Pourquoi ce blog?

Jamais l’emprise du politiquement correct sur l’Information n’a été aussi forte. Naguère subtil, il est aujourd’hui omniprésent et ne s’embarrasse même plus de sauver les apparences. Il s’affiche comme un véritable terrorisme intellectuel : non seulement il monopolise la pensée sociale et politique, son expression, mais il se permet de sanctionner, éventuellement judiciairement, tous écarts et ceux qui les commettent. Les petits soldats de la Pensée Unique, journalistes, animateurs tv ou radio, se pressent au p ortillon de l’accès aux tribunes médiatiques et c’est à celui qui affichera avec le plus de zèle sa soumission au dogme.
Ce blog a pour très modeste ambition de pointer du doigt ces attentats terroristes de la Pensée et dénoncer les personnes publiques qui les commettent, consciemment ou inconsciemment.
Si vous cherchez à lire l’actualité sous un autre angle que celui que vous imposent la tv, les magazines, la radio, la presse ou le quidam-perroquet de la rue, lui-même matraqué par ces médias, ce blog est pour vous… et attend vos témoignages !
Si les propos de ce blog vous choquent, vous pourrez ainsi mesurer à quel point vous avez été formaté par la Pensée Unique… et apprécier le degré d’urgence que vous avez à vous dépolluer l’esprit.

vendredi 2 août 2019

Questions vagabondes de dessous de parasol...



A l'heure où les vacances sont propices aux farnientes qui permettent à l'esprit de vagabonder, et où néanmoins, on ne peut pas rester étanche à l'abrutissement médiatique sur des sujets récurrents comme par exemple le racisme, Saucisson-Pinard s'est posé un certain nombre de questions qu'il vous livre telles quelles, en vrac.

Reprenons la définition du mot racisme, telle que donnée par wikipédia : « Le racisme est une idéologie qui, partant du postulat sans fondement scientifique de l'existence de races au sein de l'espèce humaine, considère que certaines catégories de personnes sont intrinsèquement supérieures à d'autres. »

Arrêtons-nous sur la première assertion de cette définition : Il n'y aurait donc pas de fondement scientifique à l'existence de races humaines. C'est d'ailleurs ce que les leaders d'opinion bien-pensants se sont mis, tout à coup, à partir des années 80, à nous asséner : « Il n'y a pas de races humaines ».
Pourtant, quand on s'intéresse aux méthodes anthropologiques de la Médecine Légale, on apprend que la méthode classique macroscopique des os est la méthode de base qui permet de distinguer avec plus ou moins de précision l'âge, le sexe, la taille et... la race d'un cadavre !
L'examen de rien d'autre qu'un bout d'os permet donc de distinguer la race de son propriétaire décédé et décomposé, mais on nous assure néanmoins officiellement qu'il n'y aurait pas de fondement scientifique à l'existence de races... Curieux, non ?

Les races n'existent pas mais il y a des racistes qu'il faut combattre. Si on part du principe que les fantômes n'existent pas, pourquoi faudrait-il partir en guerre contre ceux qui y croient ? N'est-ce pas une perte de temps et d'énergie, comme, à l'instar de Don Quichotte, de se battre contre des moulins à vent ?
A l'inverse, n'est-il pas évident que les prêtres qui combattaient et condamnaient les sorcières au Moyen-âge, croyaient eux-mêmes à l'existence de la sorcellerie ? Sinon, ils ne se seraient pas donné un mal de chien à la combattre. Ce qui nous amène tout naturellement à estimer que ceux qui combattent le racisme sont les premiers à croire dur comme fer, mais in petto, à l'existence des races.

Prenons maintenant la seconde assertion de la définition communément admise du racisme : idéologie considérant que « certaines catégories de personnes sont supérieures à d'autres ». On observe au passage que le mot « catégorie » est en l'occurrence mal choisi, puisqu'on veut évoquer ici que l'idéologie en question ferait en réalité une hiérarchisation des races, et non pas de « catégorie de personnes », ce qui oblige du coup à bien utiliser le concept de race. Il n'est décidément pas facile de traiter d'un sujet dont on nie l'existence. Mais passons.

Mais alors, si les différences raciales « entre catégories de personnes » n'existent pas, pourquoi la carte mondiale de mesure de QI coïncide-t-elle étrangement avec celle de l'origine des civilisations ? Pourquoi y-a-t-il eu très tôt des civilisations avancées en Asie, en Europe, mais pas en Afrique ?

