Tel est le faire-part distribué par les médias de grand chemin, avec des larmes d'émotion aux yeux, à longueur de temps d'antenne et de lignes d'articles dithyrambiques.
Le bébé se porte bien. Il a certes, quelques fils qui se touchent, comme le montre sa préférence revendiquée pour fréquenter sexuellement des personnes de son sexe, mais après tout, c'était aussi le cas de Léonard de Vinci, ce qui n'a pas empêché ce dernier de démontrer un réel génie dans plusieurs domaines.
Il est vrai que mettre Gabriel Attal et Léonard de Vinci dans la même phrase peut paraître incongru. Car leur homosexualité est à l'évidence leur seul point commun. En outre, Léonard de Vinci était assez naïf pour ne pas brandir cette anomalie biologique comme un étendard, et la garder dans sa sphère privée, pour ne faire profiter l'humanité que de ses remarquables talents artistiques et d'ingénierie. Attal n'a pas cette réserve. Et la Presse mainstream n'hésite pas à mettre cette spécificité sexuelle au rang de qualité remarquable, pour occuper un poste de Premier Ministre. Un penchant naturel pour la sodomie semblerait être, à entendre cette Presse, une qualité de bon aloi pour être à la tête d'un gouvernement. Faut-il en conclure que les citoyens doivent s'attendre à être prochainement les victimes non consentantes de cette pratique, par le gouvernement?
En fait, ce faire-part est juste l'aboutissement d'une longue diversion médiatique, qui a permis à Macreux d'occulter jour après jour les vrais problèmes dont souffrent les Français. Et ceux dont ils souffriront dans un futur proche. Jugez plutôt l'enchaînement des informations qui ont monopolisé, ces dernières semaines, l'attention de nos journaleux de la Presse écrite, radiophonique et télévisuelle. Cet enchaînement peut se résumer de la façon suivante, dans un dialogue entre la Presse mainstream et le citoyen spectateur :
Fin décembre.
La Presse : Regardez, braves gens : il y a une affaire Depardieu. Depardieu serait un méchant, un paillard, un vilain qui ferait du mal aux gentilles actrices !
L'homme de la rue : Bon, faut voir. Que dit la Justice ?
La Presse : Bah rien encore. Mais il y a plein de gentilles actrices et de gentils acteurs qui disent beaucoup de mal sur Depardieu !
L'homme de la rue : A part ça, quoi de neuf dans le monde ? Quels sont les enjeux géopolitiques en cours dans le monde, qui auront un effet sur ce que va devenir notre pays ?
La Presse : Bah, il y a le chef de l'Etat, à qui on a posé fort opportunément la question, et qui dit que la Justice n'a pas encore donné son verdict sur le fait que Depardieu est un gentil ou un méchant, et qu'il faut attendre pour se prononcer !
L'homme de la rue : Oui, bon, mais qu'en est-il de la réforme des traités européens actuellement en discussion à Bruxelles qui pourrait porter un coup fatal à la souveraineté de la France et en faire une simple province européenne soumise à l'Allemagne, qui tient les manettes ?
La Presse : Ben, il y a une tribune d'acteurs et d'actrices qui disent que Depardieu n'est pas forcément aussi méchant que ça !
L'homme de la rue : Et notre pouvoir d'achat qui dégringole, ça intéresse quelqu'un au gouvernement ?
La Presse : Ben, dans la tribune d'acteurs et d'actrices qui disaient que Depardieu n'est pas forcément aussi méchant que ça, il y en a qui changent d'avis et qui disent maintenant que Depardieu, il est sûrement un peu méchant quand même !
Et arrive la nouvelle année. Les manoeuvres de diversion opérée par la Presse reprennent de plus belle, sans trêve.
Le 1er janvier 2024
La Presse : Attention, il est possible qu'on assiste prochainement à un remaniement ministériel !
Le 2 janvier.
La Presse : Attention, il est possible qu'on assiste prochainement à un remaniement ministériel !
Le 3 janvier :
La Presse : Attention, il est possible qu'on assiste prochainement à un remaniement ministériel !
Le 4 janvier.
La Presse : Attention, il est possible qu'on assiste à un remaniement ministériel !
L'homme de la rue : Bon, OK. A part ça, quoi de neuf ?
Le 5 janvier.
La Presse : Attention, il se pourrait que Elisabeth Borne démissionne !
L'homme de la rue : Bon. OK. Mais qu'est-ce qu'il se passe d'autre, de vraiment important, dans le pays et dans le monde ?
Le 6 janvier.
La Presse : Ben, il y a l'affaire Delon ! Une affaire d'enfants d'une célébrité qui se disputent sur la garde de leur papa très riche, et dont la santé part en quenouille. Et attention ! il se pourrait que Elisabeth Borne démissionne !
