S'il fallait encore une preuve que le Système (ou « Etat profond » comme vous voudrez l'appeler) est prêt à tout, vraiment à tout, pour arriver à ses fins, les élections présidentielles américaines en sont une criante démonstration. La voici en trois points :
Les sondages.
Les merdias mainstream font mine de s'étonner, comme en 2016 : « Décidément les sondages se sont encore trompés et ont largement sous-estimé les votes Trump ! » Non, les sondages ne SE SONT pas trompés ! Ils ONT cherché à tromper ! Ce qui est bien différent ! Ces mêmes merdias nous expliquent doctement que « peut-être certains sondés n'ont pas osé dire qu'ils allaient voter Trump ! ». La vérité est ailleurs : les échantillonnages ont vraisemblablement et intentionnellement été mal faits, pour ne pas refléter la réalité du corps électoral. Il s'agissait de bien faire passer le message aux électeurs de Trump que le vote était plié pour leur candidat et qu'il était donc inutile de se déplacer pour participer à cette course perdue d'avance. Et il faut reconnaître que ça a dû fonctionner à la marge. Ajoutez à cela une bonne dose de tripatouillage de chiffres et vous arrivez à annoncer, sans rire, comme l'a fait l'institut de sondage « 538 » une avance de 17 points pour le candidat démocrate !
Tout au long du mandat de Trump, les merdias mainstreams à la solde du Système, aux Etats-Unis comme en France d'ailleurs, ont été d'un parti-pris anti-Trump systématique. Mais lors de la campagne présidentielle, la propagande pro-Biden et le dénigrement du locataire de la Maison-Blanche ont atteint un niveau absolument sidérant !
Kim Jong Un de la Corée du Nord a dû bien se marrer de voir le déroulement de cette campagne dans la plus « grande démocratie » du monde !
Des télévisions américaines sont allées jusqu'à couper une allocution de Trump en direct, au prétexte que le président « disait des choses inacceptables », lui refusant ainsi l'exercice même de la liberté d'expression qui est au cœur de la Constitution américaine ! Imaginez France Télévision qui déciderait, d'elle-même, de couper la diffusion en cours d'un discours télévisé de Macreux parce qu'il dirait des bêtises ! La différence est que Trump est un opposant au Système alors que Macreux est l'un de ses pions. Censure hallucinante!
Le dépouillement des votes.
Dans les Etats-clés (swing States), l'avance de Trump, le mercredi soir, est nette. Puis devant les yeux ébahis des téléspectateurs, le score de Trump est tout d'un coup bizarrement à l'arrêt tandis que celui de Biden The Cheater monte irrésistiblement, des heures et des heures durant, avec le décompte des bulletins de vote par correspondance ! Parce que, voyez-vous, « les électeurs démocrates votent par correspondance, pas les électeurs républicains », nous expliquent nos journaleux le plus sérieusement du monde. Comment avaler de telles calembredaines ? Que ceux qui les avalent contactent d'urgence Saucisson-Pinard : Il a une tour métallique en face du Trocadéro à vendre, à un prix très intéressant.
Et comment comprendre que dans le pays qui a inventé internet, dans le pays berceau de la technologie connectée, cela prenne autant de temps d'avoir, dans certains Etats (à gouvernance Démocrate, comme par hasard), un décompte définitif des votes ? On se serait cru dans une élection au Yémen...
Ce n'est pas la première fois que l'élection présidentielle américaine est sujette à tricherie. Kennedy, du parti Démocrate (encore), une icône des bien-pensants (aussi), en avait bénéficié; à l'époque, avec l'aide de la Mafia.
Donc si on ajoute aux sondages truqués, une propagande médiatique outrancière, une censure aussi bien dans les merdias que dans les réseaux sociaux Twitter et Facebook, et pour couronner le tout une tricherie organisée au dépouillement des votes, qu'obtient-on ? Réponse : le profil type d'une manipulation de grande envergure. Manipulation dont Biden The Cheater n'est qu'une marionnette utile. Et si on voit, en arrière-plan, une population européenne plus ou moins interdite de circulation (sauf pour aller bosser bien sûr), on a tous les ingrédients d'une dictature qui se met, doucement mais sûrement, en place dans le monde occidental.
