Les compteurs de la décadence de la France s'affolent. On ne trouve plus de jours qui n'affichent pas de preuves de la dégringolade du pays, sur tous les plans.
Oublions pour un instant la dérive sociétale avec cette délinquance juvénile explosive.
Oublions les crétineries du psychopathe de l'Elysée qui, dans la même semaine, affirme sentencieusement qu'il faut encourager les jeunes à lire, promet qu'il n'y aura pas d'augmentation d'impôt et émet l'idée d'une nouvelle taxe sur les livres d'occasion.
Oublions la dérive totalitaire de plus en plus spectaculaire que prend le pays avec une explosion de la censure, la répression de la liberté d'expression, y compris en période pré-électorale, l'arrestation à 6 heures du matin, avec des gendarmes armés et cagoulés en appui, d'un simple citoyen qui a eu l'outrecuidance de laisser un message assez banal sur le répondeur du locataire de l'Elysée.
Oublions que dans le même temps la Justice politisée extrême-gauche ne cesse de relâcher dans la nature des délinquants multirécidivistes issus de l'immigration.
Oublions la situation internationale avec cette obsession belliciste de Macreux qui lui sert bien à faire diversion des problèmes qui concernent, eux, directement la France et dont il est à l'origine.
Oublions l'organisation hasardeuse de ces JO avec des données informatiques relatives à leur sécurité, qui font l'objet de vols répétés.
Et concentrons-nous aujourd'hui sur la situation financière de la France. (Sans nous appesantir, cependant, sur la commande par l'Elysée pour un demi-million d'euros de bouteilles de champagne, de 50 à 700 euros la bouteille...)
L'économie va mal. Très mal. La dette a explosé ; elle a augmenté de 50% sous l'ère de notre Mozart de la Finance. Elle s'élève maintenant à 3 000 milliards d'euros. Soit plus de 110% du PIB. Le déficit du budget atteint, lui, 5,5% du PIB, soit 154 milliards d'euros ! Et que cherche à faire le pornographe qui nous sert de ministre des Finances ? A trouver 10 milliards d'économies. 10 milliards sur les plus de 150 milliards de déficit !
Pour bien se rendre compte de ce que ces sommes pharaoniques représentent concrètement, nous allons les transposer à l'échelle d'une famille moyenne.
Imaginons la scène d'un chef de famille convoqué par son banquier qui s'alarme de la situation financière de son client. Les pourcentages de dette et de déficit budgétaire seront appliqués à l'identique de ceux rappelés ci-dessus, sur les revenus de cette famille.
Le banquier : Je vous en prie, asseyez-vous Monsieur Lemairedic. Je vous ai demandé de venir me voir, car je m'inquiète de votre situation, et j'aimerais que vous me donniez quelques détails.
Le client Lemairedic : Pas de problème, Monsieur le banquier. Je suis parfaitement à l'aise pour en parler !
Le banquier : Rappelez-moi votre activité professionnelle.
Lemairedic: Je travaille chez Stellantis.
Le banquier : Et ça paye bien, chez Stellantis ?
Lemairedic: Oh oui ! Tenez, son PDG, Monsieur Carlos Tavares, touche 100 000 €.
Le banquier : 100 000 € par an, c'est effectivement raisonnable.
Lemairedic: Non, 100 000 € par jour ! Plus de 36 millions d'euros par an. Bon, mais moi, je touche le smic. Chaque mois.
Le banquier : Et votre épouse travaille ?
Lemairedic: Oui, vous pensez ! En France, on ne peut pas survivre avec un seul salaire ! Au Portugal, où vit mon PDG, c'est peut-être possible, mais pas en France ! Je ne sais pas si Madame Tavares est obligée de travailler...
Le banquier : Et votre femme gagne combien ?
Lemairedic : Le smic, comme moi.
Le banquier : Bon, pour se résumer, vous avez des revenus mensuels qui sont donc d'à peine 2 800 € nets mensuels.
Lemairedic: C'est ça.
Le banquier : Et vous savez combien vous dépensez chaque mois ?
Lemairedic: Oui. 2 954 €. J'aime bien me faire plaisir. Du champagne, des voyages en jet privé pour faire 50 km, faire voyager mes costumes par avion en première classe, tout ça...
Le banquier : Vous dépensez donc chaque mois 154 € de plus que ce que vous gagnez.
Lemairedic: Vous croyez ?
Le banquier : Je le crains. 2 954 euros de dépenses moins 2 800 euros de revenus, ça doit effectivement faire pas loin de 154 euros...
Lemairedic: Bon, admettons. J'en sais rien, je n'ai pas fait l'ENA, moi !
Le banquier : Notez que je ne suis pas surpris, c'est bien le découvert que je constate sur votre compte et qui se cumule chaque mois. Donc, en fin d'année, vous avec un trou dans votre trésorerie de près de 2 000 euros.
Lemairedic: Tant que ça ?
Le banquier : J'en ai peur. Plus des deux tiers de vos revenus mensuels !
Lemairedic: Ben, vous n'avez qu'à me faire un crédit et voilà tout !
Le banquier : Parlons justement de crédit. Je vois que vous avez déjà une dette de près de 37 000 euros !
Lemairedic: Ah oui ? Je ne m'en souvenais pas.
Le banquier : Oui, une dette sur laquelle vous avez à payer des intérêts de 3,15%, soit 1 165 € par mois. Donc, rien que pour payer les intérêts de votre crédit, vous devez y mettre plus de 40% d'un seul mois de revenus. En d'autres termes, votre femme, ou vous, travaillez quasiment un mois complet pour ne payer que les intérêts de votre dette ! Et je ne vous parle même pas d'un remboursement, fût-il minime, de la dette elle-même !
Lemairedic: Ben vous voyez bien, monsieur le banquier, que vous devez me faire un crédit supplémentaire !!!
Le banquier : Mais Monsieur Lemairedic, quels efforts êtes-vous prêts à faire pour remédier à votre situation catastrophique ?
Lemairedic: Ben, je vais essayer de réduire ma consommation. Ça vous irait ?
Le banquier : Ça me semble effectivement être un bon début. Et de combien allez-vous réduire vos dépenses ?
Lemairedic: De 11 euros.
Le banquier : Vous allez réduire vos dépenses de 11 euros par jour ?
Lemairedic: Non. 11 euros par mois.
Et là, le banquier éclate de rire. S'il est de nature joyeuse.
En revanche, les enfants de Lemairedic qui hériteront de cette situation, ne partageront pas forcément cette joie...
Pour bien vous faire comprendre et accepter qu'à l'avenir, la société occidentale devra impérativement être métissée et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des peaux noires et cheveux crépus. Cela n'a pas pu vous échapper.
En réponse modeste à ce matraquage, Saucisson-Pinard vous propose désormais, à chaque fin d'article, comme on le ferait en soutien à une espèce protégée en voie d'extinction, une image de belle blondeur.
Belle démonstration, mais vous vous êtes fait avoir, comme tout le monde, par l'arnaque des chiffres en % du PIB.
RépondreSupprimer154 petits milliards, sur 2800 de PIB (à la grosse louche), c'est rien, ma bonne dame !
Si on prend les vrais chiffres qui intéresseraient notre banquier, c'est-à-dire le budget général, dont le déficit représente la quasi totalité du déficit global, les autres comptes publics étant tous plus ou moins équilibrés (à une vache près), ce n'est pas 2954 € que dépenserait notre couple prodigue, mais 4348 € !!!
Le déficit du budget représente 55 % des recettes, pas 5,5 % !
La présentation en % du PIB est une énorme escroquerie intellectuelle, et je ne parle même pas de la façon dont le PIB en question est calculé.
Je fais une correction. Le montant des interets de la dette est de 1165€ par an, et non par mois. Soit 83% d'un SMIC.
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