Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

dimanche 29 décembre 2013

Exclusivité et avant-première: Discours des voeux de Hollande pour 2014


Des recommandations circulant sur internet, de boycott du discours de vœux de notre cher Président, Saucisson-Pinard vous propose ci-dessous en exclusivité et en avant-première la version écrite de ces vœux.

Vous pourrez ainsi éteindre votre télé pendant cette allocution et marquer ainsi votre désapprobation de la politique suivie, tout en vous tenant au courant des révélations éclairées de notre leader adoré.



Pour une lecture plus aisée, les « euh.. » ont été retirés, et les paquets de trois mots que nous livre habituellement notre grand orateur ont été rassemblés en phrases complètes.



« Chères socialistes, chers socialistes, chères arabes, chers arabes, et, n'hésitons pas à le dire, chères Françaises, chers Français,

C'est avec plaisir qu'en ce dernier soir de l'année 2013, je m'adresse à vous, depuis la tranquillité de ce salon de l'Elysée, loin des foules en délire et des sifflets d'enthousiasme qui ponctuent désormais chacun de mes passages parmi vous. C'est vrai, ma modestie naturelle dût-elle en souffrir, votre soutien public bruyant et chaleureux à chacune de mes sorties du Palais les rend évidemment plus difficiles et donc plus rares. C'est aussi la raison pour laquelle je prends désormais beaucoup moins le train et davantage l'avion que lors du premier mois de ma mandature. Je me refuse en effet à ce que l'enthousiasme des foules durant mes déplacements parmi les gueux, euh je veux dire parmi nos braves citoyens, n'apportent trop de perturbations dans leurs déplacements.

J'ai d'abord une excellente nouvelle à vous annoncer. L'année 2013 a été une très bonne année pour la France. Surtout en regard de ce que sera la prochaine.

Tout d'abord, comme je vous l'avais prédit, le chômage baisse en France. Si vous prenez les statistiques du 17 octobre dans l'après-midi au 24 du même mois au matin dans la sous-catégorie B' de la catégorie petit a du secteur grand A des sans-emplois, on voit clairement une inversion de la courbe de chômage. Et si globalement le record du nombre de chômeurs est battu chaque mois, cela ne change rien à la réalité de ma prédiction. D'ailleurs, ma gestion des affaires de la France fera désormais fi des sempiternelles « prévisions » pour ne plus compter que sur des « prédictions ». Et je songe sérieusement à prendre M. Coué comme porte-parole du gouvernement, car il a une méthode réputée dont je veux vous faire bénéficier.

Autre bonne nouvelle. Vous êtes désormais 75% à bientôt partager, dans un avenir proche, l'optimisme des 25% qui ont déjà confiance dans ma politique ! Je suis très ému de cette confiance et je vous en remercie.

S'il fallait qualifier cette année 2013 qui s'achève, je dirais qu'elle a été une année de paix. Paix dans la rue, paix chez les bijoutiers, paix au Trocadéro, paix dans les stades, paix dans les cités que je vous propose de ne plus appeler « sensibles » mais plutôt « radieuses », paix en Bretagne, paix dans les usines.

Paix également à l'étranger grâce à une politique étrangère parfaitement cohérente qui nous conduit à quitter nos alliés qui combattent les bases arrières du terrorisme international en Afghanistan, pour nous précipiter, seuls, au Centrafrique pour empêcher les Chrétiens de se défendre contre les Islamistes.
Vous aurez noté que je passe de plus en plus de temps à l'étranger. Les affaires vont tellement bien dans notre pays que je peux effectivement faire profiter le monde entier de mes compétences et passer davantage de temps au chevet des pays qui me réclament à cor et à cri.
C'est ainsi que je suis allé en Chine (ou au Japon, je ne sais plus trop), au Brésil, en Macédonie, pour tenter d'y obtenir des contrats, et que je suis allé aux funérailles de Mandela au sud de l'Afrique. Et tout s'est très bien passé. Surtout l'enterrement de Mandela dans le sud de l'Afrique...
Je reviens juste d'Arabie Saoudite où, comme vous l'ont dit les journaux, j'ai été parler d'économie. Nul doute qu'avec les résultats stupéfiants que j'ai obtenus dans notre pays, j'ai été écouté avec la plus vive attention par les cheikhs milliardaires en pétrodollars.

Sur le plan économique, c'est vers un avenir flamboyant que nous nous dirigeons. Notre ministre de l'économie et des finances, que le monde entier nous envie, nous attribue, en toute impartialité, la note maximale de AAAAA+++. Et c'est par pure jalousie et rétorsion que les agences de notation américaines nous dégradent régulièrement leur note.

En 2013, je vous avais promis que les impôts n'augmenteraient plus. Eh bien rassurez-vous, cette promesse, je continuerai à vous la faire en 2014.
Souvenez-vous, alors que je n'étais que simple candidat à la présidence de la république, je vous avais dit tout le mal que je pensais de la TVA sociale de mon prédécesseur, impôt inutile et injuste car il touche tous les Français et notamment les plus faibles d'entre eux. Eh bien aujourd'hui, enfin, plutôt dès demain matin, je vous annonce qu'en lieu et place de cette TVA sarkozyste, nous aurons une augmentation de la TVA socialiste, et donc bien plus juste et plus équitable.

Sur le plan social, avouez que vous avez été gâté. Le mariage pourtousse a été une pleine réussite et à part quelques manifestants isolés, (de dangereux fascistes), il a été plébiscité par tous les citoyens qui n'attendaient que cela pour mieux vivre leur quotidien. La réforme des rythmes scolaires a aussi été un formidable succès suscitant une réelle exaltation chez les maires, les professeurs, les élèves et les parents d'élèves.

Je ne vais pas détailler davantage toutes mes réussites, car, vous le savez, je suis un président normal, modeste et tout. Je veux simplement vous assurer que je vais continuer à mettre à votre service pour 2014, toute ma compétence et toute mon intégrité ainsi que celles de mon gouvernement. Lui comme moi, nous vous en avons apporté largement les preuves. Vous n'avez pas pu manquer de le constater depuis que nous présidons aux destinées de ce pays.
Et quand je dis « nous », je veux dire « nous les socialistes » qui détenons toutes les commandes: à l'Elysée, au gouvernement, au Parlement, au Sénat, dans les Régions et dans les principales villes du pays.
Et rappelez-vous, surtout à l'occasion des prochaines élections qui vont intervenir en 2014, municipales et européennes : s'il y a des choses qui marchent, c'est grâce à nous, les socialistes. Ce qui ne marche pas, c'est la faute de nos prédécesseurs.

Je vous souhaite, chers cons, citoyens, une excellente année 2014,
Vive la République socialiste, vive la France diverse du bienvivrensemble !

mardi 17 décembre 2013

Si Hollande avait été contemporain d'Hitler (ou réciproquement)




Si Hollande avait été contemporain d'Hitler, il se serait rendu à Munich, pour une rencontre au sommet avec le chancelier allemand. Et voici ce qui ce serait dit :

Hitler : Bonchour Franzois, enchanté de faire fotre konnaissance.
Hollande : Bonjour cher Adolf ! Tout le plaisir est pour moi. Ch'ui toujours ravi quand je rencontre les grands de ce monde. D'ailleurs, chez moi, on dit que je suis le ravi de la crèche. Sans doute parce que c'est bientôt Noël.

Hitler : Kan che fou ai fu ce matin déposer une cherbe au monument des victimes allemandes de la guerre 14/18...
Hollande : oui, d'ailleurs, on s'excuse encore, hein, pour toutes ces malheureuses victimes allemandes...

Hitler :...ch'ai tout de suite fu que fous étiez une ponne personne et kon allait bien s'entendre.
Hollande : ben oui, et puis entre socialistes, il n'y a pas de raison... Vous êtes juste plus national que moi, c'est tout ! Ah ah ah ah !

Hitler : Ben chustement, buisqu'on en barle. Ch'ai l'intention d'envahir la Franze, figurez-vous.
Hollande : ah oui ?

Hitler : Et ch'avais pensé qu'on pourrait s'épargner beaucoup de problèmes si fous laissiez chuste venir un maximum de mes compatriotes s'installer chez fous.
Hollande : mais c'est une excellente idée ! Après tout, la France n'est-elle pas le pays des Droits de l'Homme ? Et parmi ces droits, celui de venir profiter du fric et de la belle vie là où ils sont...

Hitler : Che zui ravi que vous le preniez comme ça. Nous allons ainsi nous éfiter de gros frais d'armement et une guerre toujours péniple.
Hollande : Eh bien ça tombe plutôt bien, parce que je suis précisément en train de réduire le budget des Armées, dites-donc !

Hitler : Alors natürlich, fous prévoyez de résserver vos lochements sociaux en priorité pour nos ressortissants allemands.
Hollande : Naturellement.

Hitler : Vous leur tonnerez aussi tout plein de supfentions, d'allocations en tous genres, pour leur faciliter la fie au maximum.
Hollande : Le mieux serait que nous favorisions la création d'associations, en les subventionnant, dont l'unique raison d'être serait précisément de faciliter la venue et l'installation de vos compatriotes chez nous.

Hitler : Wonderbar !
Hollande : … et ainsi faciliter leur intégration dans mon pays.

Hitler : Was ? Intékration ? Nein ! Ze n'est pas aux Allemands de s'intékrer, c'est aux Franzosen de s'adapter à la vie allemante. Et d'ailleurs, fous aurez soin d'imposer la choukroute et la saucisse de Francfort dans les cantines de fos écoles.

Hollande : C'est bon, ça, la choucroute et les saucisses. Moi, j'adore.

Hitler : Fous savez qu'en Allemagne, nous sommes plutôt de religion protestante. Il serait konvenable que fous favorisiez le protestantisme en France, et que vous abandonniez le catholicisme. On se comprend pien, n'est-ce pas ?
Hollande : bah, vous savez, moi, je ne crois en rien, alors, la religion, je m'en bats les paupières avec une pelle à gâteau !

Hitler : Ach, komme ça fous aurez même pas à vous renier sur koi que ce soit, wonderbar ! et puis fous penserez à mettre vos formulaires atministratifs en allemand. Mes compatriotes ne font kand même pas s'emmerter à apprendre le französich, n'est-ce-pas ?
Hollande : ça va de soi.

Hitler : Pendant k'on y est, faudrait penser à imposer la culotte de cuir à tous les petits karçons.
Hollande : ah bah, c'est solide, ça, les culottes de cuir.

Hitler : Che pense à kelke chose...
Hollande : oui, et à quoi donc, mon cher Adolf ?

Hitler : Il serait pon que fotre Presse soit très arrangeante, che veux tire, à propos de zette petite invazion. Il faudrait qu'elle collabore totalement avec ce prochet.
Hollande : Ah bah pour ça, vous n'avez vraiment pas à vous inquiéter, nous avons la Presse la plus collaborante qui soit..

Hitler : Ch'inziste ; si par exemple, des ressortissants allemands font des konneries, il zerait bon k'on ne disent pas k'ils sont allemands. Fous pourriez les identifier dans la Presse en les appelant des.. che ne sais pas, moi... euh, des Mohammed par exemple.
Hollande : Ça, c'est malin, je n'y aurais pas pensé.

Hitler : Pon ! Puisqu'on est d'accord sur l'ezzentiel, c'est parfait. On fa poufoir enfisager sérieusement de faire de votre pays une extension de la krande Allemagne. C'est une affaire de 20 à 30 ans, che pense.
Hollande : Peut-être moins, mon cher Adolf, vous pouvez compter sur moi. Euh, à propos, est-ce que, euh, en échange de ma collaboration, euh je veux dire de mes bons et loyaux services..., vous pourriez vous assurer que vos compatriotes, (qui sont, bien évidemment autant de chances pour la France), votent pour moi et les miens pour les quelques années qui nous restent avant d'intégrer votre merveilleuse société ? Parce que, vous comprenez, avant, c'était les ouvriers qui votaient pour nous. Mais comme on a foutu en l'air notre industrie avec l'aide de nos syndicats, il n'y a plus d'ouvrier. Et donc plus grand monde pour voter pour nous.

Hitler : Ach, mon petit Franzois, fous êtes une petite kanaille, hein ? Nein, plutôt une kolossale kanaille ! Allez, fous et les fôtres êtes dans l'Histoire, maintenant, hein ! Ach so, réussir à détruire en quelques années une nation qui a mis deux millénaires à se former, et cela sans même donner un coup de canon, c'est pas à la portée du premier fenu, n'est-ce pas ? Allez, che ne vous raccompagne pas, fous connaissez le chemin. Auf wiedersehen !

Hollande : Bon, c'est pas tout ça, mais il est où, l'avion ?


samedi 7 décembre 2013

Décembre: période de gavage annoncée.



La potion va s'annoncer sirupeuse et épaisse à souhait. Et elle va être servie en quantité industrielle. On va vite comprendre ce qu'endurent les oies de batterie dans les mois qui précèdent la saison des fêtes de fin d'années et ses orgies de foies gras. Nous pourrons donc, puisque cette période arrive justement, être en totale empathie rétrospective avec ces pauvres bêtes, lorsque dans quelques jours nous étalerons avec gourmandise sur des toasts grillés ce nectar de la gastronomie française.

Nous allons en effet être gavés jusqu'à l'écoeurement d'hommages lyriques, de bons sentiments dithyrambiques distillés avec une mauvaise foi(e?) en béton armé, de larmes médiatiques bien sucrées, de témoignages aussi dérisoires qu'orientés, d'analyses bien formatées à la machette des idées préfabriquées, et de tombereaux de révisionnisme historique.

Brassens chantait déjà que les morts sont tous de braves types, mais là, la « bravitude » chère à la Ségo, du mort en question, va s'annoncer exponentielle. Nul doute que nos politiques et journalistes du Mainstream se sont longuement échauffés ces derniers mois, au massage de nos gosiers d'auditeurs, spectateurs et lecteurs pour mieux y faire couler l'immonde et compact pâté de recueillement et repentance occidentale blanche, jusqu'à ne plus laisser la moindre place à une pensée cohérente et objective.

On était conscient que cette préparation émétique était en maturation forcenée dans les salles de rédaction et les réunions de com des partis politiques du monde entier depuis que « le prestigieux ami » de Fidel Castro avait été hospitalisé, il y a six mois, et qu'il ne finissait pas de mourir. Cela ne la rendra pas moins pénible à ingurgiter. Au contraire. Vous pensez bien que depuis l'été dernier, nos cuisiniers de la Pensée progressiste ont eu tout le temps d'ajouter des louches et des louches d'ingrédients plus laxatifs, plus vomitifs les uns que les autres, à la purge journalistique que nous allons nous voir administrer sur les écrans, les ondes et le papier imprimé dans les jours, que dis-je, les semaines à venir.

S'il est une période propice pour un sevrage médiatique, c'est bien maintenant. Les infos, c'est comme les coups de marteaux sur la tête, ça fait un bien fou : quand on les arrête. De temps à autre, pendant quelques jours, il est essentiel, pour sa santé mentale, de couper la télé, la radio, de s'interdire d'ouvrir un magazine ou un journal quelconque. Cela permet de respirer un peu, de prendre un peu d'altitude sur les évènements, un peu de recul sur la marche du monde, et de remettre un peu de (bon) sens dans ses réflexions. Ce moment est venu. Quand on cesse d'agiter un flacon d'eau boueuse, la boue se décante, tombe au fond du flacon et une eau pure et transparente qu'on ne soupçonnait pas, apparaît. Il en va de même avec la réflexion.

Et une fois que ce recul est pris, on apprécie avec d'autant plus de clairvoyance et de détachement le ridicule, la vacuité du monde et des bipèdes qui le parcourent. Et on peut alors pleinement en jouir.

Ainsi, comment ne pas éclater de rire quand on entend, dans les incontournables micro-trottoirs, qui sont dans ce genre de circonstances, à l'analyse politique ce qu'est la magazine Closer à la physique quantique : « Cette nouvelle é bien twiste, on s'y attendait si peu, p'ésentement ! »

Comment ne pas pouffer quand une journaleuse de M6 déclare : « il est mort ( rappel : à 95 ans... !) des complications d'une tuberculose contractée en prison. »

Comment ne pas se taper sur les cuisses quand un autre journalope qualifie de « terribles et inhumaines » les conditions de détention de l'auguste disparu qui quitte cette vallée de larmes à 95 ans sonnés, soit 17 ans plus tard que le mâle français moyen qui n'a pas connu les geôles sud-africaines...

Comment ne pas hurler de rire en constatant le télescopage cocasse des actualités internationales: le jour même où trépasse «celui qui a enseigné à la planète qu'un homme pouvait changer le monde », la France se croit obligée, une fois de plus, d'envoyer en urgence en République Centrafricaine des soldats blancs pour séparer des belligérants noirs à nouveau engagés dans une de ces guerres religio-tribales récurrentes dont le continent est le coutumier théâtre.

Comment ne pas se tordre les zygomatiques quand on lit que «  l'homme a empêché une guerre civile en Afrique du Sud » alors que des milliers de fermiers blancs se font torturer et massacrer en toute impunité depuis la fin de l'apartheid, que les tribus Zoulous s'écharpent quotidiennement avec les tribus Xhosas, les Xhosas avec les Sothos, et que l'Afrique du Sud est devenue l'un des pays les plus dangereux au monde.

