Ce vendredi, un braquage
de supérette a lieu dans un quartier de Toulouse. Tôt ce matin, une
personne pénètre dans une supérette de quartier à Toulouse,
l'arme au poing et exige des employés qu'ils lui remettent la
caisse.
Une des employées de la
supérette trouve le moyen de prévenir la police. La Brigade
anti-criminalité intervient très vite sur place et un de ses
policiers se trouve face à face avec le braqueur qui le met en joue.
Le policier, plus rapide, tire et tue le gangster.
Visiblement, le criminel
avait des complices. Saucisson-Pinard a pu les identifier.
En effet,
il a intercepté une communication qui ne laisse aucun doute sur son
origine. Cette communication, entendue par radio ce matin, fait état
d'un « braquage qui a mal tourné. ». Qui pourrait faire
état de l'échec de cette agression en parlant de braquage ayant mal
tourné, si ce n'est un complice déplorant cette issue fatale pour
le gangster ? Il semblerait que ce rapport émane d'une
organisation plus large, connue sous le nom de «service de
presse de la radio Europe 1».
En outre,
Saucisson-Pinard a su décrypter le langage codé utilisé par cette
organisation criminelle. Par exemple, la locution « une
personne bien connue des services de police, originaire du quartier
Montmirail », désignerait en réalité un multirécidiviste
vraisemblablement d'origine immigrée, plusieurs fois arrêté et
relâché systématiquement par un juge adhérent au syndicat de la
magistrature. Ou quelque chose de très approchant.
D'ores et déjà, la
police est satisfaite de voir une issue très positive à ce
braquage. Il est en effet très clair que cette racaille armée,
dangereuse et laissée sur le carreau ne recommencera plus à pourrir
la vie du quartier. Elle ne mettra plus en danger la vie d'honnêtes
commerçants ni celle de flics. Elle n'encombrera plus les tribunaux.
Elle ne mobilisera plus aucun intervenant de la Justice, juge, avocat
commis d'office et payé par le contribuable, jury, greffier, avocat
général, assesseur etc... Elle ne croisera plus ses agents qui
pourront donc s'occuper d'autres affaires en cours. Elle ne coûtera
plus rien au contribuable en n'étant plus logée, nourrie et
surveillée gratuitement en prison.
Il reste donc désormais
à la police à remonter la filière identifiée grâce au témoignage
de Saucisson-Pinard, et à mettre fin aux agissements de toute cette
clique qui soutient le crime et les criminels.
Tiens, c'est amusant : c'est exactement -en mieux écrit- ce que je disais dans mon tweet de première réaction hier matin. Nous sommes sans doute nombreux à partager ce point de vue. @niaffreux.
RépondreSupprimerNe me dites pas que je n'étais pas tout seul à surprendre ces complices dans leurs communications....!!!!!
SupprimerEt tout cela avec une seule balle!
RépondreSupprimerTotal respect.
rocardo
Oui, même la police est contrainte aux économies budgétaires et doit réduire la consommation de matériel.
SupprimerTout à fait d'accord mais il y a du boulot, Il s'agit d'organisations tentaculaires qui vont bien au delà de la nébuleuse Europe 1, il faut notamment compter avec le Califat Service Public qui compte un nombre incalculable d'affidés! Non, décidément nous ne sommes pas sortis du caravansérail!
RépondreSupprimerAmitiés.
Du très beau boulot en effet, à citer en exemple dans tous les postes de police du Frankistan.
RépondreSupprimerOn a le droit de rêver...