Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

vendredi 30 juin 2023

Affaire de Nanterre: les responsables.

 

Permissivité, appel à l'émeute, tentative d'intimidation de la Justice: tout Méchantcon dans un seul tweet.

 Avant de prendre connaissance de la liste des principaux responsables de cette affaire de Nanterre, Saucisson-Pinard vous engage à vous abonner à son blog (cliquer sur "s'abonner" dans la colonne de droite ci-contre) afin de lutter contre les algorithmes de gogole qui ont pour vocation d'invisibiliser son propos, dérangeant pour l'establishment. Merci !

Une petite racaille se fait descendre par un gendarme, suite à un refus d'obtempérer. Bon. Toute la bien-pensance politique et la médiatico-gauchiste (donc en fait, celle de tous les merdias de grands chemins), qui criait il y a quelques jours à peine, à la "récupération politique indigne" par « l'esstrême-drouaaaate » de l'attaque au couteau par un migrant syrien sur des enfants en landau dans le jardin public d'Annecy, se lance à corps perdu dans celle de cette supposée bavure policière.

Saucisson-Pinard écrit « supposée » bavure, parce que si la vidéo qui a été largement relayée sur les réseaux sociaux pourrait effectivement poser question sur le bien-fondé du tir du gendarme, une autre vidéo, prise sous un autre angle, peut infléchir largement la conclusion première. Il semblerait que le policier incriminé ait été vraiment menacé d'être écrabouillé contre le mur en cas de démarrage brutal du véhicule avec un léger changement de trajectoire. Et comme par hasard, cette seconde vidéo est, elle, bien plus confidentielle.

Du reste, la première vidéo qui a déclenché l'affaire, débute étrangement par la mise en joue de la petite racaille maghrébine par le policier. (Saucisson-Pinard n'étant pas intime avec cette dernière, il ne la désignera pas, comme le fait la Presse avec attendrissement, par son prénom. D'ailleurs on remarquera que les merdias prendront bien soin de ne pas préciser son nom de famille, si ce n'est par son initiale M. On l'appellera donc dans la suite de cet article, Momo. Gageons que s'il s'était agi d'un Duchemin, les merdias auraient été moins précautionneux sur la préservation de l'anonymat de la victime. (Encore que dans ce cas, ces mêmes merdias auraient superbement ignoré l'incident.)

Bref, la vidéo commence avec le gendarme pointant Momo avec son pistolet. Saucisson-Pinard ne se souvient pas, lors d'un banal contrôle routier, avoir été aussitôt visé par un gendarme ou un policier arme au poing. Il y a donc eu vraisemblablement une raison qui a poussé le gendarme à sortir son arme. Et aucun journaleux ni aucun gauchiste en récupération politicienne de l'incident ne s'est posé la question de connaître cette raison. On pourrait, par exemple, évoquer la possibilité que la gendarme ait vu Momo ou un des deux autres protagonistes de la voiture jaune, exhiber une arme de poing. D'ailleurs, une fois la voiture encastrée dans un poteau, si l'un des trois passagers a été arrêté, un autre a cru bon, bizarrement, de prendre la poudre d'escampette. Aurait-il eu par hasard quelque chose à se reprocher, alors qu'il n'était même pas responsable de la conduite de la voiture ?

Bien sûr, l'enquête en cours finira par lever le voile sur cette étrangeté*, mais lorsque cela sera le cas, l'affaire n'intéressera plus grand monde, et nos gauchiards seront passés à vociférer sur une autre affaire d'injustice réelle ou fabriquée d'un pauvre ostracisé de couleur, victime d'un méchant Français de souche.

L'affaire se résume donc en quelques mots. Momo, 17 ans, déjà bien connu défavorablement des services de police, selon l'expression consacrée, tente de fuir un contrôle de police. L'avocat de la famille de Momo a beau jeu de prétendre que cette petite racaille a un casier judiciaire vierge, la raison en étant juste la lenteur bien connue de la Justice. Car Momo à 17 ans a déjà eu maille à partir quinze fois avec la police pour motifs divers et variés : drogue, trafic de fausses plaques d'immatriculation et déjà pour refus d'obtempérer (le dernier en date étant le week-end précédent l'affaire!) alors qu'il n'est même pas en âge de conduire... Bref, un palmarès à la sortie de l'adolescence qui fait paraître long le chemin pour qu'il devienne une vraie « chance pour la France » une fois adulte...

 

L'enquête promise sur cette affaire devra explorer toutes les responsabilités. Et afin qu'aucune ne soit oubliée, Saucisson-Pinard se propose d'en relever quelques-unes, essentielles.

