Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

lundi 23 avril 2012

Leçon de socialisme appliqué.


Une histoire vraie.
Un professeur d’Economie de lycée aux Etats-Unis a un jour raconté qu’à sa grande fierté, aucun de ses élèves individuellement n’avait échoué à son examen de fin d’année. Du moins jusqu’à ce qu’une de ses classes entière ait raté ce même examen !

Cette classe était unanime à prétendre que le « socialisme à la Obama » aller fonctionner, et qu’avec lui, personne ne serait pauvre, et personne ne serait riche : bref, une politique très égalitariste. C’était au début de la Obamamania qui a submergé l’Amérique dans les premiers mois de son mandat. (Saucisson-pinard connaît bien la politique américaine, pour avoir vécu quelques années dans ce pays, et précise aux gauchos-bobos-Obamamaniaques qui se seraient égarés sur ce blog, que le « socialisme à la Obama » se placerait sur l’échiquier politique français un peu à droite de Sarkozy. Ce dernier serait considéré sur l’échiquier politique américain comme un socialiste quasi-extrémiste…)

Le professeur en question dit à ces élèves : « OK, nous allons faire dans cette classe une application du programme d’Obama. Je ferai la note moyenne de la classe, et tout le monde recevra cette moyenne comme note. Ainsi personne ne devrait échouer, et personne, vraisemblablement, n’aura non plus la note maximum A ». (Aux Etats-Unis, la notification se fait de A à F, A étant la meilleure, F la plus mauvaise.)

Après le premier test, la note moyenne obtenue par la classe fut B. Par conséquent, tous les élèves obtinrent la note B.  Les élèves qui avaient travaillé dur leur test furent un peu déçus, mais ceux qui l’avaient peu travaillé furent très contents.

Pour le second test, les élèves qui avaient peu étudié ont travaillé encore moins, et ceux qui avaient bien étudié décidèrent de se donner un peu de temps libre, et travaillèrent donc moins.

La note moyenne de ce second test fut D ! Pour le coup, personne ne fut vraiment ravi!

Quand le troisième test eut lieu, la note moyenne obtenue par la classe, et donc par chacun des élèves, fut F !

Par la suite des autres tests de l’année, les notes ne s’améliorèrent pas. Les querelles, reproches et insultes commencèrent à se répandre parmi les élèves. Personne ne voulait étudier pour le bénéfice de ceux qui ne faisaient rien.

A leur grande surprise, tous les élèves sans exception, furent recalés à l’examen final.

Leur professeur leur dit que le socialisme finirait par échouer aussi, parce que, quand la récompense potentielle est importante, l’effort pour réussir est également important. Mais quand le gouvernement prive quiconque de cette récompense, personne n’essaie ni ne désire réussir. Ce n’est pas plus compliqué que cela.

 Le professeur leur tira de cette expérience les cinq enseignements suivants:
- On ne peut pas tirer les pauvres vers la prospérité en sortant les riches de la prospérité.
- Pour que quelqu’un obtienne quelque chose sans rien faire, il faut qu’une autre personne travaille sans recevoir la juste récompense de ses efforts.
- Le gouvernement ne peut pas donner quelque chose à quelqu’un sans auparavant le prélever sur quelqu’un d’autre.
- On ne peut pas multiplier la richesse en la divisant !
- Quand la moitié de la population se fait à l’idée qu’elle n’a pas à travailler parce que l’autre moitié va s’occuper d’elle, et quand cette seconde moitié se fait à l’idée que ça ne vaut pas le coup de travailler parce que quelqu’un d’autre va bénéficier de son travail, c’est le début de la fin de toute Nation.

Ces préceptes sont à méditer tout particulièrement entre ces deux tours de scrutin de présidentielle.

2 commentaires:

  1. ce raisonnement est tellement stupide que c'en est comique

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    1. On attend ton raisonnement pour nous prouver ton intelligence ...

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