Comment ne pas se rouler par terre quand on entend citer la « grande icône de l'émancipation africaine » alors que le taux de chômage des Noirs est passé de 20% quand l'Afrique du Sud de l'apartheid était étouffée dans l'étau du boycott mondial, à plus de 40% aujourd'hui dans un pays « arc-en-ciel » devenu commercialement fréquentable;

Et comment ne pas s'étrangler de rire à la pensée de « son engagement pour un monde de paix, d'amour et de justice » alors qu'un sud-africain noir court aujourd'hui bien plus de risques de mourir de mort violente que jamais. On ne doute pas que la perspective de pouvoir désormais partager des toilettes publiques avec des Blancs lui est d'un grand réconfort...

L'histoire de l'Afrique du Sud est l'une des plus grandes escroqueries intellectuelles contemporaines. En être les témoins impuissants mais pas dupes, ne nous dispensent pas de profiter de ce spectacle de grand cirque où les loups hurlent avec les loups et les moutons bêlent avec les moutons. En attendant avec la délectation de celui qui n'en a plus rien à foutre, que les premiers bouffent les seconds.

dimanche 1 décembre 2013

Recette anti-raciste.



Une fois n'est pas coutume, Saucisson-Pinard vous propose aujourd'hui une recette de cuisine. Le magazine Elle ayant déclaré que Taubira était « la femme de l'année » (non, il ne s'agit pas d'une coquille, ce n'était pas « l'infâme de l'année »), Saucisson-Pinard va à son tour rendre hommage à notre si bienveillante ministre de l'Injustice.
La recette proposée sera appelée le gâteau Taubira.

Bien entendu, des associations de certains mots et patronyme étant désormais interdites, cette recette respectera intégralement le bien-parler politiquement correct.

C'est une recette très facile à faire, nul besoin d'être malin comme un mammifère primate.
En plus, elle est économique : vous la ferez pour l'équivalent d'une monnaie de ce primate.

Le gâteau Taubira :

Battez deux asiatiques d'oeufs avec 200 g de sucre de type européen.
Ajoutez 100 g de beur fondu, 200 g de farine de type européen, un paquet de levure, une pincée de sel et de la vanille.
Ecrasez 3 fruits jaunes et longilignes prélevés d'un régime (politiquement socialiste de préférence) et incorporez au mélange précédent.
Battez (je sais, c'est une recette hyper-violente, comme notre époque) les types européens d'oeufs en neige et les ajouter au mélange précédent.
Beurrez un moule, versez-y la préparation et cuire au four thermostat 6 pendant 40 mn.

Et vous verrez : Y a délicieux, le gâteau Taubira !

mercredi 27 novembre 2013

Ce pays est-il foutu?



La façade de la maison socialiste n'en finit plus de se lézarder. Les bonnets rouges, les grèves d'enseignants à l'encontre d'une réforme du rythme scolaire mal ficelée, les sifflets qui accompagnent désormais chaque déplacement de Hollande Ouille ou de ses ministres, les destructions de portiques eco-taxes et de radars fixes, la France socialiste craque de partout.

De l'extérieur, ça ne va pas mieux. Le budget 2014 est boudé, poliment boudé, mais boudé quand même, par Bruxelles. La cote de la France est à nouveau dégradée par les officines américaines de cotation.
Nous sommes en pleine floraison des conséquences de la nullité crasse de ce gouvernement, de son premier sinistre et de son présidenticule.

Le gouvernement a beau allumer contre-feux sur contre-feux, rien n'y fait : Affaire Léonarda, pénalisation des clients de prostitution, exploitation de l'affaire du tireur fou, la banane de Taubira. Et Z'Ayrault qui annonce une réforme fiscale. Super. Mais il affirme aussitôt que ça ne changera rien au niveau de la gourmandise confiscatoire de Bercy. C'était trop beau. Et pour lancer cette formidable réforme, qui le premier sinistre consulte-t-il ? Les syndicats ! En quoi les syndicats sont-ils qualifiés pour donner leur avis sur ce qu'il faut changer dans l'organisation du racket, euh je veux dire, prélèvement, fiscal ? Qui représentent-ils ? Ils ne représentent déjà pas, au niveau du travail, les salariés, étant donné le très faible taux de syndicalisation des travailleurs français... Alors quant à représenter les contribuables...

La grogne est générale et elle enfle chaque jour. Le décor d'une révolution comme l'article « Veille de révolution » du 28 Mars 2013 de ce blog l'annonçait, se met en place. Même la Presse, d'ordinaire si peu encline à regarder en face la Vérité-qui-fâche-le-Progressiste, commence à comprendre avec six mois de retard ce qu'il se passe. L'Express titre son numéro du 13 novembre: « La France au bord du chaos ». Nos médias bien-pensants, toujours en retard d'un train, multiplient les sondages afin de savoir s'il ne faudrait pas par hasard opérer un changement de Premier Ministre et de gouvernement. Ils n'ont pas compris qu'on n'en est déjà plus là.

C'est un changement de Président qu'il faut. Ils seraient surpris de constater la proportion de Français qui demanderait une démission de Hollande Ouille si on leur posait la question.

Et d'ailleurs, en quoi Flamby serait-il plus compétent aujourd'hui qu'il y a un an et demi à choisir ses collaborateurs ? Jamais une telle ribambelle de tocards ne s'est retrouvée propulsée à exercer ses nuisances en même temps, dans une seule et même équipe !
Tous les gouvernements passés de la Ve république n'ont pas été constitués de lumières, loin s'en faut. Ils ont tous eu leur quota de lourdauds, d'inutiles, voire de nuisibles.
Mais en rassembler autant dans un seul gouvernement tient du prodige. Entre Duflot, Touraine, Taubira, Valls, Ayrault, Montebourg, Moscovici, Belkacem dans le peloton de tête, on a bien du mal à établir un classement dans cette compétition du plus nul. Il faudrait, pour les départager, établir des sous-catégories : le plus dangereux, le plus ridicule, le plus ignare, le plus pathétique, le plus inutile. Ça resterait quand même difficile tant on a affaire ici à des candidats hors normes. Ce gouvernement ressemble tellement à son créateur.