Commençons par la responsabilité parentale. Car Momo ne semble pas avoir eu toutes les chances de son côté, au niveau de son éducation familiale. La Presse tente bien de nous attendrir en évoquant l'absence de père et en soulignant la tendresse supposée qui liait Momo avec sa mère. Mais le moins qu'on puisse dire est qu'avec le palmarès de délinquance de cette petite racaille, maman Momo ne devait pas être trop regardante sur le comportement du fiston. D'ailleurs, la conduite de maman Momo durant la marche blanche organisée sur son initiative, où on la voit monter sur une moto qu'elle fait joyeusement pétarader avec moultes gesticulations, laisse songeur sur sa notion de conduite en cas de deuil. Etait-ce une façon pour elle de fêter un joyeux Naël ? (Bon d'accord, elle était facile, celle-là...)

Maman Momo aurait donc eu plutôt intérêt à se faire oublier, plutôt que de s'afficher avec autant d'impudeur. Elle a certes perdu son unique enfant, mais sa responsabilité est sérieusement engagée dans son inconduite récurrente qui l'a amené à fréquenter les forces de police avec autant de régularité.

On en arrive à la deuxième responsable : la Justice. Car qu'est-ce qui a bien pu motiver Momo à récidiver aussi souvent dans sa délinquance et à résister ainsi à l'arrestation par des gendarmes armés si ce n'est un immense sentiment d'impunité généré par un laxisme systématique des juges à son égard ?

Ne peut-on pas imaginer que si la Justice avait frappé durement dès la première incartade, Momo aurait réfléchi à deux fois à ce qui allait lui arriver s'il récidivait ? Accessoirement, si maman Momo s'était vue privée des allocations diverses et variées (financées par nous, contribuables...) qu'elle ne doit pas manquer de percevoir, sans doute se serait-elle davantage mêlée de la vie citoyenne de sa progéniture.

Il n'y a pas qu'un sentiment d'impunité qui s'infiltre dans l'esprit de ces racailles d'origine immigrée. Il y a aussi chez elles la conviction qu'elles sont protégées. Et on en arrive aux troisième et quatrième responsables indirects de l'incident de Nanterre : Les politicards de gauche, citons entre autres les Jean-Luc Méchantcon, les Tondelier, les Autain, les Sardine Ruisseau, les Boyard et toute cette clique de la Nupes, ainsi que les merdias de grands chemins, qui sont toujours prompts à prendre fait et cause pour les délinquants à partir du moment où ils ne sont pas blancs de peau.

On est atterré d'entendre la présidente de l'Assemblée nationale du parti Renuisance, appeler les députés à une minute de silence « en hommage » à Momo, et de voir ces derniers s'exécuter, alors que ces minutes de silence ne s'appliquent généralement qu'en l'honneur d'actes d'héroïsme ou en hommage à des victimes particulièrement méritantes. On ne se souvient pas que cette présidente Renuisance ait appelé à une minute de silence en hommage à la petite Lola massacrée par une immigrée n'ayant pas respecté une OQTF...

Le refus par ces gauchiards de la Nupes d'appeler au calme les émeutiers qui détruisent, agressent, vandalisent depuis cet incident de Nanterre en dit long sur ce sentiment d'être défendue et protégée qui finit par convaincre cette racaille que tout lui est permis. Le slogan "la police tue" maintes fois proféré par Méchantcon et ses acolytes participe aussi à conforter les racailles dans leur comportement. Qu'attend le gouvernement pour dissoudre le parti LFI pour appel à la violence ?

On pourrait enfin évoquer le possible manque de formation des forces de police qui ne seraient pas suffisamment entraînées à gérer des situations conflictuelles compliquées. Le gouvernement serait alors concerné par cette responsabilité indirecte. Mais il semble que dans le cas présent, la compétence du gendarme incriminé ne puisse pas être remise en cause puisqu'il avait reçu plusieurs courriers de félicitations et s'était vu même décerner une médaille suite à ses interventions professionnelles récentes.

Responsabilité parentale, responsabilité d'une Justice complètement dépassée, responsabilité de politicards démagos et anti-France, responsabilité de merdias à la solde d'une oligarchie friande d'immigration-réservoir de main d'oeuvre bon marché : le gendarme incriminé et mis en prison à la Santé au titre d'une simple garde à vue (!) (chose inhabituelle qui en dit long sur la politique du deux poids deux mesures qui sévit dans les instances judiciaires), ne devrait pas se sentir seul !

L'incident de Nanterre et les émeutes qu'il provoque sont la parfaite synthèse de décennies d'incurie gouvernementale, d'idéologies permissives et de complaisance envers une immigration inassimilable et non maîtrisée. Merci Momo pour cette démonstration posthume ! Puissent les Français enfin comprendre la situation et en tirer les conséquences lors des prochaines consultations électorales !