Le 7 janvier.
La Presse : L'affaire Delon suit son cours : Une affaire d'enfants d'une célébrité qui se disputent sur la garde de leur papa très riche, et dont la santé part en quenouille. Et attention ! il se pourrait que Elisabeth Borne démissionne !
Le 8 janvier.
La Presse : qu'est-ce qu'on vous avait dit ! Elisabeth Borne démissionne ! Et puis il y a l'affaire Delon. Il y a ses fistons qui parlent. Et puis il y a sa fifille qui leur répond.
L'homme de la rue : Bon, mais quoi d'autre ? Qu'est-ce qu'il se passe en ce moment en Allemagne, avec cette manifestation monstre des agriculteurs qui bloquent le pays avec leurs tracteurs ? Qu'est-ce que cette révolte inédite en Allemagne, augure de bon ou de mauvais pour la France? Vit-on les prémices d'un soulèvement populaire contre l'oligarchie mondialiste, et qui pourrait éclore en France ?
La Presse : Le jeune Gabriel Attal est pressenti pour remplacer Borne à Matignon ! Il est jeune, il est gay, il est brillant, il ressemble à Macron !
Le 9 janvier.
La Presse : Qu'est-ce qu'on vous avait dit ! Le jeune Gabriel Attal est officiellement nommé pour remplacer Borne à Matignon ! Il va y avoir un nouveau gouvernement tout neuf !
L'homme de la rue : OK, on verra. Mais qu'est-ce qu'il se passe dans le monde ? Qu'est-ce que l'affaire Epstein aux Etats-Unis ? Quelles personnalités mondiales et françaises pourraient être concernées par les répercussions de l'enquête sur le pédophile Epstein et son réseau ?
La Presse : bah, oui, il y aurait peut-être une affaire Epstein en ce moment, avec des personnalités politiques impliquées. Regardez, là on l'évoque, avec une photo de Trump en illustration.
L'homme de la rue : Ah ! Trump est concerné par cette affaire ?
La Presse : Non. Pas du tout (Hélas !). Mais Trump est une personnalité politique... Méchante, en plus !
Le 10 janvier.
La Presse : C'est formidable ! Il y a maintenant en France, avec le plus jeune président que la Ve République ait connu, le plus jeune premier ministre de la Ve République ! En plus, c'est formidable, parce que pour la première fois, on a un Premier Ministre revendiqué pédéraste ! C'est inédit ! Et il va y avoir un gouvernement tout neuf !
L'homme de la rue : Ok, mais que se passe-t-il en Ukraine, avec l'hiver qui s'installe sévèrement, en dépit du « réchauffement climatique »? Zelenski ne serait-il pas en train de se prendre une rouste, ou nous prépare-t-il une fameuse « contre-offensive » aussi efficace que la dernière, qui a vu une débâcle de l'armée ukrainienne sur tous les fronts ?
Le 11 janvier.
La Presse : Voilà le gouvernement tout neuf nommé par notre formidable jeune prodige Gabriel Attal !
L'homme de la rue : Gouvernement tout neuf? Enfin !! On a donc un nouveau ministre de l'Economie remplaçant celui qui devait mettre l'économie de la Russie à genoux, et qui a en fait mis celle de la France KO, avec inflation des prix des produits alimentaires et de l'énergie, dette astronomique, effondrement de la balance commerciale, déficit budgétaire abyssal ?
La Presse : Euh, non. C'est le même ministre de l'Economie !
L'homme de la rue : Gouvernement tout neuf ? Avec un nouveau ministre de l'Intérieur, alors ? Pour remplacer celui qui a passé son temps à dissoudre des associations inoffensives tout en conservant celles, islamistes et d'extrême-gauche, qui menacent la sécurité et l'intégrité du pays ? Pour remplacer celui qui n'a pas su mater les émeutes des racailles immigrées de juin dernier ? Celui qui n'a pas su endiguer la vague de racailles du 93 assaillant le Stade de France en mai 2022, tout en accusant les supporters britanniques ?
La Presse : Euh non, c'est le même ministre de l'Intérieur.
L'homme de la rue : Gouvernement tout neuf ? Avec un nouveau ministre de la Justice, alors ? Pour remplacer celui qui a été traîné par ses pairs devant les tribunaux pour un problème de conflit d'intérêt ? Celui qui a laissé les juges faire preuve d'un laxisme systématique à l'égard de la délinquance de la piétaille immigrée mais condamne à de la prison ferme un manifestant pacifique défilant avec un portrait de Thomas, en hommage à cette victime de racisme anti-blanc à Crépol ?
