Ça y est ! Sur le
modèle de nos politiques progressistes français, la mère Quelle a
fait aux Allemands le coup de « la chance pour l'Allemagne »
pour leur faire avaler l'invasion migratoire arabe. Comme quoi les
vieilles recettes ne se renouvellent pas. Les « migrants »
sont donc une chance pour l'Allemagne. Hip hip hip hourah ! On
constate cependant qu'après avoir tout d'abord ouvert en grand ses
frontières, la mère Quelle s'est finalement dit : « on a
peut-être trop de chance. Ne soyons pas égoïste. Soyons généreux,
et faisons en profiter d'autres pays européens! »
Vraiment, les Allemands
sont de sacrés veinards d'accueillir ainsi autant de vaillants
fuyards surtout soucieux de profiter de leurs richesses, de la paix
et de la liberté qu'ils ont été incapables d'instaurer chez eux,
plusieurs décennies après avoir réclamé et obtenu leur
indépendance.
Regardez donc comme
l'Histoire est parfois méchamment cruelle et cynique : La mère
Quelle avait à peine fini d'attirer l'attention de ses compatriotes
sur leur indécente baraka, quelques dizaines d'habitantes de Cologne pouvaient déjà goûter à la concrétisation de cette chance en se
faisant agresser sexuellement par de joyeux immigrés fêtant la Saint Sylvestre à
leur façon. En France, au réveillon du nouvel an, nos immigrés
mettent le feu aux voitures. En Allemagne, ils violent les femmes.
C'est ce qu'on appelle sans doute le multiculturalisme.
Devant cet enchaînement
de viols dans sa ville, la maire progressiste de Cologne a eu ce
merveilleux conseil : « Mesdames, mesdemoiselles, gardez
une certaine distance et ne portez pas de tenues provocantes ! »
En d'autres termes, les
teutonnes sont désormais ardemment priées, pour leur propre
sécurité, de s'adapter aux immigrés. On aurait pu naïvement
croire que c'était aux immigrés d'adapter leur conduite aux mœurs
locales du pays hôte ? Que nenni ! Que voulez-vous ?
Les Allemands ont déjà cet indicible bonheur de partager leurs
prestations sociales avec ces cohortes d'envahisseurs. Alors changer
sa façon de s'habiller pour ne pas offusquer ou provoquer
inutilement l'ardeur de ces paisibles mâles basanés qui ont pour
coutume de couvrir leurs propres femmes de housses des pieds à la
tête, est bien la moindre des choses.
La maire de Cologne ne
recommande pas encore à ses administrées d'opter pour la burqua,
mais ça ne saurait tarder.
Le plus curieux, lors de
ces petits avatars de l'immigration opportune, est le silence
assourdissant de nos féministes progressistes. Autant elles sauront
manifester bruyamment en criant au sexisme si on s'aventure à donner
en cadeau un camion téléguidé à un petit garçon et une cuisine
miniature à une petite fille, autant le viol d'habitantes de Cologne
par des racailles d'importation les laissent absolument sans voix!
C'est vrai qu'on ne peut pas être partout : parler des couleurs
bleu et rose comme d'armes de sexisme machiste ou
dénoncer les viols par des immigrés. Il faut choisir ses priorités.
Hollande Ouille aussi
choisit ses priorités. Revêtant sa panoplie de Commémorator 1er,
il vole d'inaugurations de plaques commémoratives en recueillements,
et de recueillements en dépôts de gerbes. Avec son air con passé,
il finit par nous la donner, la gerbe.
Et nous sommes partis
tout au long de 2016 pour une grande campagne de nostalgie
mitterandomaniaque. Et nos gauchiards d'invoquer le « grand
homme d'état », avec une larme au coin de l'oeil.
Bien sûr, on oubliera scrupuleusement d'évoquer le cynisme de l'individu, pour qui le socialisme, loin d'être une conviction, n'était qu'un moyen d'assouvir son ambition personnelle.
Bien sûr, on oubliera scrupuleusement d'évoquer le cynisme de l'individu, pour qui le socialisme, loin d'être une conviction, n'était qu'un moyen d'assouvir son ambition personnelle.
On admirera juste, si
tant est qu'il est absolument nécessaire d'admirer quelque chose
chez lui, son habileté à passer sans sourciller, du
pétainisme publiquement déclaré à l'icône du socialisme, et du
statut de sauteur de haies au jardin de l'observatoire à celui de
rassembleur de la grande gauche, de la gauche caviar à la gauche
prolétarienne.
On passera un voile pudique sur sa politique
économique désastreuse dont on paye encore aujourd'hui le prix
exorbitant : les déficits des comptes qui s'équilibrent par
l'endettement, les dévaluations successives du Franc, l'abaissement
de l'âge de la retraite alors que la pyramide des âges indiquait
déjà qu'on allait à la catastrophe, l'édification de cette Europe
avec la perte de souveraineté nationale en conséquence, le fiasco des
nationalisations, la dégringolade de l'influence de la France sur la
destinée du monde, la montée de la délinquance, la déliquescence
de la Justice. Alors, le qualificatif d'homme d'état, on cherchera
vainement à le justifier.
On dit que Hollande
Ouille chercherait en Mitterand un modèle. Au niveau du bilan, c'est
bien parti. Mais si Mitterand était cynique et sans scrupule, il
était néanmoins intelligent et lettré et avait une certaine
prestance présidentielle. Et là, il est clair que Hollande Ouille a
du chemin à parcourir. Et si Mitterand était l'homme du faux
attentat de l'Observatoire, Hollande Ouille est l'homme observatoire
des vrais attentats.
