Conflit d'intérêts? Où ça?? |
Saucisson-Pinard a pu rétablir le contact avec le micro qu'il a dans le bureau de Macreux. Voici le dernier conseil sur le Covid qui a eu lieu entre les participants que Saucisson-Pinard a pu identifier en reconnaissant les voix, comme suit : Macreux, Casse-tête le premier sinistre et le Variant, sinistre de la Santé. Exceptionnellement, il y avait aussi Brizitte.
Macreux : - Bon, messieurs, je vous ai réunis parce que demain j'ai un Conseil Scientifique Covid, et je voudrais établir ce qu'il y sera décidé. J'adore ces Conseils de Défense, j'ai l'impression d'être un vrai chef de guerre qui prépare sa prochaine offensive, dans le plus grand secret, avec le sceau « secret défense », c'est excitant comme tout ! Bon, un petit point pour commencer. J'ai encore une poignée d'irréductibles, six millions quand même, qui refuse de se faire piquouser, et c'est intolérable. J'ai des engagements à tenir vis à vis de Big Pharma, moi ! Ursula a eu droit à un câlin public, à l'Atlantic Council, avec le PDG de Pfizer Albert Bourla, et moi que dalle ! Enfin... que dalle côté câlin, parce que côté pognon... enfin, bref, c'est un autre sujet. Alors, Casse-tête, qu'est-ce que vous en pensez ?
Casse-tête : - Oh la même chose que vous, monsieur le président !
Macreux : - C'est bien, continuez. Et vous, Variant ?
Variant : - Moi ? Ben, vous allez me dire ce que je dois en penser, monsieur le président !
Macreux : - Parfait. Alors voilà : pour des raisons juridiques, il est difficile d'instaurer officiellement une obligation vaccinale. Alors, on va finasser. Le pass sanitaire va céder sa place à un pass vaccinal. Donc, plus moyen de se payer des tests antigéniques ou PCR, on se vaccine pour avoir le QR code qui donne droit à une vie normale et puis c'est tout ! Pas mal, non ?
Variant : - Euh, monsieur le président...
Macreux : - Oui, Variant, quoi ?
Variant : - Ben, on va avoir des vaccinés potentiellement contagieux qui vont pouvoir transmettre le virus, en toute liberté, alors que des non-vaccinés indemnes seront retirés de la circulation...
Macreux : - Oui, et alors ?
Casse-tête : - Ben oui, Variant, et alors ?
Variant : - Ben, c'est pas ça qui risque d'arrêter l'épidémie !
Macreux : - Mais qu'est-ce qu'on en a à foutre, d'arrêter l'épidémie ? C'est pas le but ! Au contraire, plus l'épidémie s'étend et plus l'argument du vaccin se justifie ! Vous êtes con, ou quoi, Variant ?
Casse-tête : - Ben oui, Variant, vous êtes con, ou quoi ?
Variant : - Moins on aura de tests de fait, et moins on aura de moyens d'évaluer l'étendue de l'infection. Déjà, de l'avoir rendu payant pour les non-vaccinés, le nombre de tests réalisés est tombé drastiquement. Maintenant, les non-vaccinés n'en feront plus du tout, même payants, et seuls les vaccinés en feront. Ce qui donnera à tout le monde une idée du nombre de vaccinés qui choperont le Covid malgré leur vaccin, et cela illustrera l'inefficacité du vaccin !
Macreux : - Euh oui, bon... mais on s'en fout.
Casse-tête : - Oui,
on s'en fout, Variant!
Macreux : - Les Français voudront continuer d'aller au cinéma, au resto et dans les concerts, donc même s'ils savent que leur vaccin ne sert à rien, ils le demanderont pour avoir la paix. J'ai pas raison, Jean-Mich... euh, Brizitte ?
Brizitte : - Tu devrais avoir l'habitude, maintenant, depuis qu'on se connaît, de ne pas m'appeler Jean-Michel ! Je m'appelle Brizitte !
Macreux : - Oui, mais moi, tu sais, quand tu n'as pas eu de maquillage depuis plus de 24 heures, j'ai du mal à m'ajuster, et c'est Jean-Michel qui me vient automatiquement en tête ! Bon, qu'est-ce que t'en penses, de tout ça, Brizitte ?
Brizitte : - T'as raison, aussi longtemps que les Français ne se rendront pas compte des effets secondaires des vaccins, ils accepteront de se faire piquer régulièrement.
Macreux : - T'en fais pas. Les médias sont tenus par des gens qui n'ont aucun intérêt à ce que se répande l'idée que les vaccins vont multiplier à plus ou moins long terme nombre de maladies et de morts prématurées. Donc, côté médias, ça sera silence radio. Et quand bien même les statistiques vont commencer à parler, la relation avec les vaccins sera difficile à prouver. L'autre avantage du pass vaccinal, c'est qu'on pourra l'exiger pour se rendre aux bureaux de vote pour la présidentielle. Ainsi les non-vaccinés qui, de toutes façons ne voteraient pas pour moi, seront exclus des votants. Comme ça, ça augmente les chances que je me paye Valérie Traîtresse au second tour plutôt que Zemmour. Bon alors, on est d'accord : place au pass vaccinal ?
Casse-tête : - On est d'accord, monsieur le président.
Macreux : - Bon, moi j'ai une grande interview de plus de deux heures mardi sur TF1, pour poursuivre ma campagne électorale qui n'a pas encore officiellement commencé. Je vais faire mon petit numéro du gars qui est content de tout ce qu'il a fait, qui a néanmoins beaucoup appris pendant ces quatre ans et demi, avec des petits silences de compassion pour montrer à quel point je suis ému d'aimer autant les Français. C'est là que je vais pouvoir mettre à l'oeuvre tout ce que tu m'as appris dans tes cours de théâtre, Brizitte. Donc, moi je serai le gentil, et vous Casse-tête, je vous laisse le soin deux ou trois jours plus tard d'être le méchant pour annoncer cette histoire de pass vaccinal. Ok, Casse-tête ?
Casse-tête : - Bien, monsieur le Président.
Macreux : - La séance est levée. Je vais mener mon Conseil Scientifique qui validera tout ça. Delfraissy et sa clique de marionnettes ne peuvent rien me refuser. De toutes façons, il n'y a aucun rapport de fait, sur ces Conseils. Rappelez-vous : je suis un chef de guerre ! Ah ah ah, Clemenceau n'a plus qu'à bien se tenir !
Pour bien vous faire comprendre et accepter que l'avenir de la société occidentale devra impérativement être métissé et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper.
En réponse modeste à ce matraquage,
Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur.
Ce serait plutôt Clément Sot... quoique clément...
RépondreSupprimerAmitiés.
"de l'avoir rendu payant pour les non-vaccinés, le nombre de tests réalisés est tombé drastiquement" : c'est hélas ! faux. Le nombre de tests a fléchi quelques jours, puis est reparti à la hausse, en particulier quand leur durée de vie est passée à 24 h. On a battu les records d'août, avec plus d'un million de tests le 13 décembre !!
RépondreSupprimerRésultat : avec 97 % (et le pouce) de faux positifs, le nombre de cas bondit. Et l'épidémie repart, on remet de la thune dans le bastringue.
Le pass vaccinal est un scandale, je suis bien d'accord (le vaccin aussi, du reste), mais il a peut-être une chance de faire baisser d'un coup le nombre de tests, et donc de cas.
Je pense que c'est l'objectif (c'était déjà l'objectif du test payant, mais ça a raté). Comme ça, ils pourront dire qu'ils ont vaincu le méchant variant macron.
Je crains que leur objectif ne soit absolument pas de vaincre l'épidémie. Elle leur rend bien trop de services. S'ils peuvent la faire durer, même artificiellement, ils ne s'en priveront pas.
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