Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

lundi 25 janvier 2016

Bilan grec vu par la bien-pensance européiste.




Le conformisme de nos médias et leur allégeance au politiquement correct ne cessent d'étonner Saucisson-Pinard.
Prenons RTL et son analyse de la situation grecque, diffusée ce lundi 25 janvier, date du premier anniversaire du mandat de Tsipras.
La journaleuse décrit par le détail, ce qu'elle consentirait tout juste à appeler le mauvais côté de la médaille :
  • Exode des jeunes, et notamment des jeunes diplômés, ceux qu'on serait tenté de nommer les cerveaux, en tous cas, ceux qui représenteraient l'avenir du pays. Peu soucieux de ne trouver que des jobs de serveur à 200 euros mensuels, ils cherchent leur futur personnel en Europe ou aux Etats-Unis.
  • Hausse du chômage
  • Plafonnement du salaire minimum
  • Effritements successifs des pensions de retraite
  • Limitation des retraits d'espèces hebdomadaires à 280 €, ce qui est évidemment sympathique et encourage les Grecs à confier leur bas de laine aux banques.
Autant de constats qui ne sont pas sans rappeler ce à quoi on assiste peu à peu dans notre France hollandesque. La Grèce est la boule de cristal qui dévoile notre avenir proche. Il est néanmoins probable que nombreux seront les surpris... Amusant.

Mais rassurez-vous, braves auditeurs, tout n'est pas noir dans le bilan du leader grec. Jouez hautbois, résonnez musettes, voici les points positifs qui, à comprendre notre journaleuse, compensent largement ces quelques inconvénients pécuniaires.

Tout d'abord, Tsipras, confronté aux réalités économiques, a abandonné son discours populiste. Saucisson-Pinard rappelle la définition du populisme chez nos bien-pensants ; quand le peuple est d'accord avec ses « élites », c'est de la démocratie. Mais quand il est en désaccord, c'est du populisme. Ne pas confondre.
Il est donc formidable pour la Grèce que Tsipras soit rentré dans le rang de la bien-pensance européiste.
Ouf, les grecs vont donc pouvoir être rassurés. Ils devront bien sûr continuer à se serrer brutalement la ceinture, mais au moins, on ne leur laissera pas espérer une autre façon d'envisager l'avenir. C'est la première bonne nouvelle de ce premier anniversaire de l'accession au pouvoir du leader d'extrême gauche.

La seconde bonne nouvelle énoncée par notre petite soldate du politiquement correct de RTL, c'est la vente du port du Pirée aux Chinois, qui est « en bonne voie de finalisation ». Formidable. En clair, la Grèce est en train de vendre ses bijoux de famille, principalement ceux à portée économique, et c'est un effet assurément positif de l'action de Tsipras.
A ce compte-là, on se demande ce que pourrait bien être une mauvaise nouvelle.

Enfin, notre journaleuse économique de la station périphérique nous garde le principal bénéfice du mandat de Tsipras pour la bonne bouche : La Grèce demeure (pour l'instant) dans la zone euro ! 

Voilà bien l'essentiel, n'est-ce pas ? La sacro-sainte monnaie apatride, la déchue de toutes les nationalités, est encore intouchable. Elle pourra continuer de saigner ses membres les plus fragiles, et les Grecs devraient saluer avec des flonflons et des larmes de reconnaissance dans les yeux, cette appartenance au Club. En continuant de s'acquitter de leur cotisation en se saignant aux quatre veines, certes, mais quand on aime, on ne compte pas, c'est bien connu.

Le malade est de plus en plus faible, il ne se lève plus de son lit. Il perd peu à peu conscience. D'aucuns diraient qu'il agonise. On vend petit à petit son patrimoine pour rémunérer ses médecins mais la bonne nouvelle est qu'on continue de lui administrer des saignées, seule thérapie officiellement reconnue, d'autant qu'on a bien convaincu le malade de laisser les autres thérapeutes, non agréés par le Conseil de l'Ordre Européen, à la porte.

Et nos médias susurrent avec assurance, à l'oreille du malade et de son entourage familial, qu'il est entre de bonnes mains...


lundi 11 janvier 2016

Les coups de chances...


