"Que les Français sont cons, mais qu'est-ce qu'ils sont cons!!" |
Saucisson-Pinard a fini
de vomir et reprend la plume.
Autant l'avouer tout de
suite, Saucisson-Pinard a décidé de se sevrer des médias quelques
jours, peu soucieux de voir nos journalopes célébrer l'élection de
leur candidat avec l'hystérie d'adolescentes pré-pubères à un
concert de Justin Bieber.
Rien que d'avoir
entr'aperçu la mise en scène grotesque du bébé Hollande en
prédicateur solitaire, marchant de longues minutes dans son halo de
lumière complaisamment préparé par nos télévisions d'état, les
premiers spasmes vomitifs apparaissaient.
Déjà au niveau
symbolique, déambuler seul alors qu'on a bénéficié d'un soutien
de toutes les pseudo-élites politico-showbusinesso-économiques,
sonne aussi faux que si Hanouna prétendait animer une émission
culturelle.
Cet affligeant spectacle
dénote les prémisses d'un culte de la personnalité, que le choix
de ses propres initiales pour dénommer son mouvement En Marche,
laissait déjà entrevoir.
En outre,
Saucisson-Pinard s'interroge sur ce choix du Louvre pour cette
mascarade ? Est-ce que l'arrière-plan de la petite pyramide
mitterandienne était un clin d'oeil de reconnaissance aux loges
maçonniques, une réponse à l'interpellation « N'oublie pas
qui t'a fait roi ! » ? Ou est-ce juste la passion de
Macreux-l'Oreillette pour les momies ?
Tenez, à propos de
momie, les médias s'offusquent déjà de la curiosité que suscitent
Mamie Trogneux et sa différence d'âge avec son président de mari.
Excusez-nous de nous
étonner, mais si on comprend bien les motivations de Mamie qui a
échappé, il y a vingt quatre ans, (et on se demande pourquoi), à
une inculpation de détournement de mineur, on comprend moins celles
du bébé Hollande. Il n'est évidemment pas question d'être méchant
ici (ce n'est pas le genre de la maison), mais quand même, Mamie
Vuitton semble bien avoir tout misé sur la beauté intérieure,
non ?
Si on fait un peu de
prospective et qu'on constate que lorsque Macreux-l'Oreillette aura
soixante ans, la Trogneux en aura quatre vingt cinq, on est en droit
de se dire qu'on a confié l'avenir de la France à quelqu'un qui a
bien du mal à anticiper... Vous diriez que d'ici là, le Macreux
pourra changer de partenaire. C'est vrai. En attendant, une question
se pose : Mamie Trogneux ne serait-elle pas juste une sorte de
passeport d'hétérosexualité pour un candidat qui se chercherait un
peu sur ce plan-là ?
Enfin, comme disait
l'autre, ceci ne nous regarde pas...
Ainsi donc, nous voilà
parti pour 5 ans de dégringolade supplémentaires. La dictature
d'une poignée d'oligarques européo-mondialistes est aujourd'hui
avérée, claire comme de l'eau de roche. Elle était déjà bien
évidente et ce blog n'a pas manqué de le faire remarquer à maintes
reprises, mais cette fois, elle est bel et bien installée et oeuvre
à visage quasiment découvert.
Alors bien sûr, ce n'est
pas une dictature militaire à la mode chilienne du temps de Pinochet
ou à la mode cubaine du temps de Castro, le Fidel. C'est bien pire.
C'est pire parce qu'il
s'agit d'une dictature sournoise. Avec la dictature militaire, le
citoyen lambda se dit : « bon, il y a une force militaire
qui a le pouvoir, je vois clairement cette dictature mais n'ayant pas
d'arme pour la contrer, je suis obligé de fermer ma gueule et de la
subir, et surtout, je ne suis pour rien dans son installation ».
Alors qu'en France, on a
donné l'impression au citoyen Macheprot d'avoir participé, choisi
lui-même l'installation d'une dictature qui ne dit pas son nom;
ce citoyen a l'illusion d'avoir été partie prenante, alors qu'en
réalité, il a été juste manipulé pour le croire. Et si au final,
il n'est pas content de ce qui lui arrive, il ne pourra s'en prendre
qu'à lui-même ; ce qui est toujours plus difficile que de s'en
prendre à un bouc émissaire extérieur. Et cela, c'est très fort.
Revenons sur les
péripéties de cette élection présidentielle.
Phase 1 : les forces
politico-oligarchiques qui détiennent le pouvoir et en tirent
directement profit font le constat qu'avec 4% de taux de popularité,
leur candidat Hollande Ouille est cramé de chez cramé.
