un membre de ce Conseil d'état (14 000 € brut, salaire qui peut se cumuler à une retraite), soit à peine moins que le salaire du Président (16 000 €). On comprend donc que la nomination au Conseil d'état peut aisément être une affaire de copinage, ce qui met directement à mal l'indépendance qu'on devrait attendre de cette institution.

Le second préalable aux propositions qui vont suivre est donc un grand coup de balai dans la désignation et le fonctionnement de ce Conseil d'état, si tant est qu'il faille, d'ailleurs, en garder un...

Donc une fois le ménage fait dans ces deux institutions qui se sont pourries au fil du temps, vous pourriez, Monsieur Barnier, travailler efficacement.


IL EST GRAND TEMPS DE JUGER LES JUGES.

Que reproche-t-on à la Justice ? D'être trop laxiste. Il est grand temps de commencer à juger les juges. Après tout, les juges sont des employés du peuple en charge d'appliquer la Justice : rien d'autre. Et quand un employé fait mal son travail, on prend des mesures pour qu'il s'améliore. Et si ce n'est pas possible, on s'en débarrasse.

La question est alors de trouver un critère d'évaluation du travail de cet employé. On pourrait noter sa rigueur, sa tolérance, sa mansuétude ou carrément son laxisme, avec un critère objectif et quantifié. Ce critère pourrait d'ailleurs s'appliquer aussi à un procureur, qui n'est jamais, lui aussi, qu'un employé au service du peuple.

Imaginons qu'un accusé soit reconnu coupable d'un délit passible, selon la loi, de 6 ans d'emprisonnement maximum. Imaginons que le procureur demande 4 ans de prison et le juge finit par décider une peine de 2 ans seulement. Avec le ratio 4 ans demandés pour 6 possibles, le procureur obtiendrait donc une note de 6,67 sur 10, et le ratio du juge de 2 ans infligés pour 6 possibles, lui octroierait une note de 3,33 sur 10. Une telle notation serait appliquée à chaque jugement que le procureur aurait à requérir et le juge à infliger tout au long d'une année d'exercice. Cela donnerait pour l'un comme pour l'autre une note moyenne en fin d'année, qui permettrait de voir à quelle catégorie de magistrat nous avons affaire. Il est clair que si la note moyenne d'un juge ou d'un procureur au terme d'un an d'exercice est de 3 ou 4 sur 10, il serait classé comme délibérément laxiste. Une sanction appliquée par le ministère de la Justice aurait donc impérativement sa justification : coup d'arrêt dans l'évolution de carrière du juge ou du procureur incriminé, mutation, sanction financière, mise en retraite anticipée, voire licenciement. Nul doute que les juges et les procureurs sortiraient alors de cette sphère d'impunité dans lesquels ils officient depuis toujours.

Pour éviter que ces magistrats ne fassent passer leur idéologie avant leur devoir professionnel, il conviendra évidemment de dissoudre le Syndicat de la Magistrature, et pour le ministère de la Justice d'avoir ses – désormais- ex-membres, à l'oeil.

Il va de soi que le nombre de relaxes et « d'affaires classées sans suite » décidées par chacun de ces juges durant un an d'exercice sera également observé avec discernement, afin de repérer les cas où ces décisions arrivent un peu trop souvent pour être juste le fruit du hasard.

On pourrait aussi envisager que la nomination de ces juges soit, comme aux Etats-Unis, soumis à une élection citoyenne. Le votant aurait évidemment sous les yeux, la note du candidat à côté de son nom, sur le bulletin de vote... Le peuple aurait ainsi la Justice qu'il désire.

 

3 NIVEAUX D'ETABLISSEMENT PENITENTIAIRE

Se pose aussi la question du nombre de places en prison. Notons qu'avec le renvoi dans leurs pays d'origine des condamnés étrangers au terme d'un minimum de deux ans d'emprisonnement, comme proposé dans mon courrier précédent, un nombre considérable de places serait libéré dans les prisons françaises. Mais la construction de nouveaux établissements pénitentiaires resterait néanmoins nécessaire. Cela pourrait être l'occasion d'établir une gamme de trois niveaux de prison.