La Presse : Euh non, c'est le même ministre de la Justice !
L'homme de la rue : Gouvernement tout neuf ? Avec un nouveau ministre des Armées, alors ? Pour remplacer celui qui a dépossédé l'Armée Française de ses armes et munitions au profit de Zelenski, le triste sire corrompu de l'Ukraine qui sacrifie son peuple pour son intérêt personnel et celui de l'oligarchie mondialiste ?
La Presse : Euh, non ! C'est le même ministre des Armées!
L'homme de la rue : Bon, c'est un « gouvernement tout neuf », mais avec les mêmes clampins aux ministères des fonctions régaliennes, donc ! Un « gouvernement tout neuf » avec juste des modifications cosmétiques propres à alimenter les commentaires de vos scribouillards. Mais, puisque vous insistez sur ce formidable jeune Premier Ministre, quel parcours a-t-il eu pour justifier cette promotion à Matignon ?
La Presse : Il a été membre du cabinet de Marisol Touraine, la ministre de la Santé de Hollandouille !
L'homme de la rue : C'était une bonne ministre de la Santé, la Touraine ?
La Presse : Bof ! Le passage de Touraine à la Santé marque le début de la dégringolade de ce service et notamment du secteur hospitalier. Mais, bon, Gabriel n'est pas le responsable en chef de ce désastre !
L'homme de la rue : Et après cette assistance à l'incompétence ?
La Presse : Ben après, il quitte la parti socialiste pour rejoindre le parti LREM de Macron, ce qui prouve un sens de l'opportunisme assez aiguisé, non ?
L'homme de la rue : Certes, mais en termes de compétence et expérience, qu'en est-il de son parcours ?
La Presse : Il a été le plus jeune (déjà!) membre de gouvernement, dans la Ve République, en charge du SNU, le Service National Universel !
L'homme de la rue : Le SNU ? Qu'est-ce qu'il est devenu, ce SNU ?
La Presse : Certes, son existence reste plutôt confidentielle, mais après, cet « ange » Gabriel, comme l'appelle (sans rire) le propagandiste macreusien à l'écharpe rouge, est devenu porte-parole du gouvernement. Et là, il a été remarquable !
L'homme de la rue : Ah oui, je me souviens ! C'est bien lui qui a été le parfait relais de la propagande covidiste, acharné à dénoncer et à insulter ceux qui remettaient en cause l'efficacité du vaccin pour empêcher la transmission du virus. Efficacité universellement et scientifiquement niée aujourd'hui... Et après ce brillant poste ?
La Presse : Après il a occupé presque un an (!) le poste de ministre chargé des Comptes Publics.
L'homme de la rue : Et ils sont bons, ces comptes publics ?
La Presse : Après, il est devenu ministre de l'Education Nationale.
L'homme de la rue : Combien de temps ?
La Presse : Cinq mois !
L'homme de la rue : Et qu'est-ce qu'il a fait, en cinq mois, pour sauver cette Education Nationale en plein naufrage ?
La Presse : Il a eu des bonnes paroles. Ce sont d'ailleurs ces bonnes paroles qui lui valent aujourd'hui, plutôt une bonne opinion dans le public !
L'homme de la rue : Des bonnes paroles ? Donc, énoncer quelques phrases de bon sens que n'importe quel spectateur du fiasco de l'Enseignement peut aussi partager sans se forcer à une grande réflexion, suffit à lui donner un vernis de compétence ? Mais côté acte concret, de quoi pourrait-il se prévaloir d'être responsable ?
La Presse : En cinq mois seulement, que voulez-vous qu'il ait pu faire ?
L'homme de la rue : hon, hon... Donc finalement, c'est encore dans la tchatche qu'il s'est montré le plus actif, non ?
La Presse : Mais, brave citoyen, la communication, c'est l'Alpha et l'Oméga de la politique de notre vénéré Président ! Gabriel est donc parfaitement à sa place à Matignon! Et c'est formidable, si je ne vous l'ai pas déjà dit, d'avoir un Premier Ministre aussi jeune. Et gay !
L'homme de la rue : Ouais, je vois...
Pour bien vous faire comprendre et accepter qu'à l'avenir, la société occidentale devra impérativement être métissée et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper.
En réponse modeste à ce matraquage, Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur.
Il est d'autant plus facile de viser juste quand la cible est à ce point énorme! ;-D
RépondreSupprimerOn ne vous le dit pas (encore) comme ça, mais désormais, pour constituer un bon gouvernement en France, il y a un quota de tarlouzes à respecter. Et pour la culture, puisque la culture française n'existe pas, avoir un patronyme qui fleure bon l'arabo-musulmanité est évidemment un must !
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