* Alors que SP écrivait ces lignes, on apprend que les gendarmes coursaient Momo depuis plus d'une demi-heure. Cette petite frappe conduisait son bolide à vive allure, empruntait les couloirs de bus, brûlait des feux rouges, manquait de renverser un piéton puis un cycliste, et ne fut rattrapé par les gendarmes qu'à l'occasion d'un encombrement dans le trafic. On comprend donc la mise en joue du délinquant multirécidiviste. Combien de personnes innocentes auraient pu être blessées ou même perdre la vie si la course poursuite s'était prolongée indéfiniment ?

jeudi 8 juin 2023

Un peu de maths à propos du CO2.

 

Avant d'aborder ce cours de mathématique en écologie appliquée, Saucisson-Pinard vous engage à vous abonner à son blog (cliquer sur "s'abonner" dans la colonne de droite ci-contre) afin de lutter contre les algorithmes de gogole qui ont pour vocation d'invisibiliser son propos, dérangeant pour l'establishment. Merci ! 

Notre gouvernemaman, toujours à l'affût de ce qui pourrait bien emmerder toujours un peu plus les Français, au motif ô combien louable, bien sûr, de « prendre soin de la planète », lance une concertation avec des élus et des professionnels pour « envisager » d'interdire l'installation de chaudières à gaz neuves.

Alors évidemment, une petite traduction est ici requise. Quand le ministère de la Transition énergétique parle de « concertation » pour « envisager », il faut comprendre que la décision est d'ores et déjà prise : cette installation de chaudières à gaz neuves sera interdite. Il n'est donc pas question de se concerter avec quiconque, pas plus qu'il n'est question de seulement « envisager ». Il y aura interdiction, point barre.

Mais ce n'est pas tout. Quand on parle d'installation de chaudières neuves interdites, on connaît d'avance la suite. C'est juste un pied dans l’entrebâillement de la porte. On passera alors à l'étape suivante qui sera bien évidemment l'interdiction d'utilisation des chaudières à gaz les plus anciennes. Puis la date d'ancienneté qui périmera officiellement les chaudières concernées par ce démantèlement obligatoire, sera progressivement avancée jusqu'à l'interdiction totale de toutes les chaudières à gaz. Charge aux Français qui auraient l'outrecuidance de continuer à vouloir se chauffer en hiver et à avoir de l'eau chaude toute l'année, de trouver une alternative.

Cette alternative serait éventuellement l'électricité. C'est à la mode. Pas de l'électricité d'origine nucléaire, bien sûr, il ne faudrait pas fâcher les punks écolos qui votent (à gauche). Donc de l'électricité avec des panneaux solaires, ce qui, on l'imagine, sera bien pratique pour se chauffer en hiver quand les journées sont courtes et l'ensoleillement plutôt à tendance buissonnière. Ou de l'électricité produite par des éoliennes, vous savez, ces grands ventilateurs qui apportent cette petite note coquette dans nos paysages... Comment ? Que dites-vous ? Aujourd'hui, il n'y a pas de vent ? Pas grave, vous mettez un pull-over supplémentaire pour regarder BFMTV de votre salon et vous vous doucherez un autre jour.


Bref, la chaudière à gaz est la prochaine victime expiatoire à sacrifier sur l'autel de l'escrologie punitive ; ou est l'otage livré à la mafia oligarchique d'Al Carbone, comme l'appelle assez justement le site insolentiae.com (que Saucisson-Pinard vous recommande chaudement au passage).

On connaît l'antienne : c'est le vilain CO2 (dioxyde de carbone) qui provoque le réchauffement climatique. Pardon, le «dérèglement» climatique. Bah oui, tout le monde sait que jusqu'à une époque récente, le climat était « réglé » comme du papier à musique. Ou comme un thermostat de salon. Oublions la période quasi-tropicale du Moyen-âge, oublions qu'il y avait alors du vignoble en Angleterre, oublions les écrits du XVIIe siècle qui racontent que le vin (donc avec de l'alcool dedans) gelait en hiver sur les tables du château de Versailles et qu'on traversait la Seine à Paris à pied sec, en marchant sur la glace.

Bref, nous vivons en ce début du XXIe siècle une période affreuse où le climat se met à faire des siennes pour la première fois de son histoire. 

Bon, c'est vrai, il semble que les températures ne montent plus depuis une dizaine d'années, mais concentrons-nous, s'il vous plaît, sur cette augmentation de... 0,6 degré depuis la fin du XIXe siècle !! Insupportable ! Et à cause de quoi ? Du vilain CO2 qui augmente dans l'atmosphère ! Et pourquoi augmente-t-il ? A cause de l'homme, bien sûr : c'est le dioxyde de carbone anthropique qui cause cette catastrophe climatique.