Une prison de ce qu'on pourrait appeler «  de niveau 1 » pour les peines les plus légères, avec un confort relatif et un champ de permissions plus étendu : nombre de visites de l'extérieur plus important, nombre d'appels téléphoniques autorisés plus élevé, plages de temps de « récréation » plus nombreuses, permissions de sortie plus nombreuses. Equipement en matériel d'éducation culturelle et en matériel sportif plus conséquent.

Une prison « de niveau 2 » dans laquelle toutes ces prestations, libertés et dotations seraient beaucoup plus limitées. Cette prison N°2 serait réservée pour les peines plus lourdes et pour les cas de récidive après peine purgée en prison de niveau 1.

Et enfin la prison « de niveau 3 » pour les cas les plus extrêmes, où le dénuement et la dureté du séjour resteraient la règle. Y seraient envoyés les condamnés jugés comme irrécupérables pour la société, et ceux qui seraient jugés et condamnés pour récidive après une condamnation en prison de niveau 2.

Bien entendu, dans les trois niveaux de prison, le travail serait obligatoire. S'y soustraire impliquerait pour les récalcitrants la perte de certains avantages et un durcissement des conditions de détention.

Le chiffre d'affaire découlant de ce travail faiblement ou non rémunéré selon le niveau de la prison, viendrait en financement partiel du coût pour la société, de ces internements.

Le grand principe sur lequel il faudrait revenir, serait celui de l'intouchabilité de la peine prononcée par un juge. Le condamné à 2 ans de prison resterait, dans tous les cas, sans aucune exception ni recours ou révision possible, derrière les barreaux 730 jours.

Pour tenir compte du rajeunissement de la délinquance, notamment dans celle observée dans le trafic de drogue, il est temps de faire descendre l'âge de l'excuse de minorité à 15 ans.

Enfin, un référendum pourrait être lancé avec pour sujet le rétablissement de la peine de mort pouvant être requis pour les cas les plus graves de délinquance comme le meurtre des plus fragiles de nos concitoyens : enfants, et femmes. Le meurtre de membres de force de l'ordre pourrait aussi faire l'objet d'une telle peine requise par un procureur.


Comme tu vois, Michel (avec tous ces échanges que nous avons désormais, on peut maintenant se tutoyer, non ?), tu as du pain sur la planche ! Au boulot ! Et on se retrouve prochainement dans ma prochaine lettre où je t'énumèrerai un certain nombre d'idées pour faire des économies, revenir à un peu plus de rigueur budgétaire et mettre fin à cette gabegie de l'Etat. Parce que sur ce sujet aussi, tu sembles bien tourner en rond et cultiver de vieilles lanternes usées jusqu'à la corde.

A bientôt, donc.

Ton Saucisson-Pinard.


* A ton coût personnel exorbitant de politicard cumulard, s'ajoute maintenant celui de tes nouvelles taxes et impôts que tu es en train de nous concocter. Donc, oui, tu nous es décidément très très cher !

 

 

Pour bien vous faire comprendre et accepter qu'à l'avenir, la société occidentale devra impérativement être métissée et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper. 

En réponse modeste à ce matraquage, Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur.

 

mercredi 16 octobre 2024

Lettre N°1 à M. Michel Barnier

 

Cher* Monsieur Barnier,

Je vois bien que vous êtes à court d'idées pour redresser le pays. Je comprends que votre passé de politicard européiste, rompu au fonctionnement du Système qui détruit méthodiquement notre pays depuis un demi-siècle, vous a obscurci la vue. Je me propose donc de déchirer le voile qui vous empêche de voir la réalité, et de vous donner quelques pistes de réflexion à même de mettre un coup d'arrêt à la descente aux enfers de notre pays.

