Etat des lieux :
- Depuis l'instauration
de l'Union Européenne, la France a délégué son pouvoir de
décision à des technocrates non élus, bénéficiant d'un régime
fiscal très favorable, et dirigés par un poivrot notoire,
- Le pays est dirigé par
une bande d'incompétents, ou de fieffées crapules impunies, et le
plus souvent ils sont les deux à la fois,
- Avec l'avènement de
l'euro, une monnaie faite sur mesure pour l'Allemagne, le pouvoir
d'achat des consommateurs a baissé, pendant que les efforts des
exportateurs français sont rendus vains,
- Le niveau de vie baisse
pour les couches basses et moyennes de la société française,
- La pauvreté ne touche
plus exclusivement les sans-emplois mais aussi ceux qui travaillent,
- Les régimes de
retraite des salariés du privé sont en danger, celui des
agriculteurs et celui des commerçants sont en perdition, pendant que
celui des fonctionnaires demeure, par comparaison, largement
favorisé,
- Le chômage ne cesse
d'augmenter,
- La France est en train
de perdre son agriculture comme elle a perdu son industrie,
- Nos gouvernants ont mis
en place un matraquage fiscal de plus en plus violent, désormais le plus élevé
d'Europe,
- Pour autant les
services publics sont de moins en moins bien rendus (hôpitaux,
trains, Poste, remboursements des frais de santé, maisons de
retraite, déserts médicaux...)
- Pour autant, les
déficits ne cessent de se creuser, la dette du pays augmente jusqu'à
presque atteindre le niveau de son PIB,
- Le pays subit une
immigration envahissante et incapable de s'intégrer, une immigration
que le peuple n'a jamais voulue, et nos politiques se sont d'ailleurs
bien gardés de lui demander son avis,
- Le pays perd son
identité historique au profit d'une islamisation contraire à ses
valeurs ancestrales, et d'une population africaine sans formation ni
savoir-faire particulier, mais parfaitement éligible à toutes les prestations sociales disponibles,
- Un des effets de cette
immigration est l'ensauvagement de la société, allant de pair avec
une insécurité et une délinquance croissantes,
- La Justice est rendue
avec laxisme par des idéologues permissifs qui sabotent le travail
de la police laquelle se voit, en outre, désarmée moralement et
matériellement, pour mener ses missions,
- L'Armée voit elle-même
ses moyens matériels diminuer, ses missions sur le terrain en
deviennent à la fois plus limitées et plus dangereuses,
- Les scandales de
gabegie dans les hautes sphères de l'Etat se multiplient (dépenses
somptuaires de ministres, de PDG de sociétés publiques) et
expriment le profond mépris et l'arrogance d'une caste de
privilégiés vis à vis des contribuables,
- La liberté
d'expression n'existe plus,
- La presse subventionnée
est aux mains d'une Oligarchie qui l'utilise comme outil de
propagande pour son seul intérêt,
- La télévision impose
sa censure, et n'est plus que le théâtre de figures corrompues
donneuses de leçons,
- La médiocratie
culturelle est aux commandes, avec son cortège de vulgarité,
d'escroquerie intellectuelle, son absence criante de talent et elle
monopolise les dotations publiques,
- L'Education Nationale
est devenue une usine à fabriquer des crétins incultes et serviles.
Réponse :
« Vous ne savez pas
la chance que vous avez, le pays se porterait autrement... si vous
arrêtiez de vous plaindre ! »
Signé : Emmanuel
Macron. Le 4 octobre 2018, Colombey les-deux-Eglises.
Eh oui, que voulez vous, il n'y a pas de quoi se plaindre...en revanche il y aurait vraiment de quoi tout foutre en l'air, à commencer par le spécialiste des déclarations à l'emporte pièce.
RépondreSupprimerAmitiés.
Oui, c'est vrai, dans le fond, il suffisait d'y penser ... et "penser printemps", pendant qu'on y est !
RépondreSupprimerBin oui, quoi, il a raison !
RépondreSupprimerNous sommes une armée à geindre derrière nos écrans, nous nous plaignons sans scrupules...
Arrêtons de nous plaindre, sortons nos fourches, nos guillotines et faisons que ce pays aille mieux.
Faisons de micronmégas un visionnaire ! C'est lui qui n'en reviendra pas. Au sens propre.
En mai 1974, les électeurs français votent pour Valéry Giscard d'Estaing. C'est le début d'une nouvelle période de l'histoire de France : « les Cinquante Décadentes ».
RépondreSupprimerDepuis mai 1974, tous les présidents de la République et tous les premiers ministres détruisent la France. Leur politique est fondée sur trois priorités :
1- la construction européenne
2- la destruction des frontières nationales
3- le regroupement familial.
44 ans plus tard, Valéry Giscard d'Estaing commence à comprendre.
Regroupement familial : le plus grand regret de Valéry Giscard d'Estaing.
L'ancien président de la République s'est confié au biographe Éric Roussel sur sa vie d'homme politique. On y découvre ce qu'il considère comme étant sa plus grande erreur de président.
600 pages consacrées à la vie politique de Valéry Giscard d'Estaing seront publiées dès mercredi 10 octobre dans les librairies de France. À la tête de cet ouvrage publié aux éditions de l’Observatoire, le journaliste Éric Roussel. Il a passé près de 20 heures à écouter l'ancien président lui parler de ses années à la tête du pays. Entre deux joyeux souvenirs, il a abordé son plus grand regret. D'après Le Point qui a consulté les bonnes pages de la biographie, il s'agirait du regroupement familial. Il a été décidé en 1976 par Jacques Chirac par un simple décret.
À ce moment-là, l'idée de réunir les membres d'une famille d'immigrés paraissait naturelle. Mais à l'heure où l'immigration explose dans le pays, elle pose question. Avec le recul, Valéry Giscard d’Estaing lui-même regrette cette initiative.
« L’idée en soi était juste et généreuse […] Mais elle a été mal appliquée, et j’ai eu le tort de ne pas plus surveiller l’application ; j’en ai donc la responsabilité […] Nous visions le noyau familial tel que nous le connaissons et nous avons vu arriver des noyaux familiaux totalement différents », a-t-il ainsi déclaré.
http://www.valeursactuelles.com/politique/regroupement-familial-le-plus-grand-regret-de-valery-giscard-destaing-99651
"regroupement familial le plus grand regret de Valéry Giscard d'Estaing"
RépondreSupprimerLes esprits sournois feront, peut-être, le rapprochement de ce regret avec le fait que V.G.E junior ait été racketté devant un distribanque.
Papa se mord les doigts ?
Tant que les agressions ne concerneront que les sans-dents, il n'y aura pas de réactions de nos politiciens.
Quand cela touche (très rarement) la famille, alors, là, ce n'est pas le même discours.
Mais, il faut, réellement, être sournois pour penser cela.
Tintin
Pour être tout à fait honnête, le regret exprimé est antérieur à l'épisode subi par le fils. Cela étant dit, ce regret tardif nous fait une belle jambe...
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