Comme chaque année, nos
médias et nos pouvoirs publics découvrent avec ébahissement qu'il
neige en hiver. Comme chaque année, les autoroutes françaises se
font surprendre par quelques centimètres de neige. Comme chaque
année, Météo France a beau s'égosiller en annonçant des alertes
oranges, les sociétés gestionnaires des autoroutes laissent des
automobilistes s'acquitter de leur droit d'entrée prohibitif et
aller s'empêtrer dans le piège de neige et de glace qui les
retiendra plusieurs heures, sans information, sans de quoi manger,
sans de quoi boire, et avec une pensée émue et envieuse pour les
Scandinaves, Canadiens ou Russes qui font face à des quantités bien
plus importantes de neige et sur des durées bien plus longues, et
ce, sans que cela fasse la une de leurs journaux.
En effet, nos médias
accueillent cette « nouvelle » météorologique avec
bénédiction, car pendant qu'ils parlent de la neige et du beau
temps, ils évitent d'autres sujets trop incorrects politiquement.
Imaginons cinq minutes
que ces médias, au lieu de disserter sans retenue sur les petits
malheurs de Français cloîtrés chez eux ou dans leurs voitures du
fait de l'imprévoyance chronique des pouvoirs publics, fassent leur
vrai métier : parler des vrais grands problèmes auquel le pays
est confronté et des périls qui menacent directement sa survie.
Voilà ce que ça donnerait, en résumé :
Au lieu de : De
fortes quantités de neige se sont abattues sur les régions du Nord
de la France et sur le sud-ouest depuis hier soir...
Ils témoigneraient
plutôt que : D'importantes vagues d'immigrés maghrébins et
noirs envahissent tout le territoire national, et avec une
concentration toute particulière en Ile de France, dans le Nord et à
Marseille, sans discontinuer depuis quarante ans.
Le
paysage sous la neige s'en trouve transformé et les gens ne
reconnaissent pas leur environnement...
La ville, du fait de
cette invasion immigrée, est transformée. Des femmes voilées, des
hommes en djellabah ou en boubou, les mosquées qui se multiplient,
l'alimentation halal, les boutiques de kebab, font que les Français
ne reconnaissent plus le pays qui les a vu naître.
Les Autorités
déconseillent fortement aux habitants de sortir de chez eux et a
fortiori de prendre le volant.
Les Autorités
déconseillent fortement aux Françaises de se promener en ville
seules tard le soir, et a fortiori de porter des tenues provocantes.
Les services de
l'Equipement sont fortement mobilisés mais les quantités de neige
sont telles et les routes sont tellement surchargées de véhicules
immobilisés qu'ils sont complètement débordés.
Les services de police et
judiciaires, les prisons, sont complètement débordés par la
délinquance des populations immigrées incapables de partager les
valeurs d'une culture qui n'est pas la leur.
Des automobilistes en
perdition abandonnent leurs véhicules, et de ce fait, empêchent les
déblayeuses et les chasse-neige de faire leur travail. Les routes
n'en sont que davantage bloquées.
La pression des lobbies
immigrationnistes est telle que les lois existantes sont bafouées et
de nouvelles lois sont faites dans le seul intérêt des immigrés.
La société française se bloque dans un patchwork de
communautarismes.
Des personnes,
bloquées par la neige, dans l'impossibilité de regagner leur
domicile, sont contraintes d'être hébergées dans des gymnases où
elles dorment sur des matelas de fortune.
Des Français de souche
en concurrence avec les immigrés sur la liste d'attente de logements
sociaux, sont contraints d'habiter des logements de fortune. La
plupart des services sociaux financés par les Français sont épuisés
par les immigrés. Les services d'urgence des hôpitaux sont
littéralement pris d'assaut par les populations immigrées parce que
les soins y sont gratuits. En conséquence, les Français ne peuvent
plus recourir aux « vraies urgences ».
Les salariés ne
pouvant se rendre à leur travail du fait que les routes sont
fermées, et les transports en commun immobilisés, des entreprises
se trouvent en chômage technique.
Les immigrés
représentant bientôt l'essentiel des troupes de syndicalistes, se
mettent en grève pour un oui ou pour un non et condamnent de
nombreuses entreprises à la fermeture, mettant des salariés
français désireux de travailler, au chômage.
Le président Hollande
annonce que, « dans la mesure où les circonstances
météorologiques sont exceptionnelles, des décisions
exceptionnelles seront prises ...»
Le président Hollande
annonce que « dans la mesure où cette immigration
exceptionnelle est en train de bouleverser en profondeur la société
française en lui imposant un remplacement de population et de
culture, des décisions exceptionnelles... ne seront pas
prises... ! »
Dans quelques jours, le
printemps arrivera et nos médias ne pourront plus exploiter cet
épisode neigeux. En revanche, ils auraient, malheureusement, pu
continuer à commenter et témoigner de ce cancer en voie de
généralisation qu'est cette immigration non maîtrisée. A moins
que... à moins que la France connaisse aussi un « printemps »
politique... chaud ?
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire