Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

samedi 14 février 2015

Madame Marianne va bien! Foi de Dr Flanby.




Dr Flanby, sourire aux lèvres et engoncé dans sa petite blouse blanche, entre dans la chambre.

« - Alors, comment va notre patiente aujourd'hui ? » demande-t-il d'un ton jovial à la cantonade.

Tous les internes sont là, au chevet de Madame Marianne. Les visages sont fermés. Une sourde inquiétude emplit la pièce.

« - Pas trop bien », se hasarde l'une des personnes présentes. « Ne serait-il pas largement temps de l'amener en soins intensifs ? »

La patiente, blanche comme un linge, respire difficilement, les yeux fermés, le visage marqué par la souffrance.

« -En soins intensifs ? Mais vous n'y pensez pas ! » s'exclame le professeur Flanby avec son sourire niais habituel. « Madame Marianne se porte comme un charme ! »

« - Mais je vous rappelle qu'il y a quelques jours à peine, son cancer de l'immigration islamique n'était pas aussi étendu ! » fait remarquer un des internes. « Regardez donc l'état de santé de Madame Marianne maintenant ! »

« - Cancer ? Quel cancer ? Ce sont des bactéries ! De bonnes et belles bactéries ! De vraies chances pour Madame Marianne, qui concourent à son bien-être ! »

« - Des bactéries ? Mais regardez donc les symptômes, si je peux me permettre, professeur ! Viandes halal, femmes voilées, mosquées, zones de non-droit où le système immunitaire n'a même plus accès, baisse du niveau scolaire, délinquance, attentats... ! »

« - Qu'est-ce que vous racontez ? Madame Marianne va très bien, la preuve, elle ne se plaint pas ! »

« - Mais si, écoutez ! Elle râle ! Elle peut à peine bouger et garde les yeux fermés. »

« - Je n'entends rien ! »

« - Approchez-vous professeur, écoutez-la! »

« - Elle râle bien un peu, oui, » reconnaît Flanby du bout des lèvres. « Mais c'est normal, elle va mieux mais elle ne le sait pas encore ! Et si elle a les yeux fermés, c'est pour mieux se concentrer sur sa guérison ! »

« - Mais non, c'est parce qu'elle est complètement abrutie par les anesthésiants médiatiques que vous lui faites prendre à hautes doses! En plus, le médicament justice du laboratoire Taubira que vous lui administrez est parfaitement inopérant... Pire, il semble faciliter la multiplication des cellules cancéreuses !
Si on faisait une IRM, on verrait que les tumeurs sont partout aujourd'hui ! »

« - Ah non, pas d'IRM. Ça serait stigmatisant ! Cette curiosité de ce qui se passe dans le corps de Madame Marianne est tout à fait malsaine ! » grimace Flanby. « Je m'y refuse absolument ! »

« - Docteur Flanby, les dernières biopsies ont montré l'invasion de nouveaux organes par les cellules cancéreuses : regardez. Un organe de presse a encore été récemment attaqué. On voit distinctement qu'elles se disséminent partout et sont de plus en plus agressives à l'égard des cellules souches saines! »

« - Lors de ma dernière auscultation de Madame Marianne le 11 janvier dernier, j'ai vu dans ses yeux une belle détermination. Madame Marianne va bien ! Et puis, si c'est un cancer, c'est un bon cancer ! »

« - Un bon cancer ? Vous plaisantez ? » s'indigne un interne éberlué.

« - Oui souvent. Mais pas là. D'ailleurs les Drs Vals et Cazeneuve disent comme moi. C'est un bon cancer ! Voilà ! » 

« - J'ai une mauvaise nouvelle, professeur. On observe ce matin que ce qu'avait prévu le Dr Houellebecq est en train de se passer. Le cancer est en train de s'organiser en quelque sorte, il a créé un parti musulman qui va lui permettre de s'étendre encore davantage jusqu'à métastaser partout et entraîner la mort de notre patiente. »

« - Dr Houellebecq ? Me parlez pas de celui-là ! » s'emporte soudain le professeur. « Il dit n'importe quoi ! »

« - Dr Zemmour aussi a le même diagnostic ! » remarque un interne.

« - Tous des charlatans ! »

« - L'équipe du Dr Le Pen disait la même chose dès l'arrivée de Madame Marianne dans notre service. »

« - Des charlatans, je vous dis, tous des charlatans » se bute Dr Flanby.

« - N'empêche ! Tout ce qu'ils avaient annoncé est arrivé. Et le Dr Raspail qui, dans son dernier rapport annonçait comment allaient se multiplier les cellules cancéreuses, avait raison aussi ! »

« - Vous m'agacez tous ! Je vous interdirai d'exercer, vous m'entendez ? Le médecin attitré de Madame Marianne, c'est moi. Et on verra bien à l'autopsie qui avait raison ! La séance est levée. »

Les internes se regardent, dépités et incrédules. Dr Flanby sort en claquant la porte.

Il s'éloigne dans le couloir vers une silhouette féminine.

« - Ah ma petite Julie, heureusement que tu es là pour me changer les idées. Elle commence à me fatiguer cette emmerdeuse de Marianne qui s'obstine à ne pas reconnaître la chance qu'elle a de m'avoir comme médecin traitant. Elle veut même pas faire semblant d'aller mieux ! Quelle ingrate !  Allez, viens, Julie, je t'invite dans un restaurant gastronomique. C'est pas cher, c'est l'état qui paye !»


3 commentaires:

  1. La pauvre Marianne s'est chopé une musulmanose qu'on aurait pu soigner si elle avait été prise à temps. Hélas, tous les médecins qui se sont succédé à son chevet depuis quarante ans se sont toujours planté de diagnostic. Alors elle agonise...
    Chouette article, bravo!
    Amitiés.

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  2. ces "docteurs" sont le problème.

    Ils haïssent le patient.

    Popeye

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  3. Le Dr Flamboche a raison, on ne pourra se prononcer qu'à l'autopsie
    Ça devrait plus trop tarder....

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