Oublions ce détail que sans CO2, il n'y aurait juste pas de végétation possible. Oublions que plus il y a de CO2, meilleures sont les récoltes. Oublions que les observations les plus récentes démontreraient que, dans l'histoire de la planète, l'élévation de température ne suit pas une élévation du taux de C02, mais au contraire, que c'est l'élévation de la température qui serait suivie de celle du CO2, même si les raisons restent encore mal élucidées.

Oublions tout cela, et décrétons que le CO2 anthropique est une calamité et qu'il convient donc, à tous prix (au vrai sens de l'expression !), de tenter de faire baisser ce taux de dioxyde de carbone originaire de l'activité humaine. Par exemple – et on en revient là au début de cet article, en arrêtant d'équiper les foyers français en chaudières à gaz !


A ce stade, nous allons, une fois n'est pas coutume dans ce blog, faire un peu de mathématiques. Rassurez-vous, ça sera juste une question de règle de trois.

Et pour cela, rappelons quelques chiffres.

Le taux de CO2 dans l'atmosphère est de 0,04%. Bon. Ça calme déjà un peu l'affolement, non ?

Quelle est la part de ce dioxyde de carbone provoquée par l'activité humaine dans ce 0,04% ? La réponse est édifiante. L'homme est responsable de... 3,225% de la totalité du CO2 dans l'atmosphère! On comprendra donc que 96,775% du CO2 de l'atmosphère sont naturels !

Avec une simple règle de trois, on en déduit que l'activité humaine est la cause de 3,225% de 0,04% de l'atmosphère totale, soit (0,003225*0,0004=) 0,00129% de ce qui constitue l'atmosphère. Et ces 0,001% bouleverserait, selon la propagande pseudo-scientifique du moment, le climat de la planète entière ! Même en estimant que les petits effets produisent de grandes causes, la chose commence à devenir dure à avaler.

Mais poursuivons nos calculs. La France est responsable, à elle toute seule, de... 0,93% du CO2 anthropique de la totalité de la planète. Rapprochons donc ce pourcentage du CO2 provoqué par ces vandales de Français, des 3,225% du CO2 d'origine humaine dans le total du dioxyde de carbone de l'atmosphère. Toujours avec une simple règle de trois, on en déduit que ces 66 millions de Français sont les coupables de (0,0093*0,03225=) 0,03% du CO2 total de l'atmosphère. En conséquence, on comprend que si, dans un esprit de sacrifice suprême, les Français revenaient à l'âge de pierre et réduisaient leur production de CO2 à zéro (il faudrait aussi, bien sûr, pour arriver à ce résultat, qu'ils arrêtent de respirer et de péter, mais, que voulez-vous, on a l'esprit de sacrifice ou on ne l'a pas), il resterait 99,97% de vilain CO2 dans l'atmosphère. Le climat s'en trouverait-il changé ? Le pari ne semble pas gagné d'avance...

Mais bon. Restons raisonnable, et remettons cette exigence de zéro CO2 français à plus tard, et contentons-nous, comme le fait notre ministère de la transition énergétique, d'imposer aux Français de se passer de chaudière à gaz. Et calculons l'impact de cette décision charitable et bienveillante.

L'utilisation des bâtiments est responsable de 18% du CO2 d'origine humaine en France. Sur ces 18%, les chaudières à gaz y sont pour 60%. Ces chaudières à gaz sont donc à l'origine de (0,18*0,6=) 10,8% du CO2 anthropique français. Lequel CO2 anthropique français représente, rappelons-le, 0,93% du CO2 d'origine humaine sur la totalité de la planète. Les chaudières à gaz en France sont donc à l'origine de (10,8% de 0,93%=) 0,1% du dioxyde de carbone créé par l'activité humaine mondiale.


Alors une question devrait être posée à la sinistre de la transition énergétique, Agnès Pannier-Runacher :

« Dis-nous, chère Agnès, de combien de degrés la température globale de la planète Terre baissera quand toutes les chaudières à gaz sur le territoire français auront été mises au rencart, et qu'il restera 99,9% du CO2 d'origine humaine ? Pourrais-tu nous signer de ta main une promesse chiffrée ? Et afin de conférer à cette signature une certaine valeur, tu t'engagerais, si par le plus grand des hasards, cette température ne baissait pas de plus de – soyons magnanime - la moitié de ton engagement écrit, à finir tes jours en prison pour escroquerie à l'égard de 66 millions de victimes.

Et en attendant, on te recommandera d'éviter d'éternuer : ça pourrait assourdir, à l'autre bout de la planète, par le même effet papillon, le papou de Port Moresby (Papouasie-Nouvelle-Guinée)... »