Saucisson-Pinard n'a pas
pour habitude de réagir à chaud sur l'actualité, mais cette
fois-ci, trop c'est trop : un « étudiant »
« franco-algérien » vient encore faire l'actualité. Un
dénommé Sid Ahmed Ghlam, vient de se faire arrêter, sur le point
de lancer des attentats terroristes sur des églises de la région
parisienne. Si certains Français doutaient encore que notre pays est
en guerre, que les Chrétiens sont délibérément visés, et que nos
ennemis sont sur notre sol, j'aurais une proposition à faire à ces
bisounours. J'ai une tour métallique en face du Trocadéro à Paris
à leur vendre pour une somme très modique...
A l'heure où ces lignes
sont écrites, on sait encore peu de choses sur l'affaire, mais le
peu que l'on sait est déjà édifiant.
Première remarque :
cette petite raclure est un étudiant. Donc ses « études »
sont financées par nos impôts. Il réside en logement
universitaire, également financé par nos impôts, et prend donc la
place d'un vrai étudiant français qui étudie. Ses parents vivent
dans une cité HLM en région parisienne. Eux aussi profitent de
logements sociaux à la charge des contribuables et prennent la place
de Français qui auraient bien besoin d'un logement social à bas
prix. La sœur de la dite-raclure est en garde-à-vue, car reconnue
islamique radicale. Voilà donc, pour se résumer, une petite famille
arabe qui vit aux crochets de notre société et ne cherche qu'à
mordre la main qui la nourrit avec générosité.
Deuxième remarque :
le plan n'a été déjoué que par un formidable coup de chance. La
raclure est assez couillonne pour s'être tirée une balle dans la
hanche ce qui a conduit la police, après ses explications vaseuses,
à perquisitionner son véhicule puis son appartement pour y trouver
armes et plans d'attentats. Cerise sur le loukoum, le salopard
pourrait être impliqué dans le meurtre récent à Villejuif d'une
jeune Française, qui pourrait avoir été une témoin gênante... Il
est clair que la police n'aura pas toujours autant de chance, et vu
le nombre d'islamo-dingos disséminés dans le pays, Saucisson-Pinard
vous parie une paire de gants contre une paire de claques que des
attentats frapperont dans un peu moins que pas longtemps des
Chrétiens français. Ce qui ne serait qu'une étape supplémentaire
après la multitude de profanations de cimetières chrétiens que la
presse nous cache avec zèle et obstination.
Saucisson-Pinard ne jette
pas la pierre à la police dont le travail est quand même assez
souvent remarquable, en dépit des entraves d'une Justice pourrie
jusqu'à l'os. Mais combien de temps encore la police sera-t-elle
performante ? Quand on constate la médiocrité de notre
ministre de l'Intérieur, on peut penser que les services de l'Etat
sont comme les poissons, ils commencent à pourrir par la tête. Il
n'y a qu'à voir le ministère de la justice. Sa tête est déjà en
état de décomposition avancée depuis longtemps et on en voit tous
les jours les conséquences. Ce n'est pas les parents de la petite
Chloé qui diront le contraire.
Quand on voit nos trois
guignols, Hollande Ouille, le petit Caudillo-aux-mâchoires-serrées
et Cazevide, plastronner sur le perron de l'Elysée et tenter de
récupérer la réussite de la police dans cet attentat déjoué, on
ne peut que penser que le bateau France avance encore sur son erre,
comme un porte-conteneur qui continue à avancer longtemps après que
ses machines aient été stoppées. Mais il arrivera forcément un
moment où le bâtiment s'arrêtera complètement et deviendra
non-manoeuvrable. En attendant, nos trois officiers de pacotille
assurent que le pays est confronté à une menace d'un niveau encore
jamais vu, alors qu'ils ont eux-même largement participé, par
idéologie imbécile, à l'élever. Ne serait-ce qu'en laissant
croire à nos immigrés qu'ils étaient ici chez eux et libres de
reproduire la société qu'ils ont fuie, alors qu'ils sont chez nous
et censés s'adapter à notre façon de vivre... ou rentrer chez eux.
Naguère, l'urgence d'un
arrêt de l'immigration était évidente. Faute d'en avoir eu
conscience et d'avoir pris les mesures nécessaires à temps, c'est
aujourd'hui la question de la re-migration qui s'impose. Question de
vie ou de mort.