Pour ce qui concerne les Etats-Unis, la suite est assez prévisible. La marionnette en question a peu de chances de finir son mandat. Soit elle passera l'arme à gauche (Biden The Cheater a 77 années visiblement plutôt lourdes dans les godasses) soit elle sera écartée du pouvoir quand sa sénilité mentale déjà bien avancée sera par trop évidente.
La vice-présidente Harris sera alors aux manettes. Une vice-présidente dont le principal argument de campagne était d'être, quoique née à Auckland, d'origine indo-jamaïcaine. Naguère, quand un individu briguait un leadership au sein d'un groupe, il avait à cœur de convaincre ses auditeurs qu'il était d'abord et avant tout vraiment des leurs. Mais le progressisme est d'une autre nature. Il convient aujourd'hui de se vanter, au contraire, d'être d'ailleurs, et de crier haut et fort : « Je ne viens pas de votre communauté et surtout me félicite de n'en pas venir, mais ai néanmoins la prétention de vous diriger! » Bref, Harris est l'incarnation de l'idéologie mondialiste qui cherche la disparition des Etats-Nations, préalable indispensable à l'instauration d'une dictature dans l'occident exercée par une poignée de happy few.
Soit dit en passant, cette vice-présidente, auto-proclamée issue de l'immigration, peut cependant difficilement jouer auprès de la population noire et latino, la carte de celle qui s'est forgée sa place sociale en partant de rien grâce au rêve américain. Il lui faudrait pour cela commencer par se retirer la cuillère en argent que sa famille de la grande bourgeoisie californienne lui a mise dans la bouche. Mais c'est un autre débat.
Pour en revenir à cette grande manipulation, on remarque que le Système qui tisse ainsi soigneusement sa toile sur la planète entière, prend de moins en moins de précaution de discrétion. On peut même dire qu'il se croit tellement sûr de lui qu'il se permet un insolent cynisme en affichant publiquement ses intentions.
Il suffit pour s'en persuader
de décortiquer le message, assez peu subliminal en réalité, de la
couverture de The Economist de janvier 2019, magazine du clan
Rothschild. Une vidéo diffusée naguère sur Youtube faisait une
analyse très fine de cette couverture. « Faisait »,
parce que évidemment, elle était tellement éloquente que Youtube
l'a bien entendu retirée : trop subversive, trop dénonciatrice
du Système. Et elle commençait à être un peu trop vue. Cette
vidéo mettait le doigt sur les grands desseins de la dictature en
marche. Citons ainsi, par exemple, au milieu de multiples références
maçonniques, marchandisation des corps avec le sac à code-barre de
la cigogne (1 sur le dessin), distraction et abrutissement des masses
avec la légalisation du cannabis (2) et le spectacle du sport (3), leur mise en dépendance via le smartphone (4), la reconnaissance
faciale pour pister le manant et assurer sa surveillance (5), masque
de réalité virtuelle sur les yeux de l'Homme de Vitruve pour
l'empêcher précisément de voir la réalité vraie (6), etc...
Le clou de ce « programme illustré » se trouve dans le coin en bas à gauche de cette couverture (en 7) avec le dessin d'un pangolin: cet article de The Economist est paru quelques douze mois avant l'irruption de la pandémie du coronavirus sur le monde et de la fable selon laquelle cet animal en serait à l'origine : édifiant ! Trop édifiant pour être juste une coïncidence.
Nous ne sommes plus là dans le divinatoire sublime mais bien dans l'annonce d'un plan d'agression caractérisée dont nous voyons l'application minutieuse aujourd'hui.
Rien n'est plus facile à manipuler que la démocratie, les Amerloques en font, ce coup-ci, une démonstration éclatante. Le plus terrible ce sont les media et la machine à bourrer les crânes qu'ils constituent. CNN a proclamé l'élection du vieux kroum, c'est tout dire!
RépondreSupprimerAmitiés.
Dans l'Occident progressiste, la Presse n'est plus un contre-pouvoir, mais LE Pouvoir. La preuve, ce sont les merdias qui décident et indiquent qui est le nouveau président. Un pouvoir non élu évidemment, mais financé par l'Oligarchie.
SupprimerLorsque j'étais gosse, le président ou les présidents ou les administrations présidentielles nommaient les journalistes
RépondreSupprimerC'était un peu cavalier, souvent flagrant, mais assez équilibré
Aujourd'hui c'est l'inverse