Parfois un leader d'hommes, que ce soit un patron d'entreprise, un entraîneur sportif, un chef de parti ou n'importe quelle personne en charge de gérer un groupe d'individus, se trouve dépourvu des qualités principales qu'on souhaiterait voir chez lui. Mais il a une seule qualité qui lui permet de sauver la mise : celle de savoir s'entourer. Malheureusement, si Hollande Ouille est effectivement dépourvu de tout ce qu'on attend d'un Président (charisme, présence, aura, allure, envergure intellectuelle, caractère, compétence technique, talent d'orateur, lucidité, relationnel...), il lui manque en plus, hélas, cette capacité à savoir choisir les bonnes personnes.

Ce n'est même pas qu'il a une propension à prendre des gens neutres, fades ou sans relief. C'est pire : il a le chic pour prendre des collaborateurs dont l'incompétence n'est égalée que par leur arrogance, leur cynisme, leur malhonnêteté (pas seulement intellectuelle, hélas – voir l'affaire Cahuzac entre autres), et leur capacité de nuisance.

On comprend donc qu'au grand jamais un simple changement de gouvernement pourrait être une solution aux problèmes du pays. Il faut régler le problème à sa source. Et cette source s'appelle Hollande. Il faut d'urgence virer cette erreur démocratique et médiocratique.
Une dissolution du Parlement avec ensuite un gouvernement de cohabitation pourrait être un pis-aller. Tout dépend de quelle cohabitation il s'agirait, bien sûr, vu que l'UMP se disqualifie tous les jours comme opposition crédible.
Mais même un Hollande potiche qui promènerait sa petite silhouette rondouillarde ridicule sur les tapis rouges des scènes internationales, qui continuerait à abreuver ses auditoires riant sous cape de ses mots vides de sens, ne réglerait pas le problème d'image désastreuse de notre pays qu'il véhicule depuis 18 mois auprès de nos partenaires, amis ou ennemis internationaux.
Non, une vraie solution ne pourra pas commencer sans, avant toute chose, que l'actuel locataire de l'Elysée soit mis au rancart, en attendant un procès public pour Haute Trahison, comme déjà évoqué dans ce blog.

Des signes de plus en plus nombreux semblent indiquer qu'on n'est pas forcément si loin de ce scénario. Citons par exemple un indice de popularité historiquement bas, citons des critiques de membres de gouvernement qui, par leur audace décomplexée à s'attirer les foudres du politiquement correct, n'ont jamais été aussi loin, citons des avis franchement divergents de membres du PS qui n'hésitent même plus à se faire entendre, citons des grèves de fonctionnaires pourtant systématiquement choyés par le PS, citons des soulèvements locaux violents dans des régions qui ont pourtant massivement voté pour Hollande en mai 2012, citons les revirements d'attitude de beaucoup de médias qui ont pourtant, encore récemment, outrageusement supporté le candidat socialiste jusqu'à son élection et surtout dans les premiers mois de son exercice. Citons des personnalités socialistes qui n'hésitent même plus à refuser d'accueillir publiquement des membres du gouvernement.

Alors certes, la tête de Hollande n'est pas encore brandie enfoncée au bout d'une pique par des révolutionnaires sans-culotte, mais il ne serait pas étonnant que la France connaisse très très prochainement un bouleversement politique de première importance.

Et très franchement, ça pourrait être la seule chance de démentir la conclusion récurrente des articles d'un excellent blog listé dans le blog-roll ci-dessous, selon laquelle « ce pays est foutu » !

mercredi 20 novembre 2013

Médias traditionnels à la lanterne!



Un dingo s'essaie au fusil à pompe contre une façade de banque : l'info ferait un entrefilet dans la presse.
Oui mais voilà, le dingo tire aussi dans un hall d'accueil d'un quotidien qui représente l'Evangile du politiquement correct en Socialie, et le monde médiatique s'affole. La démocratie est en danger. La liberté de la presse est menacée. 
Un matraquage de grande envergure alors se met en branle: tous les journaux mettent le fait divers à la une, les JT développent en long en large et en travers ; pour ne rien dire d'ailleurs, car ils ne savent rien. Rien sur le dingo, rien sur ses motivations, rien sur son état mental. Ah si ! Ils savent que le dingo est de type européen.
La précision aurait-elle été apportée s'il s'était agit d'un muzz ? Il est permis d'en douter.

Ainsi, quand M6 fait un reportage sur le thème des « comparutions immédiates » et suit les démêlés d'une petite racaille coupable d'un braquage à main armée d'un petit commerce, le commentaire précise : appelons-le « William ». Malgré le floutage de rigueur, on voit bien que le William en question a plus de chance de s'appeler Mohammed ou Aziz que Christophe ou François...

Libération, dont le siège a été le théâtre de la fusillade, titre en première page, ce mardi, ces simples mots: « Il a sorti un fusil et a tiré deux fois ! » Woaw, quelle info, quel titre ! Closer ou Ici Paris n'aurait pas fait mieux (ni pire) !

Charlie Hebdo se dit « bouleversé » par l' « attentat » subi par son confrère. Bouleversé ! Charlie aurait-il perdu son sens de l'humour ? Il aurait pu titrer, par exemple : Dingo 1, Libération 0 ? Cela aurait été davantage conforme à son style.

Une fois de plus, nos médias se regardent le nombril et prennent le peuple à témoin de leurs petits tracas.

Faut-il leur rappeler que chaque jour, des dizaines de personnes meurent en France dans la rue, de mort violente, assassinés ou dans des accidents divers et variés ? Rien qu'à Marseille, chaque semaine ou presque, un type se fait descendre. Le fait divers, pour tragique qu'il soit, s'est banalisé dans cette France à la Justice complètement à la dérive. Mais quand un média fait figure de victime, l'évènement devient un enjeu national. 