Phase 2 : Se pose
alors la question, quel candidat pourrait bien remplacer ce Hollande
Ouille qui a été tellement mauvais, que même les Français de gauche s'en
sont aperçus. A gauche, c'est le désert de Gobi pour ce qui est des
personnalités présidentiables. A droite, (enfin... ce qu'on se
force à considérer comme étant à droite), on se satisferait bien
d'un Juppé. Faute de grive...
Phase 3 : Manque de
chance, ces forces politico-oligarchiques constatent que le leader de
la droite Fillon part comme une étoile filante vers le siège
présidentiel en mettant Juppé, qu'elles ont tenté d'imposer
médiatiquement, hors course.
Ce n'est pas que Fillon
soit un très mauvais candidat pour défendre les intérêts de
l'oligarchie judéo-maçonnique mondialiste, mais il aurait été
moins bon que Ali Juppépé. La stratégie devient donc la suivante :
il faut avoir coûte que coûte son propre candidat face à Le Pen au
second tour. Le Pen au second tour est inévitable, tous les sondages
l'affirment. Mais après un demi-siècle de diabolisation du FN, on
aura quelques chances de ressortir l'argument aussi imbécile
qu'éculé d'un réflexe « front républicain ».
L'expression a beau n'avoir aucun sens, le matraquage médiatique a
laissé ses traces dans l'esprit peu critique d'une population bêlante. Il
faut donc impérativement que le finaliste en lice contre Le Pen au
second tour soit leur candidat. Et la partie sera gagnée.
Phase 4 : En
application de cette stratégie, l'artillerie lourde est lancée
contre Fillon pour le disqualifier aux yeux des électeurs.
Phase 5 :
L'oligarchie mondialiste soutient parallèlement l'ovni Macron. Pas
trop connu pour paraître neuf, et surtout garant de la poursuite de
la politique menée par le sortant, pour la bonne raison qu'il en
partage la responsabilité. Et le lancement de l'ovni se fait avec
des moyens colossaux.
Le moins qu'on puisse
dire est que la stratégie a fonctionné à merveille. La
manipulation des électeurs a été totale, du début à la fin.
C'est la raison pour laquelle cette élection n'a rien à voir avec
une démarche démocratique et obéit bien à une opération
dictatoriale.
Les moyens mis en œuvre
pour la phase 4 comme pour la phase 5 sont inédits, en tous cas dans
cette cinquième république. Quand on considère le caractère
véniel de la faute de Fillon – avoir engagé, fictivement ou pas,
sa propre femme comme assistante- et l'exploitation médiatique qui
en a été fait, on ne peut qu'être abasourdi. Quand bien même la
fonction d'assistante n'aurait pas été remplie par la Pénélope,
les sommes correspondant aux émoluments auraient été dépensées,
puisqu'autorisées par la loi. Le contribuable n'a donc pas été
lésé. Et en regard des agissements de nombre d'élus socialistes,
à commencer par l'ex-locataire de l'Elysée, qui ont allègrement
jonglé avec l'argent public, on voit bien que le scandale a été
basé sur une affaire montée en épingle sciemment par des médias
aux ordres de l'oligarchie qui les possèdent.
Quand on constate les
moyens déployés pour lancer un candidat quasiment inconnu, jamais
élu à quoique ce soit, sans parti, sans capital personnel (même
s'il a touché 3 millions d'euros dans sa vie de bankster sans que
le fisc n'en voit la couleur, Macreux-l'Oreillette n'est pas un entrepreneur
milliardaire comme Trump), on se doute bien qu'il y a des
manipulateurs richissimes derrière, non dénués d'arrière-pensées
et qui demanderont très vite les intérêts de leur placement.
La dictature est bien...
En Marche ! Et, Françaises, Français, maintenant, il va
falloir obéir... et payer.
C'est tout à fait cela et je suis même tout près de penser que la mère Le Pen n'était pas étrangère à la combine.
RépondreSupprimerEn tout cas, et c'est là qu'on voit bien les avantages immenses de la démocratie, ce type a été élu par une majorité de 66%, il nous ont donc niqués dans la légitimité la plus incontestable.
Amitiés.
66% mais si on compte tous ceux qui n'ont rien à foutre de rien, ceux qui savent pas ce qu'ils veulent, ceux qui savent pas remplir un bulletin de vote et ceux qui ont voulu marquer leur désaccord vis à vis des deux finalistes, on constate qu'on a la dictature d'une minorité sur une majorité. En vous souhaitant, 😉
SupprimerD'accord avec Nouratin pour applaudir à cette analyse.
RépondreSupprimerC'est exactement ça.
C'est bien de comprendre la politique, mais ça ne rend pas heureux.
Marion vient de le comprendre.
Macreux ou Justin Macron. Parce que Justin Bieber, Justin Trudeau et Justin Bridou (parce qu'il a le bâton de Bergé).
RépondreSupprimerOui, ou encore Justin Pantin...
SupprimerOui, c'est Justin salopard, épicétou.
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