S'il n'y a pas de hiérarchisation des races, c'est qu'elles se valent toutes et sur tous les plans. Bon. Mais alors, pourquoi les Noirs trustent-ils les premières places dans les épreuves d'athlétisme ? Au foot ? Pourquoi les Asiatiques et les Blancs trustent-ils les Prix Nobel ? Pourquoi y a-t-il un abîme entre la sophistication d'une peinture de Rembrandt et une statuette africaine grossièrement taillée ? Pourquoi, à partir d'une même matière première comme l'ivoire, distingue-t-on au premier coup d'oeil, la finesse du travail d'un artiste asiatique de celui, fruste, d'un artiste africain ?

Pourquoi admet-on qu'on puisse éventuellement trouver un lévrier afghan plus intelligent qu'un berger allemand moyen ? Pourquoi ne s'étonne-t-on pas de trouver occasionnellement un berger allemand plus rapide qu'un greyhound, alors même qu'on organise plus de courses de lévriers que de courses de bergers allemands et qu'on trouve plus de bergers allemands dans la police que de lévriers afghans? Pourquoi en serait-il autrement dans l'espèce humaine ?

Pourquoi, afin d'assurer les mêmes droits et devoirs pour tous – ce qui est parfaitement légitime- se croit-on obligé de feindre d'ignorer les différences fondamentales qui existent entre les individus d'origines diverses?
Doit-on nier que des personnes sont par nature plus manuelles qu'intellectuelles (ou l'inverse) pour affirmer qu'un artisan a les mêmes droits juridiques et doit se soumettre aux mêmes devoirs qu'un académicien ? Non ! Alors pourquoi le fait-on quand il s'agit de races ? Pour autant, l'intellectuel a-t-il plus ou moins de mérite que l'artisan ? Question absconse. Nul n'est responsable de ses propensions naturelles innées, pas davantage de sa couleur de peau. Encore que, en ce qui le concerne, Saucisson-Pinard apprécie davantage d'avoir un bon plombier sous la main qu'un académicien à l'Académie, mais bon... c'est juste un point de vue qui lui est propre.

Il faut combattre, nous dit-on, toute discrimination en fonction des couleurs de peau, et cela semble effectivement partir d'un bon sentiment. Mais alors, pourquoi promouvoir en même temps la « discrimination positive » ? N'est-elle pas la plus flagrante des discriminations ? Et en quoi serait-elle justifiée si toutes les races sont supposées avoir les mêmes potentiels ? Et sur quoi pourrait-elle bien se baser si on nie l'existence même du concept de race ?

Aux Etats-Unis, les étudiants postulant à l'entrée d'Harvard ont un bonus de points s'ils sont d'origine congoïde, un bonus un peu moins favorable mais un bonus quand même, s'ils sont latinos, n'ont ni bonus ni malus s'ils sont caucasiens et sont pénalisés d'un malus s'ils sont asiatiques. Pourquoi une telle injustice si toutes les races sont égales, et a fortiori, si on récuse l'existence de races ? Et pourquoi les étudiants arabes militent-ils pour bénéficier d'un bonus alors qu'ils sont, pour l'instant, assimilés au régime neutre des caucasiens ?

Si vous êtes militant de SOS Racisme et devez subir une opération chirurgicale vitale et si vous vous voyez offrir le choix de vous la voir administrer par un praticien ayant obtenu son diplôme en bénéficiant d'un bonus ou par un Asiatique l'ayant obtenu malgré la pénalisation d'un malus, lequel des deux choisissez-vous, instinctivement ? Vous avez cinq secondes pour répondre...

Et si on accepte ce système de bonus/malus à l'examen d'entrée dans des grandes universités, ne conviendrait-il pas, aux Jeux Olympiques, de faire partir le coureur Blanc du 100 mètres avec quelques mètres d'avance sur son concurrent congoïde?

Dans un autre ordre d'idée, quand une porte-parole du gouvernement, congoïde d'origine et française de papier, sort une ânerie (et rendons-lui cette justice, ça lui arrive plus souvent qu'à son tour), il est interdit de le faire remarquer sans se faire taxer de racisme, (n'est-ce pas, Madame Morano?). Mais pourquoi Castaner ne bénéficie-t-il pas de ce privilège quand on relève son incompétence crasse? Pourquoi ne traite-t-on pas ses détracteurs de racistes anti-blanc ?

Le tabou de la critique d'une « élite » noire, ou même simplement basanée, devrait d'ailleurs donner des idées aux marionnettistes de la cause écolo-mondialiste (les Soros et Cie). Avoir promu comme égérie du « combat » contre le réchauffement climatique - égérie devant laquelle nos pitoyables parlementaires ont été tenus de se vautrer - une jeune (premier tabou) femme (second tabou) malade mentale (troisième tabou) en la personne de la petite Greta suédoise, est un choix presque parfait. Mais ces marionnettistes auraient pu faire encore mieux. Ils auraient fait carton plein si cette marionnette avait été de surcroît d'origine congoïde. Cela aurait été l'impunité parfaite à la critique, la carte Joker magistrale qui la rendait, et par voie de conséquence, sa cause également, parfaitement intouchable.