Le microcosme médiatique français considère que le monde entier gravite autour de sa petite existence. Il est persuadé être le méridien de Greenwich de l'Inquiétude Universelle. Tout ce qui le concerne doit, il n'en doute pas une seconde, préoccuper le bas peuple. Les manants doivent, toutes affaires cessantes, compatir au moindre de ses problèmes.

Si le dingo cité plus haut s'était attaqué à une boulangerie, est-ce que Libération aurait consacré toute sa première page à: « Il a sorti son fusil et a tiré deux fois ! » ?

Quand un journaleux, faisant fi des recommandations des militaires, est pris en otage dans un pays islamique quelconque, la compassion médiatique est totale. Si le kidnappé est un vulgaire quidam français venu généreusement en aide aux populations autochtones, la nouvelle fera deux petits tours et disparaîtra. A condition toutefois que les caprices de la météo hexagonale ne lui volent pas la vedette avant. Et si l'otage est un religieux chrétien, ça ne les intéressera pas plus de deux jours maximum, entre deux chiens écrasés et trois cirages de pompe progressiste.

Ils ont l'air malin, tous ces organes de presse toujours prompts à dénoncer avec mépris le délire « sécuritaire » des petites gens, et dont les sièges sociaux sont aujourd'hui bardés de cordons de police parce qu'un coup de feu a été tiré dans les locaux de l'un d'entre eux.

L'égotisme de la Presse, scandaleux et insupportable, ne connaît plus de limite. Comment s'étonner que les ventes des journaux soient en chute libre en France. Libération, pour ne citer que ce quotidien, enregistre près de 30% de chute en 9 mois. Son déficit pour 2013 devrait atteindre 1,5 millions d'euros. Sa direction commence à étudier un plan de réduction des coûts. On attend avec gourmandise de voir comment ces coûts vont être réduits et si ce support gauchiste va pouvoir éviter de lourder du personnel comme la plus vulgaire des entreprises capitalistes. Libération ne sera bientôt plus « Libé » mais plutôt « Ration ».

Il est curieux de constater que, cette semaine, Libération occupe décidément le devant de la scène : le quotidien a été la cible d'une attaque informatique malveillante qui a empêché la mise à jour de son site web le jour même où il pouvait espérer tirer profit de son rôle de victime du tireur fou : pas de chance.
Vendredi, c'est un tribunal qui donnait tort au journal dans le procès que lui intentaient les Laboratoires Servier pour un article diffamatoire paru dans le numéro du 23 décembre 2010. Rassurez-vous, la condamnation pécuniaire mettra moins en péril l'avenir de la feuille de chou que le désintérêt croissant de ses lecteurs : Joffrin a été condamné à 1000 euros d'amende, les journaleux signataires des articles à des amendes minimes et avec sursis, (faut pas trop sévir quand même)... 1000 euros d'amende, Mouchard (plus connu sous le pseudo de « Joffrin ») refilera sa note de frais à son successeur Demorand, soit l'équivalent du produit de la vente de 625 exemplaires (pour une diffusion journalière de 124 000), soit 0,5 % d'une diffusion quotidienne: c'est pas cher de diffamer en France. On aurait tort de se priver...

Le fameux 4e pouvoir est à notre époque ce qu'étaient les aristos à 1789. Internet pourrait bien être la lanterne à laquelle il sera pendu.

samedi 16 novembre 2013

Equipe de France de foot: équipe socialiste?









Au lendemain de cette nouvelle défaite de l'équipe prétendument « de France » contre l'Ukraine en match de barrage à la qualification pour la coupe du monde au Brésil, Saucisson-Pinard est frappé par l'étonnant parallèle entre les déboires de cette équipe et ceux du gouvernement que nous subissons, et d'une façon plus globale, de la société actuelle.

Il résonne encore aujourd'hui aux oreilles de Saucisson-Pinard la propagande grotesque célébrant il y a quinze ans la victoire de la France contre le Brésil en finale de la coupe du monde organisée à domicile, avec cette fameuse apologie de cette société « Black Blanc Beur ».

Déjà cette victoire facile sur ce score fleuve de 3/0 contre la meilleure équipe du monde qui avait largement survolé ses matchs précédents, lui a toujours paru très suspecte. Au moins aussi suspecte que la curieuse méforme de Ronaldo pour ce match, aussi soudaine qu'opportune. Sans tomber dans le délire complotiste, Saucisson-Pinard a toujours trouvé que cette victoire soulevait beaucoup de questions. Des questions que les médias français, tout occupés à célébrer l'avènement radieux de cette société multiculturelle, se sont bien gardés de se poser. Le Français moyen voyait déjà bien que l'intérêt pour la société française, de cette « diversité » envahissante, en cette fin du XXe siècle, peinait à se dessiner. Au moins fallait-il qu'il y trouve un motif de consolation quelconque, fût-ce à un niveau aussi futile qu'une compétition sportive, et cette victoire de l'équipe dite de France arrivait à point nommé.

Mais bon, admettons, en guise de postulat, que cette victoire n'ait pas été artificiellement créée pour répondre aux intérêts supérieurs de l'Etat « progressiste » et de sa propagande.

Aujourd'hui, quinze ans plus tard, que voyons-nous?

Une équipe de France de football de plus en plus Black, de plus en plus Beur et de moins en moins Blanche. Tout comme la population française.

Une équipe de France composée de voyous. Tout comme le gouvernement socialiste.

Une équipe de France arrogante et grossière. Tout comme le gouvernement actuel.

Une équipe de France dénuée de toute considération pour les spectateurs qui payent leurs places. Tout comme ce gouvernement qui méprise souverainement ces cochons de payants de contribuable.

Une équipe de France qui roule sur l'or avec des salaires monstrueusement démesurés en ces temps de crise. Tout comme ces ministres qui distribuent avec générosité des prébendes disproportionnées à leurs équipes de hauts fonctionnaires et à leurs courtisans.

