Il a fallu que ce sujet s’insinue subrepticement dans la campagne présidentielle pour apprendre que la quasi totalité de la viande abattue en région Ile de France, l’est selon le rite musulman ! La filière bovine, poussée dans ses derniers retranchements, reconnaît du bout des lèvres, un pourcentage de 30% de viande halal sur la totalité de la viande consommée sur le territoire national ! Ce pourcentage, déjà très important, est certainement en dessous de la vérité.
Or réglementairement, l’abattage des bêtes sans étourdissement préalable doit être permis par dérogation. C’est-à-dire être l’exception, pour répondre à un motif religieux.
Il est clair que 30% ou davantage, ce n’est plus l’exception, c’est en passe de devenir la règle.
Il y a alors, de la part des politiques, deux attitudes à tenir. Soit on enquête pour savoir pour quelles raisons on est arrivé à cette dérive, (et on agit pour y mettre un terme), soit on regarde ailleurs, en niant l’évidence. Cette dernière attitude est celle choisie par les socialistes et quelques personnalités de droite comme Juppé. Quand Guéant vient à Marseille pour dire sans rire à quel point la ville a gagné en sûreté, il aurait du être accueilli par les maires d’arrondissement de la ville, comme le veut la tradition républicaine. Au lieu de cela, ces derniers, parmi lesquels le maire du premier secteur, Patrick Mennucci. préfèrent aller ostensiblement déjeuner dans un restaurant estampillé halal. Il y en a qui n’ont même pas l’acte de collaborationisme discret !
Or, cette prolifération de la viande halal est d’abord l’indice (un de plus) d’une infiltration permanente et galopante des influences islamistes en France. Le plus grave est que cet indice a été jusqu’à aujourd’hui délibérément caché, contrairement à ceux, bien plus visibles, de la montée de la délinquance ou de la prolifération des communautés noires et maghrébines dans nos villes.
S’il n’est pas mis un terme à cette invasion de la viande halal, il n’y a pas de raison que nos cantines ou nos restaurants de collectivité ne soient pas à brève échéance exclusivement approvisionnés en viande halal, forçant ainsi la population française à se soumettre à un rite qui n’est pas le sien et accessoirement à payer l’impôt islamique accompagnant ce rite.
Si les politiques ne font rien, soit par laxisme, soit par naïveté, soit parce qu’ils sont des collabos activistes comme ces élus socialistes de Marseille, que peut faire le citoyen lambda ? Très simple : ne pas oublier qu’en plus d’être citoyen qui vote, il est aussi consommateur. Et en tant que tel, il peut agir : en boycottant les restaurants servant ouvertement de la viande halal (comme la chaîne de fast-food Quick par exemple), et privilégier dans sa consommation protéique, la viande de porc au dépens de la viande bovine. Quand la filière bovine constatera que ses clients refusent d’être des collabos à leur propre insu, elle sera sans doute plus regardante sur ses pratiques professionnelles.
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