Voilà.
Ce sont là quelques réflexions et interrogations que s'est faites Saucisson-Pinard, à l'ombre d'un parasol, dans une douce torpeur, alors qu'il venait d'apprendre le scandale de l'été : lors d'une émission « un dîner presque parfait » de W9, un menu sur le thème de la zénitude a donné le prétexte à de joyeux participants de se brider les yeux avec les doigts et d'imiter un accent asiatique.
Evidemment, des téléspectateurs lobotomisés par le politiquement correct se sont précipités pour dénoncer cette innocente plaisanterie potache aussitôt qualifiée d'acte raciste.
Evidemment, la chaîne W9 s'est crue obligée de donner du crédit à ces tristes plaignants crétins en présentant ses plus plates excuses,
et tout aussi évidemment, nos merdias se sont répandus aussitôt à longueur de temps d'antenne et de lignes pour enfourcher le dada du racisme, ce marronnier médiatique qui permet de meubler les déserts de nouvelles pendant la période des vacances et surtout d'éviter d'aborder les problèmes sérieux.
Triste époque.

Si vous voulez quelques réponses aux questions candides exposées ici, pourquoi ne pas les rechercher auprès d'instances officielles comme par exemple, la LICRA (Lavage de l'Intellect et Culpabilisation par le Racisme et l'Antisémitisme), qui sauront, n'en doutons pas, vous les apporter, car, elles, elle ont le Savoir! Si elles ne l'avaient pas, elles ne seraient pas subventionnées par nos impôts, n'est-ce pas ?

7 commentaires:

  1. Je trouve étonnant que les anti-racistes officiels (CRAN, SOS-machin...) ne se soient pas saisis du problème du drapeau corse, qui est historiquement une tête de Maure (de barbaresque, d'arabe maghrébin quoi, que l'on représentait alors sous des traits de "noir comme leur âme") posée sur un drap après avoir été proprement décapitée, au retour d'une expédition punitive contre les pirates d'Afrique du Nord. Un peu comme le retour d'une partie de pêche, avec les thons rangés en ligne, pareil avec la chasse et les sangliers….
    Interdisons le drapeau corse, comme on est arrivé en Espagne à supprimer des fêtes de villages qui célébraient la Reconquista depuis des siècles….

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    1. Avec le drapeau corse, il y a quand même eu un pas vers le politiquement correct avec le bandeau de la tête de Maure qui a été mis autour de la tête alors qu'à l'origine, il était sur les yeux. Pareil pour le drapeau sarde, composé de quatre têtes de Maures.

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  2. Alors moi, je dis que s'il est scientifiquement impossible de distinguer un esquimau ("de souche") d'un aborigène d'Australie ("de souche" également) alors que moi, j'y parviens du premier coup d'oeil et sans me poser même la question de savoir comment je fais, c'est que la science en question souffre quand même encore de quelques lacunes.
    Un peu comme quelqu'un qui se servirait d'une balance pour dire qu'il n'y a pas de différence de nature entre un kilo de carottes et un kilo de pommes de terre puisqu'ils affichent tous deux le même poids ...

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  3. J'adore "congoïde".... ;-)

    Incidemment, je me demande s'il y a un rapport avec le conga, qui a des origines plutôt cubaines et latines ?

    Bon, après avoir fait mon malin, je me demande également si les Africains actuels ont des gènes communs avec Neandertal, comme c'est notre cas, nos très lointains ancêtre Sapiens, sortis d'Afrique, s'étant probablement mélangés, par-ci, par-là avec les populations de néandertaliens installés en Europe...

    Vendémiaire.











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  4. Question éminemment délicate...il ne faut pas généraliser, du moment qu'on voit bien souvent des blancs plus cons que la plupart des noirs et des jaunes pas si futé que cela. A mon humble avis c'est essentiellement culturel...cela dit, j'ai bien conscience que mon avis ne vaut pas grand chose.
    Amitiés.

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    1. L'argument culturel est évidemment attendu. Mais le lien entre niveau culturel et degré d'évolution est aussi indiscutable. Donc cet argument "culturel" n'apporte rien de nouveau. Inutile de se cacher derrière son petit doigt, l'évolution n'a pas été linéaire pour toutes les espèces humaines, et après tout, pourquoi l'aurait-elle été?

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