Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

mercredi 14 juillet 2021

Juillet 1942, juillet 2021.

 

A comparer avec les restrictions imposées aux non-vaccinés.

12 Juillet 2021. C'est officiel. La France est en dictature.


Les plus optimistes des lucides l'appelleront « dictature sanitaire ». Mais les plus réalistes savent que le mot « sanitaire » est restrictif. Ce qui s'est mis en place progressivement depuis des décennies et de façon plus spectaculaire depuis 2017, est purement et simplement une dictature générale. Le mot « sanitaire » désigne juste le prétexte à l'instauration de ce régime totalitaire. Cela aurait pu être un prétexte économique, ou social, ou militaire, peu importe. Là, c'est un motif sanitaire.

De plus, prétendre que la dictature n'est que « sanitaire », c'est laisser entendre qu'à la fin de la crise sanitaire, les libertés seraient rendues. Or, historiquement, quand des libertés sont confisquées, elles ne sont jamais rendues par le régime à l'origine de leur suppression. Il faut un changement de régime, généralement après une révolution, pour les récupérer.

Ça fait des années que ce blog dénonce les signes de mise en place de cette dictature, timide d'abord sous Hollande Ouille, puis accélérée sous Macreux. Et nous y voilà.



Tous les ingrédients sont là :


Fin de la liberté d'expression. Twitter, Facebook, tous les réseaux sociaux qui comptent, y participent de façon évidente et sans même s'en cacher. Les éditeurs, par le choix qu'ils font des œuvres à paraître, aussi. Zemmour en sait quelque chose.

Presse aux ordres. Le concept de Presse mainstream, qui n'existait pas il y a seulement quelques années, en atteste. La propagande y est distillée jour après jour. La censure aussi, qu'elle soit par omission, occultation ou minoration de ce qui dérange la doxa officielle ou par amplification de ce qui la sert. La liberté de la Presse est souvent attaquée par les journalistes eux-mêmes, ce qui est la plus belle preuve de leur asservissement au Système.

Répression des opposants par une violence policière inouïe. Les éborgnés et mutilés Gilets Jaunes sont là pour en témoigner.

Justice aux ordres. Il n'y a qu'à voir avec quelle célérité et sévérité le talocheur du dictateur Macreux a été jugé. Politisée comme jamais, elle participe délibérément à la fracture du pays en privilégiant le sort des délinquants aux dépens de celui des victimes.

Le Pouvoir a sa milice civile, sa S.A (SturmAbteilung) qu'on appelle Antifas, utile quand il s'agit de faire dégénérer et donc décrédibiliser une manifestation légitime et pacifique. Les Gilets Jaunes en ont pâti. Les commerçants vandalisés, saccagés et dévalisés sur le parcours des manifestations et défilés, aussi.

Les Français ont été interdits de circulation. D'abord totalement : promenades interdites. Randonnées en rase campagne et sorties en mer prohibées. Puis le couvre-feu est imposé, apparaissant comme une amélioration dans les restrictions. Toute la perversité de la manœuvre est là : comme le gars qui est d'abord frappé avec une matraque et qui trouve que son sort s'améliore quand il ne reçoit plus que des claques et coups de poing.

On dit au Français que le masque sanitaire est inutile. On en interdit la vente en pharmacie. Puis on le rend obligatoire. Même à l'air libre, dans la rue. Et le Français, brave citoyen soumis, obéit. Il obéit encore et toujours. Il obéit à chaque ordre contradictoire.

La liberté de réunion a été supprimée.

Selon le vieux principe qui veut qu'on divise pour mieux régner, le Système met un soin tout particulier à multiplier les fractures au sein de la société française. On oppose les femmes aux hommes en favorisant les mouvements néo-féministes. Les hétéros aux non-hétéros en exacerbant les mouvements LGBTQ (et toutes les lettres de l'alphabet pourraient servir à désigner tous les déglingos sexuels possibles). Les Blancs aux non-blancs en soutenant les mouvements dits racisés.

On connaît l'expérience menée sur des fourmis rouges et des fourmis noires : on en met 100 de chaque dans un flacon. Elles vivent en harmonie. Puis on secoue vivement le flacon. Les fourmis rouges se mettent à considérer les noires comme des ennemies et réciproquement. Et elles se mettent à se tuer les unes les autres. Le Système est en train de sciemment secouer le flacon de la société France.

Aujourd'hui, on oppose les vaccinés aux non-vaccinés. On instille la terreur pour obtenir les premiers, et on cultive la culpabilisation des seconds. Le tout avec la complicité de tous les valets serviles des merdias et des collabos pétris de conflits d'intérêts dans Big Pharma.

L'apothéose de cette dernière politique conduit à l'instauration d'une discrimination officielle entre les Français. Ceux, vaccinés, qui pourront vivre à peu près normalement (combien de temps encore, c'est la question quand on commence déjà à évoquer la perspective d'une 3e dose...), au prix éventuel de leur santé à moyen ou long terme, et ceux, non-vaccinés, désormais citoyens de deuxième zone, qui privilégient la réflexion, l'information objective et désintéressée et surtout leur liberté personnelle de choix.

Le but quasiment avoué du Système dont Macreux est le domestique dévoué, est de rendre impossible la vie de ces citoyens désignés parias de la société. Exactement comme il s'agissait de rendre la vie des Juifs impossible pendant l'Occupation. Il n'y a pas de hasard. Comme Saucisson-Pinard le rappelle souvent : l'Histoire ne se répète pas, elle bégaie.

Cette ostracisation des non-vaccinés qui rappelle celle subie jadis par les Juifs s'est aussi ressentie aux Etats-Unis. Elle n'a cependant pas atteint le niveau qu'on constate en France avec cette restriction d'accès à des lieux publics. Néanmoins, elle avait inspiré un fabricant de T-shirt qui a sorti et proposé sur Amazon un de ses produits avec une étoile jaune munie de l'inscription « not-vaccinated ». C'est, pour Saucisson-Pinard, un trait d'humour plutôt bien senti et bien à propos, surtout en France.


Mais où a-t-on vu qu'une dictature pouvait avoir de l'humour ? Aussi, Seamus Blackley, fondateur de la Xbox de Microsoft, oligarque du Système, s'est empressé de dénoncer ce détournement symbolique auprès d'Amazon. Qui, évidemment, en tant qu'autre comparse des GAFAM, a immédiatement retiré ce T-shirt de la vente. Car si Blackley n'a aucun scrupule à faire fortune en participant à l'abrutissement des masses avec ses jeux vidéo, il ne leur permet pas de rire aux dépens du Système.

 

Pétition à signer pour tenter de freiner l'instauration de ce pass sanitaire:

https://www.petition-passeport-sanitaire.com/

2 commentaires:

  1. Comme d'habitude, très bon article et, comme d'habitude, je vais vous asséner pacifiquement mon optimisme exarcerbé: oui, on peut comparer avec la situation en 1942 et le dénigrement croissant, jusqu'à l'extermination, des Juifs. Et donc, on peut aussi faire allusion à la conclusion de cette période honteuse de notre Histoire: la fin de la guerre et la défaite cuisante des dictateurs (et le lynchage des collabos). Oui, j'ose espérer que ceci prélude à la fin de notre système de dictature, le pire qui ait existé me semble-t-il car il a été PROGRESSIF, c'est à dire passé inaperçu par la majorité endormie. Laquelle majorité, en se réveillant ces jours-ci, ne peut que constater les dégats. Je ne vois qu'un nombre limité d'issues possibles: soit la guerre civile, soit l'implosion du système à cause d'un évènement extérieur, tel qu'un collapse financier mondial. Honnêtement, je crois que je préférerais encore la guerre civile, car un effondrement financier global aurait un impact beaucoup plus terrible sur notre quotidien. Alea jacta est (et réciproquement dirait Pierre Dac).

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    1. D'accord à 100% sur tout: votre analyse, votre optimisme relatif, et votre préférence quant à l'alternative d'issue. Même si j'y crois que modérément.

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