La Justice française s’est à nouveau couverte de ridicule en condamnant Jean-Paul Guerlain à une amende de 6.000 euros pour injure raciale ! Bigre ! Mais qu’avait donc dit le célèbre « Nez » pour s’attirer ainsi les foudres du tribunal correctionnel de Paris?
Interrogé sur la création du parfum Samsara sur France 2 le 15 octobre 2010, le descendant du fondateur de la maison Guerlain avait répondu: "Pour une fois, je me suis mis à travailler comme un nègre. Je ne sais pas si les nègres ont toujours tellement travaillé, mais enfin..."
Évidemment, au rang des plaignants figuraient les éternelles associations bigotes du politiquement correct : Licra, SOS racisme et Mrap. Ces associations ont toujours joué les vierges effarouchées devant la verdeur de la langue française, prouvant de ce fait, que cette langue leur est effectivement étrangère. Leur attitude montre précisément avec éclat ce qu’elles voudraient cacher, à savoir que leurs membres ne sont pas des Français à part entière, avec une pleine adhésion à sa langue dans toute sa diversité. Le français restera toujours pour eux, une langue d’emprunt.
C’est après tout leur problème : si ces associations tiennent à rappeler qu’elles ne rassemblent que des immigrés non désireux ou incapables de se fondre dans le moule du Français AOC qui a hérité d’une langue originale et riche d’une histoire qui les dépasse de très haut, tant pis pour elles.
Ce qui est grave, en revanche, c’est que notre Justice abonde dans le même sens. N’a-t-elle pas d’autres chats à fouetter que de statuer sur un propos d’une aussi rare banalité ? On ne peut qu’être consterné de constater que des magistrats ont pris la peine et le temps de disséquer la réflexion anodine de Jean-Paul Guerlain, en décidant de relaxer ce dernier sur la partie : « Pour une fois, je me suis mis à travailler comme un nègre », mais en le condamnant pour la partie : « Je ne sais pas si les nègres ont toujours tellement travaillé, mais enfin... » !
Je croyais naïvement que les tribunaux étaient encombrés, qu’ils manquaient de moyens pour assurer leur travail correctement. Apparemment, ce n’est pas le cas. La Justice semble s’être offerte une petite récréation dans son désoeuvrement, pour tuer son ennui, en étudiant cette plainte et en lui assurant une suite à la limite du baroque, aux dépens financiers d’une personnalité dont le talent exceptionnel a participé au renom de la France dans le monde, a assuré d’incroyables rentrées de devises et créé des centaines d’emplois. Faut-il rappeler qu’on doit à Guerlain une quarantaine de parfums aux inoubliables fragrances, de Vétiver à Habit rouge, en passant par Samsara ou Jardins de Bagatelle ?
Le Procureur Alexandre Auber, certain que le ridicule ne tue pas, à moins que, l’ignorant, il ait fait une tentative de suicide, a même prétendu que ces propos, "injurieux et racistes", ont constitué "un trouble à l'ordre public" ! Tartuffe, pas mort !
Le carcan du politiquement correct s’est encore resserré d’un cran avec cette affaire. Ça va devenir compliqué et risqué de parler français en public désormais.
Car la langue française est fleurie, n’en déplaise à tous ces pisse-froid.
Les allusions aux travers reconnus ou inventés, de nos partenaires étrangers au cours de l’Histoire, qui ont donné naissance à des expressions courantes, sont innombrables. Le Politiquement correct a-t-il l’ambition de nous robotiser notre langue en plus de nous lobotomiser notre réflexion politique ?
Si oui, autant que nous partions seuls, boire en Suisse, à devenir saouls comme un Polonais. Ensuite, nous filerons à l’anglaise sans payer, car nous sommes avares comme des Écossais. C’est vrai que nous commençons à en avoir marre d’être pris comme tête de Turc par ces tyrans de la Pensée Unique qui font des Châteaux en Espagne avec leur dogme prétendument humaniste. Pour nous, Résistants Français d’Appellation d’Origine Contrôlée et fiers de l’être, leurs arguments, c’est de l’hébreu. On y reste complètement sourd, peut-être avons-nous les Portugaises ensablées ? On a plutôt envie d’envoyer tous ces empêcheurs de parler et de penser en rond se faire voir chez les Grecs, ou d’aller se faire une branlette espagnole, avec une capote anglaise. C’est le meilleur moyen qu’ils ne se chopent pas la maladie italienne (syphilis). En fait, s’ils croient qu’on va s’acheter la conduite qu’il nous impose à n’importe quel prix, c’est qu’ils nous prennent pour des Américains. Nous croient-ils donc riches comme des Juifs ? En France, pour ce qui est de la liberté d’expression, depuis que les gauchistes ont pris le pouvoir médiatique, on ne peut pas dire que ça soit le Pérou. Non, vraiment, il est passé le temps où on pouvait dire que, côté liberté de parole, en France, c’était Byzance ! Les soldats de la Pensée Unique, tous autant qu’ils sont, qui se croient tous gradés comme dans l’armée Mexicaine, nous font suer le burnous avec leur censure permanente. Mais il arrivera le jour, où avec des ruses de Sioux, nous, les Résistants, parce que nous sommes têtus comme des Bretons, nous reprendrons le pouvoir. Car les murailles de leur prison de la Pensée étant faites comme du travail d’arabe, elles finiront pas s’écrouler sous nos coups de boutoir. Bientôt, la nouvelle de la Liberté retrouvée en France se propagera dans tout le pays par le téléphone arabe (mais sans eux, espérons-le !)
Sûr que pour nos magistrats larbins de ces associations peine-à-jouir, ça sera la douche écossaise. Nous ferons alors défiler tous ces collabos en file indienne devant nos tribunaux. Seront-ils pardonnés ? On pourra leur faire une réponse de Normand s’ils nous le demandent, voire une promesse de Gascon pour mieux les tondre ou les fusiller ensuite, selon la gravité de leurs crimes. Personnellement, j’opterais plutôt pour les soumettre à un supplice chinois, opéré de préférence par un bourreau fort comme un Turc.
Et nous leur rappellerons, à tous ces oppresseurs, l’adage célèbre qui dit que "Pour faire un homme accompli, faut l'orgueil d'un Allemand, l'avarice d'un Savoyard, la fausseté d'un Français ".
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