Hé, Commémorator 1er!  ça, c'est une plaque d'égout! Avance, le cercueil est 20 mètres devant!

Ça y est ! Sur le modèle de nos politiques progressistes français, la mère Quelle a fait aux Allemands le coup de « la chance pour l'Allemagne » pour leur faire avaler l'invasion migratoire arabe. Comme quoi les vieilles recettes ne se renouvellent pas. Les « migrants » sont donc une chance pour l'Allemagne. Hip hip hip hourah ! On constate cependant qu'après avoir tout d'abord ouvert en grand ses frontières, la mère Quelle s'est finalement dit : « on a peut-être trop de chance. Ne soyons pas égoïste. Soyons généreux, et faisons en profiter d'autres pays européens! »

Vraiment, les Allemands sont de sacrés veinards d'accueillir ainsi autant de vaillants fuyards surtout soucieux de profiter de leurs richesses, de la paix et de la liberté qu'ils ont été incapables d'instaurer chez eux, plusieurs décennies après avoir réclamé et obtenu leur indépendance.

Regardez donc comme l'Histoire est parfois méchamment cruelle et cynique : La mère Quelle avait à peine fini d'attirer l'attention de ses compatriotes sur leur indécente baraka, quelques dizaines d'habitantes de Cologne pouvaient déjà goûter à la concrétisation de cette chance en se faisant agresser sexuellement par de joyeux immigrés fêtant la Saint Sylvestre à leur façon. En France, au réveillon du nouvel an, nos immigrés mettent le feu aux voitures. En Allemagne, ils violent les femmes. C'est ce qu'on appelle sans doute le multiculturalisme.

Devant cet enchaînement de viols dans sa ville, la maire progressiste de Cologne a eu ce merveilleux conseil : « Mesdames, mesdemoiselles, gardez une certaine distance et ne portez pas de tenues provocantes ! »
En d'autres termes, les teutonnes sont désormais ardemment priées, pour leur propre sécurité, de s'adapter aux immigrés. On aurait pu naïvement croire que c'était aux immigrés d'adapter leur conduite aux mœurs locales du pays hôte ? Que nenni ! Que voulez-vous ? Les Allemands ont déjà cet indicible bonheur de partager leurs prestations sociales avec ces cohortes d'envahisseurs. Alors changer sa façon de s'habiller pour ne pas offusquer ou provoquer inutilement l'ardeur de ces paisibles mâles basanés qui ont pour coutume de couvrir leurs propres femmes de housses des pieds à la tête, est bien la moindre des choses.
La maire de Cologne ne recommande pas encore à ses administrées d'opter pour la burqua, mais ça ne saurait tarder.

Le plus curieux, lors de ces petits avatars de l'immigration opportune, est le silence assourdissant de nos féministes progressistes. Autant elles sauront manifester bruyamment en criant au sexisme si on s'aventure à donner en cadeau un camion téléguidé à un petit garçon et une cuisine miniature à une petite fille, autant le viol d'habitantes de Cologne par des racailles d'importation les laissent absolument sans voix! C'est vrai qu'on ne peut pas être partout : parler des couleurs bleu et rose comme d'armes de sexisme machiste ou dénoncer les viols par des immigrés. Il faut choisir ses priorités.

Hollande Ouille aussi choisit ses priorités. Revêtant sa panoplie de Commémorator 1er, il vole d'inaugurations de plaques commémoratives en recueillements, et de recueillements en dépôts de gerbes. Avec son air con passé, il finit par nous la donner, la gerbe.

