Il ne se passe quasiment
plus de mois sans qu'on assiste à un nouvel épisode de l'avancée
de la dictature socialiste en France. Naguère encore, l'image de
cette dictature était encore floue, perceptible néanmoins par la
main-mise de la gauche sur la Presse, écrite, parlée et télévisée.
Mais depuis l'arrivée de l'ex-maire de Tulle à l'Elysée, l'image
devient beaucoup plus nette, comme la mise au point à travers un
viseur par l'action d'une molette d'objectif photographique. Elle
apparaît maintenant dans toute sa brutale clarté. Au fur et à
mesure que le peuple se raidit contre l'assommoir fiscal, contre les
privations de libertés individuelles, y compris les libertés
d'opinion et d'expression, contre les lois prises dans l'unique
intérêt de groupuscules de soutien, et contre les échecs patents
de la politique gouvernementale à tous les niveaux sans exception,
Hollande Ouille se mue en petit père du peuple façon Staline, ou
Kim Jung-Un.
L'acharnement judiciaire
contre Sarkozy n'est jamais qu'un avatar de plus dans la montée en
puissance de cette dictature.
La raison de cet
acharnement est évidente. Sarkozy reste à ce jour, aux yeux du plus
grand nombre, la seule menace politique contre l'ex-maire de Tulle
(désolé, je ne peux écrire « président de la république »,
la juxtaposition des mots Hollande et de ce titre me fait l'effet
d'un mot ordurier que la bienséance m'interdit d'écrire).
Quoiqu'on puisse penser
de Sarkozy, sa pré-éminence sur l'échiquier politique français
reste une évidence, aussi bien pour les tenants de la gauche que
pour ceux de la droite, y compris pour la droite qui ne le soutient
pas forcément. Il suffit de voir le score d'audimat réalisé par
son interview sur Europe 1/TF1, après deux ans de silence, pour s'en
convaincre. Flanby rêverait d'avoir ne serait-ce que la moitié de
ce score pour l'une de ses interventions.
Alors, qu'est-ce qui se
passe dans la petite tête de Flanby? Il se dit : « d'ici
2017, il y aura bien au niveau économique une reprise, même toute
petite, qui aura un petit, même très petit , effet sur la courbe de
chômage. Si les chiffres du nombre de chômeurs passent fin 2016 de,
mettons, 3 800 000 à 3 750 000, je pourrais m'enorgueillir de ce
fantastique résultat, et proposer ma candidature, sans me renier, à
un deuxième mandat. En face, avec Fillon, Copé, et Juppé, je
n'aurai que des seconds couteaux comme adversaires potentiels (et
d'ailleurs, Copé est déjà éliminé). Donc mon second tour est
assuré, avec en face, Marine Le Pen. Avec le vote à contre-coeur de
la gauche et l'abstention de la droite molle, ma ré-élection est
garantie. La seule vraie menace est de trouver au second tour non pas
Marine Le Pen, mais Sarko, et dans ce cas mes carottes sont cuites,
par vote du centre et droite unis et par abstention de la gauche.
Donc il me faut supprimer l'hypothèse Sarkozy-le-retour.»
Certes le raisonnement
est simpliste, mais bon, Hollande fait avec les moyens qu'il a.
Simpliste parce que les aléas contrariant ce scénario sont quand
même sacrément nombreux. Citons simplement les deux principaux.
1- Il faut déjà que
pépère tienne jusqu'à 2017, et c'est très loin d'être gagné.
L'effet bulle de verre de l'Elysée qui coupe son locataire des
réalités de ce qui se trame dans la vraie vie des citoyens, joue à
plein. D'ailleurs, après le second tour des municipales, Hollande
Ouille avait promis : « je vais reprendre le contact avec
les Français, en allant les voir sur le terrain au moins une fois
par mois. » Apparemment, trois mois à peine plus tard, cet
engagement est déjà oublié. Sans doute les plus lucides de ses
conseillers ont trouvé l'entreprise trop risquée, la probabilité
de le voir accueilli avec des pierres surclassant largement celle
d'une holà de bienvenue...
Et donc d'ici 2017, il
peut se passer beaucoup de choses, et les Français, dont la patience
a été outrageusement mise à l'épreuve, peuvent très bien mettre un
terme prématuré à son mandat, d'une façon plus ou moins brutale,
et pas forcément dans des conditions prévues par la Constitution...
2- Assurer qu'il
sortirait forcément gagnant d'un duel avec Marine Le Pen est
également aller un peu vite en besogne. Imaginons que d'ici 2017, Le
Pen père soit appelé dans un monde meilleur. Avec cette
disparition, le FN retrouverait aux yeux de beaucoup de Français
matraqués par des décennies d'ostracisme médiatique à l'égard de
JM Le Pen, une sorte de virginité propre à rendre ce parti tout à
fait fréquentable. D'autant plus que la droite molle sans leader, et
sans vrai programme d'alternance est devenue peu crédible. Quant à
Hollande comme choix de deuxième tour, sa nullité est telle, que
Marine Le Pen pourrait très bien représenter un pari jouable pour
une courte majorité d'électeurs.
Sarkozy est donc
l'obsession du petit rondouillard qui fait office de président. On
se souvient de sa répartie, adressée à une petite fille au salon
de l'agriculture qui lui demandait où était Nicolas Sarkozy :
« Tu ne le verras plus !». Comme pour s'en convaincre
lui-même.
Début 2013, Pujadas
demande à Hollande Ouille s'il considère Sarkozy comme une menace.
Sa réaction fut un cas d'école pour n'importe quel psychologue
versé en synergologie (étude du langage corporel
inconscient) : sa paupière gauche a un double-cligné et son
regard fait une étrange et rapide embardée, ce qui démontre une
extrême nervosité sur le plan émotionnel. Le cauchemar de Hollande
Ouille, ce n'est pas l'avenir du pays, c'est Sarko.
Mais laissons donc
Hollande Ouille à ses petits calculs politiciens. Sa conclusion est
donc : il faut écarter à tout prix Sarko de la scène
politique.
Et c'est là que la
Justice de Taubira intervient. Pas moins de 6 enquêtes sont menées
à son encontre depuis à peine plus de deux ans. En faudrait-il
davantage pour oser parler d'acharnement ?
Et la Justice de Taubira
n'est pas avare d'efforts. Sur la diversité des motifs d'abord :
pour les principales, affaire Bettencourt, affaire Kadhafi, affaire
de violation présumée du secret de l'instruction aujourd'hui et
bientôt affaire Bygmalion. Efforts sur les moyens aussi :
écoute de conversations téléphoniques entre Sarkozy et son
avocat ! Même en prison, il est interdit d'écouter ce qui se
dit entre un prévenu et son avocat. Mais là, le procédé est
utilisé pour un homme politique d'opposition libre et ça n'émeut
(presque) personne... 6 enquêtes donc, mais encore aucune
condamnation, car autant il semble facile de déclencher des
affaires, autant il semble que soit une autre paire de manche de leur
trouver a postériori une justification.
Mais en réalité, pour
le commanditaire de cet acharnement, peu importe. Selon l'adage,
dites du mal de quelqu'un, il en restera toujours quelque chose. Cela
permet à la gauche de parler hypocritement des « casseroles »
de Sarkozy. Et un entrefilet annonçant un non-lieu ou une relaxe ne
compenseront jamais des mois de campagne médiatique d'autant plus
virulente que d'une part, le sujet Sarkozy fait vendre, et que
d'autre part, pendant qu'on parle de foot ou des démêlés
judiciaires de l'ex-président, on ne parle pas de l'abîme vers
lequel le gouvernement de Hollande Ouille mène le pays à marche
forcée.
Bien entendu, cet
acharnement judiciaire ne serait pas possible sans la collaboration
active d'une certaine partie de la magistrature. Après tout, le
Syndicat de la Magistrature dont l'une de ses membres cherche
délibérément à humilier publiquement le justiciable Sarkozy, n'a
jamais fait mystère ni de son orientation politique ultra-gauche ni
de sa détermination à nuire à l'ex-président. Soyons clair :
le syndicat de la magistrature n'est pas un syndicat au sens
d'organisme de défense d'une catégorie de travailleurs, mais bel et
bien une officine politique. Le Syndicat de la Magistrature est
finalement à la Justice ce que sont les voyous des antifas sont à
la police. Une milice judiciaire officieuse d'appoint, au service de
la gauche.
Bref, la dictature qui
s'installe en France repose désormais sur une Presse aux ordres, une
police encore assez docile et épaulée au besoin par une sorte de
S.A, les antifas, et une Justice politique, plus préoccupée à
éliminer un adversaire politique qu'à mettre un frein à
l'explosion de la délinquance.
La seule échéance
électorale d'ici 2017, susceptible de tempérer quelque peu les
ardeurs dictatoriales des socialistes sera les élections Régionales
de 2015. Et on peut donc compter sur le gouvernement de notre
caudillo-aux-mâchoires-serrées pour tripatouiller la future carte
des régions dans le seul but d'atténuer au mieux la raclée qui
s'annonce, à défaut d'y trouver une source d'économies.
Economie en berne,
endettement abyssal qui demandera bientôt son dû, immigration
invasive qui creuse la tombe de notre civilisation, chômage et
insécurité en pleine croissance, système politique tournant à la
dictature, pertes de libertés, infantilisation et
déresponsabilisation des citoyens, gouvernance amorale et
incompétente : quel autre symptôme supplémentaire faudrait-il
pour être autorisé à parler officiellement de décadence?
à vendre fourches , à l'unité ou par lot de dix , à personnes décidées ...
RépondreSupprimerEchange lot de 10 fourches contre guillotine en état de marche...
Supprimerque sarko aille en taule , après tout ,peu me chau ( du verbe challoir ,ce qui justifie le fait qu'il ne faille pas de "d" à la fin de chau)
RépondreSupprimermais il ira pour de bien mauvaises raisons
car la ripouille financière , si c'est bien avéré , ils ont tous les coudes dedans
et même au delà
non, c'est pour incompétence à la prise du poste qu'il devrait tomber....
mais à ce compte là , y en a bien peu qui passeraient le crash test si la démocrature était assez rude pour l'imposer
heureusement,la républik est bonne fille ( très bonne,même) et ne saurait imposer à ses zélites ( nauséelites ) de telles conditions préalables....
encore heureux
que deviendrait la républik si nos maîtres devaient être poursuivis pour incompétence comme le premier chirurgien venu ?
hein?
vous pouvez me le dire?
j'entend quelqu'un , là , à gauche ? non devant .....quoi?....plus fort....
oui
vous avez raison....
c'est ça ...
mon terlocuteur dit , il a pas le micro,mais je relaie son inquiétude,que si la république imposait à ses dirigeants ce qu'elle impose aux autres....elle serait une espèce de....j'ai honte de le formuler ainsi....une espèce.....d'entreprise privée !
oui
le mot ,le grand mot,le gros mot est lâché !
entreprise
privée
alors que nous sommes ,nous, républicains, républicons , et vous aussi, cons de tribuables, nous sommes tous ici attachés , oui attachés viscéralement , charnellement , oui charnellement , à la républik, à ses services publics, à la défense deu l'emploâ , public bien sûr , public , et pas privé
voilà , tout est dit , mes amis, chers auditeurs, chers alter ego de la politrouk , et vous aussi , chers cons , chers citoyens, chers concitoyens , chers cons de tribuables , tout est dit ce soir
la républik n'imposera jamais aux politrouks en responsabilité des normes, des preuves ,et une quelconque responsabilité comme elle peut le faire au premier chirurgien venu qui sabote la vésicule de mémère ou la prothèse de hanche de pépère, au premier garagiste venu qui oublie de resserrer le carter à huile , au premier électricien venu qui se plante dans les branchements , au premier coiffeur venu qui grille la permanente de mââme michu, au premier juge d'instruction qui enchriste des innocents....ha non, cui là , on le passe un peu au tourniquet puis on lui donne une promo...
Eh oui, si on y réfléchit, les fonctionnaires ne sont jamais responsables, dans le sens de redevables de compte sur leurs actions et décisions.
Supprimer