Permissivité, appel à l'émeute, tentative d'intimidation de la Justice: tout Méchantcon dans un seul tweet. |
Avant de prendre connaissance de la liste des principaux responsables de cette affaire de Nanterre, Saucisson-Pinard
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Une petite racaille se fait descendre par un gendarme, suite à un refus d'obtempérer. Bon. Toute la bien-pensance politique et la médiatico-gauchiste (donc en fait, celle de tous les merdias de grands chemins), qui criait il y a quelques jours à peine, à la "récupération politique indigne" par « l'esstrême-drouaaaate » de l'attaque au couteau par un migrant syrien sur des enfants en landau dans le jardin public d'Annecy, se lance à corps perdu dans celle de cette supposée bavure policière.
Saucisson-Pinard écrit « supposée » bavure, parce que si la vidéo qui a été largement relayée sur les réseaux sociaux pourrait effectivement poser question sur le bien-fondé du tir du gendarme, une autre vidéo, prise sous un autre angle, peut infléchir largement la conclusion première. Il semblerait que le policier incriminé ait été vraiment menacé d'être écrabouillé contre le mur en cas de démarrage brutal du véhicule avec un léger changement de trajectoire. Et comme par hasard, cette seconde vidéo est, elle, bien plus confidentielle.
Du reste, la première vidéo qui a déclenché l'affaire, débute étrangement par la mise en joue de la petite racaille maghrébine par le policier. (Saucisson-Pinard n'étant pas intime avec cette dernière, il ne la désignera pas, comme le fait la Presse avec attendrissement, par son prénom. D'ailleurs on remarquera que les merdias prendront bien soin de ne pas préciser son nom de famille, si ce n'est par son initiale M. On l'appellera donc dans la suite de cet article, Momo. Gageons que s'il s'était agi d'un Duchemin, les merdias auraient été moins précautionneux sur la préservation de l'anonymat de la victime. (Encore que dans ce cas, ces mêmes merdias auraient superbement ignoré l'incident.)
Bref, la vidéo commence avec le gendarme pointant Momo avec son pistolet. Saucisson-Pinard ne se souvient pas, lors d'un banal contrôle routier, avoir été aussitôt visé par un gendarme ou un policier arme au poing. Il y a donc eu vraisemblablement une raison qui a poussé le gendarme à sortir son arme. Et aucun journaleux ni aucun gauchiste en récupération politicienne de l'incident ne s'est posé la question de connaître cette raison. On pourrait, par exemple, évoquer la possibilité que la gendarme ait vu Momo ou un des deux autres protagonistes de la voiture jaune, exhiber une arme de poing. D'ailleurs, une fois la voiture encastrée dans un poteau, si l'un des trois passagers a été arrêté, un autre a cru bon, bizarrement, de prendre la poudre d'escampette. Aurait-il eu par hasard quelque chose à se reprocher, alors qu'il n'était même pas responsable de la conduite de la voiture ?
Bien sûr, l'enquête en cours finira par lever le voile sur cette étrangeté*, mais lorsque cela sera le cas, l'affaire n'intéressera plus grand monde, et nos gauchiards seront passés à vociférer sur une autre affaire d'injustice réelle ou fabriquée d'un pauvre ostracisé de couleur, victime d'un méchant Français de souche.
L'affaire se résume donc en quelques mots. Momo, 17 ans, déjà bien connu défavorablement des services de police, selon l'expression consacrée, tente de fuir un contrôle de police. L'avocat de la famille de Momo a beau jeu de prétendre que cette petite racaille a un casier judiciaire vierge, la raison en étant juste la lenteur bien connue de la Justice. Car Momo à 17 ans a déjà eu maille à partir quinze fois avec la police pour motifs divers et variés : drogue, trafic de fausses plaques d'immatriculation et déjà pour refus d'obtempérer (le dernier en date étant le week-end précédent l'affaire!) alors qu'il n'est même pas en âge de conduire... Bref, un palmarès à la sortie de l'adolescence qui fait paraître long le chemin pour qu'il devienne une vraie « chance pour la France » une fois adulte...
L'enquête promise sur cette affaire devra explorer toutes les responsabilités. Et afin qu'aucune ne soit oubliée, Saucisson-Pinard se propose d'en relever quelques-unes, essentielles.
Commençons par la responsabilité parentale. Car Momo ne semble pas avoir eu toutes les chances de son côté, au niveau de son éducation familiale. La Presse tente bien de nous attendrir en évoquant l'absence de père et en soulignant la tendresse supposée qui liait Momo avec sa mère. Mais le moins qu'on puisse dire est qu'avec le palmarès de délinquance de cette petite racaille, maman Momo ne devait pas être trop regardante sur le comportement du fiston. D'ailleurs, la conduite de maman Momo durant la marche blanche organisée sur son initiative, où on la voit monter sur une moto qu'elle fait joyeusement pétarader avec moultes gesticulations, laisse songeur sur sa notion de conduite en cas de deuil. Etait-ce une façon pour elle de fêter un joyeux Naël ? (Bon d'accord, elle était facile, celle-là...)
Maman Momo aurait donc eu plutôt intérêt à se faire oublier, plutôt que de s'afficher avec autant d'impudeur. Elle a certes perdu son unique enfant, mais sa responsabilité est sérieusement engagée dans son inconduite récurrente qui l'a amené à fréquenter les forces de police avec autant de régularité.
On en arrive à la deuxième responsable : la Justice. Car qu'est-ce qui a bien pu motiver Momo à récidiver aussi souvent dans sa délinquance et à résister ainsi à l'arrestation par des gendarmes armés si ce n'est un immense sentiment d'impunité généré par un laxisme systématique des juges à son égard ?
Ne peut-on pas imaginer que si la Justice avait frappé durement dès la première incartade, Momo aurait réfléchi à deux fois à ce qui allait lui arriver s'il récidivait ? Accessoirement, si maman Momo s'était vue privée des allocations diverses et variées (financées par nous, contribuables...) qu'elle ne doit pas manquer de percevoir, sans doute se serait-elle davantage mêlée de la vie citoyenne de sa progéniture.
Il n'y a pas qu'un sentiment d'impunité qui s'infiltre dans l'esprit de ces racailles d'origine immigrée. Il y a aussi chez elles la conviction qu'elles sont protégées. Et on en arrive aux troisième et quatrième responsables indirects de l'incident de Nanterre : Les politicards de gauche, citons entre autres les Jean-Luc Méchantcon, les Tondelier, les Autain, les Sardine Ruisseau, les Boyard et toute cette clique de la Nupes, ainsi que les merdias de grands chemins, qui sont toujours prompts à prendre fait et cause pour les délinquants à partir du moment où ils ne sont pas blancs de peau.
On est atterré d'entendre la présidente de l'Assemblée nationale du parti Renuisance, appeler les députés à une minute de silence « en hommage » à Momo, et de voir ces derniers s'exécuter, alors que ces minutes de silence ne s'appliquent généralement qu'en l'honneur d'actes d'héroïsme ou en hommage à des victimes particulièrement méritantes. On ne se souvient pas que cette présidente Renuisance ait appelé à une minute de silence en hommage à la petite Lola massacrée par une immigrée n'ayant pas respecté une OQTF...
Le refus par ces gauchiards de la Nupes d'appeler au calme les émeutiers qui détruisent, agressent, vandalisent depuis cet incident de Nanterre en dit long sur ce sentiment d'être défendue et protégée qui finit par convaincre cette racaille que tout lui est permis. Le slogan "la police tue" maintes fois proféré par Méchantcon et ses acolytes participe aussi à conforter les racailles dans leur comportement. Qu'attend le gouvernement pour dissoudre le parti LFI pour appel à la violence ?
On pourrait enfin évoquer le possible manque de formation des forces de police qui ne seraient pas suffisamment entraînées à gérer des situations conflictuelles compliquées. Le gouvernement serait alors concerné par cette responsabilité indirecte. Mais il semble que dans le cas présent, la compétence du gendarme incriminé ne puisse pas être remise en cause puisqu'il avait reçu plusieurs courriers de félicitations et s'était vu même décerner une médaille suite à ses interventions professionnelles récentes.
Responsabilité parentale, responsabilité d'une Justice complètement dépassée, responsabilité de politicards démagos et anti-France, responsabilité de merdias à la solde d'une oligarchie friande d'immigration-réservoir de main d'oeuvre bon marché : le gendarme incriminé et mis en prison à la Santé au titre d'une simple garde à vue (!) (chose inhabituelle qui en dit long sur la politique du deux poids deux mesures qui sévit dans les instances judiciaires), ne devrait pas se sentir seul !
L'incident de Nanterre et les émeutes qu'il provoque sont la parfaite synthèse de décennies d'incurie gouvernementale, d'idéologies permissives et de complaisance envers une immigration inassimilable et non maîtrisée. Merci Momo pour cette démonstration posthume ! Puissent les Français enfin comprendre la situation et en tirer les conséquences lors des prochaines consultations électorales !
* Alors que SP écrivait ces lignes, on apprend que les gendarmes coursaient Momo depuis plus d'une demi-heure. Cette petite frappe conduisait son bolide à vive allure, empruntait les couloirs de bus, brûlait des feux rouges, manquait de renverser un piéton puis un cycliste, et ne fut rattrapé par les gendarmes qu'à l'occasion d'un encombrement dans le trafic. On comprend donc la mise en joue du délinquant multirécidiviste. Combien de personnes innocentes auraient pu être blessées ou même perdre la vie si la course poursuite s'était prolongée indéfiniment ?