Et nous sommes partis tout au long de 2016 pour une grande campagne de nostalgie mitterandomaniaque. Et nos gauchiards d'invoquer le « grand homme d'état », avec une larme au coin de l'oeil.
Bien sûr, on oubliera scrupuleusement d'évoquer le cynisme de l'individu, pour qui le socialisme, loin d'être une conviction, n'était qu'un moyen d'assouvir son ambition personnelle.
On admirera juste, si tant est qu'il est absolument nécessaire d'admirer quelque chose chez lui, son habileté à passer sans sourciller, du pétainisme publiquement déclaré à l'icône du socialisme, et du statut de sauteur de haies au jardin de l'observatoire à celui de rassembleur de la grande gauche, de la gauche caviar à la gauche prolétarienne. 
On passera un voile pudique sur sa politique économique désastreuse dont on paye encore aujourd'hui le prix exorbitant : les déficits des comptes qui s'équilibrent par l'endettement, les dévaluations successives du Franc, l'abaissement de l'âge de la retraite alors que la pyramide des âges indiquait déjà qu'on allait à la catastrophe, l'édification de cette Europe avec la perte de souveraineté nationale en conséquence, le fiasco des nationalisations, la dégringolade de l'influence de la France sur la destinée du monde, la montée de la délinquance, la déliquescence de la Justice. Alors, le qualificatif d'homme d'état, on cherchera vainement à le justifier.
On dit que Hollande Ouille chercherait en Mitterand un modèle. Au niveau du bilan, c'est bien parti. Mais si Mitterand était cynique et sans scrupule, il était néanmoins intelligent et lettré et avait une certaine prestance présidentielle. Et là, il est clair que Hollande Ouille a du chemin à parcourir. Et si Mitterand était l'homme du faux attentat de l'Observatoire, Hollande Ouille est l'homme observatoire des vrais attentats.

Charlie-Hebdo continue de capitaliser goulûment sur le massacre de ses vedettes.
La veuve Wolinski aussi d'ailleurs, qui enchaîne les plateaux de télévision pour assurer la promotion de son livre. Eplorée, la veuve, mais pas complètement désintéressée. Il faut bien assurer ses vieux jours, n'est-ce pas ?
L'hebdo, quant à lui, se fend d'un tirage spécial pour son numéro anniversaire avec une couverture qui, au lieu de dénoncer la musulmanie seule responsable de sa nouvelle renommée et indirectement de sa survie financière, affiche sa haine de la religion en général. Il convient en effet de ne pas citer l'islamisme en particulier. Surtout pas. Courageux, les scribouillards de Charlie-Hebdo, mais pas téméraires. Et tant pis s'ils affichent ainsi un radicalisme de la laïcité. Charlie-hebdo n'est finalement qu'une sorte d'ayatollah de la mécréance. Un ayatollah qui cultive en outre l'amalgame : islamisme, chrétienté, bouddhisme, judaïsme (encore que ce dernier ait été dans ses numéros passés relativement épargné, curieusement...), toutes les religions sont mises dans le même panier sur cette page de couverture dont les médias ont largement et bien obligeamment fait la promotion : pour un camp toujours prompt à user du « pasdamalgame » en toutes circonstances, cela fait un peu désordre.

Les informations de la semaine s'achèvent néanmoins par un grand sourire. Un sourire déclenché par la lecture d'un titre révélateur de la dhimmitude servile de nos médias.
Jugez plutôt : un muzz s'approche menaçant et armé d'un commissariat de Barbès, ne tient aucun compte des sommations. Il détient en outre un appareillage qui laisse à penser que cela pourrait être une ceinture explosive. Fort heureusement, le crétin agressif est prestement liquidé, comme mérité. Le site web de la chaîne d'info en continu BFM titre alors:
 " l'individu avait un casier presque vierge"
« Presque ! ». Formidable précision journalistique, qui donne la pleine mesure de l'état de délabrement des valeurs dans notre société décadente. Il serait intéressant que le « presque » journaliste de BFM nous développe ce concept de « presque virginité ». Ça pourrait être drôle. Bientôt apparaîtra la notion de « presque terroriste ». C'est une question de semaines, ou de mois tout au plus. En attendant, ce muzz, déjà condamné, pour le peu de temps passé en France, pour vol en réunion, est à deux doigts, selon l'échelle de valeur du site d'information, d'avoir l'Ordre National du Mérite.
Bon.
On allait oublier : condamné en outre à l'expulsion, il était aussi resté illégalement sur le territoire français.
Bon.
Mais on ne va quand même pas lui chercher des poux dans le kéffiyé pour autant, à notre brave petit « déséquilibré », n'est-ce pas ? Il ne voulait sans doute qu' exorciser le racisme manifesté à son égard par des salauds de franchouillards de souche...
D'autres médias ont été jusqu'à oser poser la question : les policiers n'ont-ils pas perdu leur sang-froid et fait preuve de violence policière sans discernement? N'y aurait-il pas là un grave dérapage de l'état d'urgence ?

Décidément, nos bien-pensants n'aiment les héros que morts. Et nos politiques aussi d'ailleurs. Vous avez remarqué qu'on n'érige pas de plaques commémoratives en hommage aux héros vivants ?


dimanche 3 janvier 2016

Clap de fin 2015 sur une République d'hypocrites, de copains, de coquins.



Hollande Ouille a fini cette année 2015 en une sorte d'apothéose, de feu d'artifice de la bévue érigée en système politique. On ne va pas évoquer son allocution de vœux que d'ailleurs Saucisson-Pinard n'a pas regardée, l'annonce par la chaîne I-télé selon laquelle notre présidenticule allait se présenter en « chef de guerre » suffisant à satisfaire son besoin d'hilarité.

Non, on évoque ici la fin de la grand messe Flop 21, au cours de laquelle on a répété sur tous les tons ô combien le CO2 c'est pas beau et c'est méchant pour le climat, en encourageant la recherche de taxes nouvelles propres à saigner l'imprudent contribuable lambda qui chercherait juste à vivre.
Satisfait comme il l'est généralement à chaque fois qu'il a fait quelque chose de parfaitement inutile à défaut d'être néfaste, notre Hollande Ouille national, à peine les micros des intervenants éteints, se précipite dans un Falcon pour franchir les 460 km qui le séparent de son bureau de vote de Tulle, juste pour glisser son bulletin dans l'urne. Et d'ailleurs rater la fente de l'urne, tout occupé à sourire niaisement aux caméras. Mr Bean est le prof dépassé par son élève.

Bref, dédaignant la faculté de procuration qui aurait épargné au contribuable quelques dizaines de milliers d'euros de dépenses inutiles, et cultivant sa culture de l'exemple comme jamais, Hollande Ouille n'a rien trouvé de mieux pour clore le procès international de l'accusé CO2 que de se payer cette petite escapade en jet, qui, comme on le sait, est un moyen de transport parfaitement écologique. Il est loin le temps où ce présidenticule amusait la galerie médiatique en se rendant, fraîchement élu, à une conférence à Bruxelles en train...


La déchéance de nationalité pour les terroristes bi-nationaux est la grande affaire dont notre microcosme politico-médiatico-gauchiste a le secret. Retirer la nationalité française à un terroriste arabe qui se l'est vu attribuer à son corps défendant, et qui vomit littéralement sur la culture occidentale qu'elle suppose, semble être le scandale absolu pour nos gauchiards drapés dans leur naïveté droitdelhommiste. L'ex-premier ministricule Z'Ayrault sort de ses limbes nantaises pour crier à la division de la société française alors que cette déchéance trouve à 90% le soutien du peuple dans les sondages. Si maintenant une mesure qui rassemble 90% des gens est une mesure clivante, alors l'unité de la Nation n'est pas pour demain... !

Si clivage il y a, c'est bien entre les supposés-représentants des citoyens et les citoyens eux-mêmes. D'ailleurs, si par hasard, cette réforme de la Constitution ne rassemble pas les 3/5 requis de l'Assemblée, ça sera bien la preuve indiscutable que cette Assemblée n'est pas représentative. Et une démission immédiate du Parlement et des élections législatives anticipées devraient s'ensuivre sans attendre ; si l'on était en démocratie, cela va sans dire.

Bien entendu, la Taubira-dégoût, qui n'a de cesse de saper les fondements de la société française, a le culot d'en appeler au respect du droit du sol- ce qui, en tant qu'ex(?)indépendantiste guyanaise est quand même fort de café- pour s'opposer à cette déchéance. Ne reculant devant aucune traîtrise, elle tente de forcer la main du squatteur élyséen en annonçant en priorité aux Algériens que cette déchéance ne sera pas adoptée.
Que faut-il qu'un ministre fasse pour être démissionné, dans ce gouvernement ? Quel secret la sinistre de la Justice détient-elle sur Hollande Ouille pour que ce dernier la maintienne envers et contre tout dans son fauteuil de Garde des Sots ?

Juppépé le dhimmi, s'oppose aussi à cette mesure de déchéance, mais ça n'étonnera personne. En tous cas, pas ceux qui savent à quel point celui qu'on surnomme « Ali » à Bordeaux sait caresser la barbe de nos chances-pour-la-France muzz dans le sens du poil.


Pendant que le petit Caudillo-aux-mâchoires-serrées avaient les yeux braqués sur le Front National en criant à la République en danger, la nationalisme corse suivait tranquillement son petit bonhomme de chemin et la Région corse se retrouve aujourd'hui avec une majorité de nationalistes-indépendantistes à sa tête, à la grande surprise de notre gouvernement de tocards. 
Il a l'air fin, le Premier Minus, avec ses coups de menton « L'Etat ne reculera jamais en Corse », qui tentent de faire oublier qu'il n'a évidemment rien vu venir.


L'année 2016 commence bien pour l'exilée fiscale Vanessa Paradis qui se voit décorée, ou achetée, c'est selon, de la Légion d'Honneur, cette bien mal nommée.

Elle commence encore mieux pour ce chanteur à la Noah, autre exilé fiscal de renom. Notre République, qui baigne dans l'opulence comme chacun sait, supprime d'un trait de plume la dette fiscale de celui que nos merdias ne tarderont probablement pas à re-baptiser « personnalité préférée des Français ».
D'abord redevable d'un million d'euros, notre évadé fiscal avait d'abord bénéficié d'une ristourne de 500 000 euros, puis de 700 000 euros. Finalement, l'administration de Bercy, largement encouragée par un Pouvoir toujours empressé à choyer ses soutiens du showbizz, s'est dit « on ne va quand même pas harceler un brave petit soldat toujours prompt à donner ses leçons de politiquement correct pour quelques malheureuses centaines de milliers d'euros... ». - « Monsieur Noah, laissons là notre petite affaire, faisons comme si vous ne deviez rien. Au plaisir ! »
Et pan, voilà un grand coup de pioche dans le fronton de cette République si ardemment défendue par le petit Caudillo, vous savez, là où est inscrit « Egalité »...

Il y a déjà longtemps que le mot « Fraternité » avait été sacrément écorné. Une chance pour la France muzz a délibérément foncé en voiture sur des militaires en protection d'une mosquée à Valence. Mais, qu'on se rassure, l'individu étant seul, il ne peut en aucun cas être un terroriste. 
Même s'il a hurlé « Allahou akbar » en accélérant. 
Un simple « déséquilibré » qu'on vous dit. 
On n'évoque une menace « terroriste », apparemment, qu'à partir de deux ou trois déséquilibrés associés.
Nul doute que ça rassurera les forces de sécurité.
C'est à se demander si l'on devrait pas purement et simplement remplacer les police et gendarmerie par des infirmiers d'hôpital psychiatrique.

D'ailleurs, que vaut la vie d'un flic en Socialie hollandesque ?
Regardez donc : si la Vanessa sortira de son Paradis fiscal le temps de recevoir sa Légion d'Honneur, le commissaire qui s'est précipité le premier dans le Bataclan sous le feu de ces adeptes d'une religion-d'amour-de-paix-et-de-tolérance-compatible-avec-la-République, pourra, quant à lui, continuer de vaquer à ses petites occupations professionnelles, à toucher son petit salaire, à payer ses impôts et à accrocher à son revers de veste le pin's de l'amicale des boulistes de la Préfecture, faute de mieux... Il faut dire qu'il a eu le tort d'en sortir vivant. Et ça, quand on est dans une république qui ne décore les vrais héros qu'à titre posthume, ça ne pardonne pas.

Pour bénéficier de la reconnaissance de la Nation, mieux vaut, comme l'Emmanuelle Béart siliconée façon mérou, militer pour l'occupation d'églises par des clandestins, avant de retourner en Suisse où elle réside pour goûter à la tranquillité d'un pays plus regardant quant à son immigration, et surtout à sa clémence fiscale...