Vaccins Covid: colossal bras de levier de corruption.

 

On se doutait que la vaccination contre la Covid était un gisement financier extraordinaire pour les labos à l'origine des vaccins. Mais, tout en s'en doutant, on pouvait être largement en dessous de la vérité... jusqu'à ce qu'on apprenne que les quatre principaux laboratoires fournisseurs de vaccins (Pfizer, Johnson &Johnson, Moderna et AstraZeneca) dégagent la bagatelle de 1 000 $ de profit par seconde ! Vous avez bien lu : il ne s'agit pas de mille dollars de chiffre d'affaire mais bien de mille dollars de PROFIT PAR SECONDE! Le temps que vous lisiez cette phrase, ces quatre labos ont encaissé 8 000 dollars de profit !

Imaginez-vous le pouvoir de corruption que ces profits stratosphériques peuvent donner ? Quand on l'envisage, tout s'éclaire brutalement.

On comprend pourquoi, dès le début de l'épidémie, très vite baptisée abusivement de pandémie afin d'instiller la peur, on a déclaré que la seule issue possible allait résider dans la vaccination. Jusqu'à présent, la recherche d'un vaccin ne se faisait que lorsqu'un traitement de la maladie visée s'avérait introuvable.

On comprend pourquoi ceux qui levaient le doigt pour dire « Eh, moi j'ai un traitement qui semble bien marcher ! » se sont vus très très vite vilipendés, traités de charlatans, discrédités, mis au ban de la société.

On comprend pourquoi ceux qui sont à l'origine de ces traitements et les chercheurs qui dénoncent les risques de la technologie dénuée de recul de l'ARN messager, sont littéralement harcelés par les Autorités et parfois poursuivis judiciairement pour des prétextes fallacieux.

On comprend pourquoi « on » n'a pas hésité à aller jusqu'à produire dans une revue scientifique de renom une étude complètement bidonnée pour discréditer l'hydroxychloroquine. A propos, combien a été payé the Lancet ?

On comprend pourquoi les gouvernements, notamment occidentaux, mettent autant de zèle à promouvoir cette vaccination jusqu'à instaurer son obligation déguisée. A la vérité assez peu déguisée. Et parfois pas déguisée du tout (voir l'Autriche).

De là à extrapoler que la fuite de Wuhan de ce virus SARS n'est pas forcément complètement accidentelle et qu'elle pourrait avoir été faite délibérément pour créer de toutes pièces ce marché financièrement providentiel, il n'y a qu'un pas. Ce pas aura tôt fait d'être taxé de complotisme évidemment, mais après tout, l'hypothèse de l'origine même de ce virus provenant de ce laboratoire de recherche en augmentation de moyens des virus situé à Wuhan, avait été aussi, en son temps, traitée de complotiste...

Ce qui pourrait étayer la suspicion d'un acte prémédité est de considérer le très peu de temps, finalement, qui aura été nécessaire pour mettre au point ces vaccins. Jusqu'alors, un vaccin requerrait plusieurs années de recherche et de mise au point. Mais dans le cas de ce Covid, moins d'un an et demi a suffi. Etonnant, non ? Bien sûr, on rétorquera que cette rapidité témoigne juste des progrès de la recherche médicale. Ben voyons ! Curieux que ce progrès ne se constate pas dans la mise au point de réponses médicales efficaces de moult affections, maladies, dysfonctions diverses et cancers.

On peut imaginer assez facilement les termes du marché de la façon suivante :

« Bon, Manu, l'affaire qu'on te propose est assez simple. Tu rends la vaccination obligatoire et on te reverse, disons, 24 heures de profits sur ton compte perso aux Îles Caïmans. Comment ? Quarante huit heures ? Disons trente-six heures. (36 heures de profits à mille dollars la seconde, faites le calcul... NDLR) Tope-là. Bon, à toi de jouer, on te laisse, on a d'autres chefs d'état à consulter. C'est pas grave, on commencera à encaisser les profits pour notre usage personnel dans une quinzaine de jours, ou un peu plus tard, quand on aura fini de « convaincre » les décideurs occidentaux... Occidentaux principalement ? Ben oui, les décideurs des seuls pays qui ont les moyens d'acheter notre came, bien sûr. Les autres pays ne nous intéressent pas. (D'ailleurs, on y trouve comme par hasard, beaucoup moins d'infections. Comme en Afrique par exemple. Bizarre, non? NDLR). On peut attendre. Car nous avons aussi, en effet, la maîtrise du temps : celui de faire durer cette affaire de Covid autant que souhaitable (par nous).

Quant à toi, Manu, tu te fais un joli pactole, qui, au passage, pourra te servir à financer ta future campagne électorale pour garder ton siège, et te permettra de corrompre à ton tour, à chaque fois que tu en auras besoin : médias, politiques, influenceurs etc... Mais en plus, on te procure le prétexte sanitaire pour mettre ta population à ta botte, sous étroite surveillance, et pour supprimer peu à peu ses libertés et la distraire des vrais enjeux politiques qui la concernent. C'est du gagnant-gagnant ! Du win-win comme on dit chez nous. Pas vrai, Manu ? »

Ces profits commerciaux, d'une envergure jamais vue dans l'histoire de l'Humanité, représentent un gigantesque bras de levier mondial pour corrompre les décideurs de la planète. L'occasion faisant le larron, cette épidémie, prétexte à générer une manne financière inédite, permet accessoirement d'instaurer ce fameux Reset promu par Klaus Schwab, président du Forum de Davos, dont le but avoué est de mettre les populations sous tutelle et en servitude : « Vous ne possèderez rien et vous serez heureux ! » proclame le benêt de l'affiche d'illustration du grand Reset rêvé par le chef de file de l'oligarchie mondialiste.

Ce dernier avoue que « la pandémie représente une rare mais étroite opportunité pour réinitialiser le monde ». Tu parles, Charles. Tu gloses, Klaus. Et il ajoute : « Certains se demandent quand les choses reviendront à la normale. La réponse est courte : jamais. Il y aura une ère avant le coronavirus et une ère après le coronavirus. » Autre sortie du prophète sociopathe : « L'endiguement de la pandémie de coronavirus nécessitera un réseau de surveillance mondiale. »

Décidément, quand on se souvient que Schwab (né en 1938) a été élevé dans l'Allemagne nazie, on se dit que l'enfance laisse parfois une empreinte indélébile.

 

 

Pour bien vous faire comprendre et accepter que l'avenir de la société occidentale devra impérativement être métissé et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper.

En réponse modeste à ce matraquage,
Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur.