Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

jeudi 30 décembre 2021

Une pub qui en dit long...

 


Il y a comme ça, des pubs qui en disent long sur leurs commanditaires.

Vous n'avez certainement pas pu échapper à celle-ci :

Un homme, plutôt âgé, aux cheveux grisonnants, se pomponne devant son miroir. Il choisit avec soin sa plus élégante écharpe.

Une femme, plutôt âgée, se pomponne devant son miroir. Elle se fait belle, ajuste sa coiffure.

Le tout sur un fond musical romantique et des paroles en italien évoquant « amor mio».

Puis l'homme, bien apprêté, sort dans la rue.

La femme, bien apprêtée, sort dans la rue.

Le téléspectateur imagine forcément que les deux retraités se sont donnés rendez-vous quelque part, et est ému de cette belle histoire de deux personnes qui n'ont pas renoncé dans leur troisième âge à l'émotion de l'amour.

Cette publicité pourrait être celle d'un site de rencontre pour les plus de cinquante ans, comme « Disons demain » par exemple. Encore que l'encart de Marianne signalant une communication gouvernementale dans un coin de l'image puisse laisser poindre un doute...

Les deux retraités marchent l'un vers l'autre , le sourire aux lèvres, ils vont enfin se rencontrer... Mais non ; ils entrent ensemble... dans une pharmacie, en s'ignorant superbement.

Il ne s'agit pas d'une belle rencontre amoureuse, mais de deux clampins se rendant en pharmacie pour se voir administrer leur troisième dose de vaccin...


Si le téléspectateur n'est pas déçu de ce sordide épilogue, c'est qu'il est complètement dépourvu d'humanité.

Au passage, on peut se demander si une publicité qui frustre son spectateur peut être qualifié de bonne publicité... Saucisson-Pinard a du mal à imaginer qu'un annonceur qui administre un bras d'honneur à son consommateur-cible puisse vraiment s'attirer ses bonnes grâces. Ou alors, les principes de marketing ont bien changé...

On évalue sans peine le degré de cynisme du publicitaire qui a osé proposer ce scénario à son client. Cynisme parfaitement assumé par ce client, qui l'a accepté ; en l'occurence, le ministère de la Santé, avec Véran à sa tête.

On ne peut pas s'empêcher de faire le rapprochement entre cette escroquerie au sentimentalisme et celle à la sécurité sanitaire que le gouvernement mène depuis un an avec son histoire de vaccin.

Il promet d'abord au citoyen que le vaccin va lui permettre de mener une vie normale, et que ça sera la fin de l'épidémie et de ses soucis. Et puis, il lui faut accepter une seconde dose. Puis une troisième au terme de quatre mois après la seconde. Et puis non, ça sera trois mois seulement après la seconde. Faute de quoi, il verra son pass sanitaire supprimé. Et puis peut-être lui faudra-t-il se faire injecter une quatrième dose. Et puis il lui faudra sans doute à certaines occasions, à la fois un test négatif et la vaccination complète. Bref, bien loin de toute justification sanitaire, le citoyen voit ses libertés au fur et à mesure du temps, se réduire comme peau de chagrin, les coercitions de plus en plus pesantes, et en filigrane, il voit cette société de contrôle et de surveillance se mettre en place à ses dépens.

On est bien loin de l'objectif de santé publique présenté au départ. Comme le téléspectateur appâté par la promesse d'une belle histoire attendrissante, le citoyen s'est vu promettre un retour à une vie « normale ». Belle déception dans les deux cas. Le gouvernement se moque du téléspectateur et du citoyen sans aucun scrupule. En termes plus crus, le téléspectateur et le citoyen sont ouvertement pris pour des cons.

Accessoirement, avec son slogan final assurant « tous vaccinés, tous protégés », cette publicité est mensongère au premier degré et donc judiciairement condamnable, puisqu'il est parfaitement reconnu que le vaccin n'empêche absolument ni la transmission ni l'infection. On attend que des associations de consommateurs fassent leur travail.

Menteur et cynique. Ce spot publicitaire est bien digne de ses commanditaires, Macreux, et ses sinistres Casse-tête et Variant en tête.

 

 

Pour bien vous faire comprendre et accepter que l'avenir de la société occidentale devra impérativement être métissé et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper.




En réponse modeste à ce matraquage,
Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur.

 

4 commentaires:

  1. Lorsque des blancs sont instrumentalisés dans une publicité, c'est
    1) soit pour promouvoir des ouigres, ou du gang bang inter machin qu'on n'a pas le droit de dire
    2) soit pour être les dindons de la farce
    En tout état de cause, lorsque vous lisez ou entendez la mention "décalé" je n'ai qu'un conseil à vous donner, c'est "fuyez, pauvres fous !"
    N'achetez pas, ne financez pas !

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  2. J'aime beaucoup celle ou une gamine va, de son plein gré comme une grande et fière comme Artabanne, séparer les deux petits bonshommes en plastique qui ne lui ont rien demandé et qui sont sur la bubûche de Fête de Fin d'Année en chocolat pour en mettre un à chaque extrémité...
    Il doit bien y en avoir quelques unes qui l'ont fait, sous les yeux émerveillés de parent#1 et parent#2...


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  3. Ils prennent le spectateur et le citoyen (c'est le même)pour un imbécile fieffé, c'est vrai, j'espère que cela leur reviendra en forme de coup de pied au cul en avril prochain mais rien n'est moins sûr...nous verrons alors s'ils ont raison.
    Amitiés.

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  4. Et les vieux courent recevoir leur troisième dose !
    Faut croire qu'être pris pour des quiches ne les gène pas !
    Notre humanité ( enfin, leur humanité ) se réduit à tenter de ne pas avoir le covid, tout le reste est passé à la trappe...
    Y'a eu aussi la pub où Mamie se retrouvait intubée à cause des bisous de ses petits enfants ! Et j'en connais sur qui ça a très bien fonctionné, plus de bisous depuis 2 ans !
    Bonne année quand même ! Et les relations affectives étant un très bon booster d'immunité, ne nous en privons pas :)

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