Saucisson-Pinard: - Hé, McKinsey !
McKinsey: - Oui ?
SP: - Faut que je vous parle.
McKinsey: - Oui, de quoi s'agit-il ?
SP: - C'est bien vous qui êtes à l'origine de notre réduction de libertés ?
McKinsey: - Réduction de libertés ? Je ne vois pas...
SP: - Ben oui, notre liberté de circuler pendant plusieurs semaines, le confinement, couvre-feu, tout ça...
McKinsey: - Ah oui, ça... Mais ça a été provisoire...
SP: - Mais ensuite, ça a été masque sur le nez obligatoire, y compris dans la rue. Et plus de restaurant, plus de cinéma, plus de salle de sport, plus de sortie en boîte.
McKinsey: - Evidemment, si vous refusez de faire ce qu'on vous dit de faire...
SP: - Me faire vacciner, c'est bien ça ?
McKinsey: - Oui, pour votre bien.
SP: - Avec un vaccin d'un de vos copains, Pfizer, avec lequel vous êtes très lié financièrement ? Mais Pfizer, c'est pas le labo qui a été condamné à plusieurs reprises pour charlatanisme, à des amendes de plusieurs centaines de millions de dollars ?
McKinsey: - Et alors ? Nous aussi, on a été contraint de payer des centaines de millions de dollars à 47 états américains pour avoir trempé dans une affaire d'opioïdes menant à la dépendance des centaines de milliers de consommateurs !
SP: - Mais je ne veux pas me faire vacciner par un tel labo escroc !
McKinsey: - C'est bien pour ça qu'on a été obligé de conseiller de vous "emmerder" !
SP: - Et le secret médical, vous en faites quoi ?
McKinsey: - On s'assoit dessus.
SP: - Mais qui vous a autorisé tout ça ?
McKinsey: - Votre gouvernement qui nous demande conseil.
SP: - Mais pourquoi il vous demande conseil ? Il n'a pas de fonctionnaires pour se faire conseiller ?
McKinsey: - Mais vos fonctionnaires ne savent pas faire.
SP: - Ils ne savent pas faire, ou ils ne sont pas assez nombreux pour s'en occuper ?
McKinsey: - Ah non, ils sont assez nombreux, il y a même un effectif pléthorique, sans doute un record européen en termes de nombre de fonctionnaires. Mais ils ne savent pas faire.
SP: - Ils ne savent pas faire ? Alors non seulement ils sont trop nombreux mais en plus, ils sont incompétents ?
McKinsey: - C'est sûr qu'ils vous coûtent un pognon de dingue quand on voit le déficit du budget de l'Etat...
SP: - Alors, moins de liberté, c'est ça, votre conseil ?
McKinsey: - C'est ça. Mais pas que. On a conseillé aussi de baisser vos allocations.
SP: - Baisser mes allocations ?
McKinsey: - Oui, on a conseillé de baisser vos APL.
SP: - Vous conseillez, en plus de réduire nos libertés, de réduire notre pouvoir d'achat ?
McKinsey: - On peut le dire comme ça...
SP: - Mais vous êtes payé cher, pour donner ce genre de conseil?
McKinsey: - Pas mal. Quelques dizaines de milliers d'euros la page.
SP: - Quelques dizaines de milliers d'euros la page ?
McKinsey: - Oui, si on compte les pages d'introduction à en-tête... Sinon, bien davantage. D'autant que beaucoup de ces pages ne sont jamais que des copies de pages qui ont déjà été facturées à d'autres pays...
SP: - Mais ça fait combien au total ?
McKinsey: - Pas loin d'un milliard d'euros en 2021, pour nous et autres cabinets de conseil privés.
SP: - Un milliard d'euros ? Ça représente quoi, au juste ?
McKinsey: - Un peu plus que le quart du budget de la Culture...
SP: - Donc pour se résumer, le contribuable vous a payé en 2021 un milliard d'euros, l'équivalent du quart du budget de la Culture, pour réduire les allocations auxquelles il a droit et ses libertés individuelles ?
McKinsey: - Bah oui.
SP: - En plus de ce que lui coûtent ses fonctionnaires pléthoriques et incompétents ?
McKinsey: - C'est assez bien résumé.
SP: - Mais pourquoi le gouvernement vous a choisi, vous, pour donner ce genre de conseil ?
McKinsey: - Ben, on a bien aidé votre président à se faire élire en 2017 et à former le parti En Marche, grâce à nos conseils. Il nous devait bien ça !
SP: - C'est donc un renvoi d'ascenseur ?
McKinsey: - On ne travaille pas gratuitement.
SP: - Ça, je l'avais bien compris ! Mais, pour être sélectionné, vous avez quand même répondu à un appel d'offres ?
McKinsey: - Ouais... enfin...ptêt ben...
SP: - Même pas sûr ? Mais dites-moi, vous nous coûtez un pognon de dingue, mais au moins on en récupère une partie via les impôts que vous payez en France, non ?
McKinsey: - Ah bah non ! On ne paye pas d'impôt en France. Ça fait 10 ans qu'on ne paye pas d'impôts en France. Ni nulle part ailleurs, puisque nous sommes domiciliés dans l'Etat du Delaware, aux Etats-Unis, qui est un micro-paradis fiscal.
SP: - Mais pour répondre à un appel d'offre, et a fortiori, pour être sélectionné, il faut bien apporter la preuve qu'on est à jour de ses impôts en France, non ?
McKinsey: - Ah oui ?
SP: - Donc résumons-nous : vous êtes une entreprise étrangère qui facturez très cher des conseils que ne sauraient pas donner un effectif excessif et onéreux de fonctionnaires ; des conseils ayant pour but de réduire nos libertés et notre pouvoir d'achat, le tout sans même payer d'impôts au pays qui vous a mandaté de façon opaque. J'ai bon ?
McKinsey: - Hé, ho, ça va bien ! On ne fait que ce que nous demande et nous permet votre président élu, n'est-ce-pas ? Nous, on est une entreprise privée, on fait juste notre job. Maintenant s'il y a des pays avec des contribuables assez cons pour mettre à leur tête un comparse qui paye nos escroqueries, c'est pas notre problème ! N'avez qu'à demander des comptes à votre président, après tout !
SP: - C'est la seule chose sensée que vous venez de me dire ! C'est effectivement ce qu'il faut faire le 10 avril prochain, et au pire, aussi le 24. Et dès la levée de son immunité présidentielle, il faudra bien s'occuper de son cas devant les tribunaux. D'ailleurs, Macreux le recommande lui-même: « Que mes détracteurs aillent au pénal ! ». C'est aussi un de vos conseils ?
Pour bien vous faire comprendre et accepter que l'avenir de la société occidentale devra impérativement être métissé et que l'homme blanc y sera désormais minoritaire, l'oligarchie mondialiste vous impose quasiment dans chaque publicité de n'importe quel produit ou service, des couples racialement mixtes. Généralement un africain et une femme blanche, rarement l'inverse. Cela n'a pas pu vous échapper.
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