Charlie-Hebdo continue de
capitaliser goulûment sur le massacre de ses vedettes.
La veuve Wolinski aussi
d'ailleurs, qui enchaîne les plateaux de télévision pour assurer
la promotion de son livre. Eplorée, la veuve, mais pas complètement
désintéressée. Il faut bien assurer ses vieux jours, n'est-ce
pas ?
L'hebdo, quant à lui, se
fend d'un tirage spécial pour son numéro anniversaire avec une
couverture qui, au lieu de dénoncer la musulmanie seule responsable
de sa nouvelle renommée et indirectement de sa survie financière,
affiche sa haine de la religion en général. Il convient en effet de
ne pas citer l'islamisme en particulier. Surtout pas. Courageux, les
scribouillards de Charlie-Hebdo, mais pas téméraires. Et tant pis
s'ils affichent ainsi un radicalisme de la laïcité. Charlie-hebdo
n'est finalement qu'une sorte d'ayatollah de la mécréance. Un
ayatollah qui cultive en outre l'amalgame : islamisme,
chrétienté, bouddhisme, judaïsme (encore que ce dernier ait été
dans ses numéros passés relativement épargné, curieusement...),
toutes les religions sont mises dans le même panier sur cette page
de couverture dont les médias ont largement et bien obligeamment
fait la promotion : pour un camp toujours prompt à user du
« pasdamalgame » en toutes circonstances, cela fait un
peu désordre.
Les informations de la
semaine s'achèvent néanmoins par un grand sourire. Un sourire
déclenché par la lecture d'un titre révélateur de la dhimmitude
servile de nos médias.
Jugez plutôt : un
muzz s'approche menaçant et armé d'un commissariat de Barbès, ne
tient aucun compte des sommations. Il détient en outre un
appareillage qui laisse à penser que cela pourrait être une
ceinture explosive. Fort heureusement, le crétin agressif est
prestement liquidé, comme mérité. Le site web de la chaîne d'info
en continu BFM titre alors:
" l'individu avait un casier
presque vierge"
« Presque ! ». Formidable
précision journalistique, qui donne la pleine mesure de l'état de
délabrement des valeurs dans notre société décadente. Il serait
intéressant que le « presque » journaliste de BFM nous
développe ce concept de « presque virginité ». Ça
pourrait être drôle. Bientôt apparaîtra la notion de « presque
terroriste ». C'est une question de semaines, ou de mois tout au plus. En attendant, ce
muzz, déjà condamné, pour le peu de temps passé en France, pour
vol en réunion, est à deux doigts, selon l'échelle de valeur du
site d'information, d'avoir l'Ordre National du Mérite.
Bon.
On allait oublier :
condamné en outre à l'expulsion, il était aussi resté
illégalement sur le territoire français.
Bon.
Mais on ne va quand même
pas lui chercher des poux dans le kéffiyé
pour
autant, à notre brave petit « déséquilibré »,
n'est-ce pas ? Il ne voulait sans doute qu' exorciser le racisme
manifesté à son égard par des salauds de franchouillards de
souche...
D'autres médias ont été
jusqu'à oser poser la question : les policiers n'ont-ils pas
perdu leur sang-froid et fait preuve de violence policière sans
discernement? N'y aurait-il pas là un grave dérapage de l'état
d'urgence ?
Décidément, nos
bien-pensants n'aiment les héros que morts. Et nos politiques aussi
d'ailleurs. Vous avez remarqué qu'on n'érige pas de plaques
commémoratives en hommage aux héros vivants ?
Les mahométans les plus scrupuleux (ceux qui ne boivent pas d'alcool, défaillent à la vue d'une tranche de jambon, mettent leurs femmes sous housse et tuent du mécréant comme je vais faire un tour au jardin) ont pour principe de ne jamais désobéir à Allah. Ils sont très disciplinés, et c'est pour cela qu'ils sont si bien accueillis en Allemagne, pays ou personne n'imaginerait de traverser une rue en dehors des clous, même si elle est barrée. Il faut donc être d'une mauvaise foi assez incroyable pour s'étonner qu'ils aient obtempéré avec un abnégation non feinte au mot de bienvenue qui leur a été adressé récemment par des groupes de jeunes et jolies femmes saluant leur arrivée : "Refugees welcome". Welcome, ça dit bien ce que ça veut dire : vous êtes ici chez vous, faites comme chez vous. Ils ont fait comme chez eux, lorsque burqas, niqabs, hidjabs tombent à l'entrée de la chambre au commencement de la nuit, qui est torride dans leur pays ....
RépondreSupprimerDes plaques d'égout peut être?
RépondreSupprimerEn tout cas bravo, vous résumez la situation dans tous ses aspects lamentables avec un art consommé.
Mention spéciale pour les attentas de l'observatoire et vice-versa, ça fera date!
Amitiés.
La plaque d'égout est sans doute la plaque commémorative en hommage à Taubira dégoût...
SupprimerEh oui, bien sûr!
SupprimerJ'ai bien envie d'ajouter une légende à la photo de Glandouille devant sa plaque d'égout : Qui suis-je ? d'où viens-je ? où vais-je ?
RépondreSupprimerQui suis-je ? un nul ...
SupprimerD'où viens-je ? du néant ...
Où vais-je ? Je retourne au néant, et j'y emmène la France.
On ne peut mieux résumer l'individu.
RépondreSupprimer