Une équipe de France qui snobe jusqu'à ses propres fans. Tout comme ces ministres socialistes qui n'ont que dédain pour les simples militants de leur propre parti.

Une équipe de France brutale qui se voit infligée un pénalty et écope bêtement d'une expulsion dans le même match. Tout comme le gouvernement de Vals qui envoie ses CRS tabasser et enfumer de paisibles manifestants contre le mariage pourtousse et ceux qui témoignent leur antipathie à l'égard de Hollande Ouille lors de ses interventions publiques.

Une équipe de France qui connaît un record d'impopularité et de défiance dans le public. Un sondage sur RTL la veille de ce match, montrait que pas moins de 70% des sondés internautes déclaraient ne pas supporter cette équipe. Il n'y a que Hollande Ouille pour faire pire encore avec 85% d'opinion défavorable !

Et enfin, et surtout, une équipe de France qui perd, tout comme la France socialiste.

Une équipe de France qui perd contre des équipes supposées beaucoup moins favorisées. Enfin, « moins favorisées », c'est relatif : tout le monde aura remarqué que l'équipe d'Ukraine est composée... d'Ukrainiens. Et il semble bien que cela est un inestimable avantage quand il s'agit de vraiment vouloir aller « mouiller le maillot » pour défendre les couleurs de son drapeau à l'étranger. Avantage dont ne bénéficie vraiment pas cette équipe de France composée de mercenaires plus ou moins apatrides.

L'élimination définitive de la France de la participation à la prochaine coupe du monde aurait au moins pour avantage de nous dispenser d'assister au spectacle affligeant, comme en Afrique du Sud il y a trois ans, de ces gosses nouveaux-riches puants et incompétents qui donnent une si piètre image du pays aux yeux du monde entier.
Pour cela, Hollande et son gouvernement de clowns font déjà très bien l'affaire.

mardi 22 octobre 2013

Ecoeurements.



On ne reviendra pas dans le détail sur la comedia del arte burlesque de cette petite Léonarda italo-kosovare dont l'expulsion fait pleurer dans les chaumières médiatico-écolo-gauchistes. En guise de cerise sur l'apothéose, d'une affaire dont le grotesque le dispute au dérisoire, le guignol qui fait office de Président se croit obligé de mettre son grain de sel en émettant un jugement de Salomon du pauvre (d'esprit), ménageant la chèvre et le chou (la chèvre étant la susceptibilité des gauchos immigrationnistes de tous poils, et le chou l'application sans faille d'une procédure légale) : la famille reste expulsée mais la gamine peut revenir à l'école ! Fallait quand même la trouver, cette conclusion!

On croit, après chaque bévue de Hollande Ouille, qu'en termes d'incompétence caractérisée, on a touché le fond. Et soudain, il ouvre la bouche ou promène sa petite silhouette rondouillarde de notaire satisfait quelque part sur une scène internationale quelconque et on constate que , eh bien, non, le fond n'est pas atteint. Il trouve encore et toujours le moyen de se ridiculiser davantage, et hélas, avec lui, notre pays qu'il représente aux yeux d'un monde éberlué et rigolard.
La Grande Bretagne a son Mr Bean. La France a le sien. Manque de chance pour nous, notre Mr Bean préside réellement aux destinées du pays... Rowan Atkinson joue un rôle de composition, Hollande joue le sien vrai. C'est à se demander qui inspire l'autre.

Au moins cette anecdote aura-t-elle servi de révélateur d'un exemple parmi certainement beaucoup d'autres, d'immigrés clandestins fraudeurs, menteurs, voleurs, mauvais élèves, à la scolarité subventionnée par la collectivité des contribuables associés, et néanmoins suivie avec un dilettantisme forcené, incapables d'entretenir correctement un logement social attribué par la même collectivité sus-dite, aux dépens d'un Français de souche nécessiteux.

C'est vrai, ce n'est vraiment pas de chance pour les militants collabos de la cause immigrationniste comme « France Terre d'Asile » ou « Education sans Frontières » : si la gamine avait été une élève modèle, trustant les premières places de sa classe (c'est vrai qu'aujourd'hui, on ne classe plus : trop « stigmatisant »), parlant un français impeccable, si sa famille avait été irréprochable (pour entendu que bafouer les loi d'immigration d'un pays puisse être considéré comme une faute vénielle...), si elle avait été parfaitement intégrée socialement, impliquée dans la participation citoyenne au point de dédaigner des soutiens sociaux au financement desquels elle n'a jamais participé, alors oui, peut-être que les arguments de ces associations collabos de l'envahisseur auraient été audibles. Vraiment pas de chance : pour une fois qu'une affaire d'immigration clandestine vient sur le devant de la scène avec tous ses détails, l'homme de la rue constate que le cas Léonarda est un vrai concentré de ce que dénoncent les opposants-patriotes au  laxisme qui sévit dans la gestion de l'immigration dans ce pays depuis des dizaines d'années.

Des lycéens parisiens dont la naïveté propre à leur âge est outrageusement exploitée par des manipulateurs gauchistes dénués de tout scrupule, prennent fait et cause pour la vedette médiatique du moment. Un acteur politique de premier plan, en l'occurrence, Jean-Vincent Placé, président du groupe des sénateurs Verts, n'hésite pas à encourager publiquement sur RTL ces gamins à continuer d'interrompre leur scolarité pour servir ses propres intérêts partisans : est-il possible d'être aussi cyniquement irresponsable ? Apparemment oui. Politique de caniveau est le vocable qui vient à l'esprit.

Si tout ceci n'était pas suffisant pour donner des hauts-le-coeur à l'observateur le plus endurci, on assiste dimanche matin sur télé-foot aux délires et injures menaçantes, dans un français approximatif, d'une racaille footeuse basse de plafond en la personne de Patrice Evra, à l'égard de consultants-chroniqueurs sportifs, issus d'ailleurs pour la plupart, du monde du foot, comme lui. Cette racaille s'était déjà illustrée comme leader des joueurs-voyous lors du fiasco de la dernière coupe du monde en Afrique du Sud. On s'est toujours demandé comment il était possible qu'un tel individu soit toujours en équipe de France quatre ans plus tard... Comme quoi, une racaille avec les poches pleines de pognon reste une racaille.

Puisque le football de nos jours sert, hélas, faute de mieux, de vitrine pour un pays aux yeux du reste du monde, il faut bien reconnaître que des joueurs hors de contrôle comme Evra ou Ribéry sont des taches sur notre drapeau. De quelle nature sont ces taches, demanderez-vous ? Cette « œuvre d'art » contemporaine doit pouvoir vous donner une idée...

 Il serait largement temps que Didier Deschamp ou son successeur use du fameux karcher, naguère promis mais jamais utilisé, et cette fois, avec une bonne dose de détergent.


mardi 15 octobre 2013

L'avenir de la France





Beaucoup de Français se demandent de quoi l’avenir du pays sera fait. A tort. 

En effet, il n’y a aucune question à se poser. Pas de recours nécessaire à un Nostradamus contemporain. L’avenir de la France est tout tracé. Il suffit juste de savoir lire, en l’occurrence les journaux. Même pas de savoir lire entre les lignes. Et surtout pas les commentaires des journalistes qui s’arrogent le droit, voire le devoir de nous livrer leur interprétation bien-pensante des faits. Juste lire. Lire les faits divers, c’est regarder l’avenir de la France dans une boule de cristal, en clair, sans besoin de décodeur ni de don surnaturel.

Aujourd’hui par exemple, on apprend que notre premier ministre est sorti de sa léthargie comateuse pour participer ce mardi matin, flanqué de Vals, notre dhimmi de l’Intérieur, à la célébration de l’Aïd à la grande Mosquée de Paris. Probable leçon de laïcité socialiste. On s’attend donc à ce que nos deux représentants de l’Etat participent à la prochaine Messe de Noël, devant les micros et les caméras de nos chers médias.  Nan, j’rigole…

Les propos de Jean-Marc Z’Ayrault à l’occasion de cette célébration de l’Aïd musulman, valent leur pesant de cacahouètes. « Je salue une grande religion de France. Je mesure la place qui est la sienne dans notre pays et dans notre Histoire. » Dans notre Histoire ? Evoque-t-il par hasard le début du VIIIe siècle et Charles Martel repoussant l’invasion sarrasine, ou bien les razzias barbaresques des côtes françaises des XVIIe et XVIIIe siècles avec enlèvements de catholiques à fin d’esclavage et de traite de blanches ?
Notre grand comique poursuit, en s’adressant au recteur de la Mosquée Bourbakeur : « J’entends la parole que vous portez pour rassembler les femmes et les hommes autour d’un message de paix ». Mais peut-être avons-nous mal compris. Peut-être voulait-il dire « J’attends » au lieu de « J’entends »… ?

Car le même jour, nous apprenons que des armes et des munitions ont été saisies chez les trois islamistes arrêtés dans le cadre du démantèlement d’une cellule terroriste. Cette cellule terroriste s’est déjà livrée à une agression de policiers, un attentat contre un commerce juif de Sarcelles, et la mise en place d’une filière djihadiste. Un attentat contre un juge anti-terroriste et contre une chaîne de restauration rapide étaient aussi prévus. Bref, la vie normale d’une religion de Paix, d’Amour et de Concorde.

Est-ce que la lecture de ces deux nouvelles du jour est de nature à éclairer le candide français sur l’avenir de son pays ? Non ? toujours pas ?
Alors continuons de parcourir les nouvelles de la semaine.

Roubaix subit une invasion de rats. Les plaignants qui signent des pétitions pour demander à la Mairie d’agir, dénoncent le comportement de « certains habitants » qui déversent leurs ordures n’importe où. Ils constatent que certaines rues sont des décharges à ciel ouvert, avec sacs d’ordures éventrés, pigeons morts, vieux vêtements jonchant le sol, qui attirent les rats. Bref, on assiste à Roubaix à des scènes jamais vues depuis plus d’un siècle, en tous cas sous nos latitudes… 

Or, quelle est la particularité de Roubaix ? Celle d’être à 75% classée « zone sensible »… Un autre détail, pour les lecteurs qui n’auraient pas compris : la ville est peuplée à hauteur de 30% d’immigrés et enfants d’immigrés (quasi record national).  Pour les plus récalcitrants de la comprenette, voici ce qu’est aujourd’hui le marché de Roubaix :



Et quelle est l’histoire municipale de Roubaix ? Depuis 1977, les maires sont PS, et quand ils ne sont pas PS, ils viennent, à l’image de Vandierendonck, de l’UDF pour se convertir PS en cours de mandat… Ajoutons, pour faire bonne mesure que ce renégat UDF était membre du Haut Conseil à Intégration… C’est dire si l’Intégration à la française, il connaît !

Un petit groupe de roubaisiens, peu soucieux de voir leur ville devenir le théâtre d’une version locale de la Peste de Camus, (dont l’histoire se passe à Oran, Algérie – précision à l’intention des éventuels lecteurs de ce blog dont la culture littéraire aurait été assurée par notre si performante Education Nationale…) s’est donc dirigé vers la Mairie afin de savoir ce que la Ville comptait faire pour détruire les nids de rats qui infestent les égouts de la ville et les caves de l’école Gambetta. Le Maire PS, Pierre Dubois, n’a pas daigné le recevoir : Circulez, manants, j’ai une énième mosquée à construire avec vos impôts, et je dois donner une interview dans lequel je dis tout le bien que je pense du futur droit de vote des étrangers, de préférence à partir de 16 ans…

Ah qu’il est joli,
l’avenir de mon pays,
lai lai lai lai lai lai lai lai lai
Oui, qu’il est joli,
L’avenir de mon pays,
lai lai lai lai lai lai lai lai lai