Bien entendu, le premier préalable à toutes ces mesures qui vont suivre, est la sortie de cette UErss que vous chérissez tant. Retrouver sa souveraineté est de toute évidence la première


étape pour adopter des initiatives qui ne manqueront pas de contrarier les diktats européens. Contrairement à ce que pense un Zemmour, il n'est pas logique de vouloir continuer à appartenir à un club si l'on a l'intention de ne pas en appliquer les règles. D'autre part, rien ne retient la France dans cette UE qui ne manquera pas de s'écrouler d'elle-même lorsque la France, un de ses principaux piliers financiers, se sera dérobée sous elle. L'Allemagne, son autre principal pilier, ne sera pas emballée à l'idée de subvenir seule aux besoins de tous les autres membres qui ne sont pas contributeurs nets de cette construction ubuesque. Ne pas appartenir à l'Union européenne n'empêchera pas la France, pendant le temps de son écroulement, d'avoir des échanges avec ses membres. L'UE a une philosophie mondialiste (et vous la partagez) et ses portes sont grandes ouvertes au monde entier - c'est même un de ses nombreux problèmes - ses membres resteront donc réceptifs à des échanges avec la France, comme ils en ont gardés d'ailleurs avec la Grande Bretagne depuis le Brexit. Il n'y aura pas de « repli sur soi », comme aimeraient à le faire croire vos complices européistes.

Le second préalable est de sortir de l'euro comme monnaie unique et de revenir à une monnaie nationale. Un pays ne peut pas avoir d'autonomie sans avoir sa propre monnaie, une monnaie qui doit être le reflet de son niveau économique propre. Le décrochage de l'industrialisation de la France coïncide de façon spectaculaire avec l'adoption de cet euro qui n'était à l'époque, et est encore, un sosie du mark allemand. Certes, il y aurait au début une dévaluation qui rendrait les produits venant de l'étranger plus chers. Mais la dévaluation est un outil parmi d'autre, de gestion économique. Et les produits français redeviendraient compétitifs à l'étranger, d'où un regain d'industrialisation, donc un regain de création d'emplois, donc de richesses.

Ces deux préalables étant requis, voyons les mesures qui pourraient être prises dans différents domaines. Nous commencerons dans cette première missive que je vous adresse, par le chapitre concernant l'immigration. Les chapitres sur l'économie, la Justice, l'Education, le fonctionnement des institutions et de la démocratie feront l'objet de prochains courriers.


L'immigration.

Les frontières du pays sont rétablies, avec le retour des postes de douanes classiques. Une politique de visa obligatoire pour l'entrée de tout ressortissant non européen doit être instaurée. Des patrouilles militaires sont lancées dans les Alpes et les Pyrénées, et le long des côtes maritimes pour intercepter tous passages clandestins.

La Marine Nationale est mobilisée pour fermer l'accès des eaux territoriales aux bateaux des passeurs ou des associations immigrationnistes.

Ces associations d'origine française sont dissoutes, les associations étrangères n'ont pas de droit d'installation sur le territoire français, les bateaux des unes comme des autres, sont saisis et leurs financements, d'origine française ou étrangères, en deviennent ipso facto interdits.

Le délit de présence non autorisée sur le sol national est rétabli. Les clandestins sont systématiquement arrêtés. La question se pose alors : qu'en fait-on, une fois arrêtés ? S'ils sont en possession de leurs pièces d'identité, ils sont renvoyés systématiquement dans leur pays d'origine, à leurs frais ou, à défaut, à ceux du pays concerné. Un compte serait créé à cette fin et son règlement se ferait d'une façon ou d'une autre : impôt international, droit de douane exceptionnel sur les produits importés de ces pays, taxes sur les voyages des ressortissants venant en France ou passant par la France. Le choix est vaste, il suffit de le vouloir.

Si les clandestins n'ont pas de pièce d'identité, ils sont donc en attente d'un laisser-passer consulaire. Soit le pays concerné octroie ce laisser-passer et tout va bien, le clandestin est renvoyé chez lui. Si le pays d'origine du clandestin refuse ou traîne des pieds à émettre ce laisser-passer consulaire, comme c'est le cas notamment des pays du Maghreb, il convient de prendre des mesures de rétorsion : ne plus donner de visa d'entrée aux ressortissants de ces pays, y compris à leur personnel politique, saisir les biens possédés en France par ce personnel politique, interdire tous transferts d'argent vers ces pays de la part des immigrés installés en France, et évidemment suspendre toute aide financière à ces pays.

En attendant l'obtention de ces laisser-passer, les clandestins resteraient en France. Mais pas n'importe où en France. Des camps de rétention aux Kerguelen les accueilleraient. Les îles Kerguelen, c'est la France. Pas forcément la France qu'ils rêveraient de connaître, mais la France quand même. Charge alors à ces clandestins d'obtenir via leurs familles ou amis restés au pays leur pièce d'identité leur permettant de revenir chez eux comme n'importe quel touriste rentrant au pays. Il conviendrait évidemment, qu'ils payent aussi à la France, avant de quitter les Kerguelen, leur voyage de retour.

Les demandes de visas d'entrée et les demandes d'asile politique devraient se faire exclusivement dans les ambassades françaises des pays de départ. Bien entendu, tout clandestin surpris en France, clairement identifié par photo et empreintes digitales, ne serait pas autorisé à déposer une telle demande, une fois expulsé.

La double nationalité serait supprimée. Les bi-nationaux auraient à choisir leur nationalité unique. Bien entendu, toutes prestations sociales, de toutes natures, seront exclusivement réservées aux personnes de nationalité française. Les bi-nationaux ayant publiquement, d'une façon ou d'une autre, exprimé leur haine de la France, seront déchus de leur nationalité française. Les bi-nationaux ayant été condamnés à une peine de prison supérieure à deux ans et/ou à une peine d'amende supérieure à 50 000 euros pour des motifs de délinquance financière par exemple, en seraient également déchus. Ils seront alors considérés comme de simples étrangers, sans bénéficier des droits réservés aux Français.

Tous ces ex-binationaux ayant choisi de gré ou de force leur nationalité d'origine, auraient à faire, pour rester en France, une demande de visa de séjour limité dans le temps et renouvelable sous certaines conditions, notamment de n'avoir jamais plus été condamné par la Justice.

Les étrangers actuellement en prison en France seraient automatiquement renvoyés dans leur pays d'origine après avoir purgé une peine minimale de deux ans de prison.

Des détails sur ces mesures seront exposés dans un prochain courrier consacré à la Justice.

Voilà, Monsieur Barnier. C'est un bon début, non ?

Bon, si vous en êtes à lire cette ligne, c'est que vous ne vous êtes pas évanoui en cours de lecture. Sachez que vous n'avez encore rien vu de ce qu'il est possible de faire quand on a le courage et la détermination nécessaire; quand on sait se défaire de la soumission au politiquement correct dicté par l'oligarchie mondialiste et véhiculé par les médias qui lui appartiennent. Vous en aurez une idée plus précise à la lecture de mes prochains courriers qui vous exposeront ce qu'il faudra faire dans les domaines de l'Economie, de la Justice, du sociétal, de l'Education Instruction Nationale, de la politique étrangère, pour retrouver un pays où il fait bon vivre, un pays en paix et en sécurité, un pays respecté à l'international.

Votre médecin saura vous prescrire le médicament adéquat pour ralentir votre rythme cardiaque que la lecture de la présente aura pu emballer quelque peu.

Vous pouvez aussi, d'ici la réception de mon prochain courrier, prendre quelques cours de yoga, propres à vous apprendre à acquérir la sérénité nécessaire pour affronter la remise en cause de votre formatage politique si ancien et si profondément ancré.

Bien cordialement, Monsieur Barnier,


Votre dévoué Saucisson-Pinard.


* C'est en considérant le cumul de vos retraites de député, député commissaire européen et aujourd'hui salaire de premier ministre, que oui, décidément, vous m'êtes, ainsi qu'à tous les contribuables français, très cher.

 

 

Pour bien vous faire comprendre et accepter qu'à l'avenir, la société occidentale devra impérativement être métissée et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper. 










En réponse modeste à ce matraquage, Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur.

 

lundi 30 septembre 2024

Cours de gauchisme pour les nuls.

  

                                    

Ce jour-là, dans un amphi de Sciences-Po, Paris.

- Mesdames, messieurs, msieurs-dames et trans, bonjour ! Je me présente, je suis camarade Joseph et aujourd'hui votre professeur de gauchisme. Je sais, Joseph n'est pas un prénom très à la mode, mais je le dois à mes parents en hommage au petit père des peuples, car ils étaient d'authentiques et dévoués staliniens. Mon rôle aujourd'hui est de vous inculquer les valeurs dont nous avons hérité de ce héros communiste. J'ai comme références pour vous donner ce cours de gauchisme, d'avoir portes ouvertes à France Inter, au journal Le Monde, à l'Obs, à Libé, et bien sûr à L'Huma, et en fait, à l'écrasante majorité des médias mainstream français. Votre chance, en étant présent dans cet amphi pour suivre mon cours de gauchisme, est que vous allez pouvoir appartenir au camp du Bien ! Car la gauche est le camp du Bien. Et il est en opposition féroce au camp du Mal, c'est-à-dire à tout ce qui n'est pas de gauche.

Un élève lève la main :

- Est-ce que l'extrême-gauche fait aussi partie du camp du Bien ?

- Quelle extrême-gauche ? Il n'y a pas d'extrême-gauche ! Vous avez déjà entendu un gauchiste évoquer l'extrême-gauche ? Non ! Il n'y a pas d'extrême-gauche ! L'extrême-gauche n'existe pas. Elle n'existe que dans la bouche de la droite. Les gens de droite peuvent, pour se faire bien voir des médias, évoquer l'extrême-droite, ces cons ! Mais jamais les gens de gauche ne parleront d'extrême-gauche. Vous avez donc, dans le monde politique, d'une part la gauche, le camp du Bien, et d'autre part, l'extrême-droite. Rien d'autre. C'est important que vous compreniez et intégriez cette première leçon.

Un autre élève lève la main :

- Mais camarade, ce sont les idées, je suppose, qui sont importantes dans le gauchisme, non ?

- Les idées ? Oui... enfin, les idées, c'était bien d'en avoir dans l'ancienne gauche, la gauche de Michel Onfray. Mais dans la gauche d'aujourd'hui, pour laquelle Onfray est un renégat, c'est surtout les anathèmes et les slogans qui priment sur tout le reste. Puisque nous sommes le camp du Bien, tout ce qui s'oppose à nous est automatiquement du camp du Mal. Et les idées n'ont plus trop de place à occuper. On en revient donc à cette notion de base, essentielle, par laquelle nous avons débuté ce cours. Si vous vous en écartez, vous ne comprendrez plus ce qu'est le gauchisme. Donc, assimilez-la bien.

Le même élève reprend :

- Mais il s'agit bien de s'élever contre la capitalisme et de dénoncer les oligarques qui s'en abreuvent, n'est-ce-pas ?

- Bien sûr ! Le gauchiste est définitivement l'ennemi du Grand Capital !

L'élève poursuit :

- Bill Gates, Schwab, Soros sont donc bien, entre autres, nos ennemis jurés, non ?

- Euh... non ! En gauchisme contemporain, nous ne parlons pas de ces personnes.

- Mais pourquoi ? Il s'agit pourtant d'authentiques oligarques qui ne passent pas pour de grands défenseurs du prolétariat !

- Oui, mais ceux-là nous finan...euh... je veux dire... nous ne les évoquons pas, et en tous cas jamais négativement, parce que ce sont, comme nous, des universalistes. Et l'universalisme, c'est important pour nous autres, les gauchistes. L'universalisme nous commande de ne pas différencier les nations, les peuples. Nous sommes tous des humains semblables, sans racines propres. Nos passés historiques ne doivent pas nous distinguer les uns des autres.

Un élève intervient:

- Les races ne nous différencient pas non plus ?

- C'est un chapitre important que vous abordez là. Il est même essentiel dans le gauchisme. Il y a quinze/vingt ans, nos élites gauchistes ont tenté d'instiller l'idée que les races n'existaient pas. Mais, il faut reconnaître que c'était une idée qui avait du mal à passer. Ils ont donc changé leur kalachnikov d'épaule, et nous avons aujourd'hui une dualité incontournable dans notre discours gauchiste. Il y a les Blancs d'un côté et les « racisés » de l'autre. Ce qui à l'évidence, laisse entendre que les Blancs ne sont pas une race à proprement parler. Les racisés englobent donc tous ceux qui ne sont pas blancs. Africains, asiatiques, arabes, perses, et tous les métissages possibles sont des racisés. D'où la conclusion que les Blancs ne sont pas une race, puisque non « racisés ». Cela permet d'en faire une catégorie à discriminer, ou plutôt à incriminer à toutes occasions, d'en faire la cible de tous les « racisés » réunis en une seule entité.

Pour nous, gauchistes, qui sommes dans le camp du Bien, le « racisé » sera donc toujours prioritaire dans la distribution de notre mansuétude et de notre bienveillance.

Il faut que ce positionnement devienne chez vous une sorte de réflexe, si vous voulez être un bon gauchiste. Tenez, par exemple : si un jeune racisé s'amuse à conduire sans permis, à toute berzingue dans les rues, et fait un bras d'honneur à un flic qui tenterait de lui demander de s'arrêter, il doit bénéficier de votre aimable compréhension. Car il faut bien que ce jeune sans formation ni emploi, puisse se distraire en dehors de ses heures de dealer ou de sentinelle, n'est-ce-pas ? Et si par malheur, le flic qui a le culot de vouloir éviter de se faire renverser, sort son arme et tue ce pauvre jeune racisé, il fait de cette innocente victime de la violence policière, un « ange ». Et nous autres gauchistes, pourrons pleurer sur ce jeune racisé qui aura payé le prix fort du racisme des Forces de l'Ordre à son encontre.

En revanche, prenez le cas d'une jeune Blanche, qui, outre son défaut de ne pas appartenir à la communauté des « racisés », a l'audace d'être une catholique revendiquée, et refuse d'apporter un peu de bonheur sexuel à un migrant racisé en manque. J'attire au passage votre attention sur ce terme de migrant : surtout, n'utilisez pas le mot « clandestin », qui, s'il est sémantiquement exact, est politiquement incorrect, et donc utilisé par les fachos. 

Ce migrant racisé, disais-je, vous le comprendrez aisément, doit passer outre ce manque d'empathie et forcer un peu cette raciste à céder à son besoin bien naturel. Et si par pur hasard, cette raciste blanche perd la vie lors de cette transaction, elle ne pourra évidemment pas bénéficier de notre compassion. En fait, toute tentative d'hommage qui pourrait émaner d'individus, par essence d'extrême-droite, sous forme de minute de silence par exemple, devra être perturbée par une action bruyante et souriante de la part de fiers et courageux compagnons gauchistes. Et des affiches avec le portrait de cette raciste, qui voudraient témoigner sur ce petit fait divers anecdotique, devront évidemment être promptement arrachées par nous, gauchistes du camp du Bien. Car une telle démarche de soutien à la famille de cette jeune raciste et égoïste, sera interprétée comme un insupportable acte politique fasciste. Et avec nous, gauchistes, le fascisme ne passera pas ! Répétez avec moi : No passaran !!

Un élève intervient :

- Mais, camarade Joseph, le fascisme, historiquement, n'est-il pas d'essence socialiste ? Benito Mussolini était issu du parti socialiste italien, donc de gauche, non ?

- Oubliez l'Histoire ! Revenez au principe abordé dès l'initiation à ce cours de gauchisme. Nous sommes le camp du Bien. Donc en face, nous n'avons que le camp du Mal. Et pour contrer ce camp du Mal, je vous donne un recours infaillible : une sorte de mot joker, qui vous évite de devoir argumenter, et qui clôt tout débat. Ce mot joker, c'est « fasciste ». Vous pouvez le décliner en « facho », ou en « raciste ». Dans un débat, on vous parle d'intérêt national ? Vous hurlez au « racisme » ! On évoque devant vous le refus d'importer du Tiers-monde un produit qui ne répond pas aux normes de sécurité sanitaire en cours ? D'abord vous corrigez : il n'y a pas de Tiers-monde, il n'y a que des pays « en voie de développement », puis vous criez au « racisme ». C'est très pratique, vous verrez à l'usage. Et la désignation d'un raciste entraîne automatiquement le mot « facho ».

Un élève lève la main :

- Mais un racisme anti-blanc ne risque-t-il pas d'entraîner aussi l'appellation de « facho » ?

- Le racisme anti-blanc n'existe pas. Faire preuve d'une aversion, au demeurant bien naturelle, à l'égard d'un Blanc, ne peut pas être du racisme. Ce ne serait, au pire, que l'expression de la dénonciation méritée du passé colonialiste et esclavagiste des tenants de cette couleur de peau. Si vous êtes vous-même un Blanc, votre positionnement de gauchiste sera interprété comme un acte de repentance de votre horrible ascendance. Cela ne vous dispense cependant pas de profiter de la moindre occasion pour faire acte de contrition, dans vos propos et dans vos participations à des manifestations, en dénonçant votre héritage culturel. Bien entendu, dans ce funeste héritage, vous inclurez la religion chrétienne. Vous aurez donc à cœur d'en moquer les rites et principes, tout en montrant, dans le même temps, le plus grand respect pour son antagonisme, à savoir la religion musulmane, que vous défendrez systématiquement.

Un élève intervient :

- Mais la laïcité n'est-elle pas un principe ancestral du gauchisme ?

- Bon, ça, c'était avant ! Aujourd'hui, il s'agit, par souci d'universalisme, de s'opposer au concept de Nation. Et qui dit Nation, dit héritage culturel, qui dit héritage culturel dit, particulièrement pour l'Europe, religion chrétienne. Le gauchisme doit donc détruire cet héritage religieux. Et l'islamisme a le même but. L'ennemi de notre ennemi est notre ami. Et en plus, notre électorat, maintenant que les prolétaires, ces cons, nous ont quittés pour voter pour les fachos, se trouve dans cette communauté musulmane. On ne peut pas se permettre de la snober.

Bien, nous en avons terminé avec ce premier cours de gauchisme. Comme vous pouvez le constater, ces notions gauchistes sont assez simples à comprendre. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle nous comptons parmi nos membres les plus connus et les plus actifs, des individus qui n'ont pas un intellect des plus poussés, ni un bagage culturel trop pesant. Et ceux qui en ont un, savent utiliser opportunément les premiers cités pour servir leurs intérêts personnels. Nul doute qu'en suivant scrupuleusement les principes que je vous ai exposés dans ce cours, vous saurez trouver votre place, soit parmi les manipulateurs, soit parmi les suiveurs, selon le niveau de vos capacités intellectuelles. Dans tous les cas, je vous souhaite un bon militantisme.

 

 

Pour bien vous faire comprendre et accepter qu'à l'avenir, la société occidentale devra